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Ecrit par Larissa92

00h seulement alors qu’elle attendait 2h du matin pour appeler Ibrahim. Un mois qu’ils étaient ensembles et c’était bien jusqu’ici. Cet homme la rendait tout simplement folle il était doux attentionné et tellement protecteur mais aussi trop macho. Elle avait commencé a remarquer les infirmières qui avaient du béguin pour lui et celle qui flirtaient avec lui sans vergogne même quand elle était dans les parages comme pour minimiser sa relation avec lui car elles étaient toutes plus âgées de 28 ans a l’âge de Fadil. Et celle qui lui faisaient du gringue quand ils sortaient pour manger au restaurant pour l’instant, elle supportait car elle savait qu’il détestait les scandales en plus il arrivait la plus part du temps a couper court. La dernière fois au restaurant, elle avait versé son plat sur la tête d’une folle qui était carrément venue glisser sa carte dans la poche de chemise de son homme. La dame s’était mise a hurler prête a se jeter sur elle mais Fadil l’avait retenu a temps. En même temps ce n’était pas comme si elle avait peur ceinture noire de karaté il fallait qu’elle s’égare. Du coup sa jalousie avait grandi elle en devenait presque malade parce qu’elle se rendait plus que jamais compte qu’il pouvait avoir mieux qu’elle une ancienne junky en un claquement de doigt. Il était a Paris en ce moment pour deux semaines on l’avait appelé pour un cas de tumeur maligne au cerveau. Son chéri était l’un des meilleurs dans son domaine donc hautement sollicité. Elle finit par s’assoupir mais le réveil la fit sursauter elle jeta un coup d’œil a l’horloge il était 2h elle arrangea prestement son visage en le giflant un peu pour qu’il se réveil arrangea ses cheveux avant de lancer l’appel. Il ne fallait pas qu’il sache qu’elle dormait

- Hi Nicky. Fit-il quand son visage apparu à l’écran

- Encore à l’hôpital à cette heure ? Demanda la jeune femme en remarquant ses vêtements. 

- Oui comme ca tu peux dormir tranquille. Il n’y a aucune fille dans mon lit. Dit-il avec un sourire

- C’est pas pour ca que je t’appel mon Fafa.

- Léapoé tu m’appelles a 5h du matin a 12h, a 20h et entre 00h et 5h. Arrête de douter je suis avec toi et rien que toi. Arrête de perturber ton sommeil pour me surveiller. Je suis sure que tu as mis le réveil pour pouvoir me contrôler.

- N’importe quoi je voulais juste entendre ta voix. Je n’ai mis aucun réveil je n’arrivais pas a dormir

- Ma petite impolie est touchée. Tu es naze du vieux que je suis. Fit-il moqueur.

- Tchiip il n’est pas interdit de rêver hein. Bonne nuit même.

- Bonne nuit ma petite impolie a moi ne t’inquiète pas le Major n’a rendu visite a personne il attend avec impatience que tu parles a ton jeune la après quoi il va…

- Tchiiipp bonne nuit Ibrahim. Dit-elle avant de couper. Un sourire niait habillant ses lèvres.

Un message WhatsApp de lui arriva : « Tu me manques ma petite sauvage préféré. Dors bien. » Son sourire s’élargie en le lisant puis elle répondit : « Tu étais obligé de me traiter de sauvage ? » Il lui envoya des émoticônes qui riaient Nicole s’endormit finalement le sourire aux lèvres en serrant un coussin contre elle. Elle était chez lui depuis une semaine qu’il était en voyage il ne savait toujours pas quand il rentrerait. 


Samedi, après une autre semaine loin d Fadil et par conséquent plutôt calme. Elle devait retrouver les filles au Méridien il faisait beau ou plutôt vraiment chaud donc elle avait décidé d’aller à la piscine. Elle mit des vêtements dans un sac de plage et monta dans sa voiture…enfin la voiture de Fafa elle était toute petite dedans mais bon sa voiture était garée chez elle donc la Porsche de monsieur était la seule voiture qu’il l’autorisait a conduire parce que les trois autres étaient trop cher qu’il avait peur qu’elle l’abime. Monsieur trouvait qu’elle conduisait mal. Son téléphone sonna quand elle dépassa l’entreprise de son père. Elle répondît directement c’était monsieur il avait un system dans la voiture donc elle ne pouvait pas prétendre qu’elle conduisait s’il se plaignait et il allait se plaindre si le téléphone sonnait plus de 3 fois.

- Salut ma sauvage a moi. Dit-il a la minute ou elle décrocha.

- Ce n’est même pas toi Fadil tchiipp 

- Pourquoi tu ne m’as pas appelé ce matin ? Demanda-t-il après avoir rit

- Ibrahim c’est pas toi qui te plaignait du fait que je t’appel trop la semaine dernière ?

- Est-ce que je t’ai dit que ça me dérangeait ? Tu vas ou ? Demanda le jeune homme en entendant surement les klaxons.

- Je retrouve les filles pour une journée à la piscine.

- Je n’aime pas ca Nicky. Tu ne m’as pas dit que tu sortais hier.

- Parce que ca s’est décidé sur un coup de tête Fafa il fait beau alors que c’est la saison pluvieuse on avait envie d’en profiter.

- Hmmm.

- Fafa.

- Oui 

- Tu rentres quand ? Demanda la jeune femme pour changer de sujet.

- Dans une semaine au moins. Tu as parlé a ton jeune ?

- Demain il avait du aller dans son village pour une semaine.

- Hmmm ok.

- Je lui parle demain mon Fafa promis. 

- Je n’aime pas quand tu sors sans me le dire Nicky. Tu aurais pu au moins m’appeler pour m’avertir. Si je ne t’avais pas contacté tu ne m’aurais pas dit.

- Excuse-moi. Soupira la jeune femme. Tu as raison j’aurais dû te le dire.

- Hmmm ne vas pas montrer tout mon corps là-bas Léapoé.

- Carrément TON corps ! Fit-elle en riant

- Oui. Donc gène toi s’il te plait. Parce que ta mentalité des Américains que tu as de mettre des vêtements qui laisse voir ton corps la donc je n’ose pas imaginer ton maillot de bain.

- Fafa c’est un une pièce très sage. Je ne voulais pas que tu me fasses le bruit en voyant des photos de moi sur Instagram.

- En tout cas je te laisse tu me rendras compte apres avoir vu ton jeune-là.

- Serges. Il s’appel Serges. Dit-elle 

- Comme tu dis en tout cas bisous.

- Bisous mon am…Fafa. Se repris la jeune femme.

- Ca ne va pas t’écorcher la bouche tu sais. Dit-il d’une voix douce comme une caresse.

- Tu me manques. Dit-elle pour couper court.

- Ah oui ? A quel point ? Fit-il taquin

- Au point ou mon entrejambe dégouline juste au son de ta voix. Dit-elle d’une voix suave.

- Toujours au volant ? Demanda Fadil la voix rauque

- Non je viens de garer. Je te prend en vidéo ?

Avant qu’il ne réponde, elle reçut la proposition vidéo venant de lui.

- Tu es toute belle ma sauvage. Dit-il avec un large sourire. 

- Je t’aurais dit merci mais puisse que tu m’appelles sauvage va loin.

- Regarde comment tes tétons pointent. Dit-il en se passant la langues sur ses belles lèvres charnues. Elle mouilla sur le champ mais le mur derrière lui ne lui était pas familier.

- Tu es ou ? Je ne reconnais pas le mur derrière toi alors que tu es dans un lit. 

- Oh euh chez un ami dans sa chambre. Dit-il en bredouillant un peu trop a son gout. 

- Ibrahim quel ami ?

- Tu connais lequel Léapoé ? 

- Tu as dormis chez un ami sans me dire ? Tu m’as fais le même reproche il y a a peine cinq minutes et n’ose surtout pas me dire que c’est toi l’homme. Dit-elle énervée

- Ou tu te calmes et tu me laisses t’expliquer ou tu raccroches.

- Ok. Fit-elle en coupant l’appel. Bêtises.

Elle mit son téléphone sur silencieux et sortit en claquant la portière. En arrivant au niveau des filles, elle ruminait toujours.

- Oh c’est quoi et puis tu froisses le visage depuis comme ça ? Même le bisou a ton neveux rien. Dit Gracia en montrant son ventre rond.

Elle leur raconta ce qui c’était passé avec Fadil. 

- Il exige des choses de moi qu’il ne me retourne pas et ca commence a m’énerver. S’il m’appel et que ca sonne plus d’une fois c’est le scandale, il faut que je le prévienne de mes moindres faits et gestes. Il ne veut pas que m’habille comme j’ai l’habitude de le faire.

- Je vois. Contrairement a Rafeeq, Fadil est le macho par excellence mon bébé. Il l’est encore plus avec toi a cause de ton fort caractère s’il ne se comporte pas d’une certaine façon avec toi tu vas le mener par le bout du nez comme tu le faisais avec Serges. Dit Gracia

- Ah mais est-ce qu’il a besoin de se comporter comme un goujat ? S’irrita la jeune femme.

Marielle et sa sœur se moquèrent d’elle un moment avant de se mettre a parler de tout et de rien. Elle allait régler son problème avec Ibrahim après elle sortait de la piscine quant elle vit Kelia faire son entrée avec deux autres femmes. Ces temps-ci elle se rencontraient beaucoup. Elle arrivait toujours dans un endroit ou elle se trouvait quelques minutes apes elle comme si elle la faisait suivre. Elle trouvait toujours le moyen de lui lancer une petite pique au passage. Les filles lui avaient conseillé d’en parler a Fadil et de ne pas lui répondre. Elle n’avait pas répondu jusqu’ici et n’en n’avait pas parlé a Fadil mais elle commençait sérieusement a lui taper sur le system. La jeune femme en avait vraiment marre c’était elle qui avait 21 ans mais une femme de 10 ans son aînée se comportait comme si elle avait 15 ans. Kelia la toisa au passage avant d’aller s’installer a la place vide près d’elles. Les piques commencèrent comme elle s’y attendait.

- Je vous dis bien des petites filles pisseuses qui veulent jouer dans la cours des grandes. Dit Kelia a voix haute pour qu’assez de personne l’entende.

- Des enfants au lieu d’aller chercher les pénis de leurs âges elles veulent baiser des hommes de l’âge de leurs pères. Dit une de ses amies

- Apres ce sera pour dire qu’on a joué avec elles pour les abandonner alors qu’elles ont vu plus gros que leurs ventres. Soutint une autre.

Nicole qui sentait la moutarde lui monter au nez se leva et se mit a rassembler ses chose si elle ne partait pas de la avant que ces idiotes ne disent un mot qu’elle n’allait pas laisser passer, le sang allait couler avant qu’elle se calme. Marielle et Gracia la suivirent dans son mouvement calmement. Elles étaient entrain de se changer dans les vestiaires de la salle de sport quand la porte s’ouvrit sur Kelia Nicole leva les yeux aux ciel ce qui n’échappa pas à l’autre.

- Tu n’as pas encore tourné les yeux. Dit-elle en la bousculant pour passer

- Qu’est-ce qui t’arrive Kelia ? Tu te rends compte qu’elle a 10 ans de moins que toi ? S’indigna Marielle.

- Oh je ne suis pas aussi conne que toi. Quelqu’un te vole ton homme et tu fais copine-copine avec elle. Fit-elle avec dédain.

- D’un ma pauvre on ne vole pas un homme ce n’est pas un objet. De deux Fadil et moi nous sommes séparés avant que quoi que ce soit ne commence avec Nicole. Arrête donc de salir son nom dans toute la vile et respecte ton âge. Depuis tu fais les réflexions la elle ne répond pas tu penses que c’est parce qu’elle a peur de toi ?

- Pardon libère la ligne. Dit-elle a Marielle. Regarde comment elle s’habille. Tu crois que c’est digne d’un homme comme Fadil ? Toujours avec le ventre dehors comme une vulgaire prostitué.

Nicole lui administra une gifle magistrale et avant qu’elle puisse réagir, elle lui attrapa le bras et le tordit dans son dos de sa main libre lui attrapa le tissage pour le tirer en arrière un coup de pieds dans les cuisses et elle se retrouva à genoux.

- Nicole ! Protesta Gracia

- Oh laisse la. Y a des gens qui ont besoin de ça. Dit Marielle en la tirant à l’arrière.

- Maintenant écoute-moi espèce d’idiote. La prochaine que tu vas t’en prendre a moi ce sont tes dents que je vais arracher. Est-ce que c’est assez clair pour toi ? Tu me vois tu fais comme si tu ne me connais pas. Ce qui est d’ailleurs le cas. Est-ce claire ?

- Oui. Lâcha l’autre faiblement alors que les larmes coulaient déjà sur ses joues.

Nicky la lâcha ramassa ses affaires et sortie attendre les filles dehors. Ça c’était les conneries qu’elle ne supportait pas. Elle rentra plutôt chez elle et passa la nuit la plutôt que chez Fadil. Le dimanche après l’église, elle se prépara pour accueillir elle devait rentrer chez son homme après ca son odeur lui manquait. Quand la sonnette retentit, elle inspira profondément avant d’ouvrir la porte a Serges il fondit sur elle en l’embrassant fougueusement ce fut sa passivité qui le stoppa.

- Qu’est-ce qui se passe ma belle ? Demanda le jeune homme.

- Viens t’asseoir s’il te plait. Dit-elle en le précédent dans le séjour. Tu veux boire quelque chose ?

- Non viens plutôt t’asseoir et dis-moi ce qui se passe. Tu es distante depuis quelques semaines. 

- Tu as fait un bon voyage ? Demanda nerveusement la jeune femme.

- Va droit au but. Dit-il un peu sèchement ce qui la rendit encore plus nerveuse.

- Je pense que c’est mieux qu’on arrête Serges. Je…je…il n’y a pas d’amour entre nous et je ne veux pas t’empêcher d’être heureux avec une autre Serges je suis désolée.

Il resta silencieux quelques minutes a l’observer elle baissa la tête honteuse sous le feu de son regard.

- Qu’est-ce qui s’est passé dans la douche ce jour ou tu y étais pour soigner la main de ton patron ?

Son sang se glaça dans ses veines au souvenir de l’échange torride entre Fadil et lui dans cette douche.

- Je ne vois pas de quoi tu veux parler. Dit-elle déglutissant péniblement.

- Vous aviez bloqué la porte. Ajouta le jeune homme les yeux injectés de sang.

- Serges…commença la jeune femme en ses levant.

- Il t’a baisé la dedans n’est-ce pas ? Jeta le jeune homme avec dégoût.

- Serges…

Il envoya valser le pot de fleur qui se trouvait sur la table et la jeune femme sursauta en reculant.

C’est lui n’est-ce pas ? Tu es entrain de rompre pour te mettre avec lui. J’avais bien vu comment vous vous regardiez ce jour-là. Je t’ai demandé s’il se passait quelque chose mais tu m’as dit comment il était vieux merde. Il souleva la table de verre qui se brisa en atterrissant sur la télé. Elle prit peur elle n’avait jamais connu ce côté de Serges elle en était tétanisée de peur.

- Serges calme-toi s’il te plait.

- Tu l’as baisé comme la chienne que tu es. Qu’est-ce qui me surprend. Ils m’avaient tous averti et j’ai cru que je pouvais te laver pour faire de toi une femme. Dit-il en se rapprochant d’elle.   Qu’est-ce que ca t’a fait de le baiser tout en sachant que j’étais dans la pièce a côté ? Tu n’es qu’une chienne hurla-t-il encore en donnant un poing dans le mur.

Que pouvait-elle faire ou dire ? Nier ? Se battre avec lui ? Elle était effectivement tout ce qu’il disait parce qu’elle avait ce dont il l’accusait. Elle ne voulait juste pas en arriver aux mains avec lui pas parce qu’elle avait peur elle pouvait aisément le battre mais il ne méritait pas une humiliation de plus. Elle le regarda donc tout casser chez en lui donnant tous les noms d’oiseaux que son vocabulaire lui permettait elle avait juste peur qu’il se fasse mal heureusement cela n’arriva pas. Il finit par sortir de la maison en trombe. Elle avait mal pour lui mais il était hors de question qu’elle se culpabilise d’être heureuse avec Fadil. Nicole regarda son salon sens dessus-dessous traversa tous les débris alla pris une douche et pris la route pour la maison de son homme il ne répondait pas au téléphone surement parce qu’elle lui avait raccroché au nez. Elle se promis de réessayer en arrivant a la maison mais quel ne fut sa surprise de le voir debout au milieu du séjour au téléphone un sourire apparu sur ses lèvres quand il la vit mais disparu presqu’aussitôt. Faisant fi de ça, elle courut se jeter sur lui arracha son téléphone pour l’envoyer su le canapé avant de l’embrasser à en perdre haleine. Les mains de Fadil coururent sur son dos.

- Tu m’as manqué dit-elle en décollant sa bouche de la sienne.

- C’est pour ca que tu m’as raccroché au nez ? Demanda Fadil le regard enfiévré.

- Oh Fafa ne soit pas rancunier s’il te plait. Excuse-moi d’accord ? Dit-elle en déposant des bisous sur tout son visage alors qu’il la tenait par les fesses.

- Ne me raccroche plus jamais au nez Léapoé. 

- Je peux avoir le Major maintenant mon Fafa ? demanda-t-elle mutine en lui butinant les lèvres.

- Tu es folle. Dit-il en riant cette fois-ci


Fadil se retrouva dans l’antre de Nicole sans trop comprende comment entrain de la pilonner comme un malade. Elle dégoulinait tellement elle moullait. Elle criait le griffait mais elle faisait la sourde oreille. Il avait ses jambes bien tendues contre son torse et la prenait avec force cette femme il fallait la marquer au fer.

- Ouiii…ohhh Ibrahimmmmm. 

- Tu voulais le Major tu l’a dis-moi si tu aimes. Dis-moi comment tu le veux ma sauvage a moi. Dit-il en captant son regard.

- Juste comme ca Ibrahim…oh ne t’arrête pas. Cria la jeune femme en s’accrochant au drap.

Cinq minutes plus tard, elle jouissait en criant son nom il la suivit deux minutes plus tard et s’écroula sur elle avant de rouler sur le côté. 

- Il va falloir que tu te mette à la pilule Nicky on n’a jamais utilisé de préservatifs et je n’ai pas envie de commencer et toi ? Demanda-t-il après qu’ils aient repris leurs souffles.

- Je sais. Dit-elle en se serrant contre lui. Je vais le faire après mes prochaines règles.

- D’accord. Dit-il en se levant pour filler a la douche. 

Deux minutes plus tard, son téléphone se mit à sonner.

- Répond s’il te plait. Lui dit-il depuis la douche.

- Allo ? Dit-elle en décrochant sans regarder tellement elle était fatiguée. 2 rounds avec cet homme étaient comme 6 rounds.

- Passez le téléphone a mon fils dit sèchement la voix a l’autre bout du fil.

Elle se redressa vivement en se rendant compte que c’était la mère de Fadil.

- Oh excusez-moi maman c’est qu’il est sous la douche et…

- Et quoi ? Eh Seigneur les filles de Yaoundé. Sachez que mon fils a déjà une fiancé c’est quel genre d’histoire ça ?

Le sange de Nicole se glaça dans ses veines tandis que la mère continuait :

- J’ai dis a l’enfant la de me donner le numéro de cette jeune femme « non-maman il ne faut pas la bousculer » et c’est pour aller fourrer ce qu’il avait entre les jambes dans n’importe quoi. Au fur et à mesure que la dame parlait, elle sentait les larmes menacer. Je vais même prendre le numéro de Nicole ou maintenant ? Se lamenta la maman de Fadil.

Nicole beuga en entendant son nom et puis tout se mit en place dans sa tête. Sa maman croyait qu’il était à Yaoundé.

- Va chercher mon fils et tu lui donnes ce téléphone. Ce n’est pas avec les enfants des gens qu’il va s’amuser. Il va m’entendre aujourd’hui un idiot comme ça. Vociférait sa mère vraiment furieuse alors que le cœur de Nicole courait sur place dans sa poitrine. Il avait parlé d’elle a sa mère. 

- Maman c’est moi Nicole. Fadil est rentré plus tôt que prévu il est a Douala je ne savait même pas qu’il avait fait un arrêt a Yaoundé.

- Eh il ne faut pas me prendre pour une folle non plus hein. Comme j’ai prononcé son prénom… 

- Maman je vais lancer l’appel vidéo maintenant tu vas voire que c’est moi dit-elle en mettant précipitamment un peignoir.

Elle lança ensuite l’appel Visio en stressant mais bon il fallait bien qu’elle la rassure non ?

- Oh c’est vraiment toi. Fit la maman en riant 

- Oui maman je crois qu’il a voulu nous faire une surprise. Dit-elle gênée

- Te faire la surprise ou nous faire la surprise ? Demanda la maman. 

Elle baissa les yeux voulant rentrer sous terre. Fadil sorti de la douce a ce moment la et vint l’embrasser sur la bouche. Eishhh la honte.

- Tu parles avec qui ? Demanda-t-il en regardant le téléphone. Oh maman fit-il l’air de rien.

- Bon je vous laisse. Dit la maman 

- Merci pour tout a l’heure maman. Dit-elle timidement

- De rien ma chérie. Veillez bien l’un sur l’autre.

Il reprit son téléphone et se mit a le manipuler comme si de rien n’était. Elle n dit rien non plus elle ne voulait pas que ça devienne trop solennel entre eux. Elle se sentait tellement bien avec lui mais elle ne voulait pas non plus que ce soit trop sérieux trop vite.


Ce Que Le Cœur Veut