Aller de l'avant
Ecrit par Lulu-marie
Chapitre 9 : Aller de l'avant
***Elyed***
Nella : tu as vu Arthur ce matin ?
Moi : houn (levant la tête) il te l'a dit ?
Nella (se couchant près de moi) : Ouais... Il m'a dit qu'il t'avait vu
Moi : hounn
Nella : Son patron lui a offert une voiture
Moi : son patron lui a offert une voiture ?
Nella : Oui. Une récompense, une grade je ne sais pas trop. Il était avec sa responsable
Moi : tu la connaissais ?
Nella : Non
Moi : il t'a dit que la dame était sa responsable ?
Nella : Oui
Moi : il t'avait déjà informé ou tu l'as appris aujourd'hui ?
Nella : il m'a appelé pour me le dire ce matin, c'était une surprise de son patron
Moi : Si je comprends bien tu ne le savais pas ?
Nella : C'est quand il t'a vu qu'il m'a appelé pour me le dire.
Moi : Ah bon !!!
Nella : De toute façon il ne pouvait pas me le cacher
Moi (la fixant) : et tu le crois ?
Nella : mais oui, il n'a aucune raison de mentir. Elle était comment la responsable ?
Moi : une grosse dame, je dirais qu'elle est très obèse
Nella : ça ne peut qu'être sa responsable.
Moi : bfff il était plutôt bizarre
Nella : bizarre ?
Moi : Comme s'il me fuyait
Nella (rire) : tu exagères Ely, tu vois toujours le mal partout.
Moi : Ooh
Nella : mais oui.
Moi : tu as confiance en lui ?
Nella : absolument, cet homme je l'aime
Moi : la confiance n'exclut pas le contrôle
Nella : je le sais
Moi : Tu as des nouvelles de Vanessa ?
Nella : Oui je l'ai appelé, elle va plutôt pas mal
Moi : tant mieux
Nella : alors quand est-ce que tu m'emmènes faire une ballade avec ton nouveau bébé
Moi (lui tirant le nez): le week-end
Nella : ouais.
Moi : maintenant sors de ma chambre
Nella : Nonnnnnnnn
Moi : dehors
Nella (rigolant) : non c'est méchant
***Arthur***
[Trois jours après]
Nelson (plié de rire) : je n'en reviens pas
Moi (lui tendant mon bras) : fuck, regardes par toi même
Nelson : une vraie sauvage
Moi : je ne te le fais pas dire
Nelson (entre deux souffles) : toi le grand Arthur
Moi : ...
Nelson : le fils de son père
Moi : je n'en ai pas fini avec elle, je vais la mettre dans mon lit
Nelson (fou rire) : plus sérieusement
Moi : parole d'Arthur
Cette petite est très bandante, plus elle est sauvage et plus elle me fait bander. Je dois la mettre dans mon lit. En fait elle a besoin de quelqu'un qui va la secouer, quelqu'un qui va lui donner des claques tout en la faisant hurler et ce quelqu'un c'est moi. Bientôt elle n'aura que mon nom à la bouche.
Nelson (se remettant de ses émotions): passons aux chose sérieuse où as tu trouvé la poule aux oeufs d'or ?
Moi : sur facebook
Nelson (bouche ouverte): non le gros lot
Moi : c'est plus que ça
Nelson : alors que fais tu encore dans ce trou
Moi : tu as peur ?
Nelson : même pas, je me demande juste ce que tu fais encore ici dans ce bas quartier. Tu as une caisse de ouf tu ne devrais plus traîner par ici
Moi : j'attends le bon moment pour déménager
Nelson : et ce sera toujours la poule aux oeufs d'or ?
Moi : évidemment
Nelson : que fais tu de la petite
Moi : la quelle ?
Nelson : mais la fille du PDG
Moi : Nella à assez fait pour le moment et avec son frère dans la danse, je préfère aller molo-molo
Nelson : on est comment ce soir ?
Moi : d'abord laisses moi voir Hélène
Nelson : sûrement tu vas ramasser les billets
Moi : le week-end est assurée
(Sonnerie de téléphone)
C'est le mien, j'ai montré l'écran à mon pote avant de décrocher. Il a ouvert la bouche
Moi : schuuuut
Moi : Allô
Hélène : Arthur comment tu vas ?
Moi : je vais bien miss et toi ?
Hélène : ça va
Moi : alors
Hélène : je t'appelle pour décaler notre programme
Moi : tu sors ?
Hélène : oui mais je ne tarde pas
Moi : tu es déjà partie ?
Hélène : oui
Moi : je peux t'attendre à la maison ?
Hélène : au retour je t'appelle c'est mieux.
Moi (regardant Nelson) : d'accord
Hélène : ça marche
Click
Nelson : qu'y a-t-il ?
Moi (fixant mon portable) : changement de programme
Nelson : donc on peut se faire une virée rapidement ?
Moi (prenant mes clés) : pas maintenant j'ai autre chose à faire
Nelson : quoi ?
Moi (souriant): la petite
Nelson : la fille du PDG ?
Moi (sortant) : Mais non la sauvage
Nelson (derrière moi) : qu'est ce que tu vas faire ?
Moi : je ne vais pas la rater aujourd'hui.
Nelson : mais branche moi aussi
***Dylan***
Je suis de plus en plus soucieux. Solène me gave franchement elle me dit qu'elle veut se faire connaître par ma famille qu'elle n'a plus envie de vivre dans une location et qu'elle veut me rejoindre à la maison. Elle veut ci, elle veut ça. Je vais attendre la naissance de l'enfant avant qu'on ne prenne une décision. J'en parlerai à maman elle doit m'aider à trouver une solution. Comment vais je regarder Régina en face et lui dire que j'ai engrossé une autre femme, elle pensera que c'est à cause de son incapacité à me donné un enfant.
Régi : Ça va ?
Moi (la regardant): oui
Régi : je te trouve soucieux depuis un certain temps
Moi : c'est le boulot qui me tracasse
Régi : oh
Moi : Regina je t'aime
Régi (regard étonné) : Dylan je le sais
Moi : j'ai eu envie de te le dire encore
Régi : je t'aime aussi
***Lara***
[Ding dong]
Madame a t'elle oublié quelque chose puisqu'elle vient à l'instant de sortir.
[ding dong]
Moi : j'arrive
[ding dong]
Moi : qui est-ce ?
Lui : Arthur
Moi : Toi ? Qu'est ce que tu veux ?
Lui : ta patronne m'a dit de l'attendre
Moi : c'est faux
Lui : appel la donc
Ma foi ce type est malade, qu'est-ce qu'il me veut
Lui : Lara
Moi : quoi ?
Lui : tu comptes me laisser planter ici ?
Moi : Madame ne m'a pas dit que tu venais donc tu l'attends là je ne te laisses pas entrer.
Lui : Lara ouvres moi
Moi : Non
Lui : Si tu tiens à ton boulot ouvres moi
Moi : pas question et d'ailleurs je dirais toute la vérité à Hélène
Lui : Ce sera ta parole contre la mienne, ne sois pas bête
Moi : ...
Lui : Lara
Moi : vas te faire foutre
Ça passe ou ça casse, à son retour je dirais toute la vérité à Hélène. J'ai passé ces trois derniers jours à réfléchir et j'ai décidé ne rien dire je tiens à mon travail mais comme cet homme persiste je n'ai pas le choix.
[...]
La nuit porte conseil dit on, toute la nuit j'ai ressassé cette histoire et j'ai décidé de tout avouer à ma patronne. Arthur est repassé hier, il a passé tout l'après-midi ici avec ma patronne, il n'a pas arrêter de me faire les yeux doux. Il m'a regardé droit dans les yeux en me disant qu'il allait me mettre dans son lit avec ou contre mon gré. J'ai compris en fait que cet type à un sérieux problème et qu'il ne voulait pas me fourré la paix. Le mieux pour moi est de dire toute la vérité à Hélène.Je ne sais pas comment elle va le prendre, si elle me croira ou pas(haussant les épaules) tant mieux je me lance. Elle était vautré dans son canapé j'ai prit mon courage à deux mains et je suis allée vers elle.
Moi : madame il faut que je vous parle
Hélène : Lara nous sommes le quinze aujourd'hui
Moi : je sais, je ne viens pas parler d'argent
Hélène (levant les yeux): Houn je t'écoute
Moi : Je dois vous parlez de votre ami
Hélène : ami ?
Moi : oui votre Arthur
Hélène (me regardant): je t'écoute
[...]
***Hélène***
Moi (hurlant) : non Lara tu mens
Lara : je vous jure madame il a essayé d'abuser de moi
Moi : tu as inventé cette histoire
Lara : mais madame
Moi (hurlant) : je connais Arthur il est incapable de faire ça je le connais
Lara : heu madame...
Moi (la coupant): fermes la s'il te plaît, je vais tirer cette histoire au claire toute suite
Mon Arthur ne peux pas me faire ça.Cette petite ment. Je connais les filles d'aujourd'hui, elles son capable de tout pour te voler ton homme. J'ai prit mon téléphone et j'ai appelé Arthur. Aussitôt il s'est présenté.
(...)
Moi : voilà ce qu'elle m'a raconté
Arthur (se levant) : Hélène laisses moi tout te raconter
Moi (tapant des pieds) : donc c'est vrai ?
Arthur : cette petite est une manipulatrice figures toi qu'elle m'a fait appel la dernière fois. J'ai été surprise en venant, de la voir dans une position pas très catholique, elle m'a obligé à coucher avec elle, elle m'a dit qu'on pouvait être amants
Lara : quoi ? Madame ce n'est pas vrai il ment
Arthur : c'est toi qui ment(me regardant) regarde cette plaie c'est elle qui m'a poignardé quand j'ai refusé de coucher avec elle. C'est la raison pour laquelle elle est toujours désagréable envers moi à chaque fois que je viens ici
Lara : tu n'es qu'un porc
Moi : Lara tu la fermes, je vais te gifler
Arthur : je n'ai rien voulu dire pour ne pas t'inquiéter
Moi : tu aurais dû me le dire, ces filles sont comme ça. Lara tu ramasses tes affaires et tu fous le camp de chez moi
Lara : Non pitié madame
Moi : je ne veux plus te voir chez moi
Lara : Madame je vous en supplie croyez moi je vous dis la vérité
***Lara***
Je savais que c'était ma fin, je savais dès l'instant où il a franchir la porte que j'étais foutue. Mes supplications ne l'on pas empêché de jeter mes affaires dehors. Je revivais comme si c'était hier le même scénario de cette femme qui m'a accusé d'avoir voler l'argent de son mari.
J'ai vite fait d'aller prendre mon argent de sa cachette toute mes économies, j'ai ramassé mes affaires pèle mêle que j'ai enfouie dans le sac. Je me suis redressée et j'ai croisé le regard de Arthur, il a par la suite baissée les yeux.
Hélène (me jetant les billets): je ne te dois plus rien. Sors de chez moi tu es capable de m'empoisonner
Arthur : Hélène je préfère que tu la laisses
Hélène : pas question qu'elle dégage d'ici. Imbécile, je te nourris, je t'ai donné un abri ton salaire ne rate jamais et voilà comment tu me remercies. Petite ingrate, voleuse d'homme.
Moi : Je ne suis pas une voleuse d'homme mais un jour vous saurez qui il est
Hélène : tais toi et sors de chez moi
Une seule larme ne coulait de mes yeux. Je ne vais pas lui faire ce plaisir. J'ai ramassé les sous et je suis sortie.
Mohamed : heu ma petite femme qu'est ce qui se passe, Pourquoi madame crie ? Ooh mais tu vas où avec ce sac
Moi (cachant mon argent) : je viens de me faire renvoyer
Mohamed : hein comment ?
Moi : comment ? Je ne sais pas
Mohamed : eh et tu vas où comme ça ?
Moi : là où mes pieds m'emmènent
Mohamed : ooh...
Hélène : ... Mohamed fermes moi mon portail
Moi : fermes son portail, je ne veux pas que tu te fasses aussi renvoyer par ma faute. Contrairement à moi tu as une femme et des enfants à nourrir
Mohamed (triste) : bonne chance Lara tu vas me manquer
Moi : on se reverra
C'est quand j'ai prit la route que j'ai réalisé vraiment ce qui m'arrivait. Où vais je aller ? Comment vais je faire je n'ai personne dans cette vie. J'ai éclaté en sanglot, je m'étais promis ne plus versé une seule larme mais la vie n'arrête pas de me montrer ses différentes facette. Qu'ai-je fais pour mériter tout ce ceci. Je ressens une profonde haine pour ce homme, maudit soit il, maudit soit Arthur. Je me suis arrêtée sous un arbre et j'ai pleuré un bon coup Avant d'essuyer le visage et de continuer mon chemin. Il faut que je cherche un toit, j'ai suffisamment d'economies pour me prendre une chambre et tenir un bon moment avant de chercher autre chose.
***Elyed***
Nella : c'est impeccable. Pardon laisses moi prendre le volant
Moi : non
Nella (les yeux doux) : alleuuuu s'il te plaît
Moi : je dis non
Nella : tchuiiippp
Moi : ouais
Comme je lui avais promis, nous sommes en ballade. Ma soeur est tombée sous le charme de ma voiture
Moi : attends c'est elle
Nella (cherchant à savoir): qui ?
Moi (garant) : Elle, celle que j'ai rencontré.... Attends
Nella : celle qui n'a pas de nom ?
Moi (sortant du véhicule) : Oui
Nella (me suivant) : Je pensais que c'était une fille class
Moi : épargnes moi
Nella : désolée
Moi : bonjour
Elle (sec) : bonjour
On dirait qu'elle a pleuré, elle avait les yeux rouges et lourds, elle trimbalait un sac
Moi : excuses moi(touchant ma poitrine)Elyed et voici ma soeur Nella
Elle (regardant ma soeur): houn
Moi : je t'avais vu il y a quelques semaines tu ne te rappelle sûrement pas
Elle : non
Moi (souriant) : tu vas quelque part ? Je peux t'aider
Elle (après un long soupir):Je cherche un loyer
Moi (surpris) : un loyer ?
Elle : oui, c'est ce que vous pouvez faire pour m'aider
Moi (regardant ma soeur) : euh... Je.... J'ai un ami qui connais un démarcheur je pourrais le contacter
Nella : euuh
Moi: Tu peux nous suivre ? Enfin...si...
Elle (prenant mon sac) : oui
Elle est montée dans le véhicule et j'ai démarré, en chemin j'ai appelé Névillon un collègue du bureau m'avait dit qu'il déménageait. Il pouvait bien me mettre en contact avec son démarcheur.
Moi : Salut mec
Névi : c'est comment ?
Moi : ça va. Euh dis moi tu as finalement déménagé ?
Névi : euh non, je libère la chambre demain.
Moi : Euh bon je te rappel
Névi : cool
Moi (la regardant) tu cherches quel type de chambre
Elle : Je ne sais pas trop, peut être une chambre de quinze mille le mois
Moi : Okay
J'ai rappelé Névi
Névi : Oui Elyed
Moi : dis, tu payes combien pour ton loyer ?
Névi : une chambre salon je paye dix sept mille francs
Moi (la regardant) : dix sept mille
Elle (haussant les épaules): Okay
Moi : allô Névi ça marche, on se voit quand
Névi : ben puis que je libère demain
Moi demain alors, je t'appelle
Névi : okay
Nella : alors ?
Moi (la regardant) : Mon ami déménage demain si ça ne te gêne pas de rester chez nous et demain nous irons ensemble voir
Elle (la tête collé à la vitre) okay
Moi : d'accord
Nella (me regardant): euh....
Moi (la stoppant) : on en parle tout à l'heure
Je sais ce qu'elle veut dire, les parents ne seront pas d'accord qu'on ramène une inconnue à la maison, mais j'ai bien envie d'aider cette jeune fille. J'étais obligé de mettre fin à notre ballade et de rentrer.
Moi (coupant le moteur) : Voilà
Ma soeur est descendue premièrement du véhicule
Moi (la regardant) : attends moi un instant s'il te plaît
Elle : lara
Moi (me retournant) : Pardon ?
Elle : Lara (éppellant) L-a-r-a Moi : okay Lara donnes moi deux minutes
Je suis descendu rejoindre Nella de l'autre côté
Nella : Ely elle ne peut pas rester ici
Moi : et pourquoi pas ?
Nella : mais les parents n'accepterons jamais
Moi : ça c'est si tu leur dis
Nella : mais..
Moi : elle peut passer la nuit ici sans que personne ne le sache, il suffit juste de la faire entrer par la porte de derrière et monter à l'étage
Nella : elle passera la nuit où ?
Moi : Nella nous avons huits chambres dans cette maison
Nella : okay mais tu as les clés ?
Moi : demande à Alice
Nella (soupirant) :... Tu connais papa
Moi : tout ce que tu as à faire c'est de me prendre la clé d'une chambre. Je gère le reste
Nella : okay.
J'ai attendu qu'elle revienne avant de demander à Lara de sortir du véhicule. En complicité avec Alice, nous l'avons installé dans la chambre d'ami qui se trouvait juste à côté de la mienne.
Moi : je t'apporte des draps propres, tu as la douche à gauche, le dressing en face et...
Elle : Je n'en aurais pas besoin
Moi : bon ben on ne sais jamais. Euh essaye de ne pas sortir mes parents ne...
Elle : je comprends... de toute les façons ce n'est qu'une nuit. Je n'ai pratiquement besoin de rien.
Moi : Okay bon je te laisses. Je t'apporterai personnellementton repas le soir
Elle : Merci Elyed
***Lara***
Je ne sais pas si je l'ai déjà vu une fois, le visage ne me dis absolument rien.J'étais debout à pensé à ma vie, à comment faire et ils sont venus vers moi. C'est peut-être un signe de Dieu à ne pas banaliser. le stade auquel je suis, je ne dois plus laisser passer ma chance, je ne suis pas en position de rejeter une offre.
Moi : Merci Elyed
Elyed : je t'en prie Lara
Il est sorti en fermant doucement la porte.Je suis restée debout à réfléchir, je ne fais que ça réfléchir. Dix sept mille francs par mois, j'ai assez d'économies pour payer trois mois d'avance et plus même. Je peux tenir pendant quelques mois avec la nourriture et autres. Ça fait quand même un an que je travaille pour madame Hélène et j'économise chaque fin du mois. Donc ça peut aller en attendant de trouver quelque chose. C'est la première fois que je vais louer une chambre, il faut que je pense à comment meublé, mais bon ça c'est après.
Il faut que je me batte, je ne devrais pas me laisser abattre, je dois aller de l'avant. Il le faut pour mes défunts parents.
Mais oui comment n'y avais je pas pensé plutôt...Mélissa, il faut que je l'appelle, elle pourra m'aider. Où se trouve mon portable j'ai vidé tout sur le lit en cherchant mon téléphone portable, il n'est pas là j'ai secoué chaque habits mais rien. Merde je l'ai sans doute perdu pendant qu' Hélène jetais mes affaires. J'irai dans sa boutique je peux facilement reconnaître le chemin mais d'abord il faut que je m'installe.
***Arthur***
Il fallait que je me défende. C'était elle ou moi, je l'avais prévenu. Je ne pouvais pas permettre ça, il n'en était pas question. Hélène pouvait facilement me reprendre le véhicule et tout cet argent qu'elle a dépensé sur moi et fini la belle vie non je refuse.
Pour Lara ce n'est pas grave, je vais la retrouver et je m'excuser auprès d'elle ; je peux lui prendre une chambre pour me racheter, elle va accepter je sais qu'elle est dans le besoin.
Plume d'ébène : les écrits de lulu
A suivre...