CHAPITRE 109: SITUATION EMBARRASSANTE.

Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA

CHAPITRE 109 : SITUATION EMBARRASSANTE 

**BHERNIE ELLO**

Je suis rentré dans ma chambre et j’ai pris mon portefeuille. 


Moi : (Le fouillant pour lui donner un billet de 10 mille) Tiens maman, tu vas payer le taxi, tu peux prendre même la course.

Maman : (Regardant le billet avant de me regarder) Donc tu me donnes 10 mille parce que tu ne veux pas m’accompagner c’est ça ?

Moi : Maman, je n’ai pas dit que je ne voulais pas t’accompagner. Mais je ne peux pas partir et laisser Lucia ici alors qu’elle est venue pour me voir. 

Maman : (Prenant le billet) Hum. Il faut aller surveiller Erine et Stella au salon, ton père est sorti.

Moi : Je vais le faire.

Maman : (S’en allant en parlant à haute voix) Il ne faut pas casser les reins de mon enfant, vous les petites filles d’aujourd’hui là ne savez pas garder les pieds fermés. Chaque jour « oh ciel, oh ciel » y a quoi ? Il faut mourir pour aller au paradis en même temps comme j’avais accouché l’enfant là pour toi. Elang. 


Je me suis crispé en entendant ça en espérant que Lucia n’ait rien écouté. Je m’éloigne de la maison et suis ma mère pour la rejoindre devant la porte de la maison.


Moi : (La regardant) Sérieusement maman ?

Maman : (Me regardant) Quoi ?

Moi : Tu es sérieuse que tu veux me faire ça à moi ? 

Maman : Tu m’as vu te faire quoi ?

Moi : Pour une fois que je vous présente ma petite amie qui ne t’a rien fait, c’est comme ça que tu te comportes ? Sérieusement ?

Maman : (Silence)

Moi : Merci. 


Je me suis retourné et je suis reparti vers ma chambre. J’ai mis quelque minutes devant ma porte pour essayer de retrouver un bon état d’esprit avant de rentrer trouver Lucia. Dire que je suis déçu actuellement est un euphémisme. D’abord la prière et maintenant ça ? J’espère vraiment que Lucia n’ait rien compris. Je souffle avant de me composer un visage enjoué même s’il m’est difficile de faire semblant. Quand je ressens quelque chose, notamment une émotion négative, ça se voit tout de suite, je fais un effort.

Je rentre et je la trouve en train de manipuler son téléphone avec ses earpods aux oreilles. Elle a remis sa chemise.


Moi : (La rejoignant sur le lit un faible sourire sur les lèvres) Désolé pour la durée, je devais rapidement régler un truc avec maman.

Lucia : (Posant son téléphone) Ce n’est pas grave.


J’ai caressé son visage et j’ai essayé de l’embrasser mais elle a décalé sa bouche.


Moi : (La regardant) Il y a un problème ?

Lucia : Non, j’ai envie de me soulager.

Moi : Ok, vas-y.


Elle s’est levée et est allée fouiller son sac pour prendre des kleenex puis elle est sortie de la chambre. Je suis resté assis sur le lit à me demander si elle avait effectivement écouté les propos de maman. Elle a fait une dizaine de minutes dehors avant de revenir s’asseoir sur la chaise.


Lucia : (Essayant d’avoir une voix naturelle) Dis tu as déjà fait des recherches sur ta fac ?

Moi : (Silence)

Lucia : Essayer de te renseigner sur l’environnement, le type d’ambiance et

Moi : Je suis désolé Lucia.

Lucia : (Me regardant) Pourquoi ?

Moi : Pour ce que ma mère a dit tout à l’heure, je sais que tu as entendu et je m’excuse pour ça.


J’ai vu les larmes qu’elle essayait de retenir depuis un moment couler de ses yeux. Je me suis levé et je suis allé m’agenouiller à ses pieds peiné de la voir pleurer à cause de ça.


Moi : Lucia stp pardonne moi, je te jure que je lui ai parlé et cela ne se reproduira plus jamais.

Lucia : (La voix enrouée) J’ai fait quelque chose qu’elle n’a pas apprécié ? Si c’est ça je peux aller m’excuser.

Moi : Tu ne lui as rien fait, pas à ce que je sache. C’est pour ça que je suis le premier surpris par son attitude, je ne sais pas pourquoi elle a agit de la sorte mais je lui ai parlé et je te promets que cela ne se reproduira plus. (Essuyant ses larmes) Stp bébé, ne pleure pas pour ça, cela me fait de la peine. On était censé passer une belle journée aujourd’hui tous les deux. Tu sais que nous avons parlé au téléphone ce matin et avions dit que ça devait être une belle journée pas une journée où ma femme devait pleurer. Stp chérie, cela ne va plus se reproduire, j’en parlerai avec papa le soir.

Lucia : Je ne veux pas que tu aies des problèmes avec tes parents à cause de moi.

Moi : Je n’aurai pas de problème, je vais simplement régler une situation pour nous éviter des problèmes à l’avenir. Tu seras amenée à venir ici à tout moment et cela ne me plairait pas que tu reçoives à nouveau ce genre de réflexion.

Lucia : Si ta mère ne veut pas que je vienne ici, je ne le ferai plus Bhernie.

Moi : Ne dis pas ça stp. Si tu ne viens plus ici, où est-ce qu’on va se voir ? On a des choses à se dire, un voyage à préparer, on doit se mettre d’accord sur plusieurs points. Tu me diras qu’on peut le faire ailleurs mais moi j’ai besoin de mon intimité, mon intimité avec ma femme. Que l’on puisse faire toutes ces choses mais aussi pour que l’on puisse se toucher, se caresser et faire l’amour. Quand nous irons en Europe, ce ne sera pas facile de pouvoir faire ces choses, il nous faudra attendre des temps de petites vacances scolaires pour faire le déplacement. Alors nous devons profiter au maximum du temps que nous avons à passer ici pour ça. Stp bébé.

Lucia : D’accord. 

Moi : Tu me pardonnes ?

Lucia : Je n’ai rien à te pardonner.

Moi : Si, ma mère t’a vexé alors je me dois te présenter des excuses.

Lucia : D’accord. Je t’excuse.

Moi : Merci. Ne t’inquiète pas, j’aurai une vraie conversation avec le couple Obiang ce soir, personne ne frustrera Mme Ello ici, surtout pas devant son homme.


Elle m’a souri et je lui ai fait un bisou sur les lèvres.


Moi : On retourne sur le lit ?

Lucia : Je n’ai pas envie de casser tes reins.


Je me suis levé et je l’ai soulevé de la chaise pour la ramener sur le lit.


Moi : (La déposant délicatement sur l’oreiller) Ce sont les reins de ton homme et tu as tous les droits possibles de les casser.

Lucia : (Souriant en me caressant la tête) Tu es fou Ciel.

Moi : Oui, de toi. C’est pourquoi je veux que tu me casses les reins à chaque fois que tu viendras ici.


Je l’ai à nouveau embrassé avant de retirer petit à petit ses vêtements, très vite elle s’est retrouvée toute nue et elle a entrepris de me déshabiller à son tour. 

Cette semaine j’ai eu l’occasion de discuter avec Pierre de qui je suis le plus proche dans la bande et je lui ai dit que Lucia était ma première en tout. Au début, il ne m’a pas cru parce que depuis qu’on se connait, bien que ne m’ayant jamais vu parler d’une fille en particulier ou d’une quelconque relation, je n’ai jamais dit que je n’avais pas eu de go avant. De temps en temps lorsqu’on venait à parler de sexe en général, je participais à la conversation sans gêne, je flirtais de temps à autre avec les filles sans en faire trop et les filles me courraient littéralement après. Il savait que ce n’était pas trop mon kiff mais il était loin de se douter que j’étais encore puceau avant Lucia et que c’était avec elle que j’avais passé le cap. 

Je lui avais donc demandé quelques conseils pour donner plus de plaisir à Lucia. Je ne voulais pas me tourner vers la pornographie parce que les rares vidéos que j’avais regardé par le passé, je les avais trouvé surfaites, j’avais l’impression que ça ne décrivait pas la réalité de l’acte sexuel donc j’avais zappé. Il m’avait dit déjà d’aller de façon progressive, de ne pas chercher à devenir pro tout de suite et ne pas m’attendre à ce que Lucia me fasse des trucs de ouf. Le secret était d’apprendre a comprendre notre corps nous même pour voir comment ça fonctionne et essayer d’être regardant sur le corps de Lucia. La bouche pouvait mentir mais son corps non, donc si je tentais quelque chose et qu’elle n’était pas réceptive c’est qu’elle n’aimait pas. Le plus simple si elle était assez ouverte au dialogue, c’était de lui demander si elle voulait que je lui fasse ou non quelque chose et si elle ne voulait pas faire un truc il fallait essayer de mesurer son niveau de refus pour voir si c’était de la gêne, pour la rassurer et la mettre en confiance ou un refus catégorique car contre ses principes et autres, ou encore l’inconfort. Il m’avait dit de varier les positions et de ne pas non plus mettre du temps sur une seule car à la longue les muscles se fatiguent et l’inconfort fait perdre du plaisir. Surtout de ne pas tout de suite penser pénétration mais de jouer avec son corps pour la stimuler au maximum, pour ça je devais la caresser, la sucer, la lécher, la mordiller et la doigter. Je pouvais aussi lui dire certains mots doux ou cru. Je lui ai demandé si les mots crus en question c’était des grossièretés comme on entendait des gens dehors ici insulter les femmes et il m’a surpris en disant oui, que ces expressions dites à propos pouvaient avoir un effet excitant sur elle, il suffisait juste d’être dans le bon contexte. En situation de douceur, câlins et autres il fallait utiliser les mots doux et quand je sentais que la tendance était un peu hard, il fallait quelques petites claques ça et là et des mots crus, ça pimentait les choses. J’avais été attentif et je comptais mettre cela en pratique.

Me voici en pleine évaluation, je saurai donc à la fin si j’ai été bon élève. Mon prof a dit qu’au moment de notre départ, si Lucia me colle énormément c’est que j’aurais validé sinon, ce sera essayé encore. Me voici donc à l’aventure sur le corps de Lucia que je vais tenter d’apprivoiser au fur et à mesure jusqu’à ce que je sache lui donner du plaisir comme il faut. 

Je commence par mettre le ventilateur pour ne pas que nous ayons à transpirer. Je reviens ensuite vers elle et je prends le temps de la regarder avec un sourire sur les lèvres auquel elle répond. Je ne sais pas si je l’ai déjà dit mais Lucia est belle, très belle et quand je la regarde je vois qu’elle n’a pas encore fini de s’embellir. Je sais qu’elle aura des hanches plus large et des fesses plus grosses que maintenant, je m’en délecte par anticipation en pensant que ce n’est pas ma mère qui viendra gâter ma relation et faire partir mes choses entre les mains de quelqu’un d’autre, je refuse.


Lucia : Tu penses à quoi ?

Moi : (À ses pieds) À toi.

Lucia : (Souriante) Je suis devant toi et tu penses à moi ?

Moi : (Pliant ses genoux) Oui, je pense au fait que tu es belle (Caressant ses pieds en faisant des bisous à l’intérieur de ses cuisses) Que je suis énormément chanceux de t’avoir (Progressant petit à petit) et que je puisse vivre tous ces moments avec toi.


Je remarque qu’elle a la chair de poule suite à ce que je lui fais alors je continue.


Moi : Je me dis que jamais, même dans mes rêves les plus fou, je n’aurais espéré avoir une femme telle que toi(proche de son intimité) Tu es plus que ce que j’espérais avoir et celui qui avait eu l’idée de t’appeler Lumière, ne l’avait certainement pas eu par hasard. Tu es véritablement une lumière, tu es Ma Lumière et sans toi mon Ciel est sombre.


J’ai passé un coup de langue sur son sexe et elle s’est redressée avec les seins déjà bien durs et les yeux brillants.


Lucia : (Haletante) Qu’est-ce que tu fais ?

Moi : J’ai envie de te sucer Lucia et savoir ce que ça fait de sucer sa femme.

Lucia : Tu es sûr ?

Moi : Oui, tu ne veux pas ?

Lucia : Je ne sais pas, c’est étrange.

Moi : Étrange que tu n’aimes pas, c’est désagréable ou tu ne t’y attendais pas ?

Lucia : Je ne m’y attendais pas.

Moi : Alors laisse moi essayer, si tu n’aimes pas, je vais arrêter.

Lucia : (Hésitante)D’accord.


Elle s’est rallongée et j’ai vu qu’elle était crispée alors je suis allé l’embrasser sur la bouche avant de redescendre petit à petit sur ses joues, son cou, sa poitrine, ses seins que j’ai pris le temps de sucer, son ventre, son pubis et finalement son sexe dont le goût était légèrement acide. Je l’ai léché sur toute la longueur avant de venir m’arrêter sur son clitoris plus rosé qu’au départ. J’ai fait des petites aspirations dessus et le son qu’elle produisait en plus de citer mon prénom m’indiquait qu’elle aimait ce que je lui faisais. Alors j’ai essayé de pousser plus loin en insérant d’abord un doigt dans son vagin, puis un deuxième.


Lucia : (Fermant les pieds sur moi en bougeant dans tous les sens) Ô Ciel, Ciel, Ciel je vais mourir.

Moi : (M’activant un sourire sur les lèvres) Écarte les jambes amour.


Elle s’est exécutée et je n’ai pas tardé avant de la voir se crisper et se mettre à trembler. Elle a eu un orgasme et je suis content. Je remonte lentement sur son corps frissonnant que je continue à caresser et je m’arrête sur ses seins. Je joue avec le bout de ma langue sur ses tétons et au bout d’un moment, fatiguée de se frotter contre moi elle le dit.


Lucia : Ciel stp pénètre moi.

Moi : (Remontant vers sa bouche en souriant) Tu es sûre que tu veux que je te pénètre ?

Lucia : Oui.

Moi : Avec ma queue ou mes doigts ?

Lucia : (Attrapant et caressant légèrement mon sexe) Ta queue.

Moi : (Souriant en suçant ses lèvres ) Pourquoi ? Tu veux me sentir au fond de ton sexe ?

Lucia : (Se frottant d’avantage contre moi en accélérant sa main sur mon membre déjà bien tendu) Oui Ciel.

Moi : Tu veux que je te baise Lucia ? (Elle a eu la chair de poule) Que je te baise comme une pute?

Lucia : (Me regardant dans les yeux avec une lueur et se mordillant la lèvre) Oui Ciel.

Moi : (Mordillant son oreille) Alors dis le moi, dis moi de le faire ma Lumière. Si tu le veux, dis le moi.

Lucia : Baise moi comme une pute Ciel.

Moi : (L’embrassant sur la bouche un large sourire sur les lèvres) D’accord bébé, je le ferai.


J’ai tiré le préservatif et l’ai déchiré pour le mettre. Je sais enfiler un préservatif, on a fait des cours sur ça en svt. La sensation était assez étrange mais pas inconfortable en plus ça sentait bon. J’ai regardé Lucia qui était toujours très excitée et je lui ai souri. Je sentais que j’aurais dû mettre de la musique pour couvrir ses bruits mais bon, l’ordinateur était trop loin. 


Moi : Mets toi à 4 pattes. 


Elle s’est exécutée. J’ai caressé ses fesses et son sexe avant de la pénétrer.


Lucia : (Gémissant) Anh.

Moi : (Attrapant ses fesses et bougeant lentement en elle) Tu veux toujours que je te baise comme une pute Lucia ?

Lucia : Oui, vas-y.


J’ai souri et j’ai accéléré mes mouvements. Lucia et le lit n’ont pas pu rester discret. Entre les '’Oh, oh, oh ,oh ,anh Ciel’’ de Lucia et les '’cui, cui, cui cui’’ du lit, je ne sais pas qui a fait le plus de bruit. J’ai eu beau changé de position en me mettant sur le côté et gardant une de ses jambes suspendue, en la prenant en missionnaire ou en me mettant en cuillère derrière elle, il n’y avait rien à faire. Les deux orgasmes qu’elle a eu n'étaient pas pour arranger les choses et le silence n’est venu qu’après le troisième parce que c’était au moment où moi aussi j’ai joui. Elle a couvert son visage avec ses deux mains et ne voulait pas me regarder.


Moi : (Amusé) Qu’est-ce que tu fais ?

Lucia : (Cachant son visage) J’ai honte Bhernie.

Moi : Tu as honte de quoi ?

Lucia : De te regarder.


J’ai retiré ses mains et je me suis placé au dessus d’elle pour la regarder dans les yeux en souriant.


Moi : Tu n’as pas à avoir honte d’avoir eu du plaisir en faisant l’amour avec ton homme.

Lucia : J’ai beaucoup crié Ciel, tout le monde a entendu ma voix.

Moi : (Riant) C’est vrai.

Lucia : (Me tapant) Tu vois, même toi tu te moques de moi.

Moi : (Souriant)Je ne me moque pas de toi bébé. C’est juste que


Je n’ai pas pu finir ma phrase parce que je ne trouvais pas les mots en fait. J’aurais vraiment dû mettre de la musique pour essayer d’atténuer le son de sa voix mais à vide comme ça c’est sûr que même les voisins ont dû entendre.


Lucia : Tout le monde va me regarder quand je vais passer et puis tes parents vont dire

Moi : Mes parents ne sont pas là, ils sont sortis tous les deux. Il n’y a que les filles à la maison, ne t’inquiètes pas. 

Lucia : J’ai trop honte.

Moi : (L’embrassant en la caressant) Oublie ça bébé, nous avons eu du plaisir, c’est donc normal. 

Lucia : D’accord. Je veux me soulager.

Moi : Vas-y. 


Elle a essayé de poser un pied au sol mais impossible de marcher correctement. J’ai alors porté ma culotte et lui ai mis un de mes t-shirt avant de la soulever pour l’emmener à la douche. Au moment où nous sommes sortis de la chambre, j’ai croisé la mine renfrognée de ma mère qui venait de verser une bassine d’eau et le visage amusé de mon père qui sortait de la douche. Lucia a niché son visage contre ma poitrine pour se cacher en se crispant dans mes bras. On ne peut pas faire plus embarrassante comme situation.


Moi : (Dans ma tête) Merde !....



SECONDE CHANCE