REVELATION

Write by Sandra Williams

Je sortis sans placer un seul mot de plus, le laissant là debout comme un statu, figé sur place. Je redoutais notre rencontre et j’avais bien raison. Mon père ne descendra jamais de son piédestal et moi je ne compte pas une fois encore assister à la petite chose sui reste de notre famille. Il me parle de prendre mes responsabilités. D’abord il me déshérite et laisse sombrer dans l’obscurité et le vice et maintenant il réapparait du jour au lendemain pour faire de moi l’héritier de ses fortunes parce que sa préférée est mourante. Qu’est-ce que je d’teste cet homme et sa fille. Comment l’argent peut-il posséder un homme à ce point. Diane est peut-être mourante mais je suis sûr et certain qu’elle prépare encore un autre coup en complicité avec mon père. Je brûle tellement d’envie de leur faire payer pour leur méchanceté dévastatrice mais je ne peux y arriver sans m’approcher d’eux. Et faire semblant de les supporter m’est impossible dans l’immédiat.

Il me fallut une trentaine de minutes pour rentrer. Ce qui prouvait que j’avais violé par mal de code de la route. Louise n’était pas encore rentrée et ça m’arrangeait bien. Je n’avais envie de voir personne. Je m’enferme dans ma chambre. Je prends une douche. Ensuite je reviens au salon m’allonger dans le canapé. Soudain, je sens un parfum qui m’est très familier. Pourtant ce n’est pas celui de Louise ni le mien. C’est le même que celui que j’ai senti hier à la boutique. Bien sûr ! c’est le parfum d’Angéla. C’est celui qu’elle portait hier. Quelle douce sensation de paix, de calme et d’amour. Tout ça en un. Je me revis l’embrasser hier tendrement. Le contact avec ses lèvres maintenant que j’y pense était apocalyptique. Ses lèvres sont tellement délicieuses et si obéissantes. Sa peau si douce, si noire, si lisse me faisait perdre le contrôle. Le premier jour que je l’avais vu je ne m’étais pas imaginé me faire prendre à son piège. Je me sentais à présent calme. Ce moment de tourment avec ma famille disparu m’emprisonnant dans le gite d’Angela. Je m’endormis en pensant à elle, bercé par la chaleur que dégageait en moi chacun des contacts que j’avais eu avec elle. Est-ce un moment d’égarement de ma part ? de l’amour ? du désir ? de l’idiotie ? je ne savais pas. Mais ce qui était certain c’est que depuis peu quand je repense à elle mon pantalon ne cesse de gonfler. Et ce qui est curieux c’est que je sens son parfum partout où je vais et même sur mon lit.

Une semaine venait de s’achever depuis ma fameuse rencontre avec mon père et le reste de la famille. Une semaine sans que je ne vois Angéla cachée, me regarder partir pour le boulot depuis sa fenêtre. Une semaine à la normale quoi. Je me sentais bien mieux comme ça. Sans contrainte au boulot, sans surprise indésirable venant de ma famille et sans être sous l’emprise d’une gamine dont l’innocence me fait perdre pied. Cependant, tout prédisait que j’allais la revoir aujourd’hui. L’invitation pour le Bab’s Dock. J’étais à la fois heureux et effrayé. Heureux à l’idée de passer du temps avec Louise et Angéla. Cependant j’étais effrayé de la revoir et de perdre encore mes moyens. Le Bab’s Dock est un endroit magnifique et attrayant. Il faut avoir l’esprit libre et les pensées vides pour pouvoir en profiter. Je ne sais pas si ces deux conditions seront remplies à mon niveau. Tout ce que je sais c’est que la journée s’annonçait très longue. Dans le salon, Gaëlle et Louise n’arrêtent pas de faire du boucan. Louise s’est décidée à la dernière minute de prendre des photos pour son blog et de profiter pour annoncer ses nouvelles créations. Gaëlle est tout excitée à l’idée de jouer son mannequin et depuis le calme a disparu. Mais elle où était-elle ? je ne voyais pas Angéla et cela me stressais encore plus. La voir quand on s’y attend le moins est très excitant.

J’étais là assis dans le salon, un petit crayon à la main et griffonnant sur du papier A4. C’est comme ça que je voulais passer le temps en entendant qu’elles ne se décident à partir.

  • Chéri s’il te plait tu veux bien nous attendre à la voiture ? On ne va plus tarder et s’il te plait prends avec toi ce sac, dit-elle en m’apportant un gros sac remplit de je ne sais quoi. Les femmes ! d’abord elles vous font tarder, ensuite elle vous commande. Je me levé et après avoir faire recours à toute la force dans mes bras, je soulevai le sac qui n’était pas si lourd que ça. Je descends avec et le range dans le coffre à l’arrière. J’entrai dans ma voiture et sortit mon téléphone de ma poche. Je l’allumai pour consulter ma messagerie. La portière de la voiture s’ouvrit et je me retournai pour voir qui l’avait ouvert. J’aperçois de longues jambes laissées pour comptes de là où j’étais. La créature se penche en arrière pour grimper dans le véhicule. J’aperçois alors sa petite culotte qui si je ne me trompe était fait en pagne de chez nous. Sa robe était si petite que je ne pouvais pas m’empêcher de voir entre ses jambes.

  • Salut Max ! quel beau temps tu ne trouves pas ? demanda la douce voix d’Angéla.

  • (Un instant de silence) Absolument ! il fait beau temps effectivement, rétorque-je

  • Je te trouve très séduisant dans cette culotte, elle te va à ravie, dit-elle pour plus m’indisposer. (Mais je réussis à me retenir et à jouer le jeu)

  • Merci Angéla ! tu es à tomber dans cette belle robe aussi, dis-je même si ce que je pensais plutôt à comment lui ôter cette petite robe de pécheresse qu’elle s’était enfilée exprès pour me déstabiliser.

  • C’est un cadeau de Gaëlle, elle me l’a ramené du Ghana, dit-elle les yeux rivés sur ma culotte. Je me demandais bien ce qu’elle cherchait à voir.

  • En parlant d’elle, tu ne sais pas si elles ont bientôt fini ?

  • Non, je suis descendue directement,

  • D’accord, répondis-je avant de tourner ma tête vers le volant et regarder dans le vide à travers la vitre. De temps en temps, je jetais de petit coup d’œil à Angela par le rétroviseur avant. Nos yeux se coïncidèrent et je faisais mine de ne pas la regarder. Mon téléphone me signale que j’avais un message. Je le pris et à ma grande surprise, le message venait d’Angéla.

Angéla : Dis-moi Max,

Max : Oui…

Angéla : Comment as-tu trouvé mes lèvres quand on s’est embrassé ?

Max : (Je me sentis soudainement mal à l’aise) écoute Angela c’était un moment d’égarement de ma part. je souhaiterais qu’on en reparle plus.

Angéla : Alors réponds moi sincèrement et affronte pour une fois de bon le fait que tu m’as embrassé parce que je tu me désires.

(Je me retournai pour bien la regarder)

  • De quoi tu parles ? je ne t’ai jamais dit que je te désirais

  • Non c’est pour ça que je le sais. Ton corps parle pour toi surtout tes lèvres, tes yeux et juste là, dit-elle en s’approchant dangereusement de mes lèvres.

  • Tu te méprends Angéla, je ne ressens rien comme tel pour toi, c’est vrai que je t’apprécie beaucoup et je te suis reconnaissant mais…

  • Une reconnaissance qui t’a fait bander pendant plus d’un quart d’heure hier dans notre appart ?

  • Quoi… ???

  • Oui, Max je sais que tu me désires et j’ignores si tu arriveras à m’ôter de la tête.

  • Angela ? dis-je avant de sursauter de mon siège et de me rendre compte que je rêvais depuis tout ce temps dans mon lit.

J’ai fermé cette partie de ma vie grâce à Louise et cela devait rester ainsi, me dis-je pour reprendre le contrôle. La vérité était pourtant là. Je perdais peu à peu mon attirance pour Louise au bénéfice d’Angéla. Et je me demande jusqu’où tout ça allait bien finir.

Angéla

Une semaine sans voir Max était trop éprouvant pour moi mais je l’avais promis à Cynthia qui a finalement accepté d’oublier notre petite mésaventure. C’était un gros sacrifice pour moi. Ce matin, un vent glacial traverse ma chambre et me fis greloter. Je me refugie sous ma couette mais ce n’étais pas gagner. Je le ressentais toujours. J’avais froid et je mourais aussi d’envie de voir max. l’attente était très longue pour moi. De même que cette fraîcheur qui me donnait envie d’être dans ses bras. Je serrai de toutes mes forces mes cuisses l’une contre l’autre pour lutter contre l’envie insoutenable que j’avais de Max. Une envie qui apparaissait chaque matin quand je me réveille et qui me pousse à l’espionner. Je prends alors mon téléphone et me décida à lui écrire. J’avais une très bonne excuse pour lui écrire. J’entre dans sa messagerie. Je me retrouvai du coup sans excuse et sans un mot à lui écrire je ne comprenais pas ce qui me prenait. J’essaye plusieurs phrases et à chaque fois je l’essuyais. Il pouvait encore m’intimider mais plus pour longtemps.

Aujourd’hui, on sortait avec le couple et aujourd’hui je devais avoir plus qu’un simple baiser.

On était arrivé au bord du lac sur lequel était le Bab’s Dock où on se rendait. On monta tous dans une barque pour rejoindre l’hôtel. Max était dans une culotte jaune moutarde qui lui arrivait à peine aux genoux. Dessus, il avait porté un beau Lacoste rouge griffé. De très beaux baskets, une casquette qui cachait son visage et des lunettes de soleil. A son poignet gauche, il portait un bracelet fait en cuir. Il était tout simplement parfait à mes yeux. Il n’avait pas quitté Louise d’une seconde et cela pour moi était pesant. S’il se collait autant à elle, c’était pour éviter de penser à moi. Gaëlle se prenait un selfie et nous invita tous sur sa photo. Le conducteur de la barque était concentré sur son travail pendant que nous nous amusions. Je me retrouvai à côté de Max pour la photo. Alors je me fis un plaisir de l’enlacer en collant contre son dos ma poitrine. Son parfum était enivrant. Mais l’odeur de sa peau était encore mieux. Gaëlle appuya sur le bouton de sa Samsung pour prendre la photo mais moi je n’avais d’yeux que pour Max. il avait l’avait d’un Bad boy sortit tout droit d’un film hollywoodien. Je me contenais pour ne pas lui ôter son Lacoste.

Nous étions à destination. On se fit aider pour monter sur le ponton qui reliait la station des barques à l’hôtel. Je portais une belle robe longue avec une fente m’arrivant jusqu’en haut des cuisses. Le vent se faisait un malin plaisir de dévoiler mes jambes au grand public. Gaëlle commençait sérieusement à m’énerver avec ses selfies à n’en point fini et Max qui s’agrippait à Louise comme une censue. Nous nous installions. La vue était fantastique. Le design des lieux était séduisant. Le mélange de couleur, l’architecture, la déco et l’accueil me faisait penser au paradis. Il y avait un mélange de race, des métisses, des noirs, des blancs tous profitant de ce moment exquis. De sous mes lunettes noires je matais Max. je regardais chacun de ses gestes. Surtout ceux de ses lèvres et de ses mains. Il discutait avec Louise et Gaëlle qui n’arrêtaient pas de partir à chaque fois dans un fou rire. Un des serveurs s’approcha de nous serrant contre son torse quatre planche du menu. Il nous les partagea et attendait qu’on se décide. Chacun de nous opta pour un jus d’abord. Il s’empressa d’aller nous les apporter sur un plateau dont je ne devinais pas la matière. Etait-ce une planche ? ou du plâtre ? j’ignorais. Je porte mon verre à la bouche et déguste mon jus de mangue. C’était mon fruit préféré. Je vois Max me fixer à travers ses verres en buvant son jus à la pomme. Gaëlle et Louise se levèrent pour aller se changer. Elle avait prévu un shooting sur les lieux. Je voulais bien me prêter au jeu et provoquer Max. Cependant, je voulais aussi lui parler pendant un moment mais il fallait que ce soit lui qui brise la glace.

  • Qu’est-ce que tu penses de la vue ? demanda-t-il après un moment de silence

  • Ça ressemble à la vue de mes rêves. C’est comme ça je désire voir le monde autour de moi le jour où je perdrai ce qui m’est le plus cher en tant que femme.

  • Tu as très bon gout Angela ! dit-il

  • Comme dans tous mes choix, n’est-ce pas ?

  • Exactement ! il est présent dans tous tes choix, répondit-il

  • J’espère que tu as aimé les vêtements, dis-je en ôtant mes verres

  • Ils sont parfaits, dit-il en ôtant les siennes

  • Tu n’as pas envie de te baigner ?

  • Oui mais je ne veux pas te laisser toute seule ici, dit-il en fuyant mon regard

  • Je viens avec toi alors,

  • Génial, allons-y nous changer alors

Je le suivis jusque dans les locaux réservés pour les changements de vêtement. Je m’enferme dans l’une des pièces vides. Max aussi. J’enlevai la robe et gardai uniquement mon bikini que j’avais déjà enfiler depuis la maison. Je restai dans mes tapettes et me fis un chignon avec mes longs tissages. Je sortis et je vis Max qui s’était appuyé contre le gros bois de séparation de l’entrée. Il était dans une autre culotte plus petite et plus relaxe que la précédente. Il est torse nu et sans sa casquette. Il avait les mains dans les poches et le regard pointer vers l’horizon. Je revoyais encore une fois, son tatouage gigantesque dans son dos. Quelle merveille ! un vrai Bad Boy accomplit. Le monde le voit peut-être comme un gentil mais moi je le vois comme mon fruit du pêché. La chair qui m’est interdite, le corps qu’il m’est interdit de touché et franchement tout ça attise encore plus mon intérêt pour lui.

J’étais presque nue dans le bikini que je portais. Seul mes parties intimes étaient camouflées. Je m’approche de lui calmement et m’appuyai sur la pointe de mes pieds pour grandir un peu plus afin d’atteindre ses oreilles.

  • Tu es très sexy comme ça ! lui murmurai-je à l’oreille. Il sursauta et se retourna dans ma direction. Son regard se heurta à ma silhouette presque dénudée.

  • Whao !! laissa-t-il entendre. Et toi très jolie, dit-il avant de me tendre sa main. Je lui donne la mienne et il la glissa délicatement dans la sienne et m’attira vers lui. Promets-moi de ne laisser personne abuser de ton corps, parce qu’il sacré, me murmure-t-il calmement sous la vigilance de personne. On s’était encore retrouvé dans la même position que la dernière fois. Mes lèvres tremblaient à quelques millimètres des siennes. Mon front frôla le bout de son nez et ma poitrine coller à son torse. Je sentis son froque gonflé contre mon abdomen. Je redressai la tête pour le fixer droit dans les yeux. Le noir de ses yeux scintillait. Je tente alors de l’embrasser et il esquiva astucieusement, effleurant mes lèvres dans sa fuite bien orchestrée.

  • On y va, les autres doivent nous chercher

Elles nous avaient oublié je dirai puisque Gaëlle était couchée sur le bord du ponton dans un T-shirt un peu plus grande qu’elle avec des baskets noirs et les cheveux en bataille. Elle était sexy et élégante. Ses poses me donnaient envie. Je regarde Max épaté par ce qu’il voyait. Il me vient alors à l’idée de plus l’exciter. Je détache alors mes cheveux et rejoignis ma sœur. Je m’invite toute seule. Louise approuva et nous fit travailler à deux. Mon corps s’apprivoisa l’objectif et tous les regards. Personnes ne voulaient rater une miette. Je posais avec tous et partout. Mon regard ne se tournait que vers Max qui bavait devant le spectacle. Louise se concentra sur moi en demandant à Gaëlle d’aller se changer. Je me jetai à l’eau et de loin je prenais encore plus de poses pour Louise. J’ôte mon soutif et cache le bout de mes seins à l’aide de mes mains. Je me plonge dans l’eau en laissant apparaitre que mon visage et mon épaule. Louise se plaça dans une des barques et suivait mes mouvements. Les poses un peu plus osées accéléraient. Elle était plutôt contente de ma performance.

Après un bon bout de temps, je ressortis de l’eau en prenant soin de remettre mon soutif. Je laissai Gaëlle reprendre son boulot. Max avait disparu. Il n’était plus là à me regarder. Je le cherchai des yeux dans la foule qui se ruait pour me voir. D’autres se bousculaient pour me prendre en photo, certains pour avoir mon numéro et d’autres encore pour me draguer ouvertement. C’était grotesque. Je m’inquiétais de ne pas voir Max alors je courus dans les locaux réservés pour se changer. Il était là à l’abri des regards à fumer. Je ne savais pas qu’il fumait. Je m’approche de lui. Il fait mine de ne pas me remarquer et continue à profiter de sa cigarette.

  • Je ne savais pas que tu fumais,

  • Comme tu peux le voir c’est le cas

  • Je ne t’ai plus vu là-bas, pourquoi tu es parti ?

  • Parce que le spectacle attirait trop de monde et j’ai horreur de partager,

  • Ok, dis-je en le dépassant. J’entre dans le vestiaire pour me changer.

  • Ça t’a plu de te faire relooker par tous ces hommes ?

  • C’était agréable d’être le centre de leur attention, dis-je clairement

  • Tu venais pourtant de me promettre de ne pas te laisser ton corps être abusé

  • Peut-être mais je ne t’ai jamais promis de ne pas en abuser personnellement, dis-je pour le bloquer.

  • As-tu aimé mon baiser de la nuit dernière ? me demanda-t-il en ouvrant violemment la porte de la cabine où je me changeais. J’ignorais quand est-ce qu’il est arrivé là

  • Max ? mais qu’est-ce que tu fais ? dis-je alors qu’il entre dans la cabine sans se gêner.

  • Réponds-moi, dit-il à quelques centimètres de moi alors que je venais juste de changer de bikini pour un dernier shooting. Il me plaqua au mur entre ses deux bras musclés. J’avais réussi à me l’approprié. Il était jaloux. Il ne voulait pas me partager. Enfin le masque tombait.

  • Tu t’es excusé pour cela. ça veut dire que c’était un accident et je ne tiens pas compte du goût des baisers accidentels, répondis-je

  • Tu es très intelligente tu sais ? dit-il en approchant ses lèvres des miennes, le regard braqué sur ma bouche entrouverte.

  • Et toi tu es très dominant, possessif comme j’aime, jaloux comme il faut, tu le savais ça ? dis-je en m’approchant encore plus de ses lèvres. Je sentis de nouveau son froque dure comme un caillou contre mon abdomen

  • Tu me rends dingue quand tu joues comme ça avec les mots, murmura-t-il

  • Tu aimes ça ?

  • Je ne sais pas, mais ça m’excite, dit-il me saisissant par la taille. Sa queue était très tendue et moi très mouillée.

  • Tu sens combien tu me troubles, petit ange ?

  • Non parce que c’est loin de ce que j’attends de toi, lui murmurai-je en passant mes mains sur son torse

  • Tu faisais exprès alors en attirant tous ces gars, n’est-ce pas ?

  • Non je faisais plutôt exprès d’attirer tous les autres hommes dans mon lit. Chacun d’entre eux était supposé être toi sans être toi, révélai-je en détachant mon soutif qui tomba sur mes pieds. Mes seins étaient à découvert et coller à son torse. Max, je n’ai plus beaucoup de temps, ajoutai-je

  • Tu sais que je suis engagée (marmonna-t-il les yeux enfouis dans mes seins

  • Par une bague avec elle et par ton corps (en pointant son corps par mon doigt), par ton âme (en pointant son cœur) et par ton esprit (en pointant sa tête) avec moi Max, dis-je en passant ma main sur sa queue affamée de moi. Max m’embrassa vigoureusement. Je ressentis un cocktail de passion et dépendance dans celui-là.

  • Cette fois-ci c’est sans m’excuser, dit-il avant de ressortir de la cabine et de se diriger vers la sortie.

Un sourire de victoire se dessina sur mon visage. J’étais toute rouge. C’est à ça que ressemble le bonheur pour moi.

Je les rejoignis au bord du lac pour une photo d’ensemble. Louise et Gaëlle ne se doutait de rien. Max me place juste devant lui pour la photo et derrière sa queue me caressait les fesses. Un autre sourire cette fois malicieuse se dessina sur mon visage.

On passa ensuite à table pour le dîner compte tenu du fait que le ciel c’était assombrit et que l’obscurité s’en était emparé sans que nous ne nous en doutions. Max n’arrêtait pas de me mâter. Je me sentais dénudée par son regard. J’enfouie alors mon malaise dans mon téléphone en partageant avec Cynthia les photos de la journée. La soirée s’acheva avec brio. Je ne pouvais rêver mieux.

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