Si je coule, tu coules aussi

Write by Lulu-marie

Chapitre 48 : Si je coule, tu coules aussi

***Mathis***

Moi : Jésus-Christ

Amy : Oh arrête un peu avec ça s'il te plaît

Moi(la regardant): tu es méchante.

Amy : Si tu pouvais savoir, si tu pouvais voir comment elle suffoquait cette nuit. Ooh ça fait plaisir(riant à gorge déployée). 

Moi : mais c'est finit, Mélissa t'a dénoncé elle même avant sa mort

Amy : ne me dit pas que cette idiote avait encore la bouche pour parler.

Moi : nous savons à présent que c'est toi

Amy : personne ne me connaît, je me cache derrière toi Mathis

Moi : tu es dégoûtante

Amy (riant): Après l'avoir espionné pendant des mois, j'ai tenté le tout pour tout pour l'avoir, il faut dire qu'elle était protégée par une force surnaturelle. Je voulais même prendre par cette putain de domestique ou femme de ménage qu'elle avait mais j'ai vu qu'elle n'est pas aussi naïve que je le pensais parce que quand j'essayais de l'approcher dans le marché elle m'ignorait et se méfiait de moi.  

Moi : Donc tu préparais ton plan depuis longtemps?

Amy : très longtemps crois moi, j'ai même pensé à organiser un accident de circulation, dérégler les freins de sa voiture, c'était aussi facile non?

Moi (ouvrant les yeux) : jusqu'où es tu prête à allé à cause de ta jalousie sordide ?

Amy : très loin chéri

Moi : ne m'appelle pas chéri maudite femme.

Amy : Ce jour là comme par hasard...(ouvrant grand les yeux) Non il n'y a pas de hasard, je devais te voir et c'est ce qui est arrivé. J'ai vu ton véhicule passé et je t'ai suivi et tu t'es arrêté à la clinique de l'Union. J'ai vu que tu sortais quelqu'un de ta voiture tu étais accompagné d'une autre jeune femme. Je t'ai rappelé plus tard et c'est ainsi que tu m'as dévoilé que Mélissa ne se sentait pas bien et tu l'as emmené à l'hôpital.

Moi : Comment pourrais-je savoir que tu l'en voulais à ce point sinon jamais je ne t'aurais dis ça.

Amy : Bien sûr que tu ne pouvais pas savoir et comme je t'ai dit, il n'y a pas de hasard. J'ai appelé mon amie qui m'a donné des informations que je voulais. Ce n'était pas grandes choses, je lui ai demandé si il y avait une dame qui était administrée d'urgence là-bas et dans quelle chambre, je lui ai aussi demandé l'heure de visite. J'ai attendu le soir pour passer à l'action.

***Flashback***

J'étais dans le couloir depuis un moment à les observé de loin, ils passaient et repassaient. Il faut absolument que je trouve un moyen de m'incruster dans cette chambre sans que personne ne me remarque. Je sais déjà que les caméras de sécurité ne fonctionnent pas. Une heure plutard, son mari est partit et il ne restait que cette dame la à l'intérieur, celle qui était avec Mathis cet après midi. Merde merde merde! je fais comment maintenant ? Je réfléchissais à cela quand j'ai entendu un bruit de porte, la jeune dame est sortie. J'ai baissé la tête en faisant semblant de pianoter mon portable. Elle s'est arrêtée juste devant moi pour interpeller une infirmière qui passait. 

Elle : Infirmière s'il vous plait où puis-je prendre de l'eau à boire pour ma soeur?

Infirmière : Ah d'accord de l'eau, vous sortez totalement à gauche du couloir il y a un robinet dans l'angle à droite

Elle : Okay merci ce n'est pas tout s'il vous plait où sont vos toilettes ?

Infirmière : les toilettes sont derrière ce bâtiment au fond vous longez tout droit vous verrez les toilettes c'est écrit sur la porte.

Elle : Merci.

Infirmière : je vous en prie.

Quand elle a disparu, ainsi que l'infirmière je suis entrée dans la chambre en toute discrétion.

Mélissa (de dos) : Lara c'est toi?

Moi (chuchotant): C'est ton pire cauchemar

Mélissa (se retournant) : ...

Moi : bonsoir surpris ? Oh qu'est-ce-que je dis, bien sûre que tu es surprise de me voir

Mélissa : Aminath Sika ?

Moi (souriante) : Elle même 

Mélissa (voulant se redresser) : ça alors! ça fait longtemps

Moi (me précipitant vers elle) : Non non non ne te gêne pas, ne fais pas d'efforts, ne bouge surtout pas ma belle, tu ne dois pas faire trop d'efforts n'est ce pas ?

Mélissa : qui t'a dit que je suis ici? Comment tu m'as revu?

Moi (sourire aux lèvres): Mathis 

Mélissa : Ah je vois

Moi : Tu n'es pas contente de me voir? ma collègue

Mélissa : c'est que ça fait tellement longtemps que...

Moi : que tu m'as oublié

Mélissa(souriante): presque oui

Moi : ce n'est pas grave, moi j'ai fait tout pour te retrouver. Alors comment tu vas Mélissa ?

Mélissa : ça va

Moi (rigolant) : bien sûr que ça se voit

Mélissa : hum bien c'est gentille d'être passé

Moi : hum toujours aussi égoïste

Mélissa : qu'est ce que tu dis ?


Moi : que tu es toujours égoïste, tu n'as pas changé en plus de ça tu es une pute 

Mélissa : sors d'ici toute suite si tu es là pour m'insulter, je ne te le permet pas.

Moi : la vérité fait mal. Tu es une dévergondée, une pute, une catin

Mélissa : Sors d'ici hypocrite

Moi : Oui je vais sortir mais avant je veux que tu sache à quel point je te déteste.

Mélissa : je l'ai toujours sû, tu es un venin et ce sourire qui s'affichait sur ton visage ne me disait rien du tout. Tu es hypocrite.

Moi : non je suis bien plus que ce que tu imagines. Je ne t'aime pas Mélissa

Mélissa : c'est réciproque Amy sors de ma chambre.

Moi : ...

Mélissa (ordonnant) : Maintenant

Moi : tu m'as volé ce qui m'appartient, tu m'as volé Mathis

Mélissa : quoi? Mathis?(riant) ne me fais pas rire, Mathis n'a jamais été à toi, tu ne l'as jamais intéressé en tant que femme regarde toi tu es moche malgré les maquillages que tu t'acharnes à faire chaque jours.

Moi : Je vais te détruire et je veux que tu saches que Mathis sera à moi

Mélissa : il serait bien bête s'il se mettait avec toi.

Moi : tais toi ou je te fais taire à jamais.

Mélissa : tes menaces ne me font pas peur

Amy : ne me sous-estime pas. Si tu savais comment je te déteste, j'ai une haine énorme envers toi, je te haies 

Mélissa : ça fait ton problème, moi je ne te gère pas Aminath et je ne l'ai jamais fait.

Moi : Pourquoi dis moi aujourd'hui le pourquoi tu n'as jamais voulu de moi comme amie ?

Mélissa : parce que tu as une mauvaise "aura" je l'ai toujours sû, tu as un coeur aussi sombre que l'obscurité et les personnes de ton genre,  il faut les fuir comme la peste. Tu sais c'est quoi ton problème? Tu n'aimes personne et par dessus tout tu ne t'aime pas toi même. Mais ce n'est pas ta faute, je te comprend, la jalousie coule dans tes veines, tu es née avec. Les personnes comme toi, elles finissent toujours seule et c'est ça qui te fait mal mais ton mauvais coeur ne te permet pas de voir la vérité en face. 

Moi (un peu touchée): ferme ta bouche

Mélissa : Tu sais que c'est la vérité et ça fait mal comme tu l'as dit. Pries, Dieu t'aidera. Va-t-en laisse moi seule, j'ai besoin de me reposer.

Moi : Oui oui je sais c'est pour ça que je vais te faire dormir pour toujours et même ton Dieu ne t'aidera pas à te réveiller.

Mélissa : Amy sors d'ici ou je cris

Moi(sortant mon seringue ) : non tu n'auras pas le temps de crier personne ne t'entendra.

Mélissa (voulant se redresser):qu'est-ce-que tu fais? (La peur au visage) Au seco.....

J'ai étouffé ses cris avec ma main.

Moi(lui chuchotant à l'oreille) : Oui c'est ce que je voulais voir sur ton visage cette peur et cette crainte envers ma personne. 

Je lui ai injecté le poison jusqu'à la dernière goutte, elle gigotait ; se débattait dans tous les sens.  

Moi (tenant fermement sa bouche): Oui dis moi ce que ça fait, tu sens tes muscles se contractés ; tes veines se ramollies ; ton sang bouillie? Hein Mélissa... Dis moi ce que tu ressens... Tu te sens faible? Tu sens ton âme quitté ton corps tout doucement ? oui c'est comme ça je voulais te voir depuis très longtemps.

Mélissa (suffoquant) : ...

Moi : Mélissa il faut que je te dise ce que tu sais déjà, te déteste Mélissa, ma haine envers toi est très profonde et je ne sais pas pourquoi ; c'est inexplicable

Mélissa(coulant des larmes) : ...

Moi : tu veux parler ?(libérant sa bouche) dis moi quelque chose avant de mourir

Mélissa : Ma... Fille... A...a..a...Amy...

Moi : C'est dans 5...4...3...2...1...Adieu Madame, salut moi ma mère et mon père si tu les vois, dis leur que je les aime fort. Désolée de t'avoir fait ça (respirant) Ah maintenant je me sens soulagé.

Je suis sortie en refermant la porte, il n'y avait personne dans le couloir et je n'ai croisé personne non plus. Quelle chance, j'ai accomplit ma mission en beauté.

***Fin du Flashback***

***Mathis***

Moi : je n'en crois pas mes oreilles, où a tu trouvé du poison

Amy : ce n'est pas une question que tu dois poser à une ex tôlarde. Il y a tout en prison.

Moi : et tu vas y retourner je t'assure

Amy : pas sans toi. 

Moi (me passant les mains au visage): va-t-en sors d'ici avant que je ne change d'avis.

Amy : Si tu veux on peut s'en aller loin de ce pays toi et moi

Moi : m'en aller avec toi une folle dingue ?

Amy : Bon d'accord c'est comme tu veux, je ne te force pas.

Moi : c'est méchant ce que tu as fais

Amy : il fallait que je la tue Mathis, elle devrait mourir ainsi, il le fallait sinon je ne serai jamais tranquille. Quand je la vois j'ai envie de lui sauter dessus, de l'étrangler, de lui couper la respiration. Il fallait que Mélissa meurt.

Moi : Mon Dieu ce n'est pas possible je ne comprend pas cette haine. Tu n'es pas normal

Amy : Mon téléphone sonne(me faisant la main) Oui allô ? okay je suis là dans dix minutes attends moi (me regardant) je m'en vais, je reviendrai

Moi : ne cherche plus jamais à me voir. 

Amy : non c'est impossible ce que tu me demandes

J'ai attendu qu'elle sorte avant de prendre mon portable. J'ai tout enregistré, j'ai mis l'enregistreur en marche bien avant de descendre de la voiture, c'était le seul moyen de l'avoir. 

Moi : Tu ne t'en sortira pas comme ça Amy, tu dois payer pour ce que tu as fais.

Vite vite, il faut que j'enregistre et je balance ça sur le whatsapp de Régina rapidement. 

(Des Coups contre la porte)

Moi : C'est qui?

Toc toc toc

 Moi : C'est qui ?... Qui est là ?

Voix d'homme : Moi Monsieur

Moi : Toi qui?.... 

Silence 

Moi : Qui est ce?

J'ai posé mon portable , en ouvrant la porte, elle m'est tombée dessus, j'ai reçu le premier coup de sa part, elle m'a roué de coup. 

Moi : Amy...Ayii...

Elle m'a envoyé des coups de poings et de pieds dans le ventre. J'ai pu me relever et lui donné un coup avant qu'elle ne me projette au sol. Et deux autres hommes m'ont soulevé et maintenir fermement

Moi : Tu es folle?

Mon portable c'était mit à sonné aussitôt

Amy (prenant mon portable) : Madame Régina, qui est Régina? Attends j'ai entendu ce nom déjà (fouillant) Oh tu étais sur le point de faire quoi?

Moi : pose mon téléphone Aminath

Amy : Tu me prends pour qui Mathis ? Je savais que tu m'enregistrais

Moi : tu me déposes ça

Amy : Tu veux savoir où j'ai appris à me battre?

Moi : Amy donne moi mon portable s'il te plait 

Elle a fait écouté l'enregistrement un moment avant de couper.

Amy : Non sérieux (me le tendant) tiens ton portable... tu m'as fais ça ? Tu voulais l'envoyer à qui?

Moi (maintenu par ces deux gaillards) : Aminath

Amy : Tu veux ça ? d'accord

Elle a d'abord ouvert le portable et a prit la carte mémoire avant de le  briser en mille morceaux

Moi (hurlant): nonnnn

Amy : Je t'ai dit que tu allais couler avec moi. Si je tombe, tu tombes aussi sois sûr de cela

Moi : assassin, lâchez moi 

Amy : Ne me sous-estime plus jamais

Moi : tu n'es qu'une vipère, misérable assassin

Amy : Je t'aime bien mais je vais devoir aller de main forte avec toi, tu m'y a obligé. 

Moi : demande à tes hommes de me relâcher et tu verras

Amy : J'ai bien envie de t'achever ici même Mathis, mais non je réserve ça pour plu tard (regardant ses gorilles) on l'attache

Moi (essayant de me libérer de toute mes forces) : relâchez moi...Amy tu es une criminelle, autant me tué en même temps sinon si tu me laisses vivant je te jure que...

Coup contre la tête

J'ai ressenti le coup très violent sur la tête et puis rien je suis tombé dans les pommes. 

***Lara***

Régina : Il ne décroche pas

Moi : Voilà, je savais, tu as dit de lui faire confiance et voilà il s'est en fuit, il est complice, c'est lui qui est derrière tous ça

Régina : qu'est ce qui se passe Seigneur

Moi : On aurait pu appeler la police depuis

Régina : bizarre maintenant ça ne sonne même plus. Il l'a éteint on dirait

Moi : Alors que tu lui fais tellement confiance, je n'arrive pas à croire. 

Regina : On fait comment?

Moi : On a pas d'autre choix que d'informer la police et Pavel et de nous rendre là-bas

Régina : d'accord mais tu  connais chez lui?

Moi : Non, pas toi?

Régina : mais non

Moi : l'inspecteur doit connaître, on appel Pavel d'abord. Mais si il s'enfuit avant notre arrivé

Régina : je ne sais pas

Lara : ce sera à cause de ta confiance aveugle 

Nous avons cherché longtemps la ligne de Pavel, il se méfie beaucoup et ça se comprend, on était obligé d'aller chez sa mère le chercher, il connaissait aussi chez Mathis. Nous nous sommes rendus directement là-bas. On était surpris par ce qu'on voyait. Mathis était attaché ligoter à une chaise. 

Régina (se précipitant) : Mathis ? Mathis?

Moi : Il est mort?

Pavel : Je ne crois pas.

Moi : mais qui a fait ça ?

Régina : L'assassin de Mélissa j'en suis sûre. Il est vivant, il respire.

Moi : il faut verser de l'eau fraiche sur lui il va peut être se réveiller.

Régina : vas chercher alors

Moi : Où? Ce n'est pas chez moi ici, 

Régina : je ne sais pas, cherche où se trouve la cuisine.

Moi (m'en allant) : oh oui la cuisine

Régina : et un couteau pour couper les cordes.

J'ai cherché l'eau fraiche que j'ai aspergé sur lui et il est revenu tout aussi surpris.

Mathis(revenant à lui) :...

Je ne sais pas si il fait semblant ou pas mais ceci ne me dit rien de bon.

Mathis(regardant dans tous les sens): Elle est partie...?

Régina : Qui vous a fait ça ?

Mathis : Aayii ma tête...

Moi : vous êtes dans un sale état, qui vous a fait ça ?

Mathis : cette fille

Pavel : Elle est où la fille ?

Régina : c'est cette Amy qui a tué Mélissa ?

Mathis : Oui ahhh 

Pavel : Alors où sont les preuves ?

Mathis : j'ai... J'ai tout enregistré, sur mon portable... Et ...

Pavel : le portable est où?

Moi : ce n'est pas ça ici brisé en mille morceaux?

Mathis : elle... Oui c'est mon portable, elle est partie avec la carte mémoire. J'ai tout enregistré sur la carte mémoire et elle..

Moi : vous voulez dire que cette femme a avoué avoir tuer Mélissa et vous avez tout enregistré ensuite elle vous a fait ça et elle est partie avec la preuve?

Moi : oui. Détachez moi s'il vous plait

Régina : passes moi le couteau

Moi : tu veux faire quoi?

Régina : le détaché non

Moi (la regardant) : tu le crois toi? Je pense qu'il a tout manigancé c'est un complot entre eux.

Régina : ...

Pavel : je pense aussi la même chose

Moi :  Mathis vous êtes celui qui a tué Mélissa sinon dite nous comment vous vous êtes laissé battre et attacher par une femme. Non mais s'il te plait Régi il ment

Mathis : je dis la vérité. Elle était avec deux autres hommes.

Pavel(le regardant) : La police arrive. Si vous avez tué ma femme, vous allez le payer.

***Mathis***

Fatigué de dire la même chose, il ne me croiront jamais, je viens de perdre la seule preuve que j'avais pour m'innocenter. Ils me croient coupable comment vais je me défendre à présent ? La police sera là d'un instant à l'autre. 

Moi : Vous pouvez au moins me libéré ?

Lara : cette fille reste où ?

Moi : je l'ignore

Lara : a d'autre oui

Moi : De toutes les façons vous ne croyez pas un mot de ce que je dis.

Régina (libérant les cordes) : alors on fait comment?

Moi : peut être ma mère connait chez elle?

Lara : votre mère connait cette femme aussi?

Moi (résistant aux douleurs) : oui...

Lara : elle n'aimait pas Mélissa si ça se trouve c'est elle qui..

Moi (la coupant): non non non ma mère n'a rien à voir avec la folie d'Amy.

La police a fait son entrée dans mon salon. Après avoir posé mille et une questions il s'est prononcé.

Policier : M. Mathis DAGA  je vous arrête pour complicité dans le meurtre de Mélissa do Régo, prière garder silence parce que tous ce que vous diriez sera retenu contre vous au procès.

En ce moment où il me passait les menottes, j'ai senti tous mon être se vider, j'avais comme l'impression que le sang ne circulait plus dans mes veines. Me voilà menotté comme un criminel entrain d'être transporter à la prison pour un crime que je n'ai jamais commis. Est ce ainsi que je devrais finir, est ce mon destin?

A suivre ...

Vie de femme : L'imp...