Se perdre...(fin)

Write by RIIMDAMOUR

Bisous#

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Amine Aïdir

Ça fait une heure de temps que je  roule comme un malade.
J'espère que cette maison devant laquelle je suis garée est la bonne. Les lumières sont allumées, je pries intérieurement pour que ce soit la bonne.

J'ai besoin de voir ma femme.
Je dois la voir.

Hier soir Josée m'a trouvée à la maison, je m'attendais à ce qu'elle me crie dessus mais non, pour une fois, elle a été correcte avec moi.
Ce qui m'a d'ailleurs beaucoup surpris.

Elle m'a donné son téléphone portable et m'a demandé d'écouter un enregistrement.
J'y comprenais rien.
Que voulait-elle?

J'ai fini par obtempérer, poussé par la curiosité.
Là, j'ai entendu.
J'ai tout entendu.

Milouda qui présente ses excuses à ma mère, et m'a mère qui lui dit qu'elle n'est pas faite pour moi.

D'un côté, je doutais de la légitimité de cet enregistrement, d'un autre côté j'étais soulagé.

Je m'étais trompé alors ?

Josée m'a expliqué, que Milouda avait enregistre leur fameux appel.

Pourquoi ne me l'a t-elle pas fait écouter?

J'ai eu honte.

Le jour où elle est parti a été un jour funeste.
Je suppose qu'elle m'a vue avec Taloula.
Elle était déjà partie quand je suis rentré à la maison avec l'intention de la rassurer sur ce qu'elle a vu.

Elle n'était pas sensée me suivre.

Pendant cette semaine, je l'ai cherchée partout, mais aucune trace d'elle, on aurait dit qu'elle s'était volatilisée.

J'ai compris qu'elle ne voulait pas que je la retrouve.
Faut dire que... Je l'ai un peu mérité aussi.

Je ne sais pas pourquoi je me comporte toujours en con avec elle.

Mais elle m'avait énervé aussi!

Bon, trêve de regrets inutiles, je vais récupérer ma femme.

Arrivé au niveau de la porte d'entrée, je remarque qu'elle n'est pas fermée.

Je pénètre dans la maison et passe par un petit couloir menant à un énorme salon.

Mon sang ne fait qu'un tour une fois que je suis dans ledit salon.

Des vêtements sont éparpillés un peu partout dont le pull rouge que j'avais offert à Milou; ainsi que des vêtements d'homme.

Non, elle n'oserai certainement pas, non?

Elle n'oserai pas me tromper?

Je me dirige instinctivement  vers une pièce, au fond, d'où proviennent des bruits étouffés, si c'est ce que je crois, je les tuerai tous les deux.

Dans un premiers temps, jre ne comprends pas la scene à laquelle je fais face, je reste posté devant la porte, bêtement.

Un homme est au dessus de Milouda qui se débat?

J'ai l'impression de recevoir un coup dans l'estomac , ça fait mal!

Mais, attendez! Milou se débat, oh mon Dieu!

alors sans réfléchir, encore, je me dirige vers cet homme et le repousse de toutes mes forces.

Sa première réaction?

Il est surpris.

C'est là que j'aperçois que Milouda est attachée, pieds et poings liés, la bouche bâillonnée.

Le temps que je réalise ce qui se passe l'autre idiot a pris  ses jambes à son cou.

Non non mon salaud! Ça ne se passera pas comme ça. Je crois que de toute ma vie, je n'ai jamais atteins un tel niveau d'énervement.

Je le rattrapes en moins de deux et il se prends direct mon poing dans la gueule!

Il a essayé de violer ma femme. Qu'il essaie de le nier et je jure sur la tête de ma mère que je le tue dare-dare.

Je n'arrive plus à me contrôler, ce connard essaie de riposter mais il ne fait pas le poids, j'ai du lui donner au moins dix coups, j'ai mal aux phalanges mais je m'en fous, je suppose qu'il a mal lui aussi  puisqu'il me semble KO. J'ai le diable aux mains, je vais tuer ce  fils de pute.

Pendant toutes ces minutes ou je le bastonne je ne vois rien d'autre que cet image, de lui nu et ma femme.

Comment a t-il osé? Ma Milou, ma femme.

Ce sont des cris étouffés qui me sortent de ma léthargie, Milou! Je l'avais oubliée, je laisse ce gros tas de merde giser au sol, totalement inconscient et je cours la détacher.

Mon Dieu! Je n'aurais jamais cru la voir dans cet etat là un jour, elle est complètement hystérique et ne veux pas que je la touche aprés l'avoir détaché.

MILOUDA

- Calmes toi, calmes toi Milouda ! M'intime Amine.

Me calmer?
Comment on fait?

Je voudrais tellement me calmer mais je n'y arrive pas.

Me calmer?

Nom de Dieu!
Comment pourrais-je me calmer.

Tout ce que je veux en ce moment, c'est de prendre une douche, de frotter ma peau, là où il m'a touchée.
Partout où il m'a touchée.

Il allait me violer, me violer.

Me violer.

Me violer.

Je n'arrive pas à retenir mes sanglots, je voudrais arrêter pourtant, parce que j'ai mal à la gorge.


- C'est fini maintenant, arrêtes de pleurer. Dit Amine en essayant de me prendre dans ses bras.


- Ne me touche pas! Je crie.

Non, je n'ai pas envie qu'il me touche.
Je ne veux pas qu'on me touche.

Je crois que sur le moment je ne réalise pas que c'est Amine en face de moi, la rage, je suis dévorée par la rage.

Je n'ai plus peur, parce que j'ai conscience que c'est fini, mais j'ai le cœur qui me fait mal.
J'ai envie de blesser quelqu'un.

Amine me force à enfiler un peignoir tandis que je me calmes peu à peu, en apparence cela dit.

Il essaie de me prendre encore dans ses bras, mais non, je ne veux pas, je ne peux pas, ne me touches pas.

Amine parle, il parle, il gesticule, il se masse les tempes, il parle, il me regarde.

Je le fixe sans rien dire ni bouger,  peut-être c'est pour ça qu'il pense que je l'écoute mais je ne l'entends pas.
Je pense à autre chose, je pense à ce qui m'est arrivé encore une merde que je ne mérite pas.
Comment j'ai pu en arriver là, je m'en veux de ne pas avoir fermé les portes à clef, je m'en veux de pas être rentrée chez moi,  je veux d'avoir fait ma petite fille.

Je m'en veux.

Mais heureusement que je retrouve assez vite mes esprits.

Je me rends comptes que je suis chanceuse.

J'ai juste failli être violée.

Beaucoup n'ont pas eu autant de chance que moi, je vient juste de le réaliser

C'est peut-être dure, mais j'ai l'habitude de ce genre de trucs totalement inattendus qui peuvent foutre ma vie en l'air.
Mais je suis toujours là, non?

Après deux tentatives de viols, trois tentatives d'empoisonnement par des drogues, des maltraitances de ma belle-mère, je suis toujours là.

Alors de quoi devrais-je me plaindre?

Je suis qui pour me plaindre?

Je crois que je vais devoir commencer à faire avec, je vais devoir commencer à vivre avec l'idée que la vie n'est pas facile, que la mienne ne le sera probablement jamais.

- Merci.

Amine se tait brusquement, il est surpris que je dise ça.

Mais c'est le minimum, non?

Malgré tout ce qu'il m'a fait.


- Je...oui... C'est normal... Bafouille t-il.


- Il est où ? Je l'interrompt.

Pourquoi il me regarde aussi bizarrement ?


- Dans la pièce à côté.

Je lui demande s'il a appelé la police, il répond que non et prends son téléphone, tout en ne me lâchant pas des yeux.

Il essaie d'appeler mais il n'y a pas de réseau, je lui propose de sortir, pour en capter.

Il me jette un regard interrogateur.


- D'accord, mais viens avec moi, je ne veux pas te laisser toute seule ici avec ce salaud à côté.

Je le rassure que je vais bien, je tente même un sourire, difficilement.


- Je crierai s'il revient. Je lui dis.

Apparemment il ne me fait pas suffisamment confiance car il jette un coup d'œil dans le salon.

C'est là que ce grand malade doit être, dans un sale état, j'imagine.

Je l'ai entendu gémir, j'ai aussi entendu des coups, mais comme mon mari n'a pas une seule égratignure sur le visage, je suppose que c'est Balla qui a reçu.

Amine ramasse les cordes avec lesquelles j'étais entravée quelques minutes plus tôt et se dirige là-bas.

Il revient une minute plus tard.

- Je sort appeler la police, appelles moi si tu l'entends bouger, OK?

Je fais oui de la tête.

J'attends qu'il sorte sur la terrasse pour descendre du lit.

J'ai le corps en compote, ma peau est meurtrie aux endroit où il m'avait attachée avec la corde.
C'est tout rouge.

Quand j'imagine qu'il avait même apporté sa corde!

Je peine à tenir debout, je tremble, résultats de tous mes efforts fournis pour me débattre.

Balla mom, je ne sais pas qui mais lui, il va prendre cher aujourd'hui.

Deux fois, il m'a fait le même coups deux fois, et toute ces deux fois, si ce n'était pas l'intervention de quelqu'un, il m'aurait violée.

Je ne lui avais jamais rien fait .
Il a débarque un beau jour chez nous, au temps où je vivais avec sa  folle de tante, Safiètou.

Il m'a trouvée dans une position de faiblesse, dominée par une belle-mère dominatrice et sadique qui se tuait pour me rendre malheureuse.

Il s'est mis en tête que je finirais dans son lit.
À cet époque je ne le prenais pas au sérieux, j'avais d'autres problèmes plus importants.
Je me fichais de ses remarques déplacés, de ses regards lubriques, de lui.

Alors il m'a droguée, ça n'a pas marché et j'imagine que ça a été une aubaine pour lui de me revoir ce soir, à la plage, il a du se dire qu'il devait terminer ce qu'il avait commencé.

Je marche difficilement vers le salon, il est affalé sur le sol, près de la vielle bibliothèque en bois d'ébène de mon père. Il est tout nu, attaché avec ses propres cordes, le visage tuméfié, les lèvres gonflées et ensanglantées.
Amine a dû lui casser une ou deux dents.

Mais même en le voyant gisant sur le sol, comme ça, complètement dans les vapes, je ne suis pas satisfaite.

Ce n'est pas suffisant.

Je ne le veux pas mort non plus, ce sera trop facile.

Le pire dans tout ça, c'est que je ne sais pas s'il a fait ça à d'autre filles.
Quoi qu'il en soit, son heure est arrivée.

Il vient de déclencher ce qu'il y avait de pire en moi.

Il y a dans la bibliothèque de papa un cadeau qu'un de ses amis malien lui avait offert, c'était un mortier et un pilon en fer rouge

Ma mère à toujours détesté ce truc, papa a toujours insisté pour le garder, disant que ça servirait à quelque chose un jour.

Je crois que ce jour est arrivé.

Je l'avais gardé par simple sentimentalisme, mais aujourd'hui, je ne le regrette pas.

Je me saisi du pilon, tant pis pour la douleur sur mes poignets.

Je me penche doucement vers Balla et effectué une pression sur son épaule avec le pilon. Histoire de le réveiller, il est hors de question que je le touche.

Je dois m'y prendre à plusieurs reprises pour qu'il ouvre enfin ses ridicules petits yeux.

Il panique totalement en me voyant, surtout qu'un seul son ne sort de sa bouche.
Amine lui a fourré dans la bouche, le morceau de tissus avec lequel il m'avait bâillonné.
Une ironie du sort.

Il se débat hargneusement mais malheureusement pour lui, mon mari a bien serré les cordes.

J'aurais pu lui parler, lui Faure remarquer à quel point ce retournement de situation était drôle, lui dire que le karma est une vraie imbécile, mais le coeur n'y est pas.

Je ne vais pas perdre du temps avec ce lâche qui s'en prend à plus faible que lui.

Il se tortille comme un vers de terre, ridicule.

Son truc pend entre ses jambes, l'arme du crime.

Je m'approche rapidement et ses pieds et commence à taper.

Les orteils tout d'abord.
De légers coups qui le font sursauter au début, mais j'augmente d'intensité au fur et à mesure.

Il crie, mais à travers son baillon.

Moi, je n'en ai toujours pas assez, je suis toujours aussi en colère.

Le pilon est très lourd mais je tape, je tape, ses orteils, doucement, ou avec force.

Je prends mon temps sur son plus gros orteil.

Connaissant les polices sénégalaises, je sais qu'Amine en a pour un bout de temps.

Alors je m'assieds par terre, loin de lui pour pas qu'il me blesse, mais assez près pour continuer mon activité.

Le pilon est lourd mais je crois que c'est la haine qui me donne la force de continuer à taper, ai bout de deux minutes environs, ses jambes commencent à trembler, ses yeux sont tout rouges.

Ce n'est pas suffisant.

Il a arrêté de gigoter, de toute façon il va s'entailler la peau en bougeant, les cordes sont très rêches, j'en sais quelque chose.

Je m'attaque à son ventre, il a la peau très foncée, j'ai beau lui taper dessus, ça ne se voit pas.
Un bon point pour moi.

Je lui donne des coups de pilon dans l'abdomen, mais ça ne va pas mieux, ça ne fait qu'alimenter ma rage.

Je tape, je tape, jusqu'à avoir très mal aux poignets.

Balla est pris de spasmes, je sais qu'il a mal, très mal, mais c'est pas suffisant.

Ça n'enlève pas les images de ma tête.
Quand il a touché mes seins ça a fait plus mal que ça, quand il a touché mes fesses ma peau a littéralement brûlé sous ses doigts, alors, doyoul.

Ce n'est pas suffisant.

Je frappe plus fort, toujours plus fort, jusqu'à ce qu'il commence à perdre connaissance, je repars vers les orteils.
Je prends le briquet qui traînait sur la bibliothèque.

À ce niveau, je suis pas réellement consciente de ce que je fais. Je ne suis animée que d'une volonté.

Je passe un peu la flamme sur la peau de son talon et je tape, encore et je tape.
Je recommence l'opération malgré qu'il gigote comme un fou.

J'en avais même oublié la présence de Amine. Je sursaute donc quand il pénètre dans la pièce et m'arrache le pilon des mains.


- Qu'est-ce que tu fais ? Crie t-il. La police est en route, qu'est-ce que t'allais dire si on te trouvait ici?

Franchement ?
Je m'en fous de la police.

Je veux juste lui faire mal.

Amine me force à me lever et a m'asseoir sur le canapé, je ne résiste pas très longtemps car je suis à bout de force, je tremble tellement.

Mais là, tout de suite, je me fiche fortement de la douleur physique, l'autre douleur fait plus mal encore.

Je suis vidée, à l'intérieur comme à l'extérieur.

J'essaie de me rassurer en me disant qu'il ne m'a rien fait mais, ça ne marche pas.
Je me sens toujours aussi...sale, désabusée, dépitée, vidée.

Amine me regarde, inquiet que je ne veuille pas le toucher, que je ne fasse pas attention à lui.

Je n'ai envie de rien, juste de regarder cet enfoiré allongé par terre souffrir.

Il saigne, il souffre, il a les yeux baissés, il n'accepte pas de croiser mon regard.
Peut-être qu'il a honte d'être humilié ainsi.

Parce qu'il ne m'a pas humiliée moi?

Ses doigts de pieds ont commencé à enfler.

Et ce n'est toujours pas assez.

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Une semaine est passée depuis.
Je ne vais toujours pas mieux.

Cette fois-ci, je n'ai pas caché le fait que j'ai failli être violée.
J'ai porté plainte et mon tortionnaire a été embarqué par la police quand ils l'ont trouvés dans mon salon, sur le sol, en piteux état.

Les policiers ont été surpris de le voir attaché, battu, incapable de tenir debout, les orteils enflés...

Nous sommes allés au poste la nuit même et j'ai fait ma déposition.

Balla ne risque même pas d'être relâché provisoirement, il a quand même pénétré chez moi, en forçant deux portes.
Il se tue à prétendre que je l'ai invité chez moi, qu'il était mon amant, que mon mari nous a trouvé enlacé et l'a attaqué, battu puis attaché par pure jalousie.

Ce qu'il avait oublié, c'était que j'avais la peau des poignets et des chevilles gravement irritée par les cordes, qu'il avait des griffures sur tout le corps, qu'on a retrouvé des morceau de sa peau sous mes ongles et que moi aussi j'avais été battue.

Il y a beaucoup de preuves contre lui. Mais malgré ça, Amine a été lui aussi arrêté pour coups et blessures.
Il a été détenu pendant 24h et j'ai payé sa caution .
Maintenant une enquête est en cours.

J'ai bien l'intention de faire enfermer ce fumier, c'est pour ça que j'ai aussi porté plainte pour la première tentative de viol, et là aussi j'ai un témoin, Xavier.

Je n'ai pas l'intention de le laisser s'en tirer comme ça j'ai engagé une armée d'avocats et de conseillers juridiques.

J'en ai profité pour m'occuper du cas Safietou en même temps.
J'ai déposé une plainte contre elle ce matin, avec les conseils de mes avocats, elle va rendre l'argent qu'elle m'a volé.

Ma vie est sans dessus dessous cette dernière semaine.

Entre Amine et moi, ça ne va pas.
Il m'en veut de lui avoir caché ce qui s'était passé avec Balla il y a des années, il m'en veut aussi d'être partie.

Moi, je n'ai pas le cœur à me disputer, sincèrement.
Je ne vais pas bien du tout.

Je fais tout mon possible pour passer à autre chose mais je n'y arrive pas.

Je ne dors plus très bien à cause des cauchemars, et je suis constamment triste.
J'ai beaucoup de mal à communiquer et je n'accepte plus le contact.

La seule personne que j'accepte de toucher, c'est mon mari, et je commence à paniquer quand il me touche longtemps.

Je ne sors presque plus car je suis tout le temps harcelée par une armée de journaliste. Comme j'aurai pu m'y attendre, min nom fait la une de tous les magasines people et même des journaux.

Tout le monde est au courant de mes malheurs.
Heureusement cette fois-ci, toute ma famille me soutient, leur regard sur moi a complètement changé.
Mes badienes culpabilisent, elles disent que tout ça ne serait pas arrivé si elle s'occupaient bien de moi.
Je ne démentirai pas ça.

Badien Matel m'a demandé pardon a genoux, elle regrette de m'avoir rejeté il y des années, j'avais failli être violée, je les avais appelées pour leur demandé de l'aide elle ne m'ont pas cru, elle m'ont traité de trainée.

Elles regrettent maintenant, c'est bien, mais ça ne change rien.

Malick et Tala sont plus présents pour moi que jamais, ainsi que Josée et Khadija.

Bref, je suis bien entourée, et je dispose du soutient de tout le monde, mais je ne suis pas heureuse pour autant.

Je n'arrive pas à oublier.

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Suite pour vous la famille. Il y a quelque chose que je n'apprécie pas du tout sur Muswada, ici les lecteurs ne kiffent pas les parties. C'est quoi ça?

Il est vrai que vous n'êtes pas forcés de le faire mais aussi...c'est un minimum. Les auteurs vous font plaisir en vous écrivant de longues partie, un petit clic sur un bouton ne fera de mal à personne.

Il m'arrive de voir certaines chroniques qui n'ont qu'une centaine de kiffs et un millier de vues, alors qu'ils sont carrément géniaux. Ce n'est pas bon pour la publicité hein.

Bref... Bonne lecture

J'espère que cette partie vous plaira.

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