Chap 19

Ecrit par kony ariane

Hussein Ben-Ami

 

Après avoir récupéré mes affaires et libéré la chambre d’hôtel, je reviens à l’hôpital. Gontran doit être libéré à 12 heures

 

Dès que j'entre dans la pièce, la tension y est palpable. Gontran me fait signe de m’approcher

 

-Frère je voudrais que tu m'aides à  enfiler mon pantalon...

 

Vu qu’il chuchote,  Solène gênée s’excuse et sort soit disant qu’elle a un appel à passer. Une fois seuls je me retourne vers lui

 

-c’est à ta femme de te mettre ton pantalon…

-arrête c’est celle d'un autre dont elle refuse de se détacher

-pourquoi fais tu ça ?

-je la veux loin de moi. Elle n'est pas bien pour moi. Si je suis ici c’est bien parce que je n'ai pas su gérer le stress de ces derniers jours.

-Gontran ! Dis-je dépassé

 

Et merde, Solène est derrière nous. Je crois qu’elle a  entendu ce qu'il a dit.

-Désolée de vous interrompre, c’était ton père. Je lui ai dit que tu rentrais d'une minute à l'autre, il passera te voir à  la maison.

 

Ses yeux étaient pleins de larmes, mais elle prit sur elle. Elle alla chercher son sac posé dans le fauteuil et me dit;

 -Hussein, j’ai déjà réglé la caisse. Le docteur passera le voir et lui donnera une ordonnance. Pour ce qui est de ses affaires,  j'ai déjà tout rangé.  Je crois que c’est mieux que j'y aille

 

Je regarde sévèrement Gontran, mais il m'ignore.

 

-Solène attend s'il te plait.

-Hussein, il faut que je sorte de là, grand besoin d'air frais

 

Elle a essayé d’esquisser  un sourire, mais une larme s’est échappée.

 

Quand elle eut refermée la porte.

 

-Tu n'as pas été gentil

-Ah oui tu crois ?  Me dit-il avec sarcasme

-Ton pantalon tu l’enfiler tout seul

-Pff

 

 

Solène CODJO

 

Il m'en veut à  ce point ? J'ai mal. Il veut que je me tienne loin de lui ? C’est ma faute s'il s’est retrouvé dans ce lit…il a raison. Je me suis laissé guidée par ma jalousie et mon manque d’assurance.

Je suis rentrée chez moi toute bouleversée.

J'ai eu droit à un questionnaire qui ne dit pas son nom. Quand finalement j’ai expliqué la situation à  Madame Ben-Ami,  tout ce qu’elle a trouvé à  dire c’est « il n'a pas complètement tord »

Je l'ai laissé là et j'ai pris une bonne douche pour me débarrasser des microbes, car il y en a pleins à l’hôpital. Tout ce que je veux c’est passer du temps avec ma filleule, elle au moins me met toujours de bonne humeur.

Quand j'eu terminé,  je descendis la chercher. C’était l'heure de son biberon. Je la pris avec moi pour la nourrir. Après qu’elle eu fait son rot, elle se niche au creux de ma poitrine pour sa sieste.

 C’est  tellement bien de se sentir aussi  proche d’un enfant. Quand elle s’endormit, je la couchais au milieu de mon grand lit et m’allongeai près d'elle. Solène m'a assuré s'occuper du déjeuner. Moi je suis fatiguée, cette nuit de garde à été pénible.

 

Quand j’émerge enfin, je tâte le lit pour toucher Sabriah mais c’est  vide.  D'un bon je me lève et je tombe  nez à nez avec Gontran 

-encore un cauchemar ?

-euh non, je me suis endormie avec Sabriah et…

-Sa mère est venue la prendre. Le lit est déjà trop petit pour nous deux...

 

Je ne tien pas compte de sa remarque  et le dépasse pour la salle de bain. Une fois terminé, je ressors de là et à  son intention

 

-je vais voir si ta chambre est prête

-pas besoin vue que je dors là

-là ?

-il faut bien que quelqu’un me veille au cas où je fais une crise

-euh … ok. Tu as un régime strict à  suivre. Je vais te faire ton déjeuner.

-j'ai déjà déjeuné et pris mon médicament. Pour une garde malade, tu n'es pas très efficace.

-ça suffit !

-tu crois ?

Il se rapproche de moi,

-Je ne laisserai plus jamais personne me rabaisser

-C’est très bien…

-Gontran, je suis...

 

Non je ne pourrai rien dire, si ce n’est lui démontrer combien je regrette mes paroles. Je monte sur ses orteils et me hisse sur les miens et je capture ses lèvres. Il est hésitant,  mais finit par se laisser faire et m’embrasse avec passion.

C’est délicieux,  ça m'a manqué. 

J'ai lu quelque part que la fellation faisait baisser la pression. Alors j'ai poussé ma curiosité loin, et j’ai essayé d’apprendre l'art de la pipe.

 Je vais me lancer dans un exercice pratique. J’espère recevoir la mention ‘’leçon sue’’.

Je commence en douceur, je fais durer le suspense en lui donnant un baiser langoureux et je caresse son torse de façon très sensuelle.

  Je veux faire monter la température. Tout en l'embrassant je fais descendre le jogging qu'il a porté.  J’ai bien fait de prendre ça me dis en passant. Son caleçon aussi rejoint ledit jogging.

Pour une bonne position, je le fais asseoir dans le fauteuil et je me place à genoux entre ses cuisses.

J'en viens à  l’étape du ‘’eye contact'’. Pendant cette gâterie je dois m'efforcer de le regarder ; ce que je fais en le regardant droit dans les yeux, je m'y perds. Ça a le don de l’exciter. Je le remarque de suite.

Je fais durer le plaisir. Je retire mon haut lentement et avec sensualité, je dégrafe mon soutien-gorge par devant et l’envoie valser.

Je touche enfin à son chibre avec mes lèvres en y mettant les mains. Ça à l'air de le stimuler davantage,  car j’augmente les vas et vient. Je me concentre sur le gland, monsieur y est très sensible.

Vue que j’ai entamé la mise en bouche tout en douceur, j’accélère progressivement mes vas et vient verticaux.

Le coup de grâce, le ‘’  Deep troat’’. C’est la gorge profonde. J'enfonce son sexe au fond de ma gorge. Discrètement, je tends ma main vers le tiroir du lit et en sort la boite de cristaux de menthe. J'en prend un que je met en bouche. Il a les yeux fermés.  Je ne saurais dire comment j’ai réussi ce tour de maître mais ma langue s’est actionnée afin de faire fondre mon accessoire secret qui a rafraîchi ma bouche. Je le pompais avec davantage de gourmandise que le bon monsieur a ouvert ses yeux de surprises.

 Ses gémissements ont décuplé. Sa respiration s'est faite saccadé.  J’allais recevoir mon ‘’graduate'', mon diplôme,  ma médaille pour service rendu. Son gland avait grossi. C’est extraordinaire. Lui qui ne m'avait pas adressé un mot, lui qui n’avait pas levé ses mains des accoudoirs qu'il serrait au point de les briser, mon amour me regarde dans les yeux et attrape ma tête pour m’encourager à  aller jusqu’au bout.

 

-Bébé ?

-…

-Bébé… je vais venir… je ne tiendrai plus longtemps.

 

Il me suppliait d’arreter et de continuer. Ses yeux étaient encore plus magnifiques. Son visage s’était fait angélique. On aurait dit un bébé. Je me disais, « viens, viens mon cœur, je ne demande que ça »

Quand enfin le bouchon sauta, il voulu me repousser mais je maintins fermement ma position et je le récupère au fond ma force. C’était chaud, épais et d'une saveur particulière. Cela eu le don de me faire mouiller abondamment. J’actionnai ma langue de sorte que je lui fasse sentir, prendre conscience de la quantité de sperme qu'il déchargeait. Ma langue tournoyait autour de son gland et je me délectai à petite gorgée de son jus, que je bus entièrement avec gourmandise. Quand j'eus terminé,  je le nettoyai avec ma langue de sorte à le rendre propre. Je mis un autre des cristaux de menthe en bouche, me relevai légèrement et lui donnai un baiser langoureux.

Je me levai et me rendis dans la salle de bain. Je revins avec une serviette mouillée et le nettoyai.  Je remontai son caleçon et il souleva ses fesses pour me faciliter la tâche, puis j'en fis de même avec son jogging.

Je retournai à  la salle de bain, puis je revins dans la chambre.

 

-allez, viens t'allonger. Tu as besoin de te reposer

 

Il avait un air bizarre qui m’amusait. Il devait aussi avoir honte après tout ce qu’il a dit, il venait de se laisser vider les couilles par moi.

Il voulait dire quelque chose mais je le pris de court.

 

-Je reviens si tu le permets. Je vais me trouver quelque à  manger. Je demanderai à  Hussein de venir te tenir compagnie

 

Je jubilais. Pas besoin qu'il me dise. J'ai bien appris ma leçon. J'étais fière

 

 

Soraya Hamid Ben-Ami

 

-alors tu as pu récupérer ?

-oui merci.

-désolée je n’ai pas su quand tu es venu prendre Sabriah

-elle dort toujours, je ne sais pas ce que tu as fait mais chapeau. Je l'ai prise endormie, car Gontran devait s'allonger.

-merci pour le déjeuner

-pas de soucis. Ton homme a mangé et nous tous d’ailleurs.

- pourrais-tu demander à Hussein d'aller lui tenir compagnie, le temps que je déjeune ?

-oui bien sur

-merci

-toi tu as la tête de quelqu’un qui a fait une bêtise

-je ne vois pas de quoi tu parles.

Elle sourit un peu trop et bêtement comme quand on repense à un truc pas catholique.

-je vais le dire à  Hussein et je reviens, tu me diras ce qui te rend si…surexcitée



Hussein Ben-Ami

 

Le capitaine de mon équipe m'envoie tenir compagnie à Gontran.

Je toque et il m'invite à rentrer.

 

-alors mec ça va ?

- super

-et qu’est-ce qui a changé depuis tout à l’heure

-euh ... Pourquoi,  enfin je ne vois pas de quoi tu parles.

 

Ce garçon a fait quelque chose. Lui je le connais.

 

-tu as la même tête que le jour où tu as été dépucelé par Josiane Clous

-n'importe quoi

-c’est ça. En tout cas, quoique ce soit, fais le souvent car ça te détend. C’est palpable

 

 

Gontran KABLAM

 

Seigneur, je ne comprends pas ce qui vient de se passer. Je suis sur un nuage, qui a déjà dépassé les étoiles. Non je suis plutôt sur une montagne en altitude. Ou je dirai je suis aux anges.

 Le traitement que je viens de subir, est l'une de mes expériences sexuelles les plus inédites. La maîtrise qu’elle a de la chose, on aurait dit une maitresse de la fellation en plein exercice d’application.

Comment dire ? Je me sens homme. Je me sens fort. On aurait dit une année professionnelle réussie.  Un peu comme quand j'initie des poursuites judiciaires contre de gros bonnets et que je réussi à les coincer dans les mailles de la Justice. Le bien que je viens de vivre, je ne pourrai m'en passer. J'ai comme l'impression que cette satanée pression a disparu. Je me sens détendu, vraiment détendu.

Je ne pourrai expliquer la plénitude qui est la mienne. Où a-t-elle appris  ça ? Elle si pudique, si renfermée quand il est question de sexe.

Non je ne vais pas m'imaginer n'importe quoi. Elle m'a fait du bien et c’est tout.

Je lui pardonne tout. Cette rançon qu’elle vient de me donner n’a pas de prix, elle a une valeur plus qu'inestimable.

 

 

Solène CODJO

 

Tout l’après-midi j’ai collé  Hussein à Gontran.

Je l’évite au maximum. Soraya, Sabriah et moi avons profité de la piscine.

Ce soir pour le diner,  ils ont tous insistes pour manger pareil que notre ‘’malade'' du coup ce soir c’est brocolis à la vapeur avec du poisson cuit pareil, sans sel ni huile. Fallait voir l'autre râler. Est-ce que je l'ai regardé ? Même pas une seconde.

Apres le dîner, nous avons les Ben-Ami ont décidé de faire un tour en ville en amoureux. Moi avec l'aide de Jeannette  je prendrai soin de Sabriah. La petite n'a aucuns soucis. Elle a déjà 13 mois. Elle fait ses nuits donc ils peuvent être tranquilles. Nous avons convenus qu’elle dorme dans la chambre de Jeannette qui est à l’opposée de celle des Ben-Ami. C’est  une chambre d'ami presque aussi spacieuse que celle, qu’ils occupent. Quand je suis revenue m’installer ici, je n'ai pas trouvé opportun qu’elle continue à  dormir dans une des dépendances. Il me fallait de la  compagnie et elle fait partie de la famille.

Vu que la petite se réveille à 7heures, ses parents seraient déjà là et s’ils souhaitent ils pourront la prendre avec eux.

Je suis montée vers 22 heures, car Monsieur devait prendre son comprimé.

 Il ressortait de la salle de bain.

-c'est l'heure de ton médicament.  Tu as un verre d’eau là et le comprimé

-tu crois que j'en ai encore besoin ?

 

Je savais qu’il voulait faire allusion à la fellation de tout à l’heure, mais je feins de ne pas avoir compris

 

-Jusqu’à ce que tu ne vois le médecin mercredi, tu continueras à le prendre

 

Il me regardait les yeux froncés.

Je passe devant lui et me rend à la salle de bain. Je me fais couler un bain et je m'y introduis. J'ai besoin de me détendre car je suis moi-même stressée. J'y suis resté une bonne trentaine de minutes puis je suis sorti.  J’ai noué  une serviette à la poitrine puis je suis allée dans la chambre afin de me vêtir pour dormir. Il était toujours assis sur le lit.

 

-surtout ne met pas une de tes tenues de camouflage qui te servent de super pyjama…

 

J’ai bien perçu dans sa voix qu’il voulait faire de l’humour. Attend de voir mon cher, sois patient, ai-je dis tout pas.

J'avais tout prévu pour passer à l'offensive 10 jours auparavant. Donc là je suis en mode…

 

-tu vas dormir avec ça ? Dans ce lit ? Prêt de moi ?

-ben oui, où veux tu que je dorme ? C’est mon lit je te signale.

-oui mais, ce que tu as mis là c’est pour dormir ?

-oui

Je ne dois pas rire pour paraître crédible et innocente. Il a ouvert ses yeux tellement grands qu’on aurait dit qu’il veut faire peur à un enfant. Je ne sais pas si c'est qu’il a la gorge sèche ou qu'il a un trop plein de salive dans la bouche, mais il déglutit encore et encore. Je retourne à la douche déposer ma serviette,  et je reviens dans une démarche chaloupée.  Je me cambre pour attraper mon parfum que je vaporise sur moi, puis j’accentue ma cambrure pour bien le faire baver, feignant de scruter mon visage.  Après ce cinéma,  je contourne le lit pour me retrouver de l'autre côté et m'y glisser.  J'aurais juré que son corps n'a pas bougé, c’est sa tête qui tourne autour de son cou. C’est trop marrant. Tout ça je le dois à ma nuisette sexy « LISE CHARMEL Précieux Diadème » elle est faite en soie et d'une somptueuse dentelle. Elle est Élégante et sophistiquée, c’est une ligne luxueuse aux finitions raffinées qui sublimema silhouette, mariant à la perfection la finesse du tulle avec le romantisme de la dentelle dans un esprit couture très glamour. Le décolleté plongeant et le bas du modèle offrent un look très sensuel. Son dos très échancré dévoile la peau tandis qu'un empiècement de dentelle vient se poser délicatement dans le creux des reins. Il y a des liens à nouer dans le dos, et de fines bretelles réglables.

 

Je suis pire qu'une bonne coupe de glace avec tout ce qu'on aime ; parfum préféré avec des bouts de nougat, des pépites de chocolat, de la sauce caramel, de la Chantilly et par-dessus une cerise confite. Miam.

 

Je prends mon portable toujours en l’ignorant royalement. Soraya m'a envoyé des photos d'eux. Je rigole plus qu'il n'en faut.  Je me lève  et prend mes écouteurs dans mon sac. Je n’en ai pas besoin. C’est le seul moyen que j’ai  trouvé pour enlever la couverture. En me recouchant je me suis mise sur le côté gauche, cambrant mon postérieur plus qu’il n'en faut, pied gauche tendu et le droit, genou remonté vers mon ventre, plante de mon pied droit sur le genou du gauche.  Résultat ? Ma nuisette est au ras de mes fesses. Mon cœur bat la chamade,  car il a fai un mouvement sur le lit.  Je sens le matelas s'affaisser de plus en plus en ma direction. Je tremble littéralement. Là il est derrière moi, tout prêt, collé à mes fesses. Je feins la surprise. J’enlève mes écouteurs et fait un jeu avec mes lèvres comme si je pouvais les gonfler pour les rendre encore plus pulpeuses.

- aurais-tu besoin de quelque chose ?

-heu…

- dans ce cas, laisse-moi continuer d’écouter ma musique

Je remets mes écouteurs à  nouveau. Sa verge gonfle contre mon postérieur. Ça a le don de me faire mouiller.

Il me tapote l’épaule

 

-tu sais ce dont tu as besoin à présent ?

 

Pour toute réponse, il me tourne vers lui et s’empare de mes lèvres. J'ai tellement rêvé de ça.

 Notre baiser est chaud passionnel et tellement gourmand. Pour le titiller, je le repousse et lui dit à bout de souffle bonne nuit.

J’ai à peine le temps d’étendre ma main, qu’il me roule sous lui. C’est  reparti pour le bon vieux partage de salive. On se roule des pelles,  se mordille les lèvres, s’entrechoque les dents et pourtant on semble toujours assoiffé.  Il me caresse le visage d'une main et l'autre se balade de mon pied à ma cuisse. J ai un mouvement de replis de mes  jambes,  lui offrant une partie de mes fesses. Il caresse ma poitrine à  travers le tissu doux. Je ne veux pas que ça s’arrête. Je gémis tout doucement, comme si j'avais peur de m'entendre. Il se met sur le cote6puis sur le dos et m’emmène avec lui. Je suis à présent sur lui. Comme pour me dire on ira jusqu’où tu voudras, jusqu’où tu te sens capable d’aller. Je ne sais pas où est mon portable,  mais le fil de mess écouteurs devient gênant je me redresse en ayant mes fesse sur sa bite. Le mouvement que j'ai eu semble lui avoir plus alors je frotte mes fesses davantage sur son bâton magique. Il grogne et se redresse pour reprendre mes lèvres.  Sa main dans mon dos me rend folle. De son autre main, il caresse mes seins avant de les mordiller à  travers le tissu. Je n'ai pas pu  retenir ce long gémissement. J’ai ressenti une grande gêne. Le pourquoi ? Ben je n’ai connu qu’un seul homme et il m'a toujours imposé ce que je devais faire ou pas quand nous faisions l'amour…ne pas gémir trop fort, lui pincer les tétons uniquement ; un tas de règles. Je ne sais pas si avec lui c’est  ainsi.  Ayant senti mon refroidissement. Il me reprit les lèvres  et me roula à  nouveau sous lui. Il descendit vers mon jardin secret et me mordilla les lèvres à travers mon string. Il remonta en soulevant lendemain et en embrassant chaque centimètre de ma peau en commençant par mon ventre jusqu’à mes seins et me retira la nuisette qu’il passa sur son visage, comme pour s’imprégner de la douceur du tissu. Il déposa la nuisette sur le lit et me poussa lentement de sorte que je m'allonge. Il s’occupa de mes seins. C’était trop bon. Je bougeais telle une anguille hors de l'eau.

Il me retourna sur le ventre et s’arrêta.  Il a du remarquer que les taches sur mon dos étaient moins visibles excepté les marques de bouche qui était encore elles visibles.

 

-C’est  l’œuvre la dermatologue,  me sentis je obligé de lui expliquer. En passant merci à  Soraya qui me l'a ait recommandé.

 

Gontran se mit à faire une chose qui me fit couler des larmes, d'abord en silence puis franchement. Il m’aimait donc vraiment…

 

Du bout des doigts il retraçait chacune des marques, même  celles qui n’étaient plus visibles et les embrassaient, y traînait sa langue comme la première fois où il les avait  vu.

S’étant rendu compte de mes larmes, il s’arrêta.

 

- pardonne-moi si j'ai fait quelque chose de maladroit. Tu veux qu’on arrête ?

 

Arrêter quoi ? Non mais c’est quoi  ce bourricot ? Je suis en plein dans le truc et il parle d’arrêter. Pardon continue, tue moi. Dans un murmure…

 

-non, continue

 Il me retourna et m’essuya les larmes avec sa langue, ses lèvres.  Il m'embrassa et repris ses caresses jusqu’à mon triangle. Il tira sur le côté mon string et entrepris de glisser sa langue dans ma fente. Je gémissais de plus belle, me cambrant davantage et soulevant mon bassin. Le plus délicieux des supplices. J’étais à  la merci de sa langue. Il me retira lentement mon dessous et revins s’attaquer à ma moule. Pour la première foi,  il introduisit en moi un doigt,  puis deux. Sa langue et ses lèvres titillaient mon petit bouton. J'adore tout simplement. Je sentis une décharge qui me prit le bas ventre et dans un long râle, j'atteignais la jouissance. Il me lécha encore quelques minutes puis remonta vers moi, pour s’emparer de mes lèvres.  Il m’embrassait juste, mais mon désir pour lui était toujours là et grandissait au fur et à mesure que sa main touchait mon corps.

Stoppant notre baiser et le regardant droit dans les yeux, dans un murmure je lui dis ;

 

-je suis prête à  m'offrir à  toi. Fais moi tienne.

 

On aurait dit ‘’Axtéris le gaulois'' quand il prend la potion magique. J'ai vu Gontran entrer en transe comme le personnage. Il se sentait fort,  ragaillardi par ce que je venais de dire. Et pourtant il me demanda.

 

-tu es sûr de toi mon amour ? Je peux attendre

-non je le veux maintenant

 

Et ’était parti, il me caressa encore et encore, je me suis retrouvé sur lui, puis en soixante-neuf, puis il était sur moi. Quand il jugea que j’étais prête à  le recevoir, il présenta son dard à  l’entrée de ma cave et du bout de celui-ci, il effectua de petits mouvements circulaires  et quand je fus habitué,  il me pénétra centimètre par centimètre et moi au fur et à mesure mes ongles s’incrustaient dans son dos. Une fois à  la garde, il marqua un arrêt et la minute qui suivit, il s’activait en moi tel un dieu grec.

Je ne suis que gémissements. Je n’ai absolument pas la force de lui procurer une quelconque caresse.  Je ressens une plénitude de mon cuir chevelure  aux pointes de mes pieds. Je vibre dans ses bras. Il me roule et je suis sur lui et je commence à monter et descendre sur son épée. L'instant d’après je le lève et me met à quatre pâtessur le lit lui offrant ma croupe.  Je gémis, je hurle criant mon plaisir. C’est  divinement bon.  Je le sens grossir en moi. Je jouis et lui explose en moi. Nous restons immobiles un moment, puis le me lève la première pour la salle de bain. Il me rejoint. Nous prenons une douche, riche en caresse et en baisers. Une fois sorti.  J'enfile un peignoir.

 

-je reviens, je vais voir si Jeannette s'en sort bien avec la petite.

-ne sois pas longue

 

Je suis aux anges.

 

LA VIE APRES LES POI...