Repentance

Write by R.D

SECRET DE FAMILLE



Chapitre 48



« soit endurant, Dieu t’aidera dans ta constance »



Fatima



J’ai été réveillé par une sensation étrange dans mon corps. Le temps de comprendre ce qui ce passe, j’ai senti Ibrahim me donner des bisous dans le cou.


Ibrahim (ton suave) : tu es délicieuse ma belle.


Comme vous l’avez compris, je me suis réveillé parce que mon mari m’a pénétré tandis que je dormais. C’est vrai que je suis fatiguée mais c’était trop bon pour le repousser.


Nous avons donc passé pratiquement toute la nuit à faire l’amour. J’avoue que nous sommes de vrais lapins et j’assume parce que j’adore coucher avec lui.


*****


Après avoir pris notre douche ensemble, nous avons priés et par la suite je suis sortie de la chambre pour me rendre dans la cuisine parce que j’avais énormément faim.


Il m’a rejoins par la suite en se collant à moi avant de poser son menton sur mon épaule.


Ibrahim : qu’est ce que tu as préparé ?

Moi : de la viande avec de la purée de pomme de terre. J’ai énormément faim. On mange ensemble ?

Ibrahim : bien sûr. Je crois que je t’ai déjà assez fatigué comme ça donc tu peux aller t’asseoir je vais te servir.

Moi : non ce n’est pas la peine.

Ibrahim : J’insiste.


Sa galanterie m’avait manquée. Je ne me suis donc pas fait prier. Je me suis rendue au salon et j’ai allumé la télé pour suivre une de mes séries préférées.


En regardant mon téléphone, j’ai remarqué que Karim et Mounas avait tentés de me joindre.


Mounas m’a laissé un texto dans lequel elle disait :


«  Je suis trop heureuse. Boubah vient de rentrer chez lui après m’avoir dis qu’il m’aime et qu’il veut  qu’on renoue ensemble. Dieu est bon et ma patience vient d’être payer».


Je ne peux pas expliquer la joie que j’ai ressentie en lisant cela.


Ibrahim m’a trouvé avec un sourire sur mon visage.


Ibrahim : j’espère que c’est moi qui te rends heureuse.

Moi : tu sais qu’avec toi je le suis tous le temps. C’est juste Mounas qui m’a dit qu’elle a renoué avec Boubah.


Il a déposé les plateaux contenant la nourriture sur la table.


Ibrahim : mais c’est une très bonne nouvelle.

Moi : oui il était temps. Elle mérite vraiment d’être heureuse. D’ailleurs ça me donne envie de les inviter demain comme ça on va déjeuner ensemble. Ça fait longtemps qu’on n’a pas eu ce genre de moment.

Ibrahim : ça ne me dérange pas.


Nous avons mangés dans une très bonne ambiance. Mon mari m’avait vraiment manqué. Ça me fait trop plaisir de le voir sourire en me parlant comme avant.


Je ne sais pas si je pourrais vivre sans lui parce que je l’aime énormément. J’espère simplement qu’il ne m’abandonnera plus lorsqu’un problème surviendra.


Ibrahim (pensif) : il faut que je te parle d’un truc.

Moi (inquiète) : qu’est ce qui ce passe ? Tu n’as pas de problème j’espère.


Je n’ai  plus envie d’entendre parler de problème.


Ibrahim : tu promets de ne pas te fâcher ?

Moi (étonnée) : qu’est ce qui ce passe ? Tu sais que je me fâche rarement.

Ibrahim (poussant un soupir) : je me suis très mal comporté avec Karim lorsqu’il a su que  je suis sortie avec Awa.


Depuis quand le sais t il ? Je n’étais pas au courant.


Moi : depuis quand ? C’est toi qui me l’apprends.

Ibrahim : il n’y a pas longtemps. Il est vraiment remonté contre moi et  je ne sais pas quoi faire pour qu’il me pardonne. Je suis vraiment conscient d’avoir mal agit et j’aimerais que tu parles avec lui.

Moi : qu’est ce que je suis censé lui dire ?

Ibrahim : je peux dire qu’il te préfère même à moi tellement il t’apprécie. Tu sais que quand je suis énervé je dis tout ce qui me passe par la tête et je me suis vraiment mal comporté.


Je ne sais pas quand est ce que mon mari va commencer à changer.


Moi : il m’a appelé tout à l’heure et j’ai vu son appel manqué quand je suis venue au salon.

Ibrahim : ça m’étonnerait qu’il te parle de notre querelle.

Moi : que lui as-tu dis ?


Il a baissé la tête avant de se passer une main sur les cheveux.


Ibrahim : entre autre qu’il n’arrivera jamais à mon hauteur et que tout ce qu’il a, il me le doit.


Je n’en crois pas mes oreilles.


Moi : Ibrahim Bah jusqu’à quand ? Jusqu’à quand va tu faire du mal aux gens autour de toi ? Pourquoi ne mesures tu pas tes paroles ?

Ibrahim : Dieu m’est témoins que je regrette.

Moi : et tu penses que ça suffit ? Tu ne sais pas que les paroles font mal ? Karim est l’un des hommes les plus bons que j’ai eu à rencontrer dans ma vie. Il est comme un frère tout autant pour toi que pour moi. Pourquoi ne mesure tu pas la porté de tes mots ? 

Ibrahim : Fatima ne te fâche pas.

Moi : non, ça n’à rien avoir avec moi. Je ressens simplement ce qu’il ressent. Tu as été vraiment dur avec lui. Et qu’est ce que tu as récolté ? Le pire dans tout ça c’est que c’est toi qui as tort. Au lieu de te taire et encaisser, tu verses de l’huile sur le feu.


Je n’ai pas l’habitude de lui parler comme ça mais je ne le comprends pas.


Ibrahim : si tu me tournes le dos c’est comme si tout le monde m’a tourné le dos.

Moi : que vais-je lui dire ? Ibrahim t’es allé trop loin. Il faut que tu changes et que tu apprennes à te contrôler lorsque tu es énervé.

Ibrahim : promis que je le ferais. Je te jure que je serais un homme meilleur juste pour toi.

Moi : là il ne s’agit pas de moi. Comme il se fait tard, je l’appellerais demain.

Ibrahim (m’embrassant) : merci. Je ne sais pas ce que j’aurais fais sans toi.

Moi : je ne suis vraiment pas content de toi.


Je n’ai même pas mangé à ma faim parce que j’avais perdu l’appétit. Il a tout fait pour détendre l’atmosphère, mais je ne comprenais pas pourquoi il aimait se montrer si méchant envers les autres.


Je sais qu’il est bon mais ce n’est pas normal. Un musulman doit craindre Dieu sur tous les plans et garder de bonne relation avec ses créatures est primordiale.


Lorsqu’on  commet un péché, c’est entre lui et nous mais lorsqu’on lèse sa créature, tant que ce dernier ne nous pardonne pas, ça pourras nous être néfaste. C’est ce que j’aimerais qu’il comprenne et j’espère qu’il le fera avec le temps.


*****


Je me suis réveillée un peu tôt le lendemain du jour. Je devais faire le ménage et par la suite faire des courses parce qu’on a invité boubah et Mounas pour le déjeuner.


Je suis revenu du marché aux alentours de 10h. J’ai trouvé maman assise devant la télé.


Moi : assalame aleykoum.

Maman : Waleykoum salam ! Comment tu vas ?

Moi : bien et toi ? 

Maman : je rends grâce à Dieu. Mais tu t’es réveillée tôt aujourd’hui.

Moi : j’ai invité Boubah et Mounas à déjeuner c’est à cause de ça.

Maman : ok ! Moi je compte aller rendre visite à ton père aujourd’hui.

Moi : je l’ai eu au téléphone hier.

Maman (mine triste) : j’espère qu’il me pardonnera parce que je souffre vraiment.

Moi : papa n’est pas méchant. Quoi qui ait pu se passer entre vous, il craint trop Dieu pour t’en vouloir éternellement.

Maman : que Dieu me pardonne parce que je lui ai vraiment fais du mal.

Moi : je prierais pour votre réconciliation.


Je l’ai laissé au salon pour aller dans la cuisine et apprêter la table du petit déjeuner.


J’ai profité par la suite d’un petit moment de répit pour rappeler Karim.


Il a décroché à la deuxième sonnerie.


Karim : Allo ?

Moi : comment tu vas ?

Karim : je vais bien et toi ?

Moi : Al hamdoulilah. Excuse-moi mais j’ai vu ton appel en retard.

Karim : ce n’est pas grave. J’espère que tu vas bien.

Moi : je rends grâce à Dieu et de ton côté ?

Karim : mis à part le fait que maman est entrain de me brancher à une jeune fille, ça va.

Moi : il est grand temps que tu te marie déjà.

Karim : je ferais en sorte que tu la connaisses. Si tu me donnes le feu vert, je le ferais sans hésiter.

Moi (rigolant) : c’est vraiment trop d’honneur pour moi mais il n’y a pas de problème.

Karim : si tu valides je sais que ce sera une bonne femme pour moi.

Moi : marché conclu alors. J’espère que je serais simplement l’homonyme de ta première fille.

Karim : je le ferais avec joie.

Moi : ok !

Karim : en fait je t’appelais pour te parler d’un truc.

Moi : rien de grave j’espère.

Karim : crois moi que j’ai même honte de te le dire mais je n’ai pas de choix. Awa et moi viendrons aujourd’hui chez toi pour qu’elle te présente ses excuses.


J’avoue que je ne m’y attendais vraiment pas.


Moi : et pourquoi ? Qu’à t elle fait ?

Karim : je sais que tu es au courant. J’ai même honte du lien qui m’unit à elle.

Moi : n’importe qui fait des erreurs.

Karim : mais elle est allée trop loin Fatima. Si tu ne lui pardonnes pas, je crains pour elle qu’elle soit malheureuse dans sa vie parce que tu sais pertinemment qu’elle le paiera.

Moi : je vous attendrais alors. Aujourd’hui j’ai invité Boubah et Mounas à déjeuner. J’espère que tu viendras.

Karim : j’aurais bien aimé mais il me reste encore quelques trucs à régler avec elle. Je passerais ce soir aux alentours de 20h inch Allah.

Moi : ok ! Que Dieu nous assiste.

Karim : Amine !


Vraiment Ibrahim me dépasse. Comment peut-il se comporter ainsi ? J’espère vraiment que Karim lui pardonnera. Quand une personne de bon cœur est blessée c’est très difficile de lui faire entendre raison. Que Dieu aide mon mari à obtenir son pardon.




Mère Halima



A un certains moment de notre vie, il faut savoir prendre du recul et peser le pour et le contre. Faire en sorte quoi que ça nous coûte de nous éloigner du mauvais chemin et persister dans le droit chemin.


Que n’ai-je pas fait dans mon passé Dieu de miséricorde ? J’ai forniqué, mentis, manipuler et commis l’adultère par simple insouciance. Que ne donnerais je pas pour effacer cela ?


J’ai tellement versé des larmes à cause de ce que j’ai fais que je ne sais plus où me mettre. J’arrive même à demander à mon âme : péché t as t il mené à quelque chose si ce n’est t’attiré la colère de ton créateur ?


Que trouvons nous de bon à vivre là dedans ? Avons-nous la paix du cœur en sachant qu’on désobéi au tout puissant ?


Pourtant il nous a lui-même interdit telle chose et accorder telle chose. Pourquoi nous précipitons nous dans le vice ?


Voilà ce qui ce passe maintenant dans ma vie. J’ai commis des erreurs que je regrette énormément. Dieu m’a  t il pardonner ? Je ne sais pas.


Tout ce que je sais c’est que si je pouvais revenir en arrière, j’allais éviter plusieurs choses. Que Dieu me pardonne pour mes péchés. Qu’il me guide vers le droit chemin et renforce ma crainte.


Il n’est pas trop tard pour se sortir la tête de l’eau. Il suffit juste de regretter nos erreurs et avoir envie de devenir quelqu’un de meilleur.


Pour pouvoir éviter de vivre dans le péché, il faut se rappeler à quel point Dieu est dur en châtiment. Il faut se rappeler à tous moment que la vie est éphémère et que la mort peut survenir à n’importe quel moment.


Il est là ! Il nous voit ! Il nous écoute ! Il sait mieux que quiconque ce qui ce passe dans notre cœur. Lorsqu’on est triste, il le sait.


Lorsqu’on a envie de se repentir, il le sait. Ça me rappelle un hadith que j’avais lu qui disait « lavez vos yeux par les larmes du repentir »


Dieu aide toujours ceux qui lui font confiance. Il ne nous oublie jamais. Il répond toujours à notre demande. Qu’il nous pardonne pour nos péchés « Amine ».


Je suis actuellement devant la maison familiale de mon mari. Si j’ai choisis cette heure c’est parce que je sais que toute la famille est réunis.


Je compte lui demander pardon devant tous le monde. J’ai fauté et j’espère vraiment qu’il me pardonnera et comprendra comment est grande ma peine.


On ne m’a jamais aimé dans cette belle famille mais comme j’avais un tempérament très chaud, je ne m’en formalisais pas bien au contraire.


Je ne manquais jamais de respect et je faisais tout pour que mon mari soit content de moi. N’est ce pas à ces pieds que repose mon paradis ? 


Pourquoi devrais je me formaliser si sa mère ne m’aime pas au lieu que je ne lui ai rien fait ? Je crois que la vie est bien trop compliqué pour pouvoir s’attarder sur ce genre de chose.


J’ai trouvé certains de ces neveux dans la cours et quelques unes des femmes de son père entrain de préparer.


Moi : ASSalam Aleykoum

Tous (en chœur) : Waleykoum salam.

Mère Binta : comment vas-tu ma fille ? Ça fait longtemps qu’on ne t’as pas vu par ici.

Moi : je rends grâce à Dieu et papa ?

Mère Binta : il va bien Dieu merci.


Avant que je ne réponde, c’est ma belle mère que j’ai vu sortir du salon, tenant à sa main un tabouret. J’ai accouru pour l’aider avant de l’installer sous le manguier.


Belle mère (ton sec) : tu te rappelles qu’on existe déjà ?

Moi : je ne vous ai jamais oubliés. Je suis juste occupé avec Fatima. Vous savez qu’elle était malade récemment.

Belle mère : ta fille ne vient jamais nous voir. Mais je sais de qui elle tient ça.


Malgré son âge bien avancé, elle a toujours la langue bien tendue. J’espère qu’elle saura se purifié de ses péchés avant sa mort.


****


J’ai passé toute l’après midi à aider une des femmes de mon beau père en cuisine. Elle, elle m’a toujours apprécié depuis que je me suis mariée et on s’entend très bien.


Lorsqu’on a dit à Lamarane que j’étais là, il ne m’a même pas saluée. Je sais que tous le monde se demande ici ce qui ce passe et je crois que le moment est venu pour moi de tout déballer.


Comme à l’accoutume, toute la famille est dehors entrain de prendre le thé. Après le déjeuner, ils se réunissent toujours ensemble. Entre les cris des enfants et les bavardages des femmes, c’est cette ambiance qui y règne.


Mon mari était aux côtés de son père entrain de lire le coran. Lorsque je me suis rapproché d’eux, mon beau père m’a gratifié d’un sourire.


Beau papa : malgré les années qui passent, tu es toujours aussi belle.

Moi : merci beaucoup.

Beau papa (rigolant) : comment va ma femme ? Dis à Ibrahim que jamais il ne me l’arrachera. Je l’ai au creux de ma main. D’ailleurs c’est même pour elle que je fais tous le temps le chapelet.

Moi (rigolant) : elle n’ose pas vous tromper et je le dirais à Ibrahim.

Beau papa : en tout cas ce sont les vieilles  marmites qui font de bonne sauce.


Un silence s’est installé avant que je ne le romps.


Moi : papa, je ne suis pas venue pour rien.

Beau papa : c’est la paix j’espère.

Moi : rien que la paix papa.

Beau papa : quel bon vent t’emmène ?


Lamarane qui ne me regardait même pas à posé ses yeux sur moi. Si je n’avais pas peur de mourir avec ce poids sur la conscience, j’allais me défiler.


Moi : j’aimerais parler devant tous le monde svp.


Il a semblé surpris mais il n’a pas riposté. Il a demandé à toutes ces femmes de se réunir autour de nous.


Que Dieu me facilite ce que je m’apprête à faire.


Je me suis approchée de mon mari avant de m’agenouiller à ses pieds.


Moi (baissant la tête) : que ne donnerais je pas pour que tu me pardonnes ce que j’ai fait ? Je ne me rendais pas compte de la chance que j’avais d’être l’épouse d’un homme comme toi. Tu m’as toujours soutenu malgré que les gens parlaient mal de moi. Tu as toujours séchés mes larmes lorsque je pleurais. Tu t’es montré patient. Tu m’as aidé à surmonter les problèmes et le plus important, tu as fait de moi la femme que je suis aujourd’hui. Qu’ai-je gagné à te faire souffrir ou te mentir ? Qu’est ce que je gagne à mériter ton dédain ? Je te demande de me pardonner pour ce que j’ai fais. Depuis que tu as quitté la maison, je ne vie plus. Tu t’en es allé avec une partie de moi. Je nage dans le brouillard et je ne retrouverais la vue qu’en te sachant à côté de moi. Je m’attendais à ce que tu me répudies mais tu m’as montré une fois de plus à quel point tu es un homme bon. Jamais en plus de vingt ans de mariage tu ne m’as mal parlé bien au contraire. Lorsque je piquais mes crises, tu te montrais patient. Même quand j’avais tort, tu t’excusais. Qu’ai-je gagné à m’attirer ta haine ? Rien du tout. Chaque jour je prie pour que tu me pardonnes. Chaque jour je demande à Dieu qu’il te ramène à moi. Je suis venue te demander pardon devant tous le monde. Je t’en supplie Lamarane, reviens à la maison.


Au Début je m’étais juré de ne pas pleurer mais je n’ai pas pu retenir mes larmes. Je m’en fiche de ce que les gens se disent ou pensent.


C’est mon mari que je suis venue chercher et je ferais tout pour qu’il me revienne. Je l’aime trop. Je ne peux pas perdre une personne comme lui.


Malheureusement pour moi il n’a rien dit. Il me regardait simplement. Malgré les larmes dans les yeux, je distinguais toujours ce regard rempli de dédain.


Beau papa : jamais de toute ma vie je n’ai assisté à ce genre de chose. Je ne sais pas ce qui ce passe entre vous et je ne compte pas me mêler de vos affaires. Vous êtes grands. A cet âge, on devrait plus penser à notre vie dans l’au-delà qu’aux choses mondaines. Cependant je connais mon fils. S’il est venu vivre ici c’est que tu as du lui faire quelque chose de grave. Mais comme je t’ai dit, c’est entre vous. S’il décide de te pardonner, c’est entre vous aussi.


Je devrais normalement avoir honte mais je ne ressens pas cela. Je veux simplement qu’il me revienne et qu’il se rende compte à quel point je m’en veux d’avoir eu à le tromper.


Beau papa (s’adressant à lui) : que répond tu face à ça ?

Belle mère : aujourd’hui l’acte qu’elle a posé m’a montré qu’elle tient vraiment à toi. J’ai toujours cru qu’elle ne t’aimait pas mais une femme amoureuse surtout à son âge ne peut pas se rabaisser de la sorte sans ressentir quelque chose. Je suis ta mère et je te demande quoi qu’elle ait pu te faire pardonne lui et renouer. Comme ton père a dit, on est plus à ce temps là. Ça c’est une situation que devrais vivre des jeunes pas des gens de la cinquantaine comme vous. Mon fils, pardonne lui et remets tout entre les mains de Dieu.


Je ne m’attendais vraiment pas à ce qu’elle prenne mon parti.


Beau papa : relève-toi Halima. Ce n’est pas bon pour toi de rester comme ça.

Moi (pleurant) : papa, il faut qu’il me pardonne. S’il faut que je reste comme ça jusqu’à demain je le ferais. Dites lui de me pardonner.

Lamarane : relève-toi !


J’ai cru rêvé lorsqu’il s’est adressé à moi.


Il m’a tenu les mains jusqu’à ce que je sois debout en face de lui.


Lamarane : prends tes bagages et reviens ce soir. On vivra désormais ici.


J’aurais pu être heureuse si j’étais sûre qu’il m’avait pardonné mais je ne crois pas que ce soit le cas. Il l’a simplement fait par respect pour ses parents. Que le bon Dieu m’aide…………….


Ps : Likez ! Commentez ! Partagez ! Il ne reste plus que deux chapitres avant de clôturer. Je m’excuse énormément de n’avoir pas pu publier hier et de n’avoir pas pu vendre aussi. C’était simplement un contre temps. Je vous fais signe tout à l’heure pour la vente du livre.

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