Chapitre 10

Ecrit par D.H

Chapitre 10 : Nouvelle vie

Mohamed Diallo 

Deux semaine plus tard 

Depuis la dernière fois , je ne me suis plus pris la tête pour personne. J'ai décider de vivre ma vie et de ne me déranger pour personne. Ma femme se la coule douce avec un homme et je vais tout bonnement l’ignorer . en même temps, je ne peux pas l’empêcher de faire sa vie, d’autant plus   qu'elle ne m’aime pas et moi non plus. Elle est rentrée je crois avant le week-end.

Je suis rentré du boulot bien tard, car je suis resté analyser les comptes et c’était jeudi. Les vendredis, je ne travaillais pas car c’était une journée uniquement voué a mon seigneur. Je passe la matinée a reciter le coran pour ensuite aller a la grande prière et ensuite chez ma mère. Donc c’était une journée sacrée. 

Je prend une bouche rapide et je descend la retrouver entrain d’entrer dans la salon dans une tenue extravagamment moche. Elle n'avait même pas de voile sur la tête. Elle passe devant moi sans poser un regard et se dirige vers la cuisine. Elle en sort avec une bouteille d'eau et s’arrête à mon niveau en disant rien. Je suppose qu'elle a honte de quelque chose mais non je dois me tromper Ramah est née avant la honte.

Moi : bonsoir

Elle : tu n’en a pas marre Diallo ?tu n'a donc pas de fierté ? 

Je la regardais le visage impassible. Tout ce qu'elle pouvait vociférer a cet instant ne me touchait pas. Elle n'avait pas de dignité et devant moi, elle était semblable a rien. Son estime était tombé bien bas depuis que je sais qu'elle n'est rien qu'une pute.

Elle : ne voit-tu donc pas que je ne t’aime pas et je ne te supporte pas ? Même le prophète a interdit les mariages forcé. Répudie moi Diallo pour l’amour de Dieu. Je ne t’aime pas tu ne m’aimes pas.

Moi : le moment viendra où tu aura  ce que tu voudra et j’espère que tu t'en mordra pas les doigts le moment venu.

Elle : ca sera juste le meilleur jour de ma vie peut être même que j'en mourrai de joie. 

Moi : ça sera pour très bientôt 

Elle : je voudrais me marier avec qui tu sais , il est prêt a m'épouser je voudrais juste que tu me libère. Je ne te supporte plus. Tu m’empêche d’être heureuse.

Moi : j'en ai bien plus marre que toi mais a cause de ma mère  je ne peut pas le faire pour le moment et si tu tiens  vraiment a être libérer tu peux  partir de toi-même ou bien convoquer une réunion familiale et moi je  te promet de te libérer.

Elle : jamais , mon père me tuerai sans doute et je ne pourrai plus me remarié avec leur bénédiction 

Moi : alors attendons le moment venu nous allons divorcer 

Elle : facilite nous les choses et fait le maintenant. Tu es le seul a avoir le dernier mot. Tu me répudie et on reprend nos vie d'avant

Moi : comme toi, je ne compte pas blesser ma mère ou m’attirer ses foudres 

Elle : tu n'es qu'une mauviette. Mais bon sang Diallo. Soit un homme un vrai. Montre nous que tu as quelque chose dans ton froc bordel

 Je ne voulais pas répondre à ses propos choquant alors je l’ai laissé entrain de me balancer des choses aussi choquantes les unes que les autres et je suis rentré dans ma chambre pour lire le coran et demander a Allah de me débarrasser de ce monstre qui me servait de femme.


Ramata sall

Les jours passaient trop rapidement a mon goût et les choses allaient de plus en' plus mal entre Hamid et moi . j'évitais à chaque fois le sujet d'aller voir sa mère ou bien qu'il aille voit les miens afin de lancer les procédures du mariage. Il ne comprenais pas pourquoi je n’étais pas pressé de me marier et j’ai donc du prétexter le voyage de mon père et l'absence de mes oncles. A chaque fois, c’était des disputes et j'avais de plus en plus peur de le perdre. Il me fallait trouver une issue et le plus  vite  possible. J'ai compris avec le temps qu'il était impossible de lui dire la vérité car il n'allait pas comprendre et surtout mon mensonge.

Après avoir passé une soirée en boite avec des potes je suis revenue trouver Diallo au salon sûrement il venait de rentrer vu son accoutrement. 

On a eu le dialogue que vous connaissez déjà et je suis repartie dans ma chambre réfléchir a comment m'en sortir de cette histoire. 

J'ai réfléchi toute la nuit la nuit a y penser et finalement j'ai trouver bon moyen de fuir avec Hamid et d'aller nous marier dans un pays étranger quelque soit . le dilemme était de taille ca n’allait as être du tout facile de le convaincre mais je n'avais pas le choix .

Je suis sortie donc afin d'aller le retrouver dans l'après midi dans une chambre d’hôtel que nous avons pris car je ne voulais pas du tout aller chez eux. Sa mère pourrai savoir pour mon mariage et tout gâter. Je ne peux pas courir ce risque.

J’arrive et je monte directement dans la chambre le retrouver avec la mine serré vu la discussion violente que nous avons eu la veille. 

Il était assis sur le lit manipulant son téléphone. Je viens m’asseoir de force sur lui, je l'enlace de mes mains.

Moi : tu as bien dormi mon amour ? 

Lui : bien 

Moi : bébé tu sais bien que je n'aime pas quand tu me boude. 

Lui : uhum

Je dépose un baiser sur sa joue, sur son nez, ses yeux et il ne réagissait toujours pas. Je dépose encore un autre sur sa barbichette, un autre sur son cou. Il ne disait rien mais famait déjà les yeux. Je suce délicatement la lobe de son oreilles car je savais que c’était son point faible et il me retourne sur le lit se mettant sur moi.

Lui : c'es de la triche 

Moi : dit moi que tu n’es plus fâché

Lui : il en faudra plus que des baisés pour ça

 Sans lui répondre, je déboutonne  sa chemise carolée, en prenant le soin de bien laisser apercevoir son corps nu. Je me retourne et je prend la place dominante. Je l’embrasse comme si ma vie en dépendait avant de descendre sur ses biceps. Il avait les yeux fermées et grognait déjà , ce qui me donnait encore plus le punch de continuer. 

Sa bosse toute dure dans son pantalon me faisait une sensation de chaud, a ce moment, je voulais plus, j'étais capable de tout a ce moment, lui montrer que je l’aimais plus que tout au monde. Je voulais faire quelque chose de jamais fait.

J'ai ouvert sa barquette, faisant ressortir sa verge toute dure. Il a ouvert ses yeux et a lever sa tête pour voir en moi si j’étais consciente des enjeux et il as tout compris en se recouchant. J'ai continuer ma besogne en faisant tout d'abord des tours circulaires sur le bout de son pénis. J'ai bien branler cette chose toute dure avant de commencer a le sucer tout doucement. Je ne l'avais jamais fait auparavant et donc la tache ne m’étais pas facile mais j'ai fini par y trouver goût. Sa glissait, et c'était juste bon a faire. Je me suis atteler a la tache et il grognait.

Lui : uhhmmm bébé 

Moi : ….

Je l’ai fait jusqu’à ce que les permises de son plaisirs de fasse ressentir dans ma bouche. J'ai dupliquer la cadence plus fort jusqu’à ce que qu'il explose en moi. Cette sensation était juste magique. J'avais satisfait mon homme pour une première fois et j’étais plus que heureuse. 

Lui : Merci mon bébé 

Moi : pour toi je serai bien plus mon amour

Lui : ne t’inquiète pas, le jour où je ferai de toi ma femme, je te ferai plus que plaisir 

Mon cœur battait de plus en plus car je ne voulais vraiment pas une dispute de plus. Il m'a pris dans ses bras en me caressant le dos jusqu’à ce que je tombe de fatigue. Je sens qu'on allait passer un incroyable week-end.


Nabilah zahra Ahmed 

 Je suis reparti a Douala régler les formalités de mon départ imminent et dire au-revoir a mes parents. Maman a tenue à venir avec moi et m'installer. J'ai régler les formalités de mon départ mais mon boss a tout bonnement refusé de prendre ma décision mais j'ai pu avoir un contrat de congés médical non déterminé. A un moment j'avais des pincements au cœur. Cela me chagrinait vraiment de partir ainsi. Je me sentais ingrate. Cependant, j’avais pris ma décision de suivre mon cœur pour une fois et faire ce dont je voulais. 

Comme je le disais, je suis de retour a Dakar depuis Samedi soir avec maman et grâce a papa et ses contacts, j'ai pu me dégoter un appartement meublé dans un des immeubles de son ami situé aussi a Plateau. J’avais vraiment de la chance car c’était juste a 20min de mon bureau. Je n'avais rien a faire du coup pour mon installation a part remplir mon frigo, Faire de petites courses de ce que je voulais et qui manquait et surtout bien conserver mes denrées.

Maman a apporter tout un sac de choses notamment les légumes sec et même de la viande fris pour faire des sauces. Durant un long moment, je n'aurai pas l’impression que je ne suis plus chez moi car j’avais tout le nécessaire pour manger les mets de chez moi et surtout que j'aime la cuisine c’était gagné.

,....

Le week-end est enfin terminé et ce matin c’était ma toute première journée au sein du MDC . je me suis levée de bonne heure Pour mon rituel du matin et un bon bain relaxant car mine de rien, je stressais un peu vu mon comportement de la dernière fois. 

Je me suis faite une beauté en enfilant un tailleur noir et des escarpins haut vertigineux qui me donnait un air de femme fatale et sûre d'elle. Je ne pouvais pas encore avoir ma propre voiture car je devais régler un certain nombre de formalité de permis et heureusement pour moi, j'en avait un international. J’ai donc commander un taxi pour me déposer au boulot. 

Je suis arriver dans les locaux bien très tôt et a ma grande surprise, tout le monde était déjà là et les gens étaient bien convivial en tout cas. Comparé au camerounais qui prendraient d'abord le soin de tout analyser sur toi et de connaitre ta classe sociale avant de t'accorder la moindre attention.

La réceptionniste de la dernière fois m'a diriger vers les RH où j’ai pu rencontré le DRH pour signer mon contrat. C’était un homme je dirai de la quarantaine, bien jovial mais un peu sévère vu les traits de son visage et surtout, il restait des plus professionnel. Le contrat était bien ficeler faisant mention des avantages de service et un me rémunération conséquente vu que j'étais dans le  personnel expatrié et surtout dans la catégorie des Cadre 10eme échelon mais je touchais bien plus au Cameroun. Cependant l’argent ne me disait rien. 

Après notre entrevu, je suis aller attendre la réunion avec le conseil exécutif pour nous présenter. Nous étions en tout 6 a avoir été retenus et nous venions tous des pays différent.  Je m'attendais bien a cela mais néanmoins , je refusais d'accepter.

Après 1h d’attente, on nous a diriger vers la salle de réunion. J'ai respirer un bon coup avant d’entrer dans cette salle. Salle qui était rempli des directeur, et de monsieur Diallo. Je voulais baisser mon regard mais je ne voulais pas donner une impression de petite chochote et d’être vu comme une vulnérable et en plus il était marié. 

Tu n'a pas a t’inquiéter  Nabilah. Il ne t'aime pas et aime sûrement ta femme. Calme tes ardeurs. Me dis-je intérieurement pour me calmer. 

Nous étions assis tous en face des directeur et la place destiné au directeur était libre en attendant sa présence . il vient quelque minutes plus tard accompagné de son DGA qui était l’homme de l’entretien et à ma vue, il souris de façon snobe et moi aussi.

Mon cœur ne battait plus mais un challenge a relever et faire que cette entreprise ne m’oublie jamais.


Usman Diaye

Ce matin, j’étais bien plus exciter que d’habitude et surtout bien anxieux. J'ai passé ces deux semaines a compter les minutes et les heures qui m’ont paru une éternité. J'ai pensé a elle comme jamais.  

Je suis partis au boulot très enthousiaste comme jamais. Dès que j’arrive au boulot, je vais directement dans le bureau de Diallo qui était déjà là entrain de prendre son café.

Moi : Bonjour frère

 Lui : Bonjour et bahh on dirait que c'est la joie ce matin 

Moi : comment ne pas ? 

Lui : et a quel occaz ?

Moi : je vais la voir Ohh je vais la voir 

Lui : mais qui ?

Moi : la camerounaise

 Lui : Ohhh j'avais même oublié ce détail 

Moi : heureusement pour moi

Lui : n’oublie pas, je veux des résultats satisfaisant, je ne voudrais pas avoir à gérer les histoires de cœurs et avoir a faire a de la subjectivité. 

Moi : compte sir moi et d’ailleurs, reste a la conquérir

Lui : crois moi tu le fera confiance mec.

Moi : tu viens , allons a la réunion

 Nous sommes donc partit ensemble dans la salle et la belle camerounaise était bien là. Toujours aussi  classe et mystérieuse. 

Diallo a présidé la réunion et nous sommes passés à la présentation des nouveaux et a leur affectation.

Diallo : bienvenue a tous dans les locaux et n'oubliez pas le slogan «  le travail dans la gaité » sentez vous comme chez vous, soyez de nous Partenaires car c'est le secret et surtout n'ayez pas peur de me demander quoi que ce soit. Je ne suis jamais assez occupé pour mes employés tant que c'est sur le plan professionnel et souvent personnel aussi.

Nous avons éclater de rire et j'ai aperçu la belle nouvelle sourire. Elle était divinement belle cette fille et je crois bien que les journées au bureaux seront de plus en plus intéressante.


….. To be continued 










Jusqu'au bout du mon...