Chapitre 1 : Culpabilité

Ecrit par Smumu

Chapitre 1 : Culpabilité

 

** Orelia Maya Rivera De Monténégro **

 

Je me réveille avec une douleur lancinante derrière le crane et des coups de marteau dans la tête c’est horrible car la douleur en arrive à m’aveugler.

 À peine ai-je ouvert les yeux que je vois le père de Layta assis dans un fauteuil donnant face à mon lit il dort avec un air inquiet et ses vêtements ne sont pas aussi soignée qu’a l’accoutumé

 

Moi (marmottant) : il est où mon papa ? Ou suis-je ?

 

Il sursaute de son sommeil en entendant ma voix et se précipite à mon chevet avec ce même air inquiet

 

Lui (caressant mon front) : hey je vais appeler un médecin

 

Moi : pourquoi ? Il est où mon papa ?

 

Lui (déposant un baisé sur mon front) : tu es a l’hôpital ma chérie (fermant les yeux) tu m’as fait peur

 

Il détourne son regard du mien comme pour cacher une douleur donc j’ignore la provenance a cet idée je panique mon papa, mon papa peut être lui est-il arrivé quelque chose ? Je ne veux pas aussi le perdre…

 

Lui (voix douce) : je vais chercher le médecin

 

Une femme en blouse blanche arrive m’examine en me posant un tas de questions qui m’énerve car je veux voir mon père

 

Moi : il est où mon papa ?

 

Sébastien : du calme ma chérie il va arriver

 

Moi : vous pouvez l’appeler et lui dire de venir ? Maintenant ?

 

Lui : oui oui dit tu te souviens de ce qui s’est passé ?

 

Moi : je jouais et je me suis cognée

 

Lui : ce n’est pas ce que ton père a dit ?

 

Moi : il n’était pas là il était dans sa chambre il a dit quoi ?

 

Lui : rien

 

Moi : parce qu’il n’était pas là

 

Je sais maman disait toujours de ne jamais mentir mais je sais que si je dis ce qui s’est réellement produit, je ne verrai plus jamais mon père et je ne peux pas perdre mes deux parents mon père c’est quelqu’un de bien vous savez. Je suis sûr qu’il n’a jamais voulu me faire du mal il est juste triste comme moi et puis il m’aime.

 

Après avoir été interrogé par des agents, je rentre à la maison avec mon père qui a été soupçonné de me maltraiter.

Pendant un mois, tout va bien à la maison, je retrouve mon papa drôle qui me prépare mon petit déjeuner et mon diner, celui avec lequel je fais des jeux de société le soir venu et les cinés resto en tête à tête les week-ends puis, l’anniversaire de maman arrive et les choses se détériorent encore plus que la première fois

 

Papa (furieux) : tu es contente ?

 

Moi (le regardant sans comprendre) :…

 

Lui : par ta faute elle n’aura jamais trente-quatre ans

 

Moi : je suis désolé papa

 

Lui : tu fais bien de l’être petite meurtrière tu fais bien de l’être

 

Moi : elle aurait eu honte de toi !

 

À cette phrase il perd le contrôle et me frappe si bien que ma peau claire en garde les séquelles.

Le lendemain, le père de Layta le découvre en me voyant en col roulé avec un trente-six degré du coup, il m’oblige à me déshabillé et se met dans une colère noire et du jour au lendemain Sébastien m’annonce que je vivrai désormais avec lui c’est ainsi que moi Orelia maya Rivera je deviens Orelia Maya Rivera De Monténégro.

 

 

*** 5 ans plus tard**

 

Avez-vous déjà été dans un calme ou seul le battement de votre cœur se fait entendre ? C’est paisible et enivrant du moins je le crois.

On dit que le calme précède la tempête j’aurai du savoir que ce dicton était vrai seulement comment aurais-je pu ? Avais-je déjà connu le calme ? Surement ! Seulement cela me paraissait si lointain.

Du haut de mes quatorze ans que connaissais-je vraiment de la vie ? Après tout je n’étais qu’une adolescente et pourtant, j’avais l’impression que j’y connaissais autant qu’une personne faisant le triple de mon âge.

Allongé sur ce lit j’ai l’impression d’être envahit par un brouillard qui ne veux me laisser émergé.

 

Je me demande d’où me proviens cette torpeur et cette impression de je ne sais quoi lorsque me parvins des chuchotements.

Je reconnais distinctement ces deux voix l’une est celle du docteur Roy ma psychologue depuis mes neuf ans et l’autre est celle de Sébastien mon père depuis mes neuf ans ou il est devenu mon père adoptif et DIEU m’ai témoin que je l’en suis reconnaissante cependant j’ai trop mal, beaucoup trop.

 

Du jour au lendemain je n’ai plus vu mon père il m’a laissé comme on laisse un sac de poubelle dans une benne à ordure sans se retourné. Ma mère est morte contre sa volonté elle m’a laissé seule malgré elle mais mon père lui il est juste parti en me tournant le dos.

Cinq ans que j’espère qu’il reviendra cinq ans qu’a chacun de mes anniversaires je dors à côté du téléphone en espérant qu’il m’appelle cinq ans que je regarde le courrier en espérant qu’il m’ait envoyé une carte postale mais rien cependant, je n’arrive pas à me résigné je pleure et l’année qui suis, je recommence le rituel l’espoir c’est vraiment douloureux c’est un enfer qui te pousse à croire à tort quand tout autre sentiment est mort.

À ses anniversaires, j’achète un gâteau et y met une bougie je fais un vœu pour lui et souffle la bougie avant de l’écrire une lettre ou je lui raconte ma vie et le supplie de revenir non pas parce que je ne suis pas bien ou je suis mais parce que j’ai besoin de mon papa et qu’il me manque.

J’ai même acheté un livre de magie à la Fnac pour essayer de le ramener à moi comme si cela était possible à croire que j’ai trop regardé les séries de magies.

J’ai regardé sur internet comment entrer en contact avec son âme mais rien mais j’espère toujours je ne renoncerai jamais c’est mon père au même titre que Sébastien qui a pris soin de moi ces cinq dernières année et je l’aime

 

Docteur Roy : son état ne présage rien de bon je suis de plus en plus inquiet pour sa santé

 

Je pensais qu’elle allait mieux je ne sais plus comment l’aider dit papa d’une voix si triste que j’en ai des hauts de cœur que ce passait ’il ? Qu’avais-je de nouveau fait ? Et au fait pourquoi me sentais-je ainsi et surtout ou étais-je et pourquoi papa a t’il l’air ou fond du gouffre ? Six années ce sont écoulé depuis ce tragique événement pourquoi ma fille ne s’en remet-elle pas ? Nous avons essayé tous les traitements possible en passant de l’hypnose à l’internement pourtant lorsqu’elle fait cinq pas en avant, elle en refait soixante en arrière et après ceci j’ai peur que la prochaine fois elle arrive à ses fins six tentatives de suicides en cinq ans pour une enfant de son âge c’est tout sauf anodin même moi je perçois sa détresse enchaine-il la voix brisée.

 

Attendez bloc, flash-back ou ce que vous voulez il a dit tentative de suicide ? Non ! Non ! Non je n’ai rien fait je n’ai pas essayé de me suicider pas une sixième fois je m’en souviendrai !

 

Docteur Roy : vous avez raison ce n’est pas anodin de plus cette fois elle n’y est pas allé de main morte

 

Père : prendre quasiment une demi boite de somnifère avant d’essayé de se trancher les veines même moi qui ne suis pas médecin je vois très bien qu’elle voulait réellement en finir une bonne fois pour toute !

 

Revenons en arrière de quelques instants j’ai fait quoi ? Je n’ai pas pris de somnifère j’en suis certaine ni essayé de me tranché les veines je me rappel m’être endormi sur le canapé après avoir pris un verre de jus de mangue j’ai d’ailleurs trouvé le goût étrange mais…

 

Il me faut une solution drastique pour que ma fille revive qu’elle redevienne celle d’avant dit père en interrompant le cours de mes pensées

 

Docteur Roy : j’ai une proposition mais cela pourrait ‘être à double tranchant

 

Père : au point où j’en suis Martha je suis preneur de toute proposition me permettant de sauver ma petite fille je ne survivrai pas si je devais également la perdre

 

Docteur Roy : dites-lui la vérité elle vous adore peut être que savoir la vérité lui donnera une raison de vivre !

 

Mais quelle vérité ? Me demandais-je

 

Père (ferme) : non ! J’ai donné ma parole de ne jamais le faire et nous sommes amie depuis des années et tu sais parfaitement que je ne reviens jamais sur une parole donnée

 

Docteur Roy : même si cela pourrait être son seul espoir ?

 

Père : ou empiré son état une autre proposition s’il te plait Martha

 

Docteur Roy : tu as raison Sébastian cela pourrait être risqué mais une autre idée me vient

 

Père : je t’écoute

 

Docteur Roy : envoie-la dans sa famille maternelle !

 

Père : hors de question ma fille reste avec moi je suis son père et il est hors de question que je l’envoi chez ces gens

 

Docteur Roy : certes je te comprends mais un nouvel environnement lui serai bénéfique essaye c’est la dernière chose qui te reste à faire tu dois au moins essayer imagine la prochaine fois ? Imagine que ce soir-là tu ne sois pas rentré plus tôt cinq minute de plus elle serait actuellement dans un cercueil.

 

Et de nouveau je sombre perdant le fil de leur conversation

 

***

 

Deux jours ce sont écoulés depuis mon retour de l’hôpital je dois recommencer les cours et clôturer mon année scolaire, il faut dire que maintenant, mes notes sont limites je me contente d’un dix ou un onze ce n’est pas que je ne peux faire mieux c’est simplement que je n’ai ni force ni volonté.

 

Après être sorti de la douche j’enfile un jean et un débardeur sur lequel je mettrai un pull longue manche après avoir refait mon pansement je refuse que quiconque m’aide et cela malgré les paroles de papa au bout de trois tentative on devient spécialiste.

Je me suis pratiquement ouvert les veines, veine que j’ai loupé au mètre près sinon je ne serai plus.

J’ai beau essayé de me rappeler mais je ne me rappelle pas c’est flou ou du moins inexistant dans ma mémoire.

La routine effectuée je descends rejoindre Layta afin que nous nous rendions au collège

 

Papa : je vous dépose Layta finis ton déjeuner Maya prend ton petit déjeuner

 

Moi : je n’ai pas faim je ne déjeune jamais le matin tu as oublié ?

 

Lui : non mais nous ne parlons pas de ta faim tu as pris des médicaments donc tu m’avale quelque chose parce qu’ensuite tu crieras le mal d’estomac

 

Moi : je n’ai pas faim je te dis

 

Lui : maya !

 

Moi : alors une pomme

 

Lui : et un croissant

 

Moi : papa...

 

Layta : ça sert à quoi qu’elle mange si elle ira se faire vomir après ?

 

Papa : au moins elle aura quelque chose dans l’organisme

 

Paula (entrant dans la pièce) : bonjour mes chéries

 

Elle nous embrasse à tour de rôle Layta et moi

 

Elle (me regardant) : ça va ?

 

Moi : non papa veux m’obliger à manger

 

Paula : il a raison

 

Paula est la gouvernante elle est gentille sauf quand elle soutient papa sachant que je serai obligé d’avaler un truc je prends un croissant et fait mine de croquer à l’intérieur mais je suis dégouté et j’ai envie de pleurer ce n’est pas juste de m’obliger à faire ce donc je n’ai pas envie !

 

Papa : tu me le mange en entier et ta pomme aussi des enfants meurs de faim dans le monde alors respecte le fait que tu as de quoi manger

 

Je croque une seconde fois dans mon croissant et l’envie de vomir me prend aussi les larmes se mette à couler tout seules

 

Layta (levant les yeux au plafond) : et c’est reparti pour faire ton intéressante

 

Papa : Layta !

 

Layta : c’est bon je pensais tout haut juste que je ne comprends pas elle ne veut pas manger alors qu’on la laisse au lieu de la faire pleurer de bonne heure je lui prends la moitié du croissant comme ça elle mange une moitié et une pomme

 

Papa : elle mangera tout son croissant et sa pomme le débat est clos !

 

Je déteste la nourriture je déteste le sentir en moi je peux faire une journée sans manger ou tenir avec une demi pomme mon estomac est petit si je mange trop je vomi papa m’a amené chez des spécialistes et leurs conclusions c’est que c’est mental rire juste ça même une personne n’ayant pas fait des études de médecine l’aurai deviné !

 

***

 

À mon retour de l’école je me ferme dans ma chambre en refusant toute proposition de Layta de faire quoi que ce soit à quoi bon je n’ai envie de rien et puis elle a changé toujours à faire des remarques blessantes

 

[toc toc toc ]

 

Moi : entrez

 

Papa (passant sa tête) : bonsoir ma chérie

 

Moi : bonsoir papa

 

Lui : je peux entrer ?

 

Moi : oui

 

Il entre s’installe sur mon lit tandis que je ferme mon bouquin

 

Lui : il faut qu’on parle

 

Moi:...

 

Lui : tu vas vivre quelques temps au Cameroun dans la famille de ta mère le docteur Roy et d’autres spécialistes pensent que tu as besoin de changer d’air

 

Moi : ok

 

Lui : ok ?

 

Moi : ce n’est pas comme si j’avais mon mot à dire si ?

 

Lui : je le fais pour ton bien je t’aime tu le sais ça ?

 

Moi : oui

 

Lui : promet moi d’arrêter de te faire du mal s’il te plaît chérie

 

Moi : je te le promets papa

 

Lui : en cas de problème tu m’appelle, si tu as besoin de quoi que ce soit tu m’appelle, si tu veux que je vienne te chercher tu m’appelle ok ?

 

Moi : ok

 

Lui : tu vas me manquer et te voir au cabinet aussi avec qui je débattrai encore sur mes affaires ?

 

Moi : tu m’appelleras

 

Il me prend dans ses bras les larmes aux yeux et me promets qu’il me fera revenir dès que j’irai mieux ou même avant si je le souhaite

 

Layta : je peux entrer ?

 

Papa : entre ma chérie

 

Elle : qu’es qui ce passe ici ?

 

Papa : maya va aller vivre quelque temps au Cameroun elle a besoin de changer d’air pour se rétablir

 

Elle (souriante) : ça veut dire plus de crise ni de maya le centre du monde ?

 

Papa : Layta !

 

Elle : je rigole (me prenant dans ses bras) promet moi que je resterai ta meilleure amie

 

Moi : je te le promets sur ma vie.

 

***

 

Je n’ai jamais voulu me faire de mal excepté trois fois les trois autres, je ne m’en souviens plus.

Je ne m’en souviens ni d’avoir voulu ni d’avoir essayé et puis merde quel différence ?

Ne jugez pas mon comportement tout comme je ne juge vos erreurs ni même que je ne mette tout sur le dos de la vie.

Ce qui m’arrive est ma faute uniquement ma faute et seulement ma faute.

J’ai tué ma mère, détruit mon père et ma famille résultat aujourd’hui à quatorze ans dans chacune de mes prières, je n’implore pas Dieu de veiller sur moi ou même de faire en sorte que je vois le jour suivant. Je l’implore pour ne jamais voir le jour suivant ainsi quand le lendemain, mon réveil sonne je me réveil en larme en me disant encore un jour que je ne mérite pas je hais la vie je déteste d’être en vie et je me hais…

 

C’était un vendredi soir nous rentrons de l’entrevue de la remise de mes notes trimestrielles maman et moi la maitresse comme toute mes précédents enseignants avait félicité maman d’avoir une fille aussi intelligente, appliqué, douce et respectueuse que moi.

 

Maman (souriante) ; merci madame, maya a toujours été ainsi j’ai beaucoup de chance

 

J’avais comme à mon habitude raflé des très bien dans toute les matières excepté en science ou j’avais eu un assez bien. Pour maman, ce n’était pas grave mais pour papa, le très bien des autres matières ne compensait pas le assez bien sachant que j’étais de loin la seule de ma classe à réaliser un tel exploit.

 

Moi (tenant la main de maman) : papa ne va pas aimer pourtant j’ai essayé mais la science ce n’est vraiment pas mon truc maman

 

Mon père exigeait l’excellence je suis métisse ma mère est camerounaise mais elle a fait ses études en Espagne et elle a un accent assez exotique en plus d’être belle non que dis-je ? En plus d’être TRES belle la preuve elle a ce truc qui pousse les hommes à se retourner à son passage et qui lorsqu’elle l’ouvre la bouche pour s’adresser par exemple au caissier les femmes tout autour lèvent les yeux en signe d’exaspération

Mon père quant à lui est Franco-Brésilien.

Quant à moi, j’ai un teint matte genre café avec un peu trop de lait et avec mes longues et indomptables boucle, je suis le pur produit d’un mixage peu commun enfin bref tout cela pour vous dire que ma couleur de peau est la raison pour laquelle mon père veut l’excellence.

Il dit toujours « maya tu es métisse donc ni blanche ni noire tu n’appartiens à aucune catégorie les blancs diront que tu es noire et les noirs que tu es blanche résultat tu dois travailler mille fois plus que les autres pour te faire une place dans ce pays dans ce monde parce que ce que l’on verra quand l’on te regardera c’est une hybride.

Ceux aujourd’hui qui t’applaudissent parce que tu es brillante sont ceux qui demain te riront quand tu le sera moins ». Et comme pour couronner tout je suis dans une école ou il n’y a pas de noir seul deux métisses figurent dans le paysage Layta et moi.

Détrompez-vous au cas où vous vous dites que mon père est trop dur avec moi car je n’ai que huit ans mon père est un homme aimant et indulgent sur tous les points excepté l’école.

 

Moi : papa ne va pas aimer il va dire que je pouvais faire mieux et que ….

 

Maman (me coupant en riant) : et que rien Amor

 

Moi : Te digo que no le gustara (je te dis qu’il ne va pas aimer)

 

Elle : Tu papa verá que trabajaste bien querida (ton père verra que tu as bien travaillé chérie)

 

Moi (haussant les épaules) : si tu le dis

 

Elle : et si nous allions prendre une glace chez Häagen Dazs pour fêter ces bonnes notes ?

 

Moi (heureuse) : je peux avoir trois boules ?  Et es que je pourrais aussi avoir une gaufre ?

 

Maman : ok mais juste deux boules par contre

 

Moi : ok

 

Elle : raconte-moi ta journée

 

Moi : rien d’intéressant sauf que louise m’a traité de fille de pute

 

Maman (choqué) : quoi ?

 

Moi : elle a dit qu’elle ne me parlerait plus parce que je ressemble au Nutella mélangé avec la chantilly et du caca

 

Elle : elle a dit quoi ? Non ne répète pas querida demain je ferai convoqué ses parents c’est quoi cette manière de parler ?

 

Nous nous parlions de manière animé à notre arrivé au feu rouge. nous nous arrêtions lorsque j’ai été bousculé sur la voix ce qui m’a poussé à lâché la main de maman qui s’est précipité vers moi pour m’éloigner de la route seulement, en essayant de me dégager de la route, elle s’est fait fauché par une voiture qui n’a pas pris la peine de s’arrêter c’est comme cela que par ma faute ma mère est morte sous mes yeux alors que je n’avais que huit ans l’âge ou tout est censé être parfait.

 

En espérant vous avoir passionné…

 

Au plaisir de vous retrouver…

 

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