Chap3 Détective Blandine BOCO
Ecrit par kony ariane
Je venais de
prendre ma décision. Blandine BOCO va résoudre cette enquête mon Renaud
Hountondji et celui de cette coiffeuse sont ils les mêmes personnes ?
Nous sommes
heureux en ménage, je lui fais confiance à mon partenaire dont je
connais parfaitement l'emploi du temps et qui se confie totalement à moi.
À quoi bon, donc,
passer quelques minutes voire quelques heures à fouiner dans ses affaires, sans
réel but, simplement parce que j’ai entendu une femme parler d’un certain
Renaud Hountondji
Je devrais
profitez de ce temps libre pour lui démontrer au contraire que je ne touche pas
à ses affaires. Quand son portable sonne je lui fais appel et pour la plupart
du temps je me retire pour lui laisser son intimité. Me serais je trompée de
stratégies ? Je lui parle des hommes qui me courtisent et face à mon
agressivité à les rabrouer il me conseille sur comment leur faire comprendre
gentiment mais fermement que je ne bois pas de cette tasse. Pendant deux mois
j'ai essayé de me convaincre que je devais taire ce démon en moi qui me
poussait à le filer.
J'avais alors
décidé de me rendre dans le salon de coiffure sis à Ganhi.
-bonjour madame,
avez-vous une carte de fidélité ou est ce la première fois que vous venez ?
-j'en ai une oui,
tenez
-ah madame
Blandine Boco
-oui c'est cela
C'est à ce moment
que la propriétaire vint vers moi.
-bonjour madame,
Sidonie SEKPO je suis la propriétaire du salon
-enchantée,
Blandine Boco
-qu’est ce qui
vous ferait plaisir aujourd’hui ?
-mon homme vient
cette semaine et comme à chaque fois je veux lui prouver que ce qu'il y a
dehors est meilleur que ce qu’il a à la maison. Je veux me faire belle
D’où me sors
cette réplique moi ? M’étais-je demandé.
-je comprends
très bien croyez moi. Suivez moi je vais m'occuper de vous personnellement.
-c’est parfait
pour moi, je vous fais confiance.
C'est ainsi
qu'elle entreprit elle-même de me bichonner. Elle est parti sur des tresses
pour changer de mes greffes avait elle dit. Elle m'avait aussi proposé un soin
du corps même si selon elle je suis déjà parfaite. Un truc m'a tout de même
intrigué, elle portait le même parfum que moi. Pour en être certaine, une fois
terminée je sortis de mon sac le parfum j'adore de Dior.
-vous connaissez
les bonnes choses, mon homme à moi aussi n'y résiste pas.
-ils sont tous
les même.
-faites un tour à
‘’séduction au pluriel'' vous ne serez pas déçu, me faisant un clin d’œil, vous
m'en direz des nouvelles.
C'est ainsi que
par curiosité je me rendis effectivement dans cette boutique. Il y avait toute
sorte de lingeries. La vendeuse qui s’occupait de moi, voulait savoir ce que je
voulais, je lui avais répondu
-tout ce qui se
vend bien actuellement
J'avais choisit
de ces dessous, miam il se régalera des yeux mon cher mari. Ils n’étaient pas
loin de ce que je mettais certes mais les couleurs étaient différentes.
Ce soir là
j'avais envoyé les enfants chez Pasta et j'avais donné congé à la nounou et au
cuisinier. Je voulais passer la soirée avec mon homme.
J'avais fait
brûler des encens que j'avais ramenés d'Abu-Dhabi, et j’avais allumé des
bougies. Le cadre était à l'orientale ainsique la cuisine. Quand il était
rentré ;
-bonsoir mon cœur
-ma tomate à
moi, hum tu es magnifique
-les enfants sont
chez Pasta, la nounou absente. On nous sommes seuls.
Il me gratifia
d'un baiser.
-je t'ai fait
couler un bon bain, va te rafraîchir le temps que je serve le repas.
Il ne se fit pas
prier et s’exécuta.
Nous avons dîné
dans une bonne ambiance. À peine avons-nous terminé que monsieur voulait se
jeter sur moi.
- Non mon cœur,
suis moi dans la chambre d'ami dans 5min
J'y avais tout
décoré, on aurait dit une nuit à l’orientale.
J'avais enlevé
mon boubou et me trouvait dans un ensemble de dessous, mauve fait de dentelle
et de soie. Un soutien gorge demi-sein et un demi-slip trop sexy. J’avais
échangé mes perles contre une chaînette en or. Il y avait une dizaine d'autres
sous vêtements.
- installe-toi
dans le fauteuil, je vais défiler pour toi, mon amour.
C’est ainsi que
j’étais parti pourun défilé très aguichant. Je le voyais transpirer malgré la
climatisation, il ne faisait que déglutir.Ses yeux brillaient, sa bouche
s’ouvrait pour se refermer, son sexe était tendu à tel point qu’il aurait finit
par déchirer son bas de pyjama. Mon Dieu les hommes. À la cinquième lingerie il
se leva promptement et vint vers moi d'un pas déterminé. Il me plaqua contre le
mur froid et me pénétra d'un coup sec. Il était comme fou, il me bourrait
tellement que j’en avais mal même si s’était très jouissif
-tu me rends fou,
on aurait dit une autre personne, tu es différente et j’adore ça. Il criait tu
es bonne ma puce, oh j'adore ta cave. Elle n'a pas changé depuis toutes ces
années.
J'en avais oublié
même que j’étais une femme fontaine. J'avais tellement jouit. Il était trop en
forme, c’est à ce moment là que je me suis posée la question de savoir si c’est
à moi qu’il pensait ou si c'est à l'autre ?
Jusque là,
j’ignore si mon homme à une autre vie…
Il m’avait prise
dans tous les sens. Nous avions dormi qu’au matin.