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Ecrit par Larissa92
Le délais était demain et Nicole n’était toujours pas décidé et chaque fois que cette femme venait le chercher, le regard qu’ils échangeaient la laissait toujours au bord des larmes et dire qu’elle n’avait pas encore trouvé un autre job même pas un petit entretien. Elle voulait juste partir c’était tout ce qu’elle voulait partir loin d’ici et oublier qu’elle avait un jour rencontrer Fadil Ibrahim de toute sa vie. « C’est vraiment ce que tu veux ? » Lui demanda un petite voix dans sa tête.
Le pire était que Gracia avait emménagé chez Rafeeq aujourd’hui elle a nouveau se retrouver seule dans cette maison. Elle ne savait même pas ce qui lui avait pris d’acheter une grande maison à son âge. Sa mère avait raison quand elle lui avait dit que gagner autant d’argent à son âge n’était pas bien qu’il fallait qu’elle prenne le temps de grandir qu’elle jouisse de sa jeunesse au maximum avant de commencer à être responsable d’autant d’argent là ferait grandir avant l’âge. Elle soupira ferma les yeux pour essayer de dormir c’était peine perdu les images de Fadil défilaient devant ses yeux avec cette femme. Essayer d’être avec cet homme serait hypothéquer son cœur car vu l’ascendant qu’il avait sur elle, elle risquait souffrir c’était même casi certain. La décision la plus sage serait de rester avec Serges et apprendre à l’aimer. Oui sa décision était prise elle resterait avec Serges c’était la décision la plus sûre. La dernière fois qu’elle c’était mise en couple avec un homme plus âgé, elle avait fini presque morte 15 ans de différence c’était beaucoup. Serges avait à peine 5 ans de plus qu’elle elle contrôlait au moins ses émotions face à lui. Le pire était la manière dont ces sentiments avait déferlé en elle sans prévenir sans lui donner le temps de les analyser et donc de les maîtriser de les dompter. Elle avait laissé ses sentiments la guider une fois et le moins qu’on pouvait dire était que ça avait mal tourné vraiment très mal.
Elle avait fait son choix et ce n’était pas lui pensa le jeune homme en sortant de l’immeuble après une longue journée de travail. Il avait passé la journée a espérer qu’elle allait entrer dans son bureau pour lui dire que c’était lui mais elle n’en avait rien fait il avait évité d’avoir recours à elle toute la journée pour éviter de lui mettre la pression mais elle avait vraiment préféré rester avec ce jeune comment lui en vouloir ? Un soupir lui échappa qu’est-ce qu’il avait cru ? Elle était dans la fleur de l’âge qu’allait-elle faire avec un homme plus âgé qu’elle ? S’attacher dans une relation bien trop sérieuse. Il avait essayé de la pousser dans ses retranchements et ça n’avait pas marché. Une idée lui vint alors il avait encore une carte à jouer une dernière carte pour qu’elle voit la vérité en fasse et ça commençait dès demain. Enfin il fallait qu’il prévienne l’autre partie aussi pour que les choses soient clairs. Il sourit en repensant à la scène chez eux et la petite supplique qu’elle avait faite.
Une journée n’était pas passée que Nicole regrettait déjà n’avoir rien dit à Fadil. Elle regrettait amèrement ne pas l’avoir choisie. La scène à laquelle elle assistait en ce moment était digne d’un film d’horreur pour elle. Cette femme était entrée dans le bureau de Fadil alors qu’ils planifiaient sa semaine il s’était levé automatiquement elle s’était jetée dans ses bras et il était maintenant entrain de l’embrasser. Elle ne savait pas si elle devait se lever et sortir ou rester sur place a les regarder comme elle le faisait en ce moment. La douleur qu’elle ressentait en ce moment en plein cœur l’étonnait. De toute façon si elle se levait elle avait peur que ses jambes la lâchent.
Elle détourna donc les yeux au prix d’un grand effort. En valait-il la peine, elle lui avait dit non pas plus tard qu’hier et aujourd’hui il ne se gênait pas de s’afficher devant elle avec elle.
- Bonjour Nicole. Vous allez bien ? Demanda la jeune femme quand elle eut retirer sa langue de la gorge de Fafa.
- Oui merci Kelia et vous ?
- Très bien maintenant que j’ai pu embrasser mon chéri ma journée peut vraiment commencer. Dit celle-ci avec un large sourire aux lèvres.
- Ah. Bien je vais vous laisser alors. Dit Nicole en se levant de son siège priant que ses pieds la supportent jusqu’à son bureau.
Elle fit un signe de tête à Fadil avant de se diriger vers la porte. Elle inspira et expira plusieurs fois quand elle arriva dans son bureau pour empêcher des larmes de jalousie de couler et puis merde il n’avait qu’à aller au diable il n’avait même pas tenu une journée sûrement qu’il avait dormit entre les jambes de cette femme alors qu’elle avait passé la nuit en larmes en se rendant compte qu’il fallait qu’elle rompe avec Serges. Car dans la journée elle avait déjeuné avec lui, elle s’était rendue compte qu’elle ne pouvait pas rester avec lui pour les raisons qu’elle croyait car passer la moitié de la journée sans voire Fadil l’avait presque tué surtout quand elle avait cru qu’il avait passé la nuit avec cette femme. Elle avait décidé là de parler avec Serges le lendemain car en 8 mois de relation, elle n’avait jamais ressenti de la jalousie quand il était avec d’autres femmes et les affichait même souvent sur ses réseaux sociaux. Jamais elle n’avait éprouvé de jalousie quand des photos de lui avec des filles sur ses cuisses en boîte de nuit circulaient sur les réseaux sociaux un lendemain de sortie. Elle ne posait jamais de question mes la, elle s’était retrouvé entrain de supplier un autre homme de ne pas coucher avec une autre femme alors qu’elle ne les avait jamais vu dans des positions compromettantes. Elle avait compris qu’elle ne pouvait pas forcer ou nier certains sentiments. Et alors qu’elle luttait contre la peur pour enfin dire à ce goujat qu’elle voulait prendre le risque, le mufle en embrassait une autre devant elle. Elle voulait enlever son cœur et le jeter au loin tellement il lui faisait souffrir à cet instant c’était donc à ça quel se risquait ? A ce genre de douleur ? Si au moins elle pouvait prendre un médicament pour que ça passe. Elle envoya valser le iPad qu’elle avait en main. Il provoqua un bruit sourd contre le mur. Elle voulait absolument quitter ce travail de merde mais elle ne pouvait pas le faire sans décevoir ses parents. Trouver un autre job n’était pas aisé sans plus de diplôme. Le sort s’acharnait décidément contre elle. Marielle aussi rentrait dans une semaine elle l’avait su par Gracia elle n’avait pas eu le cran de lui parler depuis le jour ou elle avait couché avec Fadil. C’était certes lâche mais elle n’avait vraiment pas la force de lui parler. Que lui aurait-elle dit ? « Oh au fait Marielle j’ai couché avec Fadil tu avais raison » ou encore « il n’y avait vraiment rien je te jure mais ensuite c’est arrivé comme ça » bref elle ne sentait pas prête à lui parler et comme si elle même avait compris, elle ne parlait qu’avec Gracia maintenant cette dernière d’ailleurs ne savait pas ce qui s’était passé entre Fafa et elle. FAFA et dire qu’il était sûrement entrain de prendre Kelia avec fougue dans son bureau à cet instant de rage, elle envoya valser son sac qui se trouvait près d’elle avant de s’enfoncer dans son siège. Pute de vie.
- Tu crois qu’elle vas réagir comment ? Demanda Kelia
- Pour sûre elle est jalouse je le sais mais elle ne le montrera pas. J’ai juste besoin de la pousser dans ses retranchements. Répondit Fadil
- J’espère juste que ça ne va plutôt la conforter dans l’idée qu’elle a bien fait de choisir l’autre. Dit son ami
Alarmé par cette remarque, il alla se poster devant la vitre de son bureau avant de demander :
- Tu penses que c’est ce qu’elle se dit en ce moment ? je n’avais pas pensé a ça. J’ai sauté sur l’occasion de la rendre Jalouse parce que je savais qu’elle nous croyait ensemble.
- Je l’espère pour toi. Si on m’avait dit que c’est une jeune fille de 20 ans qui ferait plier le grand Fadil Ibrahim.
Kelia et lui avait fait médecine ensemble au Canada ils avaient gardé le contact même quand il était rentré après la mort de son père. Apres qu’elle soit parti, il médita un peu sur ce qu’elle avait dit. Effectivement, la petite impolie pouvait effectivement prendre cet excuse pour le sortir définitivement de sa vie cette pensée le dérangea tellement qu’il sorti de son bureau et se dirigea vers le sien elle n’y était pas. Il avisa le IPad cassé au sol et se demanda ce qui s’était passé. Son ordinateur était encore allumé sur la table du bureau il fronça les sourcils en voyant qu’elle était sur un site qui faisait des offres d’emplois. Comme ça elle comptait partir ? Et bien grand bien lui fasse.
Ils passèrent des semaines dans une atmosphère qu’il ne saurait qualifier. Il était redevenu un tyran et il le savait mais il n’arrivait juste pas a supporter le fait qu’elle baisse les bras même sans avoir essayé. Ce qui le tuait encore plus était le fait qu’elle ne relevait aucune de ses humeur comme avant. Avant, elle aurait trouvé le moyen de se faire entendre quand il exigeait qu’elle aille prendre ses affaires au pressing a des heures ou le soleil était au zénith ou quand il lui faisait des remarques su le fait qu’elle avait une salle tête. Elle aurait au moins trouvé le moyen d’être sarcastique. Mais elle se contentait des oui Fadil, non Fadil, bonne journée Fadil. Plus de Fafa. Elle lui manquait tellement mais elle était aussi tellement froide qu’il ne savait pas comment faire pour venir vers elle. Le pire était qu’un mois plus tard, il s’était réveillé dans le lit avec Kelia après avoir trop bu la veille au soir et les images qui lui étaient revenues en tête ne lui avaient pas plus du tout. Bref il était de garde a la clinique quand en passant devant une porte, il marqua un temps d’arret en voyant Monsieur Philippe couché dans le lit ses filles a ses cotes. Intrigué, il poussa la porte les deux femmes se retournèrent dans sa direction.
- Bonsoir. Dit-il secoué. Qu’est-ce qui se passe ? Depuis quand est-il hospitalisé ?
- Nicky ne t’a rien dit ? Demanda Gracia dont le ventre commençait a pointer. Il secoua la tête en signe de négation. Gracia se tourna vers sa sœur.
- Viens on sort. Dit Nicky en lui prenant la main
- Pourquoi tu ne m’as rien dit ? Demanda-t-il en entrant dans son bureau.
- Tu étais occupé. Répondît Nicky en croisant les bras sous sa poitrine.
- Nicky s’il te plait ne fait pas ça. Dit-il en passant la main sur le visage.
- Tu étais pris et je ne voulais pas te déranger.
- Tu penses me déranger en cherchant du réconfort chez moi ? Le fait que tu l’ai choisi ne voulait pas dire que je ne pouvais plus être ton ami Nicky.
Il la vit essuyer discrètement une larme et vint la prendre dans ses bras.
- Tu es odieux avec moi depuis des semaines. Dit-elle en se débattant lui donnant des coups sur le torse. Tu ne peux pas me dire qu’on est amis quand tu me traite comme une moins que rien Fadil. Dit-elle en pleurant. Il emprisonna ses poignets d’une mains se sentant comme une merde car elle avait entièrement raison.
- Je suis désolé. Tu as raison je suis la maintenant.
Elle cessa de se battre et il la serra contre lui. Une dizaine de minutes plus tard, elle lui expliquait que son père avait fait une crise cardiaque deux ans plus tôt et depuis son cœur était faible donc la moindre contrariété le mettait dans cet état mais le Monsieur refusait d’arrêter de travailler. Il lui promis de donner son dossier a son ami cardiologue et le fit le soir même. Son père sortit de l’hôpital le lendemain. Et ils reprirent leur train-train quotidien. Il y avait toujours de la distance entre eux mais plus comme avant.
- Tu vas le regarder comme ça longtemps ? Demanda Marielle.
Elle parlait de Fadil il était entré dans le restaurant ou elles se trouvaient toutes les trois avec Kelia tout sourire a son bras. Il était bien entendu venu leur faire un coucou et Kelia ne s’était pas gênée pour lui caresser le bras comme pour marquer son territoire comme si elle en avait encore besoin.
- Je ne vois pas de quoi tu parles. Dit-elle en baissant les yeux sur son plat.
- Ca se voit que tu souffres. Je t’ai observé depuis mon retour si c’est pour moi que tu te retiens arrêtes et vas le rejoindre vu comment ses yeux sont aussi ici depuis si tu fais un pas vers lui il enverra balader la cruche a son bras.
- Marielle…
- J’ai fais la paix avec le fait que vous aviez des sentiments l’un pour l’autre depuis des mois Nicky. Tout le monde l’a vu sauf vous. Mon homme est ailleurs donc je te le dis sincèrement ne te retient pas et vas prendre ton homme a cette fille avant qu’elle ne réussisse a le rendre amoureux d’elle. Ca fait des années qu’elle essaie même quand j’étais encore avec lui.
Nicky regarda Gracia qui lui fit oui de la tête.
- Je suis d’accord avec Marielle. Dit sa sœur.
Prenant son courage a deux mains, elle se leva et se dirigea vers leur table avant que le cran ne s’envole par la fenêtre. Elle savait que si elle le remettait a plus tard, elle ne le ferait jamais.
- Fadil. Dit-elle en arrivant devant eux
- Oui ? Fit-il surpris.
- C’est toi que je veux. Dit-elle d’une petite voix
- Pardon ? Fit-il surpris.
- C’est toi que je veux dit-elle encore avec plus de cran. Si tu restes avec elle, elle ne sera qu’une figurante dans notre histoire d’amour parce que je sais que tôt ou tard c’est a moi que tu reviendras. Je suis celle qu’il te faut. Il la regarda éberlué. Elle avait le regard planté dans le sien. Je vais rentrer t’attendre chez moi. Ne tarde pas trop.
Elle se retourna sans accorder le moindre regard a Kelia retourna a leur table juste pour prendre son sac et sortir du restaurant avant que ses jambes la lâchent. Elle n’avait pas prémédité ces mots ils étaient sortis tout seuls et le pire c’était qu’elle le pensait et cela lui faisait plus peur qu’autre chose. Damn ! Mais qu’est-ce qui lui arrivait ? Le pire était qu’elle n’avait pas encore parlé a Serges avec la maladie de son père et tout le reste de stress elle lui avait juste dit qu’elle voulait souffler un moment. Les filles la rejoignirent dans la voiture quelques minutes plus tard.
- Non mais tu es une petite joueuse hein. Tu finis de dire toutes ces jolies paroles tu fuis ? Demanda Marielle en riant.
- Mais tu m’as tué « Si tu restes avec elle, elle ne sera qu’une figurante dans notre histoire d’amour » Kiéé ! Dit Gracia en riant franchement.
- Les filles s’il vous plait j’en tremble encore seigneur ! S’il ne vient pas je vais me taper la honte de ma vie. Tu es sure que tu ne m’en veux pas Marielle ? Se rassura Nicole.
- Non je te dis en plus j’ai quelqu’un maintenant. Et ne t’inquiètes pas il va venir te voir tu as vu comment il te regarde ? Tu es sure qu’il ne s’est rien passé entre vous avant ?
Elle bougea sur son siège mal a l’aise. Elle n’avait pas dit aux filles qu’elle avait fait l’amour avec lui.
- Il s’est effectivement bien passé quelque chose mais je te jure que c’était bien après votre rupture.
- Arrête de paniquer je te crois. J’ai vu comment il te sortait par les pores.
- Mais tu es une cachotière hein Nicole. Vous l’avez fait quand ? Voulu savoir Gracia
- Elle va nous en parler un autre jour. Il faut qu’elle rentre vite pas que Fadil arrive et ne la trouve pas.
Elle les déposa vite fait chez une esthéticienne avant de filer a la maison. Effectivement, elle trouva Fadil assis dans sa voiture surement après avoir sonné en vain elle vérifia son téléphone pour voir s’il l’avait appelé avant de sortir de voiture. Il y avait un appel manqué de lui. Elle lui fit timide signe avant de se diriger vers la maison. La portière claqua derrière elle puis, elle sentit le parfum de Fadil l’envelopper. Ils pénétrèrent dans son salon en silence et prirent place face à face.
- Tu étais bien plus loquace au restaurant. Finit-il par dire comme le silence s’éternisait.
Fadil regardait la jeune femme en face de lui se triturer les doigts. Sa déclaration au restaurant ne l’avait pas quitté de tout le trajet jusqu’à chez elle. « C’est toi que je veux ». Et maintenant elle n’arrivait pas a en placer une. Il avait laissé Kelia au restaurant en s’excusant de toute façon, il l’y avait emmener pour lui faire comprendre que cette nuit qu’ils avaient eu ne se reproduirait pas car elle avait commencé des attention qu’il jugeait inapproprié et des sous-entendu bizarre. Et maintenant qu’il était la face a sa petite impolie elle avait la frousse il ne comptait pas l’aider.
- Euh je veux qu’on essaie. Finit-elle par dire les yeux baisser
- Ce n’est pas ce que tu as dit au restaurant et s’il te plait regarde moi quand tu me parles. Elle leva la tête vers lui il bloqua un rire en voyant sa mine douce et fragile. Donc elle aussi pouvait être comme ça ? Viens ici s’il te plait. Fit-il en tapotant la place près de lui. Elle vint prendre place en tailleur près de lui. Ok maintenant dis-moi.
- Je veux qu’on essaie. Enfin je veux être avec toi. dit-elle en soutenant son regard cette fois-ci
- Nicole moi je n’essaie pas quand je commence quelque chose je pense pas à l’échec et je veux qu’on soit clair la dessus.
- Ok. Dit-elle alors qu’il lui caressait la main.
- Je n’aime pas quand je t’appel tu ne réponds pas. Dit-il en portant sa main a sa bouche pour y déposer un baiser.
- Je conduisais j’ai pas entendu sonner le téléphone je ne l’ai pas encore connecté à la voiture.
- Faut le faire vite alors. Je suis aussi jaloux et possessif. Dit-il en la regardant intensément. Je ne supporterai pas certaine choses mais je suis toujours ouvert au dialogue si je fais quelque chose qui t’énerve parle-moi toujours d’accord ? Elle fit oui de la tête il rit c’était trop drôle de la voir comme ça.
- Qu’est-ce qui te fait rire ?
- Toi. Je ne savais pas que tu pouvais être aussi docile.
- Tchiip.
- Je déteste ce son. Dit-il en lui baisant la tempe
- Tu vas devoir t’y faire. Je ne le ferai pas au bureau mais je le ferai pas mais quand on ne sera que tous les deux je vais ca bien même surtout si tu te comportes en despote.
Il l’attira a lui colla ses lèvres sur les siennes et soupira d’aise et dire qu’elle était a lui. Il l’embrassa a en perdre haleine et commença a caresser son ventre dénudé avant de s’arrêter.
- Il va falloir que tu arrêtes que porter ce genre de vêtements qui montrent ton ventre.
- Fadil Rahim Ibrahim tu vas me laisser ? Demanda la jeune femme en le tirant vers la chambre.
- Tu es a moi déjà donc il faut commencer a te faire a l’idée que je suis vraiment Jaloux et possessif je te l’ai dis
- Et moi je suis impulsive Fadil je me suis découverte un cote jaloux en te voyant avec Kelia donc…
Il la porta et elle s’accrocha a lui pour recevoir les meilleurs caresses du monde. Elle faisait un pas dans sa nouvelle vie prête ou pas pour les obstacles. Elle lui parlerait d’elle un jour.