VENGEANCE VS AMOUR : page 5

(-18 ANS SVP PASSEZ LOL) 

*Retour de Flamme.

JAMILA 

Seigneur que je suis fatiguée. Aujourd’hui j’ai fait la cuisine et le ménage de toute ma maison. J’ai donné la journée à la servante, Maxime avait voulu que j’ai plus de servante, vu la grandeur de la maison, mais bon nous ne sommes que deux et ces gardes qui ne reste pas tous ici donc pourquoi avoir plus d’employés, en plus je suis une femme donc j’aide la femme de ménage et ça va . 

Bon je vais m’asseoir en chambre, je suis tombée sur un lot de CD ça doit appartenir à Maxime cela, bon je vais les visionner voir, je m’ennui et depuis M. n’est pas encore rentré. 

Moi : (décrochant mon téléphone) Marysa on dit quoi ? 

Elle : (toute heureuse) ça va, tu es seule ? Il y’a Kevin qui voudrait te dire bonsoir

Moi : ok sans soucis 

Je parlais donc avec ce beau Kevin qui avait rendu ma sœur amoureuse et oui, elle était tout le temps avec lui. Ils sont tous les deux dans mon entreprise et travaille sur les élections présidentielles qui débutent bientôt. Ils ne travaillent pas directement avec moi mais indirectement. Leur supérieur hiérarchique reste M. Assi Andy. Celui-là, il reste juste poli avec moi et m’évite un peu je dois dire depuis la dernière fois. Mais c’est juste que je n’aime pas que l’on parle de ma vie de couple sans me connaitre. Bon à part ça c’est un bon journaliste et animateur. Il est vraiment ami avec ma petite sœur et son mec, ce qui attire la jalousie de Julie qui se met plus en valeur depuis l’arrivée de cet homme. 

Bon revenons à mon cher beau-frère comme vous le devinez il est de peau claire, il est beau et intelligent. Il arrive à faire plaisir à ma sœur et vis déjà chez lui, ces deux parents vivent en France et lui il a voulu venir dans son pays pour continuer ces cours. Il est venue dans l’entreprise sous recommandation  d’une grande école et espère y décroché un stage comme ma sœur. Ils sont si beaux ensemble et se ressemble tant…..

Je regarde le premier CD et je vois que c’est notre cérémonie de mariage. Je suis si contente, moi qui pensais qu’il ne gardait plus ce genre de choses. Pourtant si, ils les gardent. Je me rappelle de ce jour, Majid avait réussi à venir me retrouver et grâce à la maligne de Marysa nous avons pu parler seuls à seuls. Il me demandait juste de ne pas épouser Maxime et qu’il divorcera pour moi.  Mais je ne pouvais, il s’humilia, s’agenouilla, m’implorant, mais je devais prendre Maxime. Car j’avais peur que rien ne soit plus comme avant si je l’acceptais en plus il avait un petit garçon qui m’aimait certes mais est-ce que j’étais vraiment prête à être mère ? Allait-il m’accepter comme maman un jour ? Trop de questions qui ne trouveront jamais de réponses. 

Je finis de visionner la vidéo et met un second CD pour voir ce que c’est. Je vois sur ce CD qui passe actuellement  mon mari qui se fait vraiment plaisir avec Neslie. 

Je n’y croyais pas mes yeux, elle tenait son sexe en main le léchait avec une telle sensualité que l’on aurait dit une experte, elle mettait presque tout son membre de black dans sa bouche et le fixait et lui hurlait de plaisir. Et pendant cet acte elle se faisait plaisir elle avec ces doigts, un moment il déchira son haut et la mise sur une table, je pu reconnaitre sa table de bureau à son service. Il écarta ces pieds, elle se cambra et il commençait à lui faire l’amour avec une telle force mais celle-ci malgré ces gémissements souriait toujours. 

Puis elle descendit et se mit à quatre pattes et il versa toute sa semence sur elle.  Puis après il vient l’embrasser avec une telle force, mais elle ne faisait que sourire à la caméra comme si elle savait qu’il y’avait une caméra. Je n’eus digérer cela qu’une deuxième vidéo sorti et je vis mon homme soulever cette fille et la mettre sur le lit conjugal dans lequel j’étais assisse. Il lui lécha d’abord ces seins et commença à faire entrer son majeur en elle,  tandis qu’elle le caressait en le déshabillant, il alla vers son intimité et elle se cambra tout en s’appuyant fortement les seins et lui disant « plus vite MAX » avec une de ces voix. Ensuite elle passa tête vers le bord du lit et se mis à lui faire une autre fellation digne d’une experte. Et il lui disait « grosse Jamila ne t’arrive pas à la cheville  » et  en grognait et jouissant il dit « même pas tu es ma meilleure, la meilleure, regarde tu me faire jouir au second tour avec ta belle et délicieuse langue » puis elle lui sourit et se remis sur lui pour commencer à le chevaucher. 

Seigneur, pourquoi l’avoir fait ici ? Sur mon lit, notre lit conjugal ? Pourquoi ? Et c’est vrai que cette femme est vraiment mieux que moi au lit ? Mais il pouvait continuer à se la taper ailleurs mais pas ici, moi je n’ai jamais connu la maison de Majid, il vivait au Ghana et je n’y est jamais mis les pieds malgré qu’il m’y a invité plusieurs fois. Mais jamais. 

Lui : (rentrant avec force)  je peux savoir pourquoi tu n’es pas en bas à m’attendre ? 

Moi : (le regardant avec dégout)…..

Lui : (voix hautaine) tu as perdu la parole ? Ton poids te fait des tours ? (voyant ce que je regardais)  mais tu es folle ? (arrêtant le film) tu es idiote ou quoi ? Pourquoi fouines-tu dans mes affaires ? ca ne te va pas ? 

Moi : (dépassée) je rangeais et j’ai vu ca, je croyais que je pouvais regarder ce que mon homme regardait 

Lui : (me stoppant avec sa main) oh arrête avec tes discours de victime, ne touche pas mes affaires, tu me vois fouiller dans tes gros habits ? (haussant le ton)  

Moi : c’est tout ce que tu trouves à me dire ? (vexée) 

Lui : (s’emportant) que veux-tu que je te dise ? Oui je me suis taper Neslie, et alors tu as aussi été ce genre de femmes là non ? Donc laisse tomber ce discours de victime 

Moi : (voix tremblante) pourquoi Maxime ? 

Lui : (haussant le ton avec un regard méprisant) parce que tu ne me donnes plus du tout envie, au lieu de visionner cela tu devrais plutôt aller voir des films pornos pour grosses dans ton genre. Tu es là à te plaindre de quoi au juste ? N’a tu pas  été le cauchemar d’une femme marié et son fils pendant longtemps, toi juste quelques semaines et en plus sans enfant et tu veux mourir ? 

Moi : (voix tremblante) c’est pour cela qu’elle était là donc ? 

Lui : c’est une femme raffinée tu crois qu’elle viendra ici  juste pour du sexe, elle peut en avoir à tout moment elle était là pour une grosse affaire et on a juste succombée à la tentation. 

Moi : (coulant des larmes) je souffre seule parce que tu n’as jamais voulu que j’ai des enfants de toi 

Lui : (s’emportant) mon premier né devait être un homme pour montrer à mes amis puissants que je suis un vrai homme et en plus l’enfant n’est peut-être pas resté car tu as été une maitresse, ces rares que ce genre de personnes aient des enfants, un foyer même c’est rare donc remercie moi 

C’en était de trop, je prie mes jambes et je courus je sortis de la maison et ordonna au vigile de m’ouvrir le grand portail.  Je courrais ne sachant où aller, chez Marysa impossible elle n’y était  pas et en plus elle allait s’inquiéter pour moi. Je marchais donc toute seule et j’arrivais à la boulangerie du quartier, je m’assis quelques minutes, le serveur vient me demander si je voulais quelque chose, je voulus dire oui lorsque je me rappelai que j’étais sortie sans rien, je m’excusai et me levait donc pour rentrée 

Lui : (se mettant devant moi et parlant au serveur) servez-lui ce qu’elle désire

Je levais les yeux pour voir la personne et je tombais sur Andy 

Moi : oh vous ? 

Lui : (s’asseyant) oui moi, alors vous allez bien ? 

Moi : (essayant d’arranger mon visage) euh, oui un peu 

Lui : apportez-moi un capuccino et une glace pour la dame 

Moi : merci

Lui : vous savez je m’excuse l’autre fois d’avoir parlé de votre vie sans vous connaitre, je voulais juste détendre l’atmosphère. Mais là présentement vous avez l’air mal, alors dites-moi tout va bien ? 

Moi : (baissant la tête) oui, oui

Lui : (inquiet)  c’est Marysa ? Vous pouvez tout me dire, je serai bouche cousue

Moi : vraiment tout ? 

Lui : promis 

Moi : (le regardant)  emmenez-moi boire un truc vraiment fort je vous en prie. Emmenez dans un lieu où on ne juge personne et on accepte tout le monde malgré ces défauts, ces imperfections  et ces erreurs passés. 

Il se leva partir vers le serveur, lui remis de l’argent et me pris la main 

Lui : nous pouvons y aller 

Je le suivais et montais dans sa voiture, il roula et j’entendis une musique à la radio. Une musique qu’il fredonnait bien : c’était celle de Rihanna et Dake sur Take care. Il chanta et me sourit : je répondis juste lorsque la partie de Rihana arrivait et disait : «  I loved and I lost. »

Il conduit encore un peu et il gara puis me dit de descendre. Je ne comprenais rien, nous étions en plein air, et en face de nous il y avait la mer. Il prit ma main et m’emmena vers l’eau. Je résistais un peu et il me dit : 

Lui : (souriant) vous voulez un truc fort non ? 

Moi : oui mais je pensais à l’alcool

Lui : (sourire en coin) se mettre les pieds dans de l’eau si glacée en pleine nuit croyez-moi, c’est aussi un truc fort. Etre assis et sentir ce vent si frais et pur passez c’est un truc fort. Mais allez se saoulez non, ce n’est rien de fort mais plutôt dégradant. 

Il prit ma main et mis mes pieds dans l’eau. Il me tenait par la taille et me demanda de fermer mes yeux et de penser, de me libéré face à  cette mer en face de moi. Je commençais à penser et me rappeler de toutes ces mauvaises choses que mon mari me faisait, et je laissai mes larmes couler silencieusement, puis il me dit : 

«  Pense à toi et dit toi que malgré tout si toi tu t’aimes comme tu es le reste n’est que bêtises. »

 Oui, il avait raison, je commençais à me rappeler ma vie avant ce mariage et franchement elle n’était pas rose mais était meilleure. Je souriais même.  Et au moment où j’ouvris les yeux il était là devant moi, je le regardais et lui dit :

Moi : merci, vous m’avez empêché une folie cette nuit 

Lui : derien, c’est mon devoir envers ma copine 

Moi : votre copine ? (ne comprenant pas) 

Lui : oui Marysa 

Moi : ah oui (me rappelant que les deux aimaient bien s’appeler ainsi) 

Il mit sa main  dans l’eau et versa un peu sur mon visage, je me raidis et le fixa. Il vient s’excuser vu ma mine et là je le poussa dans l’eau. Il se mit à rire, je le fuyais même pour éviter qu’il me trempe d’eau.  On s’amusa ainsi pendant au moins quelques minutes et on s’assit dans le sable 

Moi : (regardant l’eau) c’est vraiment beau ici 

Lui : oui, c’est mon havre de paix (souriant) 

Moi : tu ne bois pas l’alcool ? 

Lui : (souriant)  avec modération mais je ne la prends pas comme remède à la douleur 

Moi : hum, il y’a des douleurs que l’on veut vite oublier 

Lui : un souci au foyer ?

Moi : oui des soucis 

Lui : (sérieux)  tu sais je ne suis pas encore marié mais ce que je pense être la base dans un foyer reste la communication. Tu dois parler avec ton mari, hurler même si tu veux mais ne garde rien en toi, ce n’est pas bon cela 

Moi : (répondant automatiquement)  plus facile à dire qu’à faire 

Lui : essaye toujours, il commence à se faire tard, rentrons  il doit être inquiet 

Hummm s’il savait. Il conduisait et on retournait dans mon quartier. Je lui demandais de me laisser à un carrefour pas très loin de ma maison. 

Moi : merci pour tout Andy 

Lui : je t’en prie, suis mes conseils tu verras

Moi : oui, s’il te plait ne dis rien à ta copine 

Lui : et à personne d’autres ne t’en fais pas (me faisant un clin d’œil)  

Je partis et je rentrai à la maison espérant trouver Maxime sortit ou endormie. Mais non il était au téléphone en train d’hurler en disant 

Lui : (criant) je vous dis que depuis près de deux heures elle est sortie sans rien. Ils ont fait le tour du quartier mais rien (me voyant) ca va elle est là, merci. (Raccrochant et venant vers mii) je peux savoir où tu étais ?  J’ai eu la peur de ma vie 

Moi : (petite voix)  je suis là maintenant, j’attends des injures et des critiques 

Lui : j’ai eu peur et c’est ce que tu trouves à dire (haussant le ton) 

Moi : maxime je suis là et si tu veux  me crier dessus vas-y, c’est ton droit. Ou sinon  je vais aller dormir dans la quatrième chambre tout en espérant que tu n’y as pas tourné un autre film tes hot 

Je le dépassais et partis vers l’autre chambre et il attrapa ma main 

Lui : (ton bizarre) sache une chose, personne ne pourra t’aimer et te supporté comme moi. Certes j’ai baisé Neslie et pleins d’autres, mais tu es ma femme et je suis ton mari, et personne ne peut faire plus que moi pour toi. 

Excuse ? Menace ? Je n’en sais rien, je voulais juste dormir. 

Moi : (continuant ma route) a demain Maxime 

ANDY ASSI 

Je retournais chez moi assez fier d’avoir pu aider Jamila, une femme vraiment très douce. Elle devait vraiment être énervée pour vouloir ainsi se saouler la gueule. Je n’aime pas lorsque les femmes boivent et deviennent ivres donc j’ai préféré l’emmener ailleurs plutôt que dans un bar. Et ça me fait plaisir que tout ce soit bien passé.

J’espère vraiment qu’avec son mari tout s’arrangera, Si elle n’était pas déjà mariée, volontiers que je lui aurais fait la cour, car le destin nous a réuni plusieurs fois de lui-même, mais bon elle est mariée, et je ne me vois pas pour ce genre d’aventures. 

Sa sœur est sa jumelle, elle se ressemble tant, mais elle est si différente d’elle dans le comportement, car contrairement à Jamila qui ne parle  pas au travail et accepte tout, sa sœur elle-même en tant que stagiaire sait s’affirmer et est très réactive. Ca me plait qu’elle soit avec ce jeune stagiaire aussi, il est bien.  

Bon moi, je suis là seul dans mon appartement de célibataire, prêt à faire ma prière de la nuit et à m’endormir. Je suis célibataire depuis le jour où j’ai eu mon retour de flamme, pour un retour s’en était un. J’ai eu tendances à être avec les filles sans vraiment les aimer, mais bon vous savez ce que c’est lorsque presque toutes les filles vous désirent et vous font des éloges tant sur votre beauté et votre physique, donc comme ça je m’amusais un peu avec les filles. 

J’en avais de toutes sortes et puis bof après je rompais avec elles. Elles en souffraient et déliraient même mais bon, que dire j’étais jeune et cette jeunesse était loin d’une jeunesse chrétienne qui m’aurait évité bien de choses.  Et puis lorsque j’ai connu le seigneur, je me suis un peu rangé, et c’est là-bas que j’ai connu une fille Clémence. 

Hortense était vraiment splendide, et si douce, elle était plus croyante que moi à la voir. On se fréquentait et on commença à sortir ensemble, je l’aimais et ne jurai que par elle. Je l’ai vraiment aimé, elle venait chez moi et me cuisinait à manger puis repartait chez  elle je ne voulais rien presser. Tout allait se faire naturellement, j’aurais voulu attendre jusqu’au mariage mais elle disait vouloir savoir si j’étais comment dire efficace en bas. Donc une nuit de Noel on fit l’amour de manière très sensuelle. 

FLASHBACK 

Je lui offris pour ce réveillon un cadeau bien emballé, c’était le dernier téléphone dont elle rêvait depuis peu. Elle me sauta au cou et m’embrassa. Elle promit me donner mon cadeau après, moi tant qu’elle était à mes côtés, le reste m’importait peu. Nous partions donc nous couchés lorsque Clémence entra dans la chambre vêtue d’une belle nuisette rouge très transparente et un très minime string rouge et pour ces beaux seins encore arrêtés elle ne porta rien même pas un soutien. Elle vient vers moi  avec une telle démarche que l’on aurait dit un mannequin Angels de chez Victoria Secret. 

Je la regardais s’avancer vers moi, me pousser sur le lit et me fixer droit dans les yeux en me disant 

« Joyeux noël chéri. »  

Je voulus l’arrêter mais je vous jure que l’Hortense qui était au-dessus de moi n’avait rien avoir avec l’Hortense chrétienne que je connaissais. Elle continua à me caresser d’abord la nuque ensuite le cou et descendit jusqu’à mes tétons que je ne savais pas zone érogène jusqu’ici. Elle avait une de ces sensualités et une de ces manières d’embrasser chaque petite partie de mon corps que je me laissa tomber complètement perdue dans le désir sur le lit la laissant ainsi libre maitre de mon corps. Elle continua et descendant jusqu’à mon membre qui réagissait depuis longtemps lorsqu’elle avait entrepris ces caresses.  

Elle changea de position et me fixa droit dans les yeux en commençant à déposer de petits baisers sur mon membre et ensuite elle enfonça petit à petit avec chaque coup de langue aussi diffèrent que délicieux les uns des autres tout mon sexe dans sa bouche. Oh je perdais la tête, elle me fit l’amour de façon oral ce jour-là avec une telle sensualité et propreté que je me demandais ou avais t’elle apprit à sucer ? Je ne tardais point à jouir. Et je voulus lui rendre l’appareil donc on entreprit la position 69 mais là encore j’avoue elle me domina et voulus elle-même me chevaucher jusqu’à ce qu’ensemble nous allons au 7ème ciel et redescendons sur terre. 

Apres cette nuit, elle resta toujours la même Hortense, pieuse que j’avais rencontrée avec moi. Mais moi je la voulais pour moi dès ce jour donc j’appelais mes oncles paternels pour qu’ils viennent m’accompagner afin que je demande sa main. Je lui en est parler et elle m’a dit juste Ok. 

En début du mois de Février mon oncle m’appela pour me dire que tout était prêt afin qu’ils viennent me voir et m’accompagner pour le mariage coutumier. J’en étais ravi, le 14 février donc je pris un bouquet de fleurs rouges et une bague très belle  bague pour ma future femme. Je voulais lui faire ma demande et  ensuite on attendra mes oncles pour les formalités.  J’arrivais chez moi ou elle m’attendait et je fus surpris d’entendre des  gémissements dans le couloir, lorsque j’avançais je reconnus ma femme, bon future femme qui gémissait sous les jeux de reins non pas d’un mais de deux mecs, putain on aurait dit un film X et le comble elle gémissait de plaisir, tantôt un la léchait et elle suçait un autre vice versa ou alors elle faisait l’amour avec un et l’autre lui mettait son sexe en bouche ou lui suçait les tétons ou alors les deux je vous dit bien les deux. 

Après  avoir fini de lui faire un cunnilingus, ils  la prenaient en même temps et elle en était vraiment fier elle les priait même de continuer. Ma future femme en double pénétration. Je n’y croyais pas et je ne comprenais pas qu’une femme digne de ce nom puisse vouloir ou aimer la sodomie, je ne n’aimais pas cette pratique sexuelle et n’en pratiquait pas ca me rappelait trop un animal. Je la regardais jouir et faire jouir dans ces deux trous ces deux mecs. Elle me fixa et elle me sourit avec aise. 

J’étais vraiment choquée, elle demanda donc aux mecs de se retirer, je n’avais même pas la force de faire des histoires, elle me dépassa et alla se doucher, je la suivis 

Moi : Hortense tu vas bien ? (me disant qu’un truc n’allait pas bien) 

Elle : (chantant) oui et toi ? Tu as aimé ce spectacle ? 

Moi : c’est quoi ça Hortense ? C’est ton fantasme ? 

Elle : (souriant) peut-être bien 

Je la laissais là et sortie pour éviter de faire une bourde. Je ne comprenais moi-même pas ma  réaction peut-être le choc. Je m’assis sur le lit et je commençais à repenser à ma vie et à Hortense, pas celle que je venais de voir mais celle que j’ai connu à l’église, peut-être que c’est un de ces vices. Je dois l’aider. Lorsqu’elle sortit, j’ai vu qu’elle avait changé de mine sa joie de tout à l’heure avait disparue, elle rangea ces affaires, peut-être elle regretta son geste et avait honte. Au moment où elle voulut partir je l’attrapai et lui dis 

Moi : j’ai mal et c’est dur mais s’il y’a une chose que je sais c’est que je t’aime et que je veux t’aider à quitter ce monde de perdition, ça sera dur mais je serai là

Elle : (souriant) retour de flamme 

Moi : pardon ? 

Elle : ce n’est pas un monde de perdition, c’est mon monde, celui dans lequel je me sens bien et femme. J’adore baiser et me faire enculer soit par deux ou trois mecs, cette vie de perdition c’est ma vie et ce sont mes fantasmes, j’en ai plusieurs mais désolé tu n’as pu voir qu’un seul et merci car tu as pu m’en offrir un. Car oui j’aime baiser tout en sachant que l’on me regarde, j’envisage même de me lancer dans la pornographie au moins je serais payé pour ce que j’aime. 

Moi : (surpris) mais pourquoi ? 

Elle : (criant) pourquoi quoi ? Pourquoi toi ? Parce que tu méritais ce retour de flamme là.  (Souriant) Tu sortais avec une certaine Tatiana et bien figure toi que c’était ma sœur et elle ne jurait que par toi. Puis toi tu lui as brisé le cœur en la trompant mais pire en la larguant. Elle t’aimait tant qu’elle s’est ouvert les veines et a failli mourir. Elle a fait longue dépression et a dû quitter le pays. 

Je me rappelais de cette belle brune si innocente, oui car j’ai été son premier. Elle m’aimait vraiment mais bof, j’étais jeune. 

Elle : c’est ainsi que lorsque je suis rentré d’Espagne ou je suivais mes cours j’ai eu une seule idée de faire payer cela et voici ca. Maintenant bonne chance pour le reste je pars. (Sortant en chantant) 

Je n’y croyais pas, tout ceci était donc une simple vengeance. Elle était juste ainsi rien que pour venger sa sœur. J’ai failli mourir car je l’aimais vraiment. Et puis après je m’en suis remis, elle est retournée dans son pays même et depuis je me méfie des femmes car j’ai peur que ce ne soit un autre retour de flamme. 

Lorsque j’ai vu Jamila son joli petit visage m’a interpellé, en plus je venais de rentrer des USA, ici personne ne pouvait me faire de mal, donc j’eus envie de me lancer mais hélas elle dévisageait tant cette nuisette ce qui m’a fait comprendre qu’elle était engagé et pire encore marié. J’ai donc décidé de l’oublier. 

FIN DU FLASBACK

C’est la sonnerie de message qui me fait revenir sur terre, c’est un mail de Franck (le boss), il veut que l’on fasse une réunion demain sur les élections présidentielles qui débuteront bientôt. Bon je vais dodo afin d’être en forme pour demain. J’espère vraiment pour Jamila  que tout va bien avec son époux et qu’elle a pu arranger les choses. Je vois un autre message espérant pour je ne sais quelle raison que ce soit Jamila, je tombe sur une photo à moitié nue  de Julie, Boff cette fille exagère avec ces photos et vidéos presque  nue. Comment lui faire comprendre qu’elle ne me dit rien ? 

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