Chapitre 1 : Love or Money ? Choisissez!
Ecrit par Les Histoires de Laya
Chapitre 1 : Love or Money ?
***Maurine MBADINGA***
Après avoir quitté la chambre, j’ai
rejoint Molly dans la sienne pour m’habiller.
Moi : Je viens m’habiller !
Molly : J’ai tout entendu !
Moi : Ouep comme d’habitude, je
suis insultée grâce à qui ? Madame la meilleure du monde, bref, je sors.
Molly : Moi, j’attends qu’ils
dorment pour dire à mon djo (gars, copain) de venir !
Moi : Tu es toujours avec lui
Molly ?
Elle (soufflant) : Yep, c’est
compliqué Maurine, je l’aime trop pour le lâcher.
Moi : Meuf, il ne t’aime pas sérieux,
tu ferais mieux de le jeter et vivre ta vie. Regarde toi Molly, tu es BONNE, tu
es belle, qu’est-ce-que l’amour t’a donné jusqu’ici ? Les cernes, les
larmes, les envies de suicide. (Souriante) Mama, il faut être une playeuse
dans cette vie, si tu ne l’es pas, on va te bouffer.
Molly : Tu veux dire que ton gars-là
tu ne l’aimes pas ?
Moi : Pardon ? Aimer
qui ? Un vilain comme ça ! Je mange son gain, il me met en haut. Faut
voir comme les autres filles du lycée me jalousent.
Molly (rigolant) : C’est bien
beau mama, mais il faut finir le lycée aussi !
Moi (fuyant) : Pardon, laisse-moi
vivre, bye.
Je mets une chaussure et je sors de la
maison sur la pointe des pieds.
Je n’oublie pas de prendre mon
téléphone de secours, un IPhone X offert par mon pigeon.
Si maman pense qu’en prenant mon téléphone
elle va stopper ma vie, elle se fout le doigt dans l’œil.
Moi (lançant l’appel) : Je suis
déjà dehors, tu es où ?
Lui : Je suis à la sortie !
Moi : Quoi ? Viens jusqu’à
chez moi !
Lui : Ok d’accord. Clic
Je range mon téléphone et je l’attends
chez le boutiquier qui est juste en face de chez moi.
Je sors avec Laurent depuis mes 17 ans
(rire) enfin, c’est mon pigeon depuis deux ans, c’est mieux quand c’est dit
ainsi.
Il a 35 ans et il est friqué à pas la
peine.
Je ne suis qu’en première au Lycée
Bessieux à cause de mes nombreux redoublements, bref ce n’est pas le sujet.
Donc je disais, je ne suis qu’en première mais il me lâche sérieusement le
gain, ce qui me permet d’être une vraie star dans mon lycée car j’ai toujours
le porte-monnaie lourd.
Oui, j’aime l’argent oh, l’argent fait
mon bonheur.
Depuis que vous, vous tombez amoureux
là, vous avez déjà gagné quoi ? Rien. Et moi Maurine je vais me mettre
dedans aussi ? LOL.
En tout cas, l’homme-là n’est pas
encore né.
Ce qui m’intéresse ? Money,
Money, Sex, Sex, Vie de Louga, et les HOMMES !
Ah oui, j’aime l’homme et je ne m’en
cache pas. Je ne suis pas votre Marianne qui aime se donner un genre alors
qu’elle baise depuis.
Je sens mon téléphone vibrer dans mon
sac et je le sors pour voir si c’est Laurent, mais c’est mon petit gars du
lycée qui m’appelle.
Je lève les yeux au ciel, pfff, que me
veut-il ?
Au moment où je veux décrocher, je
vois la voiture de Laurent au loin, je décide alors d’écrire un message
« Je suis un peu fatiguée, on se rappelle demain ».
Lui (par message) : Ok.
Je supprime et je range le téléphone.
Je monte dans la voiture et je roule une pelle à ce vilain de Laurent.
Ah Maurine, qu’est-ce-que tu ne ferais
pas pour son gain ?
Laurent : Tu sens bon !
Moi (sourire fake) : Merci mon
bébé.
Lui : Quand je pense que c’est
une petite de 19ans qui m’appelle « mon bébé » (riant) la vie là
n’est rien !
Moi : Rien du tout je t’assure.
On y va ?
Lui : Yes, mets ta ceinture.
Je m’exécute et il démarre.
Durant le trajet, je sais que j’ai un
but ultime, lui soutirer des sous car je veux organiser une énorme fête à la
fin de cette année scolaire, dans moins d’un mois.
Je pose ma main sur sa cuisse et je
commence à le caresser pendant qu’il conduit.
Lui : Arrête de jouer Maurine, je
conduis.
Blablabla, que du blabla.
J’ouvre sa braguette, je sors son pénis
et je le prends en gorge profonde. À peine j’ai commencé, il décide de se garer
dans un coin sombre car il commence à perdre le réseau.
Je m’applique bien et quand je sens
qu’il est à fond dans le truc, je m’arrête.
Moi (très sensuelle) : Je
suis toute nue sous ma robe (écartant mes cuisses) tu ne veux pas qu’on le
fasse là ?
Lui (voix rauque) : Bien sûr
bébé, je suis grave tendu.
Moi (coquine) : Je suis
toute mouillée (introduisant un doigt en moi) regarde l’effet que tu me fais
bébé.
Lui (bégayant) :
Mau-Maurine, viens sur moi s’il te plait, j’ai trop envie.
Moi (léchant sa lèvre) : Pas
avant que tu ne me remettes 300.000 cash.
Lui : Mau-Maurine, je dois donner
les sous à ma femme demain pour le marché.
Moi (fermant mes cuisses) : Va
alors dire à ta femme de te satisfaire ce soir.
Je prends mon sac, je débloque la
portière. Je m’en fiche d’être dans un coin sombre vu que je sais qu’il me
retiendra.
Lui (me bloquant) : Je te donne
250.000 Maurine, mais ne me laisse pas ainsi.
Moi : Bye.
J’ai déjà un pied dehors quand il me
tire la main pour que je rentre dans la voiture.
Lui : Putain ! Tu me rends
fou Maurine, je vais te donner, je vais te donner.
Moi : Très bien (le fixant)
l’argent dans ma main, tout de suite !
Je sais qu’il a touché son salaire
aujourd’hui, alors je ne me gêne même pas un peu.
Il prend son sac derrière et il me
remet 3 liasses de 100.000.
Moi : Tu vois, quand on veut, on
peut. (Rangeant les sous) laisse-moi te mettre bien.
Il recule son siège, il baisse
totalement son pantalon, enfile un préservatif et je monte sur lui en le
baisant vigoureusement.
J’ai 19 ans, toute l’énergie que sa
vieille femme de 35 ans n’a plus et j’ai surtout la spontanéité, la folie qu’il
cherche.
Quand il a fini d’éjaculer et que moi
j’ai fait semblant d’être au 7ème ciel avec sa petite queue, je
quitte sur lui et je m’essuis avec une lingette. Je mets mon string qui était
dans mon sac et on lève le voile pour rejoindre ses amis dans un coin très
caché de la ville.
(Riant) Ah les amis, c’est sûr qu’ils
disent à sa femme qu’elle est super géniale, mais en attendant, pendant qu’elle
dort, ils sont tous avec Laurent et moi, sa petite amie de 19 ans d’âge.
D’abord, ils vont dire quoi ? Vu
qu’ils sont tous accompagnés de filles de ma tranche d’âge ou maximum 22 ans.
Bref, dans la vie là, chacun choisit
sa place, soit tu es dans les foutaises de l’amour, soit tu es dans les joies
de l’argent. J’ai choisi mon camp.
On chill jusqu’à 3h et Laurent me
dépose à la maison.
Je fais semblant de rentrer mais je
m’arrête dans la cour, j’appelle mon gars du lycée pour lui dire que je viens
chez lui car j’ai trop envie de lui.
Il me dit de faire vite car ses
parents se lèvent à 6h.
Il est 3h mais est-ce-que moi j’ai
peur du danger ? LOL, je connais tous les bandits du quartier, je leur lâche
souvent un petit gain pour assurer ma protection lors de mes virées nocturnes.
Je marche jusqu’à la sortie, je prends
un taxi pour Okala Auberge, il me laisse devant le portail de mon type.
Le gardien me reconnait et il me
laisse entrer (rire) c’est notre complice, donc c’est sans problème.
Gabriel ouvre la fenêtre de sa chambre
et je grimpe pour le rejoindre à l’intérieur.
Je le smack, puis j’insiste à prendre
une douche prétextant que j’ai transpiré en venant.
Lui (m’humant) : Pourquoi tu pues
la cigarette ?
Moi : J’ai pris une petite clope,
j’en avais trop besoin !
Lui : Et tu es très sapée pour
quelqu’une qui dormait !
Moi : Donc je me fais belle pour
toi et c’est ce que tu trouves à dire ?
Lui : Bref, pas de ça entre
nous ! Tu sais pourquoi tu es venue, donc !
Moi : Mais c’est toi qui veux
faire le mec jaloux, faut aller faire ça avec ta go.
Lui : Le bruit, lave-toi tu
viens, mes couilles pèsent.
Moi : Et si je ne viens
pas ?
Lui : Tu perds le temps Maurine,
toi et moi on sait pourquoi on est ensemble à presque 4h du matin, donc !
Il a totalement raison (rire) je ne
suis pas venue là pour rien.
Je dois prendre mon pied pardon.
Je me douche vite fait et je rejoins
Gabriel dans la chambre.
On fait notre petite affaire et je
jouis très bien avec sa grosse queue et son coup de rein.
C’est bestial, c’est sauvage, on
dirait deux animaux !
Ah mon Dieu, un homme de 35 ans a
surement l’argent, mais en terme de sexe, rien de mieux qu’un jeune comme moi,
qui peut tenir mon rythme.
Laissez-moi d’abord enjoy !
***Molly MBADINGA***
C’est à 00h que je sors vérifier si
les parents dorment déjà, je dois appeler Théo mon copain, il va dormir ici.
Bon, je me représente quand-même, je
suis Molly M. 21 ans, l’ainée de Maurice et Barbara.
D’ici 2 mois je soutiens ma licence de
GRH.
Pourquoi je fais tout pour vite
finir ? Car je veux foutre le camp de cette maison et les laisser avec
leur enfant.
Être ainée ? Très peu pour moi,
pour que ça m’empêche de vivre ? Non merci, chacun n’a qu’à se gérer.
Et rester dans la maison de Maurice et
Barbara, c’est subir des discours tous les jours.
Bref, quand je vois que c’est bon,
j’appelle Théo, il me dit qu’il sera là dans 30 minutes.
Par où commencer ?
Je suis avec Théo depuis 4 ans
maintenant, c’est le premier homme que j’ai connu et je l’aime vraiment.
Mais si je vous dis le nombre de fois
où j’ai pleuré, où j’ai eu envie de mourir car il m’a vraiment fait du mal,
vous me demanderez « que fous-tu encore avec lui ? »
Eh bien, je l’aime, je l’aime et c’est
ce qui me retient.
Les tromperies, les humiliations, j’ai
tout accepté depuis le début, tout ça par amour.
Théo a 26 ans, ça fait 2 ans qu’il
travaille dans une entreprise de la place, il gagne plutôt bien sa vie pour un
jeune. Il est beau, très intelligent, gentil quand il le souhaite.
Mais c’est aussi un éternel
insatisfait, le genre qui trompe tout le temps, maaaais sa jalousie est aussi
multipliée par 30.
Je me dis aussi que s’il est jaloux,
ça prouve qu’il m’aime, donc !
Bref, à 1h moins, il me fait signe et
je vais le chercher au portail.
Je veux le faire rentrer mais il me
dit qu’il préfère qu’on sorte.
Je vais alors vite m’habiller et 30
minutes plus tard, je monte dans la voiture.
Je sens une odeur très bizarre, un parfum
féminin.
Moi (le regardant) : Théo ?
Lui : Oui
Moi : Tu as encore recommencé
Théo ?
Lui : Quoi encore Molly ?
J’ai encore fait quoi ?
Moi : Tu te fous de moi
Théo ? Tu te fous de moi, sincèrement !
Lui : Ecoute, si c’est pour me
faire chier, je te ramène chez toi !
Moi (touchée) : Donc tu me
trompes une fois de plus et c’est moi qui te fais chier Théo ?
Lui (freinant brusquement) :
Molly, soit tu arrêtes de me fatiguer et on part tranquillement, soit je fais
demi-tour ! Tu m’as vu te tromper Molly ? Tu ne me fais pas confiance
à ce point ?
Moi (pleurant presque) :
Pourquoi ça sent la femme ?
Lui (sans sourciller) : Parce que
ma sœur avait mon véhicule en journée ! Aussi simple que ça ! Mais
comme tu ne me fais pas confiance, tu estimes que je t’ai trompé avant de
venir. Waouh Molly.
Tout d’un coup, je culpabilise de
l’avoir accusé sans preuves.
Il faut dire que depuis un mois il est
très calme, irréprochable, donc là, c’est vrai que j’ai directement tiré ma
conclusion.
Moi : Suis désolée bébé, excuse-moi
de t’avoir accusé sans preuves.
Lui : Même quand je suis
tranquille Molly, tu m’accuses, tu m’incrimines, ça me fatigue.
Moi : Pardonne-moi stp, tu veux
bien ?
Lui : Hum.
Tout le long du trajet, j’ai tenté de
détendre l’atmosphère, mais bon, il était énervé.
On arrive au No stress à presque 2h et
on y retrouve sa bande d’amis.
Comme d’habitude, je reste assise à
côté d’un de ses potes.
Théo n’est pas très tactile ni proche
de moi en public, il faut vraiment nous connaitre pour savoir que nous sommes
en couple depuis tant d’années.
Je sirote mon verre en discutant avec
son pote et Théo ne me calcule pas du tout, il parle avec ses amis.
Y’a une musique qui passe et j’ai
envie d’aller danser avec lui, mais il me fait comprendre qu’il est toujours fâché
de la situation de tout à l’heure. Je n’insiste pas car il n’aime pas ça.
Je danse alors en restant assise, mon
verre en main.
Je n’hésite pas à enchainer les
verres, j’ai besoin de me mettre bien ce soir.
À un moment de la soirée, je vois une
fille venir lui parler dans l’oreille, ça m’irrite mais je sais que Théo a
horreur des crises en public, je vais alors attendre la fin de soirée.
Il parle longuement avec elle et mes
yeux commencent à piquer, je sens des larmes me monter alors je quitte la table
et je me dirige vers les toilettes.
Je pisse et je profite à pleurer vite
fait.
J’ai vraiment mal au cœur car j’ai
l’impression qu’il s’en fout de ce que je peux ressentir.
Moi (me regardant dans la
glace) : Tu ne peux pas te laisser humilier constamment Molly.
Je retourne dans la boite et je fonce
vers lui et cette fille.
Moi (la poussant) : Tu veux quoi
à mon mec ?
La fille (me toisant) : Ton
quoi ?
Moi : Tu as bien entendu !
Théo : Tu joues à quoi
Molly ?
La fille (le regardant) : Donc
c’est ce que tu fais Théo ? Pendant qu’on se tue pour préparer ….
Théo (la coupant) : Je vais régler
ça t’inquiète. Tu fais erreur.
Elle : J’espère bien, connerie.
Elle me pousse légèrement et elle
retourne à son salon.
Moi (face à lui) : Elle se tue
pour préparer quoi Théo ? (Les larmes aux yeux) PARLE PUTAIN.
Théo (la veine dessinée) : Tu
veux crier sur moi ? (Rire nerveux) Débrouille toi à rentrer chez toi, je
ne veux même plus voir ton ombre sur mon salon dans 30 secondes.
La rage au ventre, je sors de la boite,
j’arrête mon taxi et je rentre à la maison, la mort dans l’âme, les yeux pleins
de larmes.
J’enfile un tee-shirt et je me mets
dans mes draps, je pleure toutes les larmes de mon corps, une humiliation de
plus.
Le lendemain à mon réveil, Maurine est
dans mes draps, elle est rentrée aux environs de 6h.
Je regarde mon téléphone et Théo m’a
écrit une tonne de messages, des excuses à n’en plus finir et des je t’aime.
Même si j’ai dormi triste, mon cœur
succombe à ce genre de msgs, je l’appelle et on love pendant une bonne heure au
téléphone.
C’est plus fort que moi, je l’aime.
***Une semaine après
***Maurine***
Ma pote : Man, tu fais quoi
sabado ?
Moi : Rien man, y’a un
programme ?
Elle : Yep, y’a mon cousin qui se
marie à la coutume et au civil. On a le droit d’inviter des copines, donc je
t’invite.
Moi : Et tu me dis ça aujourd’hui
seulement Mani, toi aussi. Bon, emmène le pagne je vais vite faire coudre ça en
deux jours.
Elle : Top, le soir je dépose le
pagne chez toi.
Moi : Mais je viens avec ma grande
sœur Molly hein, je n’aime pas aller dans les trucs comme ça seule, toi tu
seras avec ta famille par ci par là. Au moins si je viens avec Molly, je ne
vais pas m’ennuyer.
Elle : Et pourquoi pas ta
jumelle ?
Moi (levant les yeux au ciel) :
Ne m’énerve pas ! Tu me vois sortir avec elle ? Qu’elle reste dans sa
bulle.
Elle (riant) : Oh sorry oh Mlle.
Je t’emmène le bout de pagne qu’il me reste, vous allez mettre ça sur des
chemises ou des robes, en tout cas, c’est vous qui voyez.
Moi : Ok cool.
Le soir même elle a déposé le pagne,
j’ai récupéré et j’ai rejoint Molly à la cuisine.
Moi (posant le pagne) : La sœur,
j’ai une amie dont le cousin se marie samedi, elle m’invite, donc, tu es
chaude ?
Marianne (ramenant sa poire) :
Moi j’aimerai bien !
Moi : Et qui t’a sonné en
fait ?
Marianne : Tu n’es pas obligée de
me parler ainsi Maurine, je voulais juste être incluse dans vos programmes.
Moi : Non ! N’as-tu pas de
sortie avec TA mère ? Ou encore avec TON père ? Nous les enfants non
désirés, laisse-nous faire nos sorties stp. Et si tu as trop mal, tu peux aller
pleurer dans les jupons de ta mère.
Marianne : Désolé alors d’avoir
voulu passer du temps avec mes sœurs.
Moi : C’est censé
m’émouvoir ? (Riant) Lol. (À Molly) Tu es chaude ?
Molly : Bof ouais, ça va me
changer les idées et j’aime bien les mariages coutumiers.
Moi : Super, demain on ira chez
le tailleur pour négocier avec lui, samedi c’est à coté là.
Je suis sortie de la cuisine suivie de
Molly quand maman y est rentrée, je ne tiens pas à me sentir de trop dans son
amour avec sa fille.
Mieux, je pars chercher des idées de
tenue pour le mariage de samedi.