Tracy

Write by Boboobg


.... Céleste Mbolo....

Je sors de mon stage dans une société juridique de la place de Saint Barthélemy quand l'envie de l'appeler encore une fois me prend. Et comme depuis hier dans la nuit, je tombe sur son répondeur. 

Je n'ai pas pu dormir de la nuit car à chaque fois que je fermais les yeux, j'entendais sa voix à l'autre bout du fil me dire qu'il était à ça d'y passer. Qu'est ce que cela veut dire que d'être à ça d'y passer ? 

Il pensait parlé à sa sœur et pourtant c'est moi qu'il a appelé. Cela fait des mois qu'on ne s'est parlé mais c'est mon numéro qu'il a composé. Alors sans pour autant le vouloir car normalement je m'en fou de sa vie, je m'inquiète et ça commence à me hanter de ne pas savoir le pourquoi du comment. 

J'avise l'heure, il est 14h45 minutes. J'entre sur Google et regarde le prochain TGV pour Londres qui est dans vingt minutes. Prise d'une sorte de folie passagère, je montes dans ma cadillac offerte il y'a tout juste deux mois par mon fiancé, fiancé que je semble avoir oublier en cet instant et démarre pour la gare. 

De toutes les façons, il est dans les vignes en ce moment, et dès ce soir je serai de retour. 

Quand j'ai dit dès ce soir, es que j'y ai vraiment réfléchi ? Car il est fait presque nuit quand j'arrive à Londres et commande un yandex taxi pour l'appartement de José. Je ne sais pas comment il réagira sans doute qu'on se disputera et je finirai par m'en aller mais au moins, je n'aurai plus cette boule au ventre en pensant qu'il est peut être en danger ou qu'il lui ai arrivé un pépin. Pourquoi je m'inquiète autant ? Je ne saurai répondre à cette question. 

Coût de chance, au moment où je descend du taxi, un résident est en train de sortir. J'en profite pour pénétrer dans l'immeuble et prend l'ascenseur jusqu'à son étage. J'espère que cette fois ci, sa copine machin chose dont j'ai oublié le prénom ne se comportera pas comme la dernière fois. Je ne veux pas de son mec, je veux juste être sûr qu'il aille bien c'est tout. 

Je sonne à la porte, il tarde à venir ouvrir alors je me met à torturer la pauvre sonnette qui retenti dans tout l'appartement. 

Quand la porte s'ouvre sur un José en sous vêtements, une barbe de plusieurs jours avec des yeux gonflés et rougis;j'étouffe un cri de surprise en reculant de deux pas. C'est qu'il fait peur celui là. Il ne se ressemble pas du tout. 

José : Céleste ? Mais qu'est ce que tu fou ici ? 

Je ne réponds pas et me contente de le regarder. J'ai un pincement au cœur en pensant qu'il va vraiment très mal car celui que j'ai devant moi, est loin d'être le José toujours propre sur lui, le mec super BG qu'on a envie de croquer qu'il a toujours été. Là, devant mes yeux on dirait une pâle représentation de lui. 

Moi : qu'est ce qui se passe Onda ? 

José : tu devrais d'abord me dire ce que tu fous là ! 

Moi : je suis venu voir comment tu vas parceque tu m'avais paru bizarre hier au téléphone et je vois que je ne m'étais pas trompé. 

José : tu veux me faire croire que tu es venu jusqu'ici à cause d'hier ? 

Moi :puisse que tu ne réponds pas au téléphone. 

José : je t'ai pourtant dit que c'était une erreur. C'est à Hope, ma sœur que je voulais parler. Bref tu devrais rentrer chez toi. 

Je force le passage dans son appartement qui est plongé dans le noir. José referme la port derrière lui en soupirant. 

Moi : ou est ta copine ? 

José (s'en allant dans le couloir) : partie! 

Moi : comment ça partie ? Je te signale que tu ressemble à un mort vivant là et elle ne trouve rien de mieux que s'en aller?

José : Céleste Mbolo je dormais quand tu es arrivé et comme je ne t'ai pas demandé de venir alors fou moi la paix. Et quand tu en aura assez de rester là et que tu voudra rentrer chez toi, vas t'en sans me faire chier merci. 

Moi (le regardant) : pourquoi il faut que tu te sentes toujours obligé d'être condescendant avec moi ? 

José(s'énervent) : JE PRÉFÈRE ME TAIRE C'EST MIEUX ! 

Moi (criant a mon tour) : ne commence pas à jouer à celui qui crie le plus fort car tu sais que je serai la gagnante. Putain je viens de faire cinq heures de train pour te voir et tout ce que tu trouves à faire, c'est de me crier dessus ? 

José : qui t'a demandé de venir Mbolo ? Qui ? 

Moi : toi Onda ! C'est toi qui m'a demandé de venir quand tu as passé cet appel hier. Et ne me dit pas que c'était une erreur car ça aurai pu tomber sur n'importe quel autre numéro mais c'est sur moi que c'est tombé. Alors que tu le veuilles ou non, je suis là et je reste. 

On s'est jaugé du regard pendant un court instant avant que José ne prenne la route de son couloir en soupirant. Il a perdu du poids ! 

Dès qu'il a disparu, j'ai allumé toute les lumières de l'appartement. Ça sent fort l'ail et je n'aime pas. 

J'ai enlevé mon manteau que j'ai déposé à l'entrée avant de retroussé les manches de ma chemise valenciaga, d'enlever ma bague de fiançailles et de regretter en avance ma magnifique manicure. 

Je me suis mise à balayer, nettoyer, astiquer tout les coins et recoins de ce grand appartement pendant que José ronflait dans son lit comme un ogre. On dirai un caniche de chien mal entretenu cet appartement et dire qu'il y'a une femme ici pffff ! 

La grande quantité d'ail et de sel que j'ai trouvé m'ont mise sur la voie. Je suis allé prendre une douche avant de mettre une grande chemise de José car je ne me voyais pas m'habiller avec un des vêtements de sa copine. C'est tellement passé de mode ! Les seuls marques assez présentable seulement du Zara et Aldo ! Ça fait deux ans que je n'en porte plus ! 

J'ai mis mes vêtements à laver et je suis allé voir ce qu'il y'avait dans son frigo. J'ai fini par mettre du poulet au four et de faire une salade simple avec de la lêtu, de l'oignon et de la tomate. 

C'est en nettoyant le four après avoir mis la table que j'ai senti son regard sur moi. Il était maintenant habillé d'un pyjama, rasé et sentait fort le savon liquide que j'avais vu dans la douche. 

Moi : qu'est ce que tu regardes ? 

José(yeux brillants) : toi qui te comporte comme si tu n'étais plus toi. Je n'aurai jamais cru que la grande reine savait se servir de ses dix doigts de la sorte!

Moi :... 

José : je croyais que tu étais parti. 

Moi : et j'allais te laisser dans cet état ? 

José : pourquoi pas ? 

Moi (soupirant) : vient manger ! 

José : Céleste si Wendy arrive et te trouve là, je... 

Moi : je lui dirai droit dans les yeux que je suis venu toute seule car j'ai senti que tu avais besoin de moi. C'est tout!Et si elle veut me faire chier je lui apprendrai que je suis la fille de Sira Mbolo et que de la même façon que je sais mettre mon manicure hors de prix de côté pour faire le ménage, c'est de cette même façon que j'oublierai mon broaching pour un crêpage de chignon. Parceque quand on a la lâcheté de laisser quelqu'un dans cet état, on ne peut pas avoir le courage de venir demander des comptes à celle qui s'en occupe. 

José : tu ne sais pas ce qu'on traverse, tu ne peux pas comprendre. 

Moi : comprendre quoi Onda ? Que tu te crois hanté ? Que tu ne dors plus à cause de ça ? 

Il ouvre grand les yeux et me regarde comme si j'étais un démon. 

Moi : j'ai vu toutes l'ail que tu as utilisé ici. C'était assez facile à deviner. Maintenant viens manger et dis moi tout. 

L'on s'est mis à table et c'est en mangeant qu'il s'est mis à me raconter toutes leurs histoires. Je n'ai pas été plus surprise que ça. Dans ma famille, tata Ndora se fait un plaisir de nous raconter depuis la tendre enfance toutes les histoires de fantômes auquelles elle a eu à prendre part. 

Moi : je comprends pourquoi ta copine est partie même si moi je ne t'aurai pas laisser te débrouiller tout seul. 

José : bien sûr vu que tu as préféré partir pour moin que ça ! 

Moi : pffff en tout cas, en ce moment c'est moi qui suis là et pas elle. 

José :.... 

Moi : j'ai jeté tout le sel que j'ai trouvé et l'ail aussi. Ça sentait trop fort. 

José : tu es sérieuse? Je fais comment pour dormir moi? 

Moi : tu as bien dormi deux bonnes heures après que j'ai eu a nettoyer cet appartement. Aussi longtemps que je suis là, cet esprit ne se pointera pas. 

José : pourquoi tu sembles si sûr de toi ? Et comment es que tu me crois sur parole ? Comment ça se fait que tu ne doute même pas ? 

Moi : je suis une Mbolo et dans la famille les histoires d'esprits, de démons et tralala sont monnaies courantes. Plus jeunes, on nous lave tous et nous purifie pour ne pas que l'on puisse nous attaquer mystiquement. Dès l'instant où j'ai franchi le seuil de chez toi, cet esprit s'en est allé. Je penses que ce n'était pas une erreur mais ton instinct de survie qui t'a fait faire appel à moi hier soir. 

José reste silencieux un moment avant de se remettre à manger. Quand il a fini, je débarrasses et met le tout dans la machine avant d'aller sortir mes vêtements de la machine à laver tout en appelant George. 

George : Allo. Mon amour ? Je n'ai pas cesser de d'appeler depuis, ou es tu ? 

Moi : chéri, je suis à Londres. 

George : mais qu'est ce que tu fais à Londres ? Tu es sérieuse ? 

Moi : je t'expliquerai plutard mais j'ai dû tout laisser en plan pour venir. L'une de mes très bonnes copine a besoin de moi ! 

George : mais ton stage ? Et moi dans tout ça ? 

Moi : bébé, elle est malade et alité à l'hôpital. Ses parents sont aux pays, je suis la seule qu'elle a pu joindre. 

George : tu s raison, désolé mon cœur. Juste que je n'aime pas te savoir loin de moi. 

Moi : moi non plus bébé. Je compte sur toi pour donner une excuse à mon stage. Je resterai quelques jours au plus tard quatre pour m'assurer que tout ailles bien pour elle. 

George : d'accord amour. Tient moi au courant de tout. 

Moi : merci d'être aussi compréhensif chéri. 

George : je t'aime ma belle. 

Moi : moi aussi chéri. Je t'appelle demain. 

Je raccroche et me retourne sur José que j'ai senti derrière moi depuis un moment déjà. 

José : alors comme ça je suis une copine ! 

Moi : ne me remercie surtout pas. 

J'ai étalé mes vêtements en regrettant de ne pas avoir pris une petite valise, tout simplement de ne pas avoir pris du temps pour réfléchir avant d'agir. Il se fait déjà tard, j'appellerai Tata demain pour savoir quoi faire. Et demain j'irai m'acheter quelque chose de commode à porter ses quelques jours , il y'a une boutique Mango dans les parages. 

Comme je ne voulais pas dormir dans la chambre où ils font leurs choses avec sa copine, je me suis installé dans la chambre d'ami. 

J'étais sûr le point de tomber dans les bras de morphé quand j'ai entendu la porte grincer et vu José pénétré dans la chambre en mode voleur. Il s'est glissé sous la couverture et je n'ai pas tardé à sentir ses mains se balader sur mon corps. Je me suis laissé faire.

Il m'a retourné et a grimpé sur moi en y pesant de tout son poids. J'ai passé mes mains de part et d'autre de sa taille et me suis mise à caresser son dos. 

C'est avec une très grande douceur et une tendresse inouïe que nous avons fait l'amour. Comme si plus rien d'autres n'existait en cet instant à part nous et nos deux corps qui se lovaient. 

José (soupirant d'aise) : merci d'être venu à mon secours . 


.... Alphansia Onda.... 

Nous sommes à Disneyland Fabian, Prue, Sidney et moi. On s'amuse comme des enfants en allant de manège à manège quand Sid propose qu'on aille dans le château de Raponse. 

Je leur fait savoir que ça ne m'intéresse pas car je préférerai voir vahana. On fini par joué à pierre papier ciseau et c'est Sid qui l'emporte. 

Nous sommes en train de traverser la foule enfants quand un vent violent se lève et que je temps d'un battement de cil, je me retrouve toute seule en pyjama dans les bois. 

Je ne serai d'écrire ou je suis, il y'a pleins d'arbres, de boue et j'entends au loin comme des klaxons de voiture. 

J'appelle mes amis mais c'est le silence qui me répond. J'entends un bruissement de pneus et me retourne pour voir un fauteuil roulant qui avance tout seul. 

Je ne me laisse pas le temps de réfléchir car la sensation d'oppression que je ressens, me dit deja que là ma fille fait attention. 

Il y'a comme une lumière "danger" qui s'allume dans ma tête et je tape un sprint digne des plus grands marathon. 

Je ne me retourne pas mais je sens très distinctement que l'on me poursuit. Des larmes de rages et de peurs coulent sur mes joues, c'est la plus grosse frayeur de ma vie. 

Le vent se lève à nouveau et j'entends un rire, seigneur ! Le genre de rire qu'on les méchants dans les films d'horreur et soudain je me retrouve dans une maison, plus précisément une vaste chambre à couché. 

La chambre est calme et je peux distinguer des formes sur le lit. Je m'approche et trouve deux magnifiques gamins avec un bébé sur le lit. Leur mère entre dans la pièce et vient les embrasser chacun avant de prendre place à côté d'eux quand un homme entre. Je reconnais alors papa et me rend compte qu'il s'agit de nous. 

Ils discutent tous les deux, il semble lui donner une mauvaise nouvelle car même si je n'entends rien, je vois comment maman réagi. Je m'approche d'elle et essaie de la toucher mais mes doigts passent à travers son corps. 

D'un coup, un homme apparaît devant la porte et les regardent avec haine. Je sens qu'il leur veut du mal, il nous veut du mal. 

Moi (criant) : va t'en ! Laisse nous tranquille ! 

Il me regarde et j'entends à nouveau ce rire démoniaque avant de voir papa sortir un couteau de derrière son dos et de le planter dans le ventre de maman. 

Je pousse un cri strident en ouvrant les yeux pour rencontrer ceux inquiets de maman et mamie. 



.... Hope Divine Ngakosso-Onda.... 

J'ai dû faire des pieds et des mains pour pouvoir trouver le contact de ce fameux Bruce car mine de rien, Salomé était trop occupé avec les enfants pour que je lui en parles. 

Il a donc fallu que j'appelle Glory pour lui demander le numéro professionnel de son frère afin de prendre rendez-vous. 

Au moins, j'ai appris par Anna que sa nièce était en train de veiller sur mon frère avec son étoile. Je n'ai pas bien compris mais j'ai saisi que le fait qu'il soit avec elle physiquement est suffisant pour "l'autre" ne se manifeste pas, va savoir pourquoi. 

Il est treize moins cinq quand Gloire et moi nous présentons devant la secrétaire de ce monsieur. Elle nous conduit directement dans son bureau en nous demandant de patienter car l'objet de notre visite est en réunion très importante. 

Gloire : j'ai discuté avec Sasa à propos de tout ça. Elle dit ne pas 'savoir comment il va reagir car elle ne lui a jamais vraiment parlé du côté surnaturel de notre famille. 

Moi : je me suis toujours demandé, pourquoi Salomé n'a pas de pouvoir. Étant la seule fille de votre mère, c' est elle qui devrait en avoir non ? 

Gloire : je ne penses pas que ce soit une question de genre. Si génétiquement parlant, notre son était une sorte de mutation génétique ou un allèle quelqu'conque, je crois qu'il serait plus autosomal que sexuel. Car maman a des frères et pourtant c'est elle qui a reçu tous les dons de sa génération. A part Salomé il y a aussi Chris qui n'a jamais présenté ces aptitudes là. C'est d'ailleurs pour cela que dès notre naissance, elle nous fait passer un rituel pour nous protéger car ce sang que l'on porte à tendance à attirer le malin. 

Moi : je comprends alors pourquoi elle dit que José est en sécurité en compagnie de ta cousine. Tu penses qu'il se passe quelque chose entre eux ? 

Gloire (fonçant les sourcils) : quoi tu es jalouse ? 

Moi (me défendant) : bien sûr que non ! C'est juste que je me poses des questions. 

Gloire : Hum ! De toute façon, Céleste va se marier dans quelques mois, je penses qu'ils sont juste amis mais bon, on ne sait jamais ce qui traverse l'esprit de cette folle dingue. 

Moi (amusée) : folle dingue carrément ! 

Gloire : crois moi quand je te dis que les filles et belles filles de cette familles sont toutes dingues ! 

Je suis en train de rire à cause du sérieux qu'à pris Gloire en disant quand la porte su bureau s'ouvre sur lui. L'homme se la forêt. 

C'est lui sur tout les angles sauf qu'il est bien sec. Il porte veste bleue nuit et avance vers nous en s'excusant avant de faire une accolade chaleureuse à Gloire. Aussi grand que Gloire, en ciron 1m85, teint noir, faussette, il est très bezu et me fait bizarrement pensé à "l'autre". J'enlève très vite cette pensée de mon esprit, je n'ai pas besoin d'avoir des à priori en ce moment, il me faut avoir un analyse clair de la situation auquel je dois faire face dans peu. Le temps est bel et bien contre nous. 

Bruce (se plaçant derrière son bureau) : qu'est ce que je peux faire pour toi Gloire ? 

Gloire : pour moi pas grand chose. C'est Hope qui a des choses à te dire. 

Bruce : mademoisselle, je vous écoute. 

Je prends un verre d'eau car je me sens d'un coup intimidé. Il me regarde comme si il ne m'avait jamais vu , il ne se souvient vraiment de rien. 

Moi : Il y'a précisément quatre mois j'ai fait comme d'habitude un cauchemar récurent. Dans lequel je me voisin être poursuivi jusque dans une forêt, et ensuite j'assiste à ce qui semble être un meurtre où un homme en assassine un autre. Mais il y'a une chose de changer car dans ce rêve là, je ne suis pas seule. Il y'a quelque d'autre, quelqu'un qui reconnaît l'endroit et semble totalement conscient de sa mort. C'est homme qui est mouillé, il a carrément de l'eau qui ruisselle de si corps et il me dit avant de disparaître, de transmettre à son frère Glory Kanda qu'il voulait divorcer. Cet homme que j'ai vu dans ce cauchemar, c'est vous monsieur Makele. 

Bruce se contente de ème regarder impassiblement comme si je venais de lui narrer une histoire quelconque. 

Gloire : ce soir là Bruce, ce même soir tu te noyais dans le fleuve suite à ton accident de voiture. Tu es resté dans l'eau pendant une heure et c'est dans ce lapse de temps que Hope a fait ce rêve. 

Bruce : autrement dit, j'étais mort et je vous ai apparu dans un rêve alors que je ne vous connais I d'adam ni d'eve ? 

Moi : je penses que vous m'êtes apparu à moi pour une raison précise. Mon père enfin mon père adoptif m'a dit sur son lit de mort que je devais vous trouver. Car il se trouve pour vous soyez mon pont d'encrage avec l'esprit qui me hante ma famille et moi. 

Gloire : Bruce tu penses que nous sommes fous j le sais, mais croise moi c'est totalement vrai ce que nous te disons là. 

Bruce (amusé) : tu as littéralement lu dans mes pensées Mbolo, excusez moi donc de vous demander de partir sans vojlor vous-même manqiez se respect, c'est totalement absurde. 

Gloire : Bruce s'il te plaît, écoute Hope te narrer toute l'histoire. 

Bruce : Gloire j'ai beaucoup de travail, désolé mais je n'ai pas le temps pour ses histoires à dormir debout. 

Gloire me lance un regard désolé avant de se lever et de me tendre la main pour que je le fasses à mon tour. 

Bruce : au revoir et bonne journée. 

Nous sommes presque devant la porte quand je me dis que je ne peux pas abondonné comme ça. Il doit me croire car il me faut son aide pour sauver ma famille. 

Je retourne vers lui à grande enjambe, il raccroche le combiné qu'il était sur le point de mettre à son oreille et me fixe intrigué. 

J'ouvre mon sac à main et en ressort les cartes photos que je garde toujours avec moi en les étalons sur son bureau sous le regard ébahi de Bruce et Gloire. 

Moi : voilà Alphonsia ma petite sœur que tu dois connaître, elle a 18 ans dans quelques mois et a encore toute la vie devant elle. Et cette vie, elle ne l'a vivra que si tu m'accorde ton aide. Voici mon frère, José, il est en danger en ce moment. Il ne survit que parcequ'il s'accroche à l'étoile protectrice d'une autre personne et des qu'elle s'en ira, il sera perdue. (voix tremblante) voilà ma sœur Tracy, Elle avait tout justement 18 ans, était sur le point de prendre l'avion pour ses études supérieur au Canada quand nous nous sommes faites kidnapper par son ex petit copain qui l'a par la suite sauvagement assassiné sous mes yeux. Ma. Sœur, qui n'a toujours pas trouvé la paix car dans l'au delà elle lutte sans cesse pour ne pas que cet esprit accomplisse son dessein celui de tous nous tué. Et il semble que tu es un lien avec lui, un lien assez fort pour être le point d'encrage de son pouvoir. 

Bruce (dévisageant la photo se Tracy): je connais ce visage. 





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