L'harceleuse de nonne

Ecrit par Verdo

Description

*La force de L’écriture* et *les chroniques de Verdo Lompiol* Présentent *L’HARCELEUSE DE Nonne* (Nouvelle) Une inspiration de *Florent LEGONOU* Ecrit par *Verdo Lompiol* et *Nick LEGONOU* ****Préambule**** « Oh yeah! Vas-y plus fort, touche mes entrailles et défonce-moi la chatte comme jamais. ». Deux coups de pioche ne suffiraient pas à me faire atteindre mon orgasme et complètement m’anéantir car mes pulsions sexuelles sont plus profondes qu’un puits. Etant allongée sur la table de mon bureau, j’écartai bien mes jambes histoire de faciliter la pénétration de son long bangala qui n’attendait que le passage soit ouvert. Au point où j’oubliai le serment fait au Seigneur Jésus-Christ. Je vous laisse découvrir. N’oubliez pas d’aimer la page et aussi de partager l’histoire. Vos suggestions et commentaires seront la bienvenue. ******* Je m’appelle Eveline. J’ai treize ans et je suis issue d’une famille hyper riche de la capitale. Mon père est commissaire aux impôts et ma mère directrice de cabinet au ministère des transports publics. Compte tenu de leurs statuts et de leurs postes de responsabilité, ils ne nous permettaient pas de se mêler au monde extérieur histoire d’éviter des scandales. Pour cela, nous restions souvent cloitrés chez nous même si l’envie de sortir se défouler ou se rendre chez des amis nous prenait. D’ailleurs, on n’en avait pas. Notre chauffeur, devenu notre garde du corps suivait nos moindres faits et gestes à la loupe. Même Donald Trump est moins surveillé que nous. Pour papa, moi personnellement je devrais me rendre au couvent après l’obtention de mon baccalauréat et devenir une sœur en Christ parce qu’il avait fait cette promesse à sa défunte mère. Je paraissais la plus sérieuse et calme contrairement à mes autres sœurs; raison pour laquelle il a jeté son dévolu sur moi. Je me mettais dans le bain au début mais les choses ont commencé à changer au à mes quinze ans. A l’école, les camarades passaient leur temps à raconter leurs délires des soirées qu’ils organisaient ainsi que leurs petites amourettes et de flirts avec des mignons garçons. Je m’évadais dans mes pensées tout en imaginant à quel point ce serait croustillant de serrer aussi un beau gosse dans mes bras et pourquoi même pas l’embrasser ? Ce que je n’ai jamais fait de toute ma vie. Les films, séries et feuilletons auxquels je commençais à m’intéresser n’ont fait qu’augmenter en moi cette envie d’essayer. Ce que papa ne tolérerait sous aucun prétexte. Au cours de l’année scolaire, un nouvel élève rejoindra la classe et dès que mes regards se sont posés sur lui, je commençais par fantasmer. Avec un teint métissé, des yeux bleus et un physique d’athlète, il me faisait planer tout simplement. Assis juste dans la rangée d’à côté, je suffoquais quasiment en sa présence. Je pensais mon temps à rêvasser et c’était difficile de me concentrer. C’était la première fois que je ressentais cela vis-à-vis d’un garçon mais le problème est que j’étais renfermée sur moi-même et personne n’osait m’adresser la parole. Plus les jours passaient et plus ce désir ardent d’être avec lui me brûlait de l’intérieur. Mais un soir, après le cours de sport, je pris mon courage à deux mains pour lui parler. Fort heureusement, il était très ouvert et Le courant est bien passé. Il m’a donné son prénom usuel, Brice et on s’échangea nos contacts. A l’école, on était tout le temps ensemble. Les autres camarades trouvaient assez étrange ce changement soudain vu que grâce à lui, je parlais maintenant aux autres. Durant les soirées et les week-ends, on passait notre temps à s’écrire. En quelques semaines, on était devenus inséparables. Il me manquait dès qu’on se quittait et le fait que je ne pouvais pas le voir en dehors des heures de cours me frustrait énormément. C’est là que des idées de fugue commencèrent par me traverser l’esprit. Mais comment arriverais-je à me débarrasser de ce foutu garde du corps ? C’était ça mon principal souci. J’échafaudais des plans pour sortir en douce de la maison. Et surtout sans que personne ne le sache. J’imaginais donc un plan infaillible à la Michael Scofield dans Prison Break. Brice me rendait complètement folle. Il avait un côté Bad boy que je me surprenais à aimer. C’est ainsi qu’un samedi soir autour de vingt deux heures où tout le monde était couché que j’ai décidé de passer à l’action. Dans la journée, j’ai d’abord pris soin de voler un trousseau de clés dans la chambre du gardien. Dans la soirée, j’ai fait mine d’être épuisée en allant me coucher très tôt alors que c’était juste une ruse pour pouvoir bien me préparer. Et quand il sonna vingt deux heures, j’ai décidé de sortir. J’ai gonflé ma couverture avec mes cousins et mon ours en peluche comme dans les films pour ados et j’ai éteint la lumière. Les domestiques dormaient profondément, épuisées par les travaux de la journée et ces fainéants de gardiens qui ronflaient déjà. J’avais vraiment beaucoup de chance. Très lentement, j’ouvris le portail et le referma pareil. Bien entendu, Brice était au courant de mon plan et il m’attendait déjà à quelques mètres de la maison sur une grosse moto avec deux casques. Avec son look de biker qui faisait ressortir ses muscles, il était trop sexy. Quand j’arrivai à sa hauteur, il m’embrassa avec fougue. Waooo, c’est donc ça la sensation quand on embrasse quelqu’un? Mon cœur battait la chamade et plus que jamais, je ne regrettais pas le moins du monde mon choix. Nous nous dirigeâmes alors vers une boîte de nuit assez hot de la ville. Il y avait des coins de la ville que je ne connaissais même pas bien. Le dehors est autant sucré et les parents nous enferment à la maison? Nous arrivâmes enfin. C’était plein à craquer. De l’alcool à gogo, de la bonne musique, de la danse, tout ceci était nouveau pour moi. Mais apparemment, mon acolyte était tout à fait à l’aise dans cet environnement. Il m’offrit un verre et réserva un carré VIP pour que nous soyons que tous les deux. Là, bercés par cette bonne musique et avec l’effet de l’alcool nous nous enlacions, nous nous embrassâmes une fois de plus avec passion. C’était juste le bonheur total. Je n’avais qu’une seule envie: celle de me perdre dans ses puissants bras. C’était comme dans un rêve où il était dans mes pensées. Sur mon visage se lisait facilement « Pourquoi ne pas aller plus loin ? ». Puis l’idée de danse me vint à l’esprit. Je le saisis par mes deux bras et le fis lever tout en me plaquant corps et âme contre son corps de rêve et ses muscles époustouflants. Etant élancé plus que moi, je montai sur mes orteils en dirigeant vers ses lèvres les miennes qui n’attendaient que le prolongement du jeu. Mes deux mains autour de sa taille, il prit ma tête entre la paume de ses larges mains et les plongea dans mes cheveux. Je ne savais pas que c’était hyper cool de se blottir contre le corps d’un garçon. Pourtant père me disait souvent que c’était mal. Pourquoi alors me mentait-il ? Je sentis à ce moment des vibrations dans tout mon corps et mon cœur battait un peu plus que la normale. Il passa ensuite ses mains dans mes oreilles et se dirigea vers le bas de mon corps destination mes popotins. Je les sentis se plonger dans mon slip où il commença à me les caresser vigoureusement. Me tenant difficilement debout, je me laissai tomber dans ses bras en fermant les yeux. Donc il y a un quelque chose de plus douce que le mot même ? Il me prit dans ses bras et me déposa doucement sur le divan sur lequel on était assis. Me déshabillant, je ne cessais de me répéter dans ma petite tête qu’il fasse vite pour me pénétrer voir l’effet que ça faisait la première fois. J’avais hâte qu’il me défonce car je suis à l’agonie de plaisir et plus rien ne pourra m’arrêter. Il s’allongea à moitié sur moi et m’embrassa le cou puis ensuite lécha tout mon corps. Saisissant mes deux seins avec ses mains, il me caressa simultanément les bouts avec son pouce et son index. Je vous avoue que c’est est bien dêh ! Je tournai ma hanche sous lui telle un moteur d’un moulin mécanique. Ensuite il introduisit sa langue dans le creux de mon ventre précisément à l’emplacement de mon nombril et me fit de petites caresses. Je ne contrôlais plus ma respiration. Mon cerveau cadenassé de désir, je n’attendais qu’il me pénètre avec son pénis à la taille d’un tronc d’arbre. Bizarrement, je n’avais aucune peur en moi en ce moment. On dit souvent que ça saigne la première fois mais moi, je voulais juste savoir l’effet que cela faisait d’autant plus qu’il m’a mis en confiance. Sentant que je suis bien mouillée et excitée, il saisit le catalyseur de mes plaisirs ; mon clitoris. Le seul fait d’y toucher m’amena directement au septième ciel. Avec ma main gauche, j’attrapai son pénis et le branlai à plusieurs reprises avant de le mettre dans ma bouche. Je saisis le bout et comme je le voyais faire dans les films de sextape, je lui fis la meilleure pipe au monde qu’il se demandait d’où savais-je tout ça. Il me pénétra petit à petit et arrivée à un moment, je le sentis tout au fond de mes entrailles. Je sentis de légères douleurs mais le plaisir en moi surpassait tout. Hum, après avoir été bien défoncée de cette manière, croirez-vous que j’accepterai la proposition de mon père en devenant Nonne ? Assrafouillai !!!. *A suivre* *Verdo Lompiol* *Nick Legonou* *Page facebook : La force de l'écriture* et *Les chroniques de Verdo Lompiol* *Tous droits réservés*


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