Au moment où l'ascenseur s'était ouvert sur mon mari embrassant madame McAllister et bien qu'ils n'étaient point dans une position confortable, j'eus comme un pincement au cœur. Je me rendais en vrai compte que la femme avec qui mon homme me trompait depuis belle lurette en vallait la peine car elle était belle, et pour couronner le tout était féconde.

Je fus encore plus crispé lorsque je remarque qu'elle avait les cheveux mouillés pendant que celui de mon mari aussi était mouillée. Je comprends alors qu'ils aient prit une douche en amoureux.

Qui pouvait réprimander l'autre à ce moment en sachant qu'il n'était vraiment pas si différent de l'autre ? Personne !

Nous restons ainsi figier surplace sans possibilité de pouvoir nous expliquer jusqu'à ce que l'ascenseur se referme sur eux. 

Je fixe Brett qui semblait le plus affecté par la situation au point d'être entrain de parler seul, il n'avait que son corps présent, son âme était carrément ailleurs.

Brett: Ce manque d'attention, ce changement brusque, la négligence du foyer et surtout l'indisponibilité pour les enfants se justifie. Elle nous sacrifiait juste pour satisfaire sa libido. 

Il parlait en tremblant de colère. Très tôt, des larmes s'échappaient l'une après l'autre de son visage...

Brett: J'ai essayé de comprendre ce que j'ai fais, j'ai même essayé le dialogue mais elle n'a rien trouvé de concret à dire. Ces nombreux appels téléphoniques en pleine nuit, ses sauts d'humeurs et agressivité c'est en fait parcequ'elle menait une double vie. Et moi qui croyais que j'étais le méchant de l'histoire ? Moi qui me prenais pour l'homme ne méritant pas l'amour d'une femme comme elle, moi qui faisait l'essentiel pour que mon couple aille bien; je viens de me rendre compte qu'il y avait plus indigne que moi. Je vis avec une femme menant une double vie.

Le voit dans cet état m'indisposait mais j'avais aussi ma propre croix, je n'arrivais toujours pas à me faire à l'idée se qui venait de se produire. Bien que je savais déjà qu'il me trompait, je ressens comme une malpropre, une sale fille, un salope !

Moi(les mains sur la tête): Je viens de détruire mon mariage. Je ne suis pas si différent de mon mari mais je l'ai jugé quand j'avais vu un string dans sa poche.

Brett: Un string qui doit forcément appartenir à ma femme !

Moi:Je suis une femme indigne !

Brett: Si tu es une femme indigne alors figure toi que ton mari est un frivole. Il ne se rend pas compte de ce qu'il perd. Une perle rare.

J'esquisse un souris avant de continuer...

Moi: Ma mère, mon père, mes frères et sœurs. Que vais-je pouvoir leurs dits?

Au même moment là porte s'ouvre sur Angus qui n'était cette-fois pas accompagné qui me demande de le suivre, ce que je fais en ayant une de ces peurs les plus indescriptible.

Avant de s'en aller, il se retournera vers Brett avant de lui chuchote quelque chose.

Après ce geste, Brett monte dans l'ascenseur en furie en bousculant tout le monde et en cassant près que tout sur son passage.

Nous prîmes avec mon mari un taxi pour se rendre chez nous. 

J'avais peur, mais alors très peur au point de suffoquer tout le long du trajet pendant que Angus était plus détendu mais en gardant ce silence intrigateur.

Nous arrivons à la maison où nous nous asseyons l'un en face de l'autre en attendant qui allait brisé ce silence pesant en prenant la parole.

Moi principalement, je me voyais déjà au bout du divorce et je me faisais déjà à l'idée qu'après cet entretien je devrais avertir mes parents de mon arrivée.

****ANGUS HART****

Elle était assise devant moi et en mieux la connaissant, je pouvais déduire qu'elle avait peur, qu'elle se remettait en question, elle avait les mains tremblante et n'arrivais pas à me regarder dans les yeux. Elle avait la tête baissée.

Pendant que de me coté je souffrais aussi intérieurement. Savoir sa femme habillé d'une manière aussi extravagante pouvait faire mal au plus irresponsable des mari. Je grinçais de colère certes mais je me remets très vite en question. Comment me victimiser si moi qui me croyais victime avait été presque dans la même posture qu'elle, j'avais aussi ma part de responsabilité.

Elle avait la tête baissée pendant que je cogitais sur comment faire. 

Mon cœur finit par s'abaisser une demi-heure plus tard avant que je n'essaie de parler mais par pour la réprimander, je voulais plutôt m'excuser.

__Je suis vraiment désolée, je ne sais pas ce qui m'a pris(Disons nous en simultané).

Cet échange de mot nous arrache un petit sourire...

Moi: Dis moi pourquoi avoir recourir à une double vie!

Elle baissa une fois de plus la tête...

Cassy: Tu me négligeais, depuis que tu as appris que mes chances de concevoir sont minimes tu as commencé à me priver de ce qui me rendait le plus heureuse. Tu es romantique certes mais après le boulot tu es toujours fatiguée. Tu ne me touchais plus, ne me complimentais quand t'en avais envie. Tu laissais surtout passer ton travail avant moi, tu sors à tout va sans me dire où tu voulais aller, tu rentres tard et tu me racontes souvent des sotises comme justificatifs, et pour couronner le tout tu me trompe comme bon te semble. Il y a plein d'autres choses mais je préfère m'arrêter là.

Devant tout ce qu'elle venait de donner comme raison, je ne pus rien dire. Je me sens vraiment mal à sa place, elle avait endurer tout cela sans pour autant rien me dire.

Cassy(continuant): Dans les débuts avec Brett, il n'était question que d'une relation maîtresse, parents d'élèves ensuite cela à évoluer pour une relation amicale pour enfin viré à là où tu sais. Avec Brett nous souffrons dans nos foyers même s'il se disait être fort. Il me réconfortait quand je pleurais à cause de tes infidélités, il me donnait des conseils comme quoi je ne devais pas te quitter. N'aurait été son aide, j'allais déjà te demander le divorce. J'avais même une fois engagé la procédure puis il m'en a dissuadé. Il m'envoyait des messages romantique chaque matin comme tu le faisais d'antan puis était toujours disponible pour moi. La chaire est faible, je n'ai finalement pas pus résisté à la tentation et j'ai sombré une première fois même après l'effort surhumain que j'avais eu à fournir. Après avoir goûté au fruit défendu, j'y ai pris goût et j'en redemandais encore plus à chaque fois. Normalement celui de l'hôtel devrait être la dernière mais Dieu en a voulu autrement.

Mes yeux étaient remplie de larmes prêt à tomber. Son discours étaient sans appel, j'étais en principe celui qui l'a poussé vers ce chemin.

Moi(soulagé): Je me retrouve dans ton discours, je crois que je suis le responsable de tout cela. 

Cassy: Ne dis pas ça...

Moi: Au début, je n'en voulais pas. Mais elle m'avait finalement proposé un travail stable, un salaire hors norme et par dessus tout des sommes à chaque fois que je la satisfaisais. Je n'avais rien et tu le savais, je devais à la banque. C'etait ça ou c'etait la rue. La première fois fut insupportable. Elle me demandais des choses que je ne pouvais imaginer, elle me faisait des choses que je n'avais jamais eu à expérimenter. Au bout d'un an, mon amour pour l'argent avait pris le dessus et j'y ai pris goût. Cette fois c'était moi qui en demande. Elle me disait comment son mari ne faisait que lui tourner le dos. Au fait,nous avons les mêmes problèmes, les mêmes fantasmes et surtout les mêmes ambitions. 

Cassy: Je croyais que tu ne voudrais pas si je te proposais des choses osés.

Moi: Ça dépend. Je te demande de m'excuser. Je ne veux pas te perdre. Jusqu'à hier je me disais que je pourrais survivre sans toi à mes côtés mais aujourd'hui je me rends compte que sans toi à mes côtés, je ne vaux plus rien.

Cassy(éclatant en sanglots): Tes paroles me touche vraiment. Je ne comptais pas te laisser, après ce weekend il était prévue que nous ne nous revoyons plus. Je m'excuse aussi chéri et je promets d'être là femme la plus demandeuse cette fois-ci. Si jamais tu me pardonnes j'accepterai l'offre de travail dans un autre primaire afin d'éviter de tomber sur Brett.

Moi(lui tenant les deux mains): J'aime vraiment ta sincérité. J'irai présenté ma lettre de démission pour pouvoir ouvrir mon propre babershop. Je veux travailler à mon propre compte avec le peu d'économie que j'ai fais. Promets-moi que tu ne me tromperas plus.

Cassy (m'embrassant): Je te le promets.

Nous nous serrons ensuite dans les bras avant d'aller nous couchés. Nous voici réconciliés ...

Cette nuit j'ai découvert une autre Cassy, plus intéressante que celle d'avant et je ne compte plus m'en lasser.

****BRITNEY MCALLISTER****

Depuis notre départ de l'hôtel et ceci dans la voiture de Brett, il n'eut mot à dire. Il n'a même pas eut l'idée de présenter des excuses, il me regarde à peine et ses mains tremblait sur le volant. J'avais peur car le connaissant , il pouvait causer intentionnellement un accident sous l'effet de la colère. 

Il roulait à vive allure sans se soucier des nombreux claçons que faisait ceux qu'il dépassait de façon risqué, des insultes que proferait les personnes qu'il risquait d'écraser, des flaques d'eau versé sur les passagers et surtout de la vie des passages. 

Moi: Mais qu'est ce que tu fais? Tu veux nous tués? 

Brett: Oui, je veux en finir une fois pour de bon.

Disait il en ayant le visage déformé, à bien le voir on aurait dit qu'il venait de pleurer.

Moi(Ton convaincant): Nos enfants ? Qui serait en mesure de les éduqués en notre absence.

Brett(criant): Je m'en fiche !

Un silence se fait...

Moi: Ta Maya, ta Mathy ? Tu ne penses plus à eux? Veux-tu qu'elles finissent sans père, sans mère et sans domicile fixe? Veux-tu qu'elles soient envoyés dans des familles d'accueil ?

Brett: Les familles d'accueil sont mieux que nous! Nous sommes des parents indignes !

Moi: Les familles d'accueil sont l'une des causes du niveau élevé de la délinquance, de la prostitution et surtout du terrorisme. Un enfant innocent peut-être transformé en un tueur sans loi ni foi quand ils tombent sur la mauvaise famille, Nicolas Cruz tu t'en souviens ? S'il te plaît ne fais pas ça !

Il diminue la vitesse, je crois que j'ai touché sur un bouton qui l'avait calmé.

Le reste du trajet se fait dans le silence absolu...

****BRETT MCALLISTER****

Même le plus charognards des hommes, le plus infidèle et le plus irresponsable surtout n'acceptera d'être coccufié.

L'idée de nous tuer tous deux m'est passé par là tête mais ses exemples m'ont carrément apaisé. Je ne veux pas et surtout en aucun cas que mes filles deviennent des délinquantes juvéniles. 

Nous entrons à peine dans la cour de notre manoir qu'elle commençait à s'indigner, je n'en fit point cas...

Britney : Tu n'es qu'un irresponsable, un homme sans coeur, une andouille. Comment as-tu pu me tromper et encore plus de cette manière ? J'ai tout en ma disposition, j'ai une voiture, une maison, un travail rémunérant. Qu'est-ce que tu veux de plus que cela?

Je soupire profondément au risque de lui en collé une.

Britney : Tu n'es pas un homme, tu es une chiffe môle. Tu as oser me dire que tu devrais aller travaillé alors que c'était pour t'envoyer en l'air avec une femme aussi crasseuse qu'elle. Dis-moi pourquoi tu es ainsi ?

Brett (criant): Tu veux que je te dise pourquoi ? Ok, je vais te le dire. Tout ton monde tourne autour de l'argent, tu ne te remets jamais en question au lieu de ça tu te victimise à chaque fois qu'on a un problème. Tu m'as trompé, je t'ai aussi trompé. Arrête avec ces idées à la con!

Elle ne dit rien puis entre dans la séjour me plantant dans la cour.

BAMMMM

Je venais d'entendre un bruit assourdissant dans l'enceinte du séjour, je cours en espérant que le pire n'arrive. Une fois surplace je constate que madame venait de casser la télévision.

Britney : je vais tout casser. Tu n'es qu'un indigne, je vais détruire cette maison !

Je ne dis rien, je ne faisais que la fixé...

D'un geste violent, elle commence à casser tous mes champagnes hors de prix mais je n'en faisais pas cas. 

Pas plus tard que dix minutes, l'enceinte du séjour était méconnaissable. Elle transpirait à grosse goûte et paraissait il qu'elle était à bout de souffle . Je me suis dis que c'était fini et qu'elle venait de passer sa colère sur les meubles et va vouloir qu'on en discute.

Elle se lève une dernière fois en se dirigeant vers mon bien le plus précieux, ma montre Graff Diamonds Hallucination qui autrefois appartenait à mes grands parents, c'etait un cadeau d'une personne haut placé, elle coûte 55million de dollars.

Le prix importe peu mais elle était un objet précieux pour moi...

Elle le prend puis commença à se défouler la dessus pendant que j'étais sous le choc vu qu'elle savait pertinemment qu'elle était très précieuse pour moi.

Britney(essoufflé ): je vais tout saccagé dans cette maison...

Pour moi s'en était de trop, je prends une décision ferme.

Moi(ferme): Je demande de divorce !

Britney : Et je te l'accorderais!

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