Chapitre 10 : Les femmes, vous aimez savoir !

Ecrit par Les stories d'une K-mer

**Anaîs**

 La nuit la plus belle de toute ma vie, enfin jusqu’ici. (Rire). J’ai eu du mal à sortir du lit, non pas parce que j’étais fatiguée, mais (rire), j’étais timide. Mon regard n’a pas encore croisé celui de Gary. Bien qu’étant éveillée, je garde les yeux fermés. Je suis couchée sur le côté, dos à Gary. Je ne sais à quel moment j’ai pris cette position (rire).

Gary (me faisant un suçon dans le cou) : Bonjour bébé (voix mielleuse) bien dormi ?

Moi (me tordant) : uhm !

Gary (essayant de capturer mes lèvres) : Tu dors encore ?

Moi (les yeux fermés) : uhm !

Gary (se dégageant) : ah ça ! (Sortant de la pièce) Et c’est elle qui disait qu’elle veut encore (rire)

J’ai pressé ma tête contre l’oreiller pour ne pas éclater de rire ! c’est pour tout ça que je ne veux pas me réveiller. Il va tout faire pour aborder le sujet, et il est fort pour ça. Il va essayer de faire ce que je faisais ou disais, uniquement dans le but de se moque (rire). Mais pour aujourd’hui là nor, qu’il m’excuse pardon.

Gary (revenat) : Bébé ?

Moi :

Il est revenu sur le lit, et s’est placé au dessus de moi, m’obligeant à me mettre sur le dos

Moi (gesticulant les yeux fermés) : ohh Gary ! je dors

Gary : à midi ? depuis quand

Moi : aujourd’hui

Gary (gardant mes bras contre le lit) : Tu sais que Adrien va passer ce soir norr ? Il sera avec ta copine apparemment !

Moi (essayant de me dégager) : tu me las dit !

Gary (me volant un bisou) : Debout madame, c’est l’heure de manger

Moi : je n’ai pas faim

Gary (se dégageant) : moi si ! (Tirant la couette) lève-toi Anais !

J’ai vite fait de ramener la couette sur moi (rire), je n’avais rien, même pas de sous-vêtements.

Gary (sortant) : tu as déjà vu quoi ? (rire)

J’ai trainé un peu avant de sortir de lit, en me dirigeant tout vers l’armoire retirer un de ses t-shirt que j’ai enfilé, en plus du calcif que j’ai mis. Direction les toilettes où je me suis brosser les dents, vider ma vessie, me rincer les mains et le visage avant de rejoindre Gary qui avait déjà  nettoyé le salon et dressé la table pour le petit déjeuné. Croissant, pain, œufs, lait et jus de kiwi naturel, j’adore (rire). J’ai tiré la chaise, en lui souhaitant bon appétit. Il m’a regardé du coin de l’œil et a souri.

Moi (souriant) : c’est quoi ?

Gary : tu as vu quoi ?

Moi : depuis tout à l’heure, tu fais un genre, un genre

Gary (éclatant de rire) : toi ou moi ? Moi je suis normale, c’est toi qui fait ta tomate

Moi (le poussant) : mouff (timide) Je pensais que mon jet d’urine allait changer

Gary (éclatant de rire) : Pourquoi ?

Moi (sérieuse) : Ah ! les gens disent souvent ça. Quand tu commences, ton jet d’urine change, ta démarche aussi, et parfois tes formes prennent du volumen,

Gary (plié de rire) : Non mais Anaïs ! tu ne va pas croire à tous ses mythes. N’est ce pas tu as commencé ? Tu vas toi-même voir !

Moi (baissant la tête) : C’était bien (le fixant) Je n’ai pas eu mal

Il a passé sa main sur ma cuisse, une petite caresse, tout en me regardant droit dans les yeux. Il n’a pas eu besoin de parler, nos regards se comprenaient. On a continué notre petit déjeuner dans le silence, à se lancer quelques petits sourires complices. J’ai débarrassé, et il m’a donné un coup de main. Une fois à la cuisine, je me suis mise à fouiller question de voir ce que j’allais faire pour les invités de tout à l’heure (rire).

Moi (ouvrant le frigo) : euhmm ! Et si je faisais le poisson au four ?

J’ai sorti les 5 poissons, que j’ai posé dans le levier pour dégivrer. J’ai fait le recensement des épices dont j’avais besoin, je n’aurais pas besoin de faire les course (posant les mais au hanches), par contre on aura besoin de bâton, il n’es reste plus assez.

Moi (depuis la cuisine) : Bébé ?

Gary : oui ?

Moi : Il n’y a plus assez de bâton !

Gary : je vais chercher ça taleur !

Moi : je veux aussi la malta s’il te pait

Gary : Fais une fois la liste pardon, je n’ai pas envie de faire plusieurs tours, (voix basse) On se connait ici

J’ai éclaté de rire.

A 19heurs, les invités arrivaient (rire), le sourire sur le visage d’Astrid en disait long

Moi (faisant la bise à Adrien) : Tu fais tes choses en cachette hein ?

Adrien (saluant Gary) : Jamais !

Astrid (me faisant la bise) : elle pense que tout le monde est comme elle

Moi (la regardant) : Depuis quand tu n’es plus d’avis avec moi Siaka

Gary (se moquant) : depuis qu’elle est du côté d’Adrien.

C’est parti en fou rire. Je les ai installés au salon, et Gary a fermé derrière eux.  Je me suis rendue à la cuisine pour le service, Astrid m’a rejoint en laissant les garçons entre eux.

Moi (la regardant) : Iki !!! l(amour rend beau hein !!

Astrid : tsuiippp, amour à deux mois ?

Moi : c’est ça même qui est doux. Les lovis du début là, c’est mal chic

Astrid (rayonnant) : tu parles ! (Voix basse) le gars est au petit soin mal, mal ! Petit cadeau par ci, petits bisous par-là ! J’aime ça !!!!

Moi (éclatant de rire) : à qui le dit tu ? (la fixant) j’espère seulement que tu ne vas plus faire tes bêêtises Heum !! C’est l’ami de Gary (tirant l’oreille), je ne veux pas me retrouver au milieu de tout ça

Astrid souriant) : je vais faire l’effort !

Moi (dans mes marmites) : tu as intérêt !

On a continué nos petits congossa, à voix basse bien sûr, en faisant les tours pour dresser la table. A chaque fois qu’on sortait, les garçons arrêtaient de parler (rire), C’est chacun qui congosse sur l’autre (rire).

Moi : c’est servi !

Ils nous ont rejoint Astrid et moi , sur la table. On a mangé dans la bonne humeur, en tapant les commentaires

Adrien : Non mais sérieusement, je ne peux pas être avec une fille, je veux du sérieux, et je cautionne qu’elle fréquente certaines personnes, façon dont vous êtes influençable par vos copines là ?

Astrid : après ça dépends de la relation que tu es venue trouver entre ta copine et ces personnes

Moi : ce n’est pas faux hein. Deux personnes peuvent trainer ensembles sans forcément avoir les mêmes vies ! regarde euhm Astrid et son amie là euhmm Mya ! Avec tout se que j’entends sur elle là ?

Astrid (la défendant) : elle n’a pas toujours été comme ça hein ! C’est justement parce que je sais comment elle est au fond que je traine encore avec elle

Adrien : Mais à force, les caractères peuvent se mélanger

Moi (le taquinant) : tu protèges tes biens hein ?

Adrien : c’est le lait ?

Gary (rigolant) : je Wanda hein ! est ce que blague avec les choses sérieuses ?

Moi : ah bon hein ?

Gary (buvant un coup) : ah beuh comment !

Moi (fixant gary) : tu ne m’as même pas dit d’où est ce que tu la connaissais

Gray (se raclant la gorge) :

Astrid (faisant irruption) : passe-moi le jus là s’il te plait

J’ai regardé Gary qui pour le coup m’avais l’air gêné. On a continué le repas, et les commentaires, mais cette fois je n’ai pas oublié une fois les gens ci bouge il va me répondre.

Moi (faisant la bise à Astrid) : on se voit toujours en semaine nor ?

Astrid (bisous à Gary) : Oui oui !  Je boude d’ici Lundi soir, je n’ai pas cours le matin

Moi (rigolant) : Paris là est doux hein !!

Adrien (me faisant la bise) : Ah ou hein (regardant sa go)

On les a laissés au pas de la porte. Je suis allée débarrasser en ruminant, et Gary s’est installé sur le fauteuil, en zappant la télé.

Moi (sèche) : C’est qui Mya ?

Gary (l’air de rien) : On a eu une histoire

Moi : Pardon ?

Gary (me fixant) : c’était avant toi, mais on a gardé de bonnes relations, et puis c’est tout.

Moi (bizarre) : pourquoi tu ne m’as pas dit ça le jour de l’anniversaire ?

Gary : ça allait changer quoi Anais ? C’est passé, c’est passé.

Moi (m’en allant) : ouais c’est ça !

Je suis allée ranger les plats dans le lave-vaisselle sans plus lui adresser la parole. J’ai pris ma douche, et je me suis mise sous les draps. De toutes façons demain c’est dimanche je rentre chez moi.

 

***Gary***

J’ai trainé au salon, ne voyant pas Anaïs revenir, je l’ai rejoint dans la chambre.

Moi (prenant place au bord du lit) : C’était juste une relation comme ça rien de sérieux (passant la main sur le visage) On s’est revu quelque temps avant mon anniversaire

Anaïs (me donnant le dos) : Tu sais tout de moi Gary, quel ex, quel amour en secret j’ai eu. Mais toi il y a toujours un truc que je dois découvrir, sans que tu ne me le dises

Moi (me rapprochant d’elle) : Ce n’est pas ça Bébé ! Si je ne te dis pas certaines choses c’est justement pour éviter de te mettre dans cet état. Tu vas te faire des films pour rien

Anaïs (se reculant) : Ouais c’est ça.

Moi (soufflant) : Il n’y a plus rien entre elle et moi, je te le promets

Anaïs (l’air de rien) : J’ai dit quoi ?

Je suis restée à l’observer un bon moment avant de la laisser ; Suis allé prendre ma douche à mon tour en la rejoignant sous les draps. J’ai essayé de poser ma main sur elle mais elle l’a dégagée (soufflant). Je crois qu’elle réagit comme ça à cause de ce qui s’est passé hier (soufflant).

 

**Unice**

Lundi à 16 précises je faisais descendre ma dernière valise de mon vieux T1. Enfin je donnais l’ordre de faire descendre ma valise. Gilles à mis à ma disposition une voiture pour déménagement. Je n’ai rien à prendre dans cette maison, rien, même pas la cuillère, parce que Monsieur s’est engagé à tout m’offrir à neuf selon mes désirs. Lit, plats, draps, tout ! sauf ce que je veux par mon propre grès garder. Il n’était pas là quand j’arrivais, j’ai posé mes valises dans la chambre qui m’a été attribuée. Il y en a quatre en tout dans la maison.

J’ai fait le tour du propriétaire, j’ai pris mes aises, je n’ai pas hésité à snapper, toute la procédure de déménagement (rire) ; J’imagine déjà les gros yeux de Cassandra et sa bande en regardant ça. Je n’ai mis aucun Htag, Gilles le fera d’un de ses comptes pros, en me mettant moi en Htag (rire), elles doivent savoir que c’est lui qui est venu vers moi, et non moi qui suis allée chercher ; De toutes les façons c’est ce qui s’est passé (rire).

A 19h 30 il a débarqué avec un petit trolley, qu’il a posé dans la chambre où j’étais.

Moi (le regardant) : Parce que tu t’installes dans cette chambre ?

Gilles (s’approchant) : Bonsoir Solange !

Moi (m’ajustant) : Bonsoir Gilles

Il n’a rien ajouté et est allé dans la douche se dévêtir, prendre une douche pui se présenter devant moi nu comme un vers. Son engin (détournant le regard) Mon dieu ! (Rigolant en cachette).

Gilles (me fixant) : on dîne dans 20 minutes, j’ai commandé chinois pour ce soir 

J’étais perdue dans mes pensée après le décor qu’il a posé devant mon (rire). Il s’est rhabillé, mettant un t-shirt et une culote, s’est parfumé, aie, l’odeur de ça. Hum.

Giles (me regardant) : tu viens ?

Moi (sortant du lit) : je fais un tour aux toilettes j’arrive

Je l’ai rejoint quelques minutes plus tard, il était déjà attablé. Il s’est levé, m’a tiré la chaise, en m’aidant à lacer ma serviette.

Gilles (me fixant) : Bon appétit !

Moi (soutenant son regard) : Merci

J’ai Bien mangé (rire). S’il me paye 2500€ par semaine pour bien me traiter comme ça, sans me fatiguer, je ne peux que dire oui ! Ila fini de manger et a posé sa fourchette. Nous n’étions que Trois à la maison. Rob, lui, et Moi. Rob lui a une indépendance en dehors, tut juste à l’entrée.

Gilles (me fixant) : Bien jespère que tu t’es bien installée. Ça va ? tu te sens à l’aise ?

Moi (souriant) : Oui merci ça va

Gilles (calmement) : Bien ! Solange

Moi (levant les yeux) :

Gilles (très calmement) : Désormais tu es Solange, un point c’est tout§ Unice n’existe plus. Quant aux conditions que tu m’as exposées, tout ne dépends que de toi.  Le type de relation que tu veux que j’affiche sur le réseau social ne dépendra que de toi. La voiture tu l’auras certainement.

Moi : C’est-à-dire ?

Gilles (calmement) : comme dans tout métiers, il y a ce qu’on appelle les mois d’essais. Le tien est de deux mois. Si à l’issu de ces deux mois tu t’es montrer convaincante, Tu passeras en CDI. Mais tout ne dépends que de toi

Moi : Qu’est ce que tu attends de moi au juste ?

Gilles : tu le sauras bien assez vite. Pour le moment prends tes arques et sens toi à l’aise

Moi : Et l’emploi ? Qu’est ce que je fais pour m’occuper ? Je suis-je femme active, je ne peux pas rester sans rien faire, rester à être la boniche de maison. Je veux une occupation, une vraie. Je veux sortir de la maison !

Gilles (calmement) : Je sais tout ça Solange. JE te l’ai dit, je sais tout de toi, prend ton mal en patience, le moment venu tu auras ce que tu auras

Moi (énervée) : pfff !! ça me gaze tout ça.  Pourquoi tant de mystère ? Pourquoi ne pas me dire ce que tu attends et on quitte dessus ? Tu agis là on dirait un film. Pfff

Gilles (calmement) : Il est temps pour toi d’aller au lit, je dois travailler.

Moi (offusquée) : euh ! je dors quand je veux, non pas quand tu m’ordonnes de le faire, (regardant la montre) , il est à peine 21heures, et me demandes d’aller au lit ? J’ai quel âge moi ?

Gilles (se levant) : saches que si tu acceptes mon offre, tu acceptes les conditions qui vont avec

Moi (me mettant à sa hauteur) : et ce sont lesquelles ? Vu que tu ne veux rien me dire ?

Gilles (calmement) : parmi elles, il y a l’obéissance. Tu te conformes à ce que je te demande de faire, sans poser de questions

Moi (agitant le pied) : humm ! moi Kenne (tapant ma poitrine) moi l’enfant kenne me conformer ? (rire nerveux)

Gilles (me fixant) : Il ne se fait pas tard pour réaménager ton appartement Solange. Tu en avais pour une semaine de réflexion ! Une semaine où tu aurais pu me poser toutes les questions. C’est toi qui a décidé d’accepter

Moi : Et alors ? Puisque j’ai accepté, je n’ai pas le droit de poser les questions ? Hein ? Réponds-moi simplement, et arrête un peu avec tes mystères à al con ! putain

Gilles : si rien ne t’arrange tu peux toujours me le faire savoir, je ramènerais tes affaires dans ton appart, c’est simple Solange, tu as toujours le choix. Je te rembourserais tes jours de perdus

Moi (perturbée) :

Gilles (souriant) : Alors tu pars te coucher maintenant ? J’ai besoin d’être seule pour travailler. Merci.

Il a disparu dans la pièce au bout du couloir. Je l’ai regarder partir. Puis je suis montée dans la chambre, brosser mes dents, me mettre en tenue de nue, et entrer sous les draps. Je n’ai pas dormi, non, j’ai pris mon téléphone et je planais sur les réseaux sociaux. Cassandra avait poster une photo d’elle et de Gilles. J’ai bondi du lit en allant le rejoindre.

Moi (entrant brusquement) : Tu dis tout savoir de moi et tu te permets une photo avec Cassandra ?

Gilles (fixant son écran) : Merci de sortir et ferme derrière toi.

Je l’ai regardé, tremblant de colère. Il avait l’air de ne pas me calculer. Alors je me suis avancée, tout près de la table. D’un mouvement il a fermé son PC, en me regardant droit dans les yeux !

Gilles (posément) : je t’ai demandé de sortir Solange

Moi (bouillonnant de colère) : si non quoi Gilles ? Si non quoi ? Tu dis voiloir me privatiser, tout ça pour t’exhiber avec ma pire ennemie ?

Gilles :

Moi (criant) : J’ai horreur de ne pas avoir de réponse quand je parle, j’en ai horreur, (criant de plus belle) Tu me réponds ? Tu vas me répondre ? C’est quoi toutes ces histoires ? Tu me demandais d’aller me coucher pour pas que je tombe sur la photo c’est cela ? Si elle ele que tu voulais pourquoi ne pas aller la voir directement ? (rire nerveux) Ah c’est cela ! Elle te paye pour que tu m’éloignes, et elle prendra tous les marchés c’est ça ? (Tapant mon front) Pourquoi je n’y ai pas pensé depuis

Gilles :

Je suis sortie de là en claquant la porte, avant d’aller dans la chambre ranger mes affaires tout en ruminant.

Moi : Si c’est le plan de la sorcière là, elle a frappé à côté. C’était d’ailleurs trop beau pour être vrai.  5 mille euro, djoh comme ça ? 2500 euro par semaine ? Même s’il a tout l’argent du monde qui peut bien payer autant pour une pute ? pff ! dire que j’y ai cru, sans signer de contrat rien, j’ai porter mes choses j’ai déménagé, bête comme tout

Gilles (frappant) :

Moi (criant) : C’est le chez nor ? Fais comme bon te semble

Il a passé la porte, nu comme un ver de terre, le sexe qui pointait à l’horizon, habillé de préservatif.

Gilles (voix douce) : Laisse ce que tu fais et rejoins-moi

Moi (le dévisageant) : tu peux aller te faire foutre ! et ton argent le mettre où je pense, moi je m’en vais d’ici !

Il s’est approché, d’un mouvement brusque a fait tomber ma valise du lit, ma’ attrapé fermement le bras en me tirant vers la porte

Moi (craint) : lâches moi ! (Me débattant) lâche moi Gilles

Gilles (toujours calmement) : tu l’auras voulu

Il m’a emmené dans l’une des chambres de la pièce, et m’a plaqué au sol ! on était dans le noir, je n’y voyais rien.

Le bonheur à tout pr...