Tout pouvoir a un prix
Write by Nephelym
Les 7 confréries deuxième partie
Chapitre 6 : tout pouvoir a un prix
brusquement il s’arrêta car sa sœur était là agrippant son bras, en lui disant // grand frère non ne fait pas ça ,ne devient pas comme eux ne m’abandonne pas // en pleurant de tout son cœur jusqu’à ce que ces larmes vinrent toucher le bras de son frère. DJEEKA restât immobile un instant on l’entendait prononcer le nom de sa sœur, il lâcha EVEYAN et se mit a hurlé tout en attrapant son masque comme si il était pris de folie. Dame sabot se dit que c’était une occasion à ne pas raté elle s'approcha de DJEEKA rapidement et d'une main se saisit d'une des défenses du masque et d'un coût sec elle arracha le masque du visage de DJEEKA qui se mit a hurlé encore plus de douleur son visage était rouge et une vapeur noir s’échappa de son visage. Petit à petit il reprit ses esprits et commença à demander pardon pour les avoir mis en danger. Dame sabot lui parla // C est la première fois que tu portes le masque DJEEKA et cela sans entraînement et crois-moi tu t’en es bien sortir. Ne t’excuse pas ce n’était pas de ta faute bien que l AMOUÏ nous sert à protéger les innocents, il est aussi très dangereux et très difficile à contrôler .C’est pourquoi on isolait toujours l’héritier dans la forêt sacré pour son entraînement. Tout le monde ne s'en souvient pas mais dans le passé un dès héritier c'est laisser complètement dominer par le masque et a décimé tout un village alors qu'il était partir combattre une manmiwata (sirène des eaux) donc fait attention. J’ai une idée sur quelqu’un qui pourra t entraîné plus tard je vais te conduire à lui//
DJEEKA// non je ne vais plus jamais porter le masque//
Dame sabot// tu es obligé mon petit-fils, tu es obligé de le porter sinon les 7 confréries vont tous nous massacrés//
CAROLE // Je pense que nous devons rentrer avant que quelqu’un d’autres n’arrive et puis nous devons soigner tes blessures grande mère//
EVEYAN // Oui manmi (grande mère) elle a raison et je suis désolé pour ton bras arraché. Qui va bien pouvoir nous faire un bon plat de foutou maintenant ?//
CAROLE // Tu es sérieux là, tu penses à manger dans cette situation tu n’es pas possible //
Dame sabot // t’inquiète pas j’ai bien appris la cuisine à ma petite fille CAROLE //
DJEEKA// en tout cas je ne vais pas prendre le risque d'y gouté//
DJEEKA et EVEYAN se mit à rire. Quelques temps plus tard ils réussirent tous a rentré à la maison CAROLE soigna les blessures de sa grande mère et tous était à son chevet au lit. Dame sabot// cCétait chaud mais on c’est tous en sortir sauf moi en partie j’aimais bien ce bras .//
DJEEKA// Ça va aller grande mère on est là pour toi on t’aidera dans tout. //
CAROLE// Tu pourras toujours compter sur nous. //
EVEYAN // Surtout sur moi manmi (grande mère) regarder ce que j’ai entre les mains. //
DJEEKA // j’y crois pas c’est le billet de 10000 franc que le ministre nous avait jeté //
EVEYAN // Oui ont pourra se faire quelques morceaux de porc au four avec.//
CAROLE// c est pas croyable que tu es idiot toi //
DJEEKA // avec beaucoup d'atieké (couscous à base de manioc)//
Grande mère // N'oublier pas de m’acheter une grosse bouteille de sucrerie //
CAROLE // Vous êtes tous pareil ici qu’est-ce que on attend allons vite sinon il n'y en aura plus. //
Et tout le monde se mit à rire. Après ce joyeux festin de porc au four EVEYAN demanda la route car tout le monde doit être mort d’inquiétude chez lui, il laissa ces amis qui lui ont demandé d’être prudent sur la route. Arriver plus loin sur son chemin qui n’est plus à la porter de vue de ces amis une brume noir recouvrir la route et on entendit des voix qui disaient pourquoi, pourquoi n'a tu pas profiter quand ils étaient faible. EVEYAN dit alors // montrez-vous // deux silhouettes apparu et une vient se prosterner devant lui en disant // on raconte que vous êtes devenus faible et que vous avez des sentiments pour eux et cela peut nous causés des problèmes à tous. Certains pensent à faire un coût d’État. Vous devez envoyer un message // EVEYAN plongea sa main dans son crâne et lui arracha le cerveau et dit à l autres silhouette // voilà mon message Soumenfouai (envoyé) dit autres membres de la sixième confrérie ce qui vient d’arriver au siglouèlai (conseiller) et dit leur que pour leur nanabaefouai le jeux ne fait que commencé.//
Fin de la deuxième partie