4.

Ecrit par SSS

Part 4:

Il prit une grosse bouteille de lubrifiant, écarta les lèvres de mon vagin et y renversa une bonne quantité.

  • Je suis un bon Maître, j'ai eu pitié de toi en lubrifiant ton trou de pute. Dis-moi merci.

  • ……..

  • ( FIAAAHHH UN COUP DE FOUET SUR LES SEINS) Dis moi merci !

  • Merci…

  • Merci chien ???

  • Merci Maître..

  • Voilà. Si tu ne m'obéis pas au doigt et à l'œil, je vais être obligé de te punir à chaque fois.

Mes seins étaient rouges et j'avais atrocement mal mais je ne voulais pas crier pour qu'il me fouette encore. J’avais un autre Kyle devant moi, un monstre.

Il prit le gode géant et commença à l'introduire dans mon vagin. C'est horrible, même un bébé n'est pas aussi gros. Il l'enfoncait encore et encore. Je me mord les lèvres pour ne pas crier de douleur mais les larmes coulent sans arrêt. Je sens mes chairs s'écarteler, se distendre comme si on me divisait en deux. Je peux sentir les tissus de mon vagin s'écarter jusqu'à se déchirer même. 

  • Hum tu aime ça n’est-ce pas ? N’est-ce pas toi qui est amatrice de baise hein ? Tu aimes les bonnes grosses bites hein ? En voilà une bien bonne pour fourrer ton trou à queues !

Je vais mourir avec un tel truc en moi…. Je ne veux pas crier, non je ne veux pas crier…je ne sens plus mes jambes….

L'objet était entré presque totalement à l’intérieur. Il prend des pinces métalliques et me pince les mamelons avec. Ne pouvant supporter la douleur, je met à crier ce qui me vaut encore un cinglant coup de fouet.

  • La ferme ! 

 Il met du lubrifiant sur son sexe, écarte mon anus et s'enfonce brutalement en moi. Complètement sourd à ma souffrance, il me laboure pendant près d'une heure. Les coups de fouets accompagnent parfois ses mouvements pour me faire taire quand je ne supporte plus la douleur. 

À la fin, je suis presque inconsciente. C’est à peine si je me compte qu'il retire les pinces de mes seins et me détache les mains et les pieds.

  • Ouf !!! C’était bien ma petite ! J’espère que tu as apprécié ; en tout cas moi j'étais aux anges. Et crois-moi, le meilleur reste à venir. 

Il se dirige vers la sortie en souriant.

  • Oh…et n’oublie pas de te laver, il y a une douche dans l'autre coin de la pièce. Une domestique t'apportera de la nourriture tout à l’heure.

Je ne sens plus mes membres, tout s'emballe autour de moi et trou noir…

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Je me réveille sur la table le lendemain avec toutes les peines du monde. Est-ce qu’il fait jour ou nuit ? Je n'en sais rien... Les événements de la veille traversent mon esprit et ravivent en moi la douleur et le dégoût de moi-même. Je me sens tellement mal… 

Il faut que je sorte d'ici coûte que coûte. Malheureusement la porte est en métal, très épaisse et hermétiquement fermée. Il n'y a aucune fenêtre dans la pièce, juste une ouverture dans le plafond qui est très haut. Il a pensé à tout l'imbécile, impossible que je sorte.  Eh Dieu qu’est-ce que je vais devenir ????? Qui m'a envoyé même ? 

Un petit moment plus tard, la porte s'ouvre et Kyle entre, un plateau dans les mains. Je tremble rien qu'en le voyant.

  • Le petit toutou a bien dormi ?

  • ……

  • Quand je te parle tu me répond ! Ou bien tu as oublié la chaleur de mes coups de fouets ?

  • Je ne suis pas un toutou ! 

Ni une ni deux il me gifle si fort que je perd l'équilibre pendant quelques instants. Il détache sa ceinture et me fouette correctement avant de me traîner par les cheveux jusque dans la douche. Il me force à prendre un bain, à porter une robe en cuir rouge pleine de fentes et de trous et à manger la nourriture qu'il m'a amené. Ça lui fait plaisir de m’humilier de la sorte ; à chaque fois que je fais ce qu'il me demande, il me dit : bien, joli toutou à son maître. Un vrai pervers…

Peut-être qu’il va encore recommencer mais… Non, il sort de la chambre. Mon palpitant baisse un peu, puis baisse encore, encore, un peu trop d'ailleurs… oh non, il m'a encore drogué… Petit à petit, je m'endors….

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Je me réveille avec un mal de crâne déchirant… c'est toujours la même pièce mais Autour de moi, il y a plusieurs hommes, tous en costards noirs et cravates rouges qui ont leur regard braqués sur moi. Ils ont tous mis des masques qui couvrent entièrement leur visage. Je veux bouger mon bras mais je suis attachée des pieds à la tête et allongée sur le sol, droite comme un i, bâillonné comme une souillon. Mon Dieu qu’est-ce que ça veut dire ??? Qu’est-ce qu'ils vont me faire ? Je tremble comme une feuille et je me sens toute impuissante.

Les inconnus se mettent en cercle autour de moi et se mettent à réciter des genres d'incantations dans une langue bizarre. L'un deux, beaucoup plus grand de taille que les autres et portant une toge entièrement rouge et un masque différent vient se placer devant moi au centre. Il lève ses deux bras au ciel et chante une chanson bizarre. Puis il s'adresse à l'un d'entre eux.

  • Lui: Kriel, fils ! Est-ce le sacrifice pour l'Ombre Démoniaque?

  • Oui Maître suprême, c'est mon offrande sacrificiel.

Mais c'est la voix de Kyle! Pourquoi on l'appelle Kriel ici? Il m'a menti… Dans quoi me suis-je retrouvé Seigneur? Je vais vraiment mourir?

  • Le Maitre: Préparez là! 

Deux d'entre eux se ruent sur moi et me détachent des pieds jusqu'à la taille. Après ça,ils écartent mes cuisses et y renversent une huile rouge parfumée  et en mettent même dans mon vagin. Le Maître se rapproche de moi, soulève sa toge et laisse apparaître une verge géante, noir d'où goutte un liquide rouge. C'est fini, je suis morte…

Il me pénètre sauvagement, m'arrachant un énorme cri de souffrance. Je sens mes chairs s'écarteler, mes os grincer. J'ai tellement mal que je vais m'évanouir. Il fait des vas-et-vient violents qui à chaque fois me rapproche de la syncope. Les autres hommes sortent tous leur pénis plus grands les uns et les autres et se masturbent frénétiquement dans un silence sépulcral. 

Je vais mourir...

Je sens que je vais mourir… 

Le Maître jouit en moi et je sens comme un feu dévorant dans mon bas-ventre. C'est le coup de grâce, je n'en peux plus… Alors que je suis dans un état second, je sens un liquide tiède couler sur mon visage, mon ventre, mes cuisses…. Tout ces hommes m'ont éjaculé dessus, comme un objet, un vulgaire déchet…

  • Le Maître : Cher tous, ça y est, le sacrifice est accompli.

  • Tous les autres: AINSI SOIT-IL !

Je sens comme un voile noir couvrir mon esprit et je m'évanouis… 

Moi, Fiokee