Chapitre 115

Ecrit par Jennie390

⚜️Chapitre 115⚜️

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Quand Taïssa voit Joyce entrer dans le salon avec Jules, elle est surprise. 


Taïssa :Je vous croyais déjà partis, j'ai entendu le bruit du véhicule qui s'éloignait. 


Joyce : Oui mon frère est parti avec les filles.


Taïssa : Et toi tu es restée ? pourquoi ça ? 


Jules : Tu poses trop de questions. C'est quoi ? la police ? 


Le regard de Taïssa passe de Jules à Joyce, de Joyce à Jules puis elle éclate soudainement de rire en se tapant dans les mains.


Jules : Je ne comprends pas ce qui te fait autant rire. 


Joyce : Ça te dérange que je sois là ? 


Taïssa(sourire en coin) : Ça me dérange ? Si le patron a dit que tu reste, qui suis-je pour m’y opposer ? 


Jules :Taï, j'ai souvent envie de presser ta bouche pointue là pour que tu racontes moins de con*neries.


Taïssa(rire) : Eh pardon ! Ce n’est pas la peine de t’énerver avec moi, ne gaspille pas ton énergie sur moi nor. Vu que tu as une lourde nuit chargée en étincelles qui t’attend. Mais pardon, essayez quand même de doser hein, Jules tu sais que ma chambre n'est pas loin de la tienne. Ayez pitié de mes oreilles, Permettez-moi de pouvoir quand même trouver le sommeil. 


Taïssa s’en va en riant, Jules la regarde partir, tout simplement dépassé. Il se tourne vers Joyce qui est vraiment verte de honte. 


Jules : Relax ! Si tu t’arrêtes sur les paroles de la fille ci, tu ne vas pas t’en sortir. On va manger ? 


Joyce : Ah non, moi je n’ai pas faim, depuis hier j’ai l’estomac noué. 


Jules : D’accord. De quoi as-tu besoin actuellement ? Une douche, dormir ? 


Joyce : Oui je veux bien une douche. 


Jules : Ok, suis moi. 


Ils arrivent dans une chambre.. 


Jules : La salle de bain est par là, il y a du savon, du dentifrice, des brosses à dent dans le tiroir qui est derrière toi, rien n’est utilisé. Je vais te chercher une serviette et quelque chose à porter pour dormir. 


Joyce : Euh… Ok merci. 


Dès qu’il s’en va, Joyce se déshabille et récupère tout ce dont elle a besoin dans le tiroir puis elle rentre dans la salle de bain. 

Jules arrive dans sa chambre, il sort de son placard, une serviette, un tee-shirt et un short de sport. Il retourne dans l’autre chambre et dépose le tout sur le lit. 


Jules(parlant fort) : Joyce, je t’ai posé les affaires sur le lit. 


Joyce : Merci. 


Il sort en refermant la porte. Il va dans la cuisine et met son burger dans le micro-ondes pendant qu’il téléphone à Dan. 


Dan : Allô. 


Jules : Salut man ! J’ai vu ton appel en absence. On dit quoi ? 


Dan : Oui je voulais qu’on aille se prendre un verre, ça te parle ? 


Jules : Euh non, ce sera pour une prochaine fois. 


Dan : Pourquoi ? Toi tu es un couche-tard en temps normal, donc tu… 


Jules : Joyce est restée dormir chez moi donc je ne peux pas sortir pour… 


Dan : Attend, attend, bloque d’abord ! C’est quelle Joyce qui est restée dormir chez toi ? 


Jules : Joyce Mebale. 


Dan : Quoi, elle est maintenant SDF ? Pourquoi elle dort chez toi ? 


Jules : Elle est venue récupérer les filles avec son frère et elle a décidé de rester dormir ici. Donc euh… 


Dan(amusée) : Et tu ne pouvais pas refuser ? 


Jules : Mais pourquoi j’allais refuser ? On n’est pas des ennemis, c’est la mère de ma fille. 


Dan : La mère de ta fille dort chez toi et la fille en question n’est pas présente ? Tu es sûr que pour cette nuit son statut n’a pas changé ? 


Jules : Dan tu m'em*merdes ! Va boire ton verre seul, je ne viens pas.


Dan(rire) : Évidemment que tu ne viens pas, tu vas venir comment quand tu as du boulot qui t’attend ce soir ? 


Jules : On est dans des chambres séparées, je ne sais pas ce que tu t’imagines.


Dan(rire) : Oui, merci de me prendre pour un idiot ! Moi ton frère je t’invite pour une sortie, tu préfères m’envoyer balader à cause de la femme. C’est quoi comme ça ? Le manque ? 


Jules(mo*rt de rire) : Tu es très bête frère ! 


Dan : Ah moi je ne te comprends pas. Vané vient tous les jours pour te donner ça gratuitement et sans chichi, tu refuses. 


Jules : Pardon, pardon ! Genre je suis trop désespéré quoi. Allez bonne soirée ! 


Dan : Bonne soirée à toi aussi. C’est la nuit des retrouvailles, mais dosez ça doucement. 


Jules(rire) : Tu es un enfo*iré ! 


Dan(rire) : Un vrai ! Allez bonne nuit man ! 


Jules : Merci, pareillement. 


Clic ! 


Il sort son Burger du micro ondes, le met sur un plateau, avec les frites, un coca et de l’eau. Il va s’installer au salon. 

Joyce porte le tee-shirt qui lui arrive au milieu des cuisses. Elle prend le short puis le dépose finalement. Elle récupère son téléphone et sort de la chambre. 

Elle retrouve Jules assis en train de manger, tout en manipulant son téléphone. 


Joyce : Bon appétit. 


Jules lève la tête et la regarde de haut en bas. 


Jules : Merci. Ça t’a fait du bien ta douche ? 


Joyce :Oui beaucoup. 


Elle s’assoit sur le fauteuil en face de celui de Jules. 


Jules : Je t’ai posé un short près du tee-shirt, tu ne l’as pas vu ? Ou ce n’est pas à ta taille ? 


Joyce : Si si mais je n’avais pas envie de le porter. 


Jules : Je te l’ai donné pour ne pas que tu aies à porter un simple tee-shirt avec rien en dessous. 


Joyce : Ça ne me dérange pas… de ne rien porter en dessous. 


Jules : Ok… Tu es sûre que tu ne veux rien manger ? 


Joyce se lève et vient s’assoir juste à côté de lui, elle prend quelques frites et se met à grignoter. 


Joyce(petit sourire) : Je n’ai pas faim mais deux ou trois frites, ça me va. Alors et le boulot ? 


Jules : Ça se passe bien, merci. Avant-hier le… 


Il est interrompu par Joyce qui lui passe doucement son pouce au coin de la bouche pour nettoyer le ketchup. Puis elle suce son doigt en regardant Jules bien dans les yeux. Ce dernier a à cet instant dans sa tête, une image de Joyce en train de su*cer une toute autre chose. Cette pensée lui donne chaud, il prend son coca qu’il vide d’un trait. 

Il se lève et va déposer son plateau avant de revenir au Salon. 


Joyce : Tu n’avais pas fini de manger… 


Jules : Oui je n’avais plus très faim. 


Joyce : Ah d’accord.


Jules : Bon je vais me coucher, tu as besoin de quelque chose ? Un thé par exemple pour te détendre et bien dormir? 


Joyce : Oui s’il te plaît. Merci. 


Joyce retourne dans la chambre. Jules fais le thé et quelques minutes plus tard, il va le remettre à Joyce. 


Jules : C’est de la verveine, ça va te faire du bien. 


Joyce(prenant la tasse) :Merci.


Jules : Si tu as besoin de quoi que ce soit, surtout n’hésite pas.


Il sort et va directement dans sa chambre et se rend juste après dans la salle de bain pour une bonne douche bien froide. Pendant qu’il se savonne le corps, il sent une présence dans son dos. Il se retourne et Joyce est toute nue devant lui. Son sang pulse dans ses veines à tel point qu’il a juste envie de lui sauter dessus à cet instant. 


Mais il préfère que ce soit elle qui fasse le premier pas surtout vu leurs antécédents. Il recule et colle son dos au mur en gardant ses yeux dans ceux de Joyce pour éviter de regarder plus bas. 


Jules : Qu’est ce que tu fais là ? 


Joyce(doucement) : Jules je ne suis pas restée chez toi pour dormir seule. Mais tu m’installes dans une autre chambre. Je pensais pourtant que le message était suffisamment clair. 


Jules : Joyce, toi et moi on a un passif assez compliqué. Donc il ne faut pas dire des demi mots ou parler en parabole ou quoi que ce soit. Il faut éviter les ambiguïtés. Tu as un truc à dire, dis le clairement, en des termes nets. La Joyce d’avant, était cash et cru. Elle disait toujours ce qu’elle pensait, sans filtre. 


Ils s’observent un moment dans le silence et Joyce fini par prendre la parole. 


Joyce : Je suis restée parce que je voulais dormir dans tes bras, sentir ta chaleur, ton odeur. J’ai besoin de ça, j’ai besoin de toi. Je veux que tu me fasses l’amour, que tu me b*aises correctement. Fais moi tienne ce soir. Est-ce que c’est assez cash et cru à ton goût ? 


Jules : Tu es sûre ? 


Joyce(le regardant de haut en bas) : Oui bien sûr ! 


Jules se rapproche, la serre dans ses bras et presse ses lèvres contre les siennes. Joyce laisse échapper un gémissement lorsqu'il fait remonter ses mains jusqu'à ses épaules d'un geste possessif, puis le long de sa gorge pour lui prendre le visage entre ses paumes. Il l'embrasse avec une fougue inouïe, comme s'il était affamé - comme s'il venait enfin de rompre les chaînes qui l'empêchaient de l'atteindre.


Joyce lui caresse la joue, le cou, puis le dos pour l'attirer encore plus près. 

Joyce sent l'érection qui vient se presser contre son ventre. Puis Jules interrompt leur baiser, et tous deux se contemplent, à bout de souffle. Les yeux brillants.. 


Jules : J'ai cru que tu ne viendrais plus. 


Joyce(sourire) : Ah bon ! ? 


Jules presse sa bouche contre celle de Joyce dans un baiser brutal, brûlant, exigeant. Et ô combien délicieux ! Il passe la langue entre ses lèvres et, en une danse douce, sensuelle, caresse la sienne. Il ne se contente pas de l'embrasser, il la consume. Par ce baiser, il prend possession d'elle. 


Avec un soupir, Joyce s'abandonne complètement à cette étreinte et se sent fondre. Elle en veut davantage, elle le veut tout entier, sa chaleur, ses mains, cette bouche. 

Jules passe ses paumes ouvertes sur le ventre de Joyce, les faisant remonter en direction de ses seins, qu'il saisit à pleines mains.


 Puis il approche son visage et happe un de ses tétons entre ses lèvres.

Joyce ne peut retenir un soupir tremblant et s'appuie au mur, rejetant la tête en arrière tandis que Jules taquine du bout de la langue la pointe tendue de son sein.

Puis il commence à alterner, suçant et mordillant ses deux tétons tour à tour jusqu'à ce qu'ils soient aussi durs que de la pierre.


Alors il laisse retomber une main et, du bout des doigts, lui caresse les côtes, le ventre, l'intérieur de la cuisse... Avec une infinie délicatesse, il écarte les quelques boucles de son intimité, puis passe l'index entre ses lèvres. Joyce frissonne violemment lorsqu'il lui effleure le cli*toris.

Il commence une petite danse infernale, faisant jouer ses doigts à l'entrée de son se*xe tout en décrivant, avec son pouce, des cercles délicats autour du point le plus sensible. 


Joyce(gémissant) : Jules… 


Jules(à son oreille) : Tu aimes ? 


Joyce (fébrile) : Oui… 


Elle baisse la tête afin de pouvoir l'observer, les paupières mi-closes. La vue de ses lèvres refermées autour de son téton est incroyablement éro*tique et fouette ses sens déjà en émoi.

Jules soulève la jambe de Joyce pour bien avoir accès à son intimité. L’eau ruisselle sur leurs corps haletant. 

Joyce pousse un nouveau gémissement lorsqu'il introduit un doigt en elle tout en accentuant la pression de son pouce. Tendue comme un arc, incapable de rester immobile, elle tremble. 


Jules(la voix rauque) : Je veux te sentir jouir sur ma main. 


Joyce : Oh oui ! 


Puis, reprenant son téton entre ses lèvres, il avance son doigt encore plus profondément et sans cesser de stimuler son c*litoris. Joyce ferme les yeux et crie son nom en sentant monter la première vague de l'org*asme, qui déferle avec une exquise violence.

Au lieu de ralentir ses caresses, il les fait plus pressantes, et Joyce se débattit contre sa main, secouée de spasmes toujours plus puissants.


Puis elle se laisse retomber contre lui et lui agrippe les épaules tandis qu'elle tente de reprendre son souffle.

Avec douceur, Jules retire sa main et passe les bras autour de Joyce pour l'attirer contre la chaleur de son corps. Elle appuie le front sur son épaule et ferme les yeux, anéantie par la violence de son plaisir.

Jules lui caresse le dos en de longs gestes doux et apaisants. Puis il remonte une main dans ses cheveux et tire délicatement, jusqu'à ce qu'elle relève la tête et croise son regard. 


Il ferme le robinet et la soulève un peu plus haut et glisse un bras sous ses fes*ses pour la soutenir tandis qu'elle croise les chevilles dans son dos. Puis, comme si elle ne pesait rien, il l’emmène dans sa chambre.

Il s’incline près du lit et y dépose la jeune femme avant de se redresser aussitôt pour la contempler. 


Jules : Tu es belle ma chérie… 


Joyce l'observe, hébétée de plaisir, vibrant encore de la puissance de son org*asme. Pourtant, elle en veut davantage - elle le veut lui.

Il prend un paquet de prése*rvatif dans son tiroir, il retire un échantillon qu’il déchire et déroule lentement sur toute sa longueur. Joyce déglutit en imaginant sa que*ue logée au fond d’elle. Puis tout à coup une pensée traverse l’esprit de Joyce, elle se fige. Elle se redresse et prend l’oreiller avec des mains tremblantes pour cacher son corps. 


Jules(perdu) : Qu’est ce qui se passe ? 


Joyce jette des coups d’œil partout dans la chambre, elle a l’air stressée. 


Jules : Si tu ne veux pas, on arrête Joyce. Qu’est ce que tu as ? 


Joyce(doucement) : Où est ton_ ton téléphone ? 


Jules(confus) : Mon téléphone ? Qu’est ce que tu veux faire avec ? 


Joyce : D-donnes le moi s’il te plaît. 


Jules ne comprends rien mais il récupère son téléphone sur la commode et se tourne vers Joyce. Quand il voit la crainte dans les yeux de cette dernière, il réalise où est le problème. 


Joyce : Quoi tu penses que je vais filmer ? 


Joyce(au bords des larmes) :… 


Ça lui brise le cœur de la voir ainsi. Il se met à genoux devant elle près du lit. 


Jules : Écoute Joyce. Je ne pourrai pas suffisamment m’excuser pour ce que je t’ai fait. Je sais la société dans laquelle on vit ne fait pas de cadeau aux femmes surtout avec des scandales du genre. J’imagine ce que tu as pu endurer : les inju*res, les moqueries, les humiliations, la douleur et la sensation amère de la trahison. 

Je sais que tu me faisais confiance sinon tu ne m’aurais jamais permis de faire la vidéo ce jour là. Je l’ai fait pour l’argent et je n’en suis pas fier, ça n’en n’a pas valu la peine. J’ai honte de moi en sachant qu’on a une fille et qu’avec les réseaux sociaux, quelqu’un pourra lui sortir une telle vidéo quand elle sera plus grande. Je suis désolé du fond du cœur, je regrette. 

Je ne pourrais plus jamais faire une chose aussi cruelle que ce soit à toi ou à une autre parce que moi-même j’ai une sœur, une fille, ça ne me plairait pas qu’on le leur fasse. 

Si tu ne veux pas continuer parce que tu ne me crois pas je vais comprendre, je m'attèlerai à regagner ta confiance. 


Joyce : Tu me promets que tu ne vas pas filmer ? 


Jules : Je te le promets sur notre fille que plus jamais je ne prendrai mon téléphone pour filmer des ébats sex*uels.


Joyce hoche la tête et s’essuie le visage qui est ruisselant de larmes. Jules récupère le tee-shirt que Joyce portait et le lui tend. 


Joyce : Je veux te faire confiance, je veux continuer… 


Jules : Tu es sûre ? 


Joyce : Oui… 


Elle retire l’oreiller et Jules se place entre ses jambes. Il commence par de petits bisous à l’intérieur des cuisses, puis il passe d’abord un doigt entre ses lèvres, puis les ouvre délicatement. Lorsque, enfin, il baisse la tête, Joyce se tend folle d’anticipation.

Le premier contact lui fait l’effet d’une décharge électrique, et elle sursaute. Avec une grande douceur, Jules fait jouer sa langue sur son cli*toris avant de décrire de petits cercles tout autour puis de l’aspirer dans sa bouche. Joyce sent son désir s’enflammer et courir dans ses veines, la réchauffant tout entière. Elle plane à chacune de ses caresses.


Alors il change de tactique et descend peu à peu vers l’entrée de son se*xe en de longs mouvements. Plaçant ses lèvres contre les siennes, il fait jouer sa langue un instant avant d’entamer d’irrésistibles va-et-vient. Elle a les jambes qui tremblent, la décharge qu’elle ressent est tellement puissante à tel point qu’elle a envie de fermer les jambes. Mais Jules les garde bien ouvertes avec ses deux mains. Doucement, il introduit un doigt entre ses lèvres gonflées et le recourbe à l’intérieur pour venir appuyer contre son point G.

À un moment, Jules sent les muscles du va*gin se contracter autour de son doigt, aussitôt baigné d’un flot soyeux. 


Il accélère ses caresses tout en faisant jouer sa langue contre son clit*oris. Puis Joyce se met à haleter et à gémir encore plus fort. Il retire son doigt et applique sa bouche contre elle en insérant sa langue aussi profondément que possible.

Son orgasme est fulgurant. Elle se cambre et lui agrippe les cheveux à deux mains, serrant les poings si fort que c’en est douloureux, le forçant à rester tout contre elle, comme si elle avait peur qu’il ne se retire trop tôt. Jules continue avec de légers coups de langues et des bisous pour lui permettre de se calmer graduellement. 


Joyce : Oh ça faisait tellement longtemps que je n’avais pas joui.


Jules : C’était quand la dernière fois que tu as joui ? 


Joyce : La dernière fois qu'on a couché ensemble, le jour de la vidé… euh…c’est le jour où Farrell a été conçu. 


Jules(malicieux) : On va donc se rafraîchir la mémoire. 


Jules se redresse, la qu*eue bien tendue. Il a les cou*illes beaucoup trop lourdes actuellement, il a envie de plonger en elle à cet instant. Elle voit ses muscles jouer sous sa peau lorsqu'il se penche vers elle pour lui saisir les chevilles et d'un geste rude, il l’attire vers le bord du lit et s'avance entre ses jambes.


Jules(la voix pleine de désir) : Je ne vais pas pouvoir y aller en douceur Joyce, j'ai trop envie d'être enfin en toi. J'ai besoin de te prendre là, tout de suite.


Joyce(chuchotant): Je ne demande pas mieux. Prend moi ! 


Il passe les mains sous ses genoux pour l'amener tout contre lui, et elle sent l'extrémité de son s*exe appuyer contre ses lèvres encore gonflées de plaisir. Vu qu’elle est bien trempée, Jules ne marque qu'une brève pause avant de la pénétrer avec force. Joyce pousse un cri qui résonne dans toute la pièce. La sensation de Jules si profondément logé en elle est merveilleuse. Elle se sent parfaitement comblée. Il lui caresse le ventre, la taille puis les seins, qu'il appuie doucement, en taquinant les pointes.


Jules : Je t'ai fait mal ? 


Joyce(haletant) : Ne t’inquiète pas, Vas-y ! 


Elle pose les mains sur les siennes, toujours refermées sur ses seins, puis les fait remonter le long de ses bras forts, se délectant de sa puissance. Elle aurait pu passer des heures à le caresser ainsi, mais il lui attrape les poignets et, d'un geste brusque, lui ramène les bras au-dessus de la tête. 

Puis elle se détend et il se penche sur elle pour placer ses paumes contre les siennes et l'immobiliser complètement.

Jules se retire avant de redonner un violent coup de boutoir qui la secoue tout entière.


Joyce(criant) : Woooo ! 


Il se penche pour lui attraper les jambes et les nouer autour de sa taille. Il passe les mains sous ses fesses et, l'agrippant avec force, il commence à donner de puissants coups de reins, à un rythme rapide et régulier qui font résonner des ondes de plaisir dans tout son corps.


Jules : Oh yes ! 


Joyce(gémissant): Oui ! Oui ! 


Il se retire presque entièrement avant de revenir à la charge avec une vigueur redoublée, les mains crispées sur ses fes*ses. Il risque de lui laisser ses empreintes sur la peau tellement il la tient fort, l'attirant contre lui pour aller toujours plus profond. Elle gémit tellement fort que c’est pratiquement sûr que Taïssa doit l’entendre.


Joyce : C’est bon ! Oui ! 


Jules : Puta*in ! 


Sa que*ue est si profondément ancrée que Joyce ne sent plus rien d'autre que son membre tendu qui épouse si parfaitement les contours de son propre se*xe.

Il accélère encore la cadence, le visage crispé, et elle cambre le dos pour venir à sa rencontre et prolonger ce plaisir étourdissant. Un éclat triomphal traverse ses yeux tandis qu'elle se débat sous lui, toujours parcourue par les vagues de cet org*asme. 


Puis elle se détend et retombe sur le matelas, épuisée, comblée. Jules ralentit la cadence, comme s'il voulait savourer chaque instant. Il ferme les yeux et alterne de profonds coups de reins avec des mouvements plus subtils et circulaire du bassin. Puis, serrant les lèvres, il reprend de la vitesse et de l'amplitude.

Il s’allonge sur elle pour un baiser langoureux, puis il se redresse et retire sa qu*eue. 


Jules : Retourne toi et met toi sur tes genoux. 


Joyce s’exécute et Jules l'attrape par les hanches et la soulève de sorte qu'elle se retrouve à genoux, la joue pressée contre le matelas, les fes*ses en l'air.Puis le lit s’enfonce légèrement lorsque Jules se positionne derrière elle. Il lui caresse le dos et les épaules, puis il prend les deux mains de Joyce qu’il croise dans son dos. Joyce est à bout de souffle, assaillie par un bouquet de sensations. De sa main gauche, il bloque les poignets de Joyce puis de sa main droite, il vient loger son gland entre ses lèvres humides.


Joyce(suppliant) : Jules je t’en prie, ne me fait languir davantage. 


  

Jules : J’adore te voir comme ça, à genoux sur mon lit, les mains liées dans le dos, de sorte que tu n’as pas d’autre choix que de prendre ce que je te donne.


Joyce a envie de hurler de frustration. Elle est tendue comme un arc, prête à exploser. Elle essaye de reculer contre lui pour le forcer à entrer enfin, mais il lui administre aussitôt deux grosses claques retentissantes sur les fe*sses. Joyce laisse échapper un cri de surprise, elle est davantage excitée. Jules se penche et chuchote à son oreille, lui arrachant un frisson au passage. 


Jules : Tu veux me sentir tout au fond de toi ? 


Jules :Oh oui… 


Joyce(gifles sur les fes*ses) :Je ne t’entends pas ! 


Joyce(criant) :Oui !


Jules(chuchotant) : Demande-le-moi gentiment. Dis-moi ce que tu veux, ma chérie.


Joyce(haletant) : Je te veux, toi. S’il te plaît.


Jules :Tu me veux moi, ou tu veux ma que*ue ?


Joyce : Les deux !


Jules(sourire) : Bonne réponse !


Il se penche pour lui déposer un baiser dans le dos, puis il serre davantage les mains de Joyce et la pénètre d’un coup jusqu’à la garde. 


 Joyce(cri de plaisir) : Oh ! 


La main gauche sur les poignets de Joyce et la droite sur les cheveux de cette dernière qu’il enroule et tire d’un coup sec tout en envoyant de profonds coups de reins. Il y va tellement fort que le bruit de son bassin qui claque contre les fe*sses de Joyce remplit la pièce. 


Jules(sifflant) : Ouuuh, c’est le pied ! J’avais oublié combien de fois tu étais bonne !! 


Joyce a du mal à sortir la moindre parole, le jeu de reins est brutal et profond qu’elle a par moment du mal à respirer. Elle a le bas ventre en feu, c’est tellement exquis ! Jules desserre le poing et laisse doucement filer ses mèches de cheveux. Puis il lui caresse le dos d’une main chaude et apaisante, avant de passer le bras autour de sa taille et de glisser les doigts entre ses cuisses.

Joyce ne peut retenir un cri lorsqu’il effleure son cl*itoris et qu’un courant électrique parcourt tout son corps. Alors il reprend ses coups de reins avec une vigueur redoublée, sans cesser de l'exciter d'une main.


Joyce(gémissant les larmes aux yeux) :Oh Jules ! Oui ! Oui ! 


Jules : Oh yes ! 


Il relâche les mains de Joyce et la fait se redresser. Il caresse ses seins d’une main et son autre main est posée sur la hanche de Joyce. Cette dernière tourne les hanches pendant qu’il continue à la limer sans répit tout en lui faisant des bisous au cou. 

Joyce a joui la première, pendant que des spasmes fulgurants lui traversent le corps. Jules sent sa libération arriver, il a accélère la cadence jusqu’à ce que lui-même se tende comme un arc et atteind l’extase.


Puis il donne un dernier coup de reins et reste aussi profond qu'il le peut. Leurs poitrines s'élèvent et s'abaissent au rythme de leurs souffles haletants. 

Jules se retire et se dirige vers la salle de bain pour retirer son préservatif et se nettoyer.

Joyce s’allonge sur le lit, totalement essoufflée. Jules revient quelques minutes plus tard se coucher derrière elle en plaçant ses bras autour de la taille de Joyce et en lui faisant de petits bisous à la nuque. Jusqu’à ce qu’ils s’endorment tous les deux dans le silence. 


      *****2h plus tard*****


Jules est endormi lorsqu’une sensation grisante le sort petit à petit de son sommeil. Il ouvre les yeux lentement et voit Joyce lui lécher délicatement la qu*eue. La vue d’une telle scène ne tarde pas à le faire durcir. 


Joyce(sourire espiègle en soufflant le chaud et le froid sur son se*xe) : Bien dormi ? 


Jules(haletant) : Yes… 


Elle saisit son se*xe fermement à la base et l’introduit dans sa bouche. Elle le s*uce goulument tout en faisant tourner très rapidement sa langue sur le chapeau. Elle fait des va et vient avec ses mains de haut en bas tout en lui suçant les co*uilles. 


Jules a les muscles tendus, c’est tellement bon que lorsqu’elle remet sa queue dans la bouche, il lui saisit les cheveux pour l’accompagner dans le rythme. 


Jules : Oh sh*it ! ! Joyce put*ain ! 


Joyce est totalement en extase en voyant le plaisir qu’elle lui procure, sa chatte est de plus en plus humide, les tétons pointent. Elle pompe encore pendant une minute, passe un dernier coup de langue et en une fraction de seconde, elle se redresse et vient s’empaler sur la qu*eue. 


Jules : Waouh ! 


Joyce : Oh ! je te sens bien ! 


Jules l’attire à lui et leurs bouches se collent en un baiser sensuel, pendant qu’il lui caresse le dos et les hanches. Joyce quitte sa bouche et lui fait des bisous sur le menton dans le cou sur la poitrine. Puis elle se redresse et commence à onduler des hanches lentement, de gauche à droite, devant derrière. Elle fait de légers petits sauts en renversant la tête en arrière, tellement la plénitude qu’elle ressent actuellement est sans pareille. 


Joyce : Oh, oh, oh ! 


Jules l’attire encore à lui pour un baiser et en un geste rapide, il la renverse et se retrouve au dessus bien ancré entre ses jambes. Joyce continue à tourner le bassin et le soulève de temps en temps. Jules lui donne des coups de reins doux tout en soufflant le chaud à son oreille en massant ses seins. 


Jules : Je n’ai pas envie que ça s’arrête, j’aime tellement ton corps. 


Joyce(gémissant) : N’arrête même pas un peu, Jules. C’est bon. Oh Seigneur ! 


Jules(la voix rauque) : Je ne vais plus pouvoir te laisser partir. 


Joyce(le regardant droit dans les yeux en gémissant) : Je n’irai nulle part… Oui… 


Il lui passe les doigts dans les cheveux en l’embrassant de manière langoureuse pendant qu’elle lui caresse le dos. Leur moment passionné se poursuit toute la nuit avec des gémissements qui remplissent la pièce. 


           ♤~~~~~~~♤


Imelda est assise dans le bar du motel en train de siroter une bière, elle regarde les autres clients du coin de l’œil, avec dégoût et mépris. 


Imelda(dans sa tête) : Moi Imelda Mauryn Mounguengui, la fille de Jean François Mounguengui. Assise dans un trou abjecte en train de consommer une bière, une boisson que je ne regardais même pas avant. Je suis au même endroit que de vieux ivrognes qui ont raté leur vie et qui n’ont certainement jamais entendu parler du savon et du dentifrice tellement ils puent.

Moi qui ne sirotais que du champagne ou de la vodka dans les meilleurs bars lounge à travers le monde. Ça c’est quel déclassement comme ça ? 


Elle se met à naviguer dans Facebook lorsqu’elle tombe sur une publication qui lui compresse le cœur. Son père escorté hors du tribunal, vêtu comme un véritable miséreux, une barbe de Dieu seul sait combien de jours. Il y a une foule de personnes qui lui lancent des projectiles en tout genre, des tomates entre autres. Il est hué, insu*lté, les personnes présentes sont totalement déchaînées.


Des gens qui n’auraient jamais espéré approcher le grand Jean -François quand il était encore dans sa toute-puissance. Elle se met à lire les commentaires où on traite son père de tous les noms d’oiseaux. Elle comprend aussi par plusieurs commentaires que son père vient d’être condamné à la perpétuité, qu’il ne sortira donc plus jamais de prison. 


En fouillant davantage sur Facebook, elle tombe sur des reportages de télévision où elle écoute le compte-rendu du procès. Elle apprend que tous les biens de la famille Mounguengui qui ont été saisis ne seront plus jamais restitués. Elle apprend que l’Etat mettra tous leurs biens à disposition d’un fond spécial pour la lutte contre le trafic de drogue. 


Imelda a la tête qui tourne quand elle se rend compte qu’une telle nouvelle signifie qu’elle vient officiellement de rentrer dans le club des miséreux du Gabon. Elle a encore 850.000€ dans une banque en Suisse. Mais pour arriver dans ce pays il faudrait un vrai miracle vu qu’elle n’a même pas de quoi se payer un billet d’avion. 


Même si elle avait de l'argent pour ça, elle ne pourrait pas partir vu qu’elle est recherchée. Elle se lève et paye sa facture, puis elle retourne dans sa chambre où elle prend une autre douche. Elle vient ensuite s’asseoir sur son lit, les bras croisés. Imelda fait une rapide rétrospective de sa vie qui était parfaite mais dès qu’elle a introduit Lionel dans sa vie tout n’a été qu’une succession de problèmes, humili*ation, chocs.


Si elle ne l’avait jamais introduit dans leur vie, son père serait encore libre aujourd’hui la vie. La vie de sa famille a volé en éclat à cause de cet homme et par ricochet Joyce. 


Imelda : Vous ne pouvez pas avoir gâché ma vie et vous en tirez comme ça. Demain je vais retourner chez ce Pa Opanga vu que c’est la seule solution qui me reste pour vous raser complètement. Je n’ai vraiment plus rien à perdre je ferai tout ce qu’il faut ! 

         ♤~~~~~~~♤


La voiture roule à vive allure, la musique est à fond et les deux chantent tout en riant. Au bout de 15 minutes à jouer les chanteurs en herbe, Lionel baisse le volume de la radio. 


Joyce : Mais pourquoi tu as baissé le volume ? C’est ma chanson préférée ! 


Lionel(amusé) :Oui je sais… mais dis-moi de quoi tu as envie ma chérie. 


Joyce : J'ai envie d'un milkshake à la fraise. 


Lionel(sourire) : Avec des gaufres comme quand tu étais petite ? 


Joyce(sourire) : Oui, avec beaucoup de crème chantilly ! 


Lionel : Très bien, vendu !!


Joyce : Tu es sûr que maman et Angèle ne vont pas nous chercher ? On a disparu comme ça sur un coup de tête.


Lionel : Je peux quand même me faire une petite escapade avec ma petite sœur. De toutes les façons, on prend tes gaufres et ton milkshake et ma glace au café puis on rentre à la maison. 


Joyce regarde son frère en souriant…


Lionel : Pourquoi tu me regardes comme ça ? 


Jonce : Je ne t’ai jamais dit combien je suis fière de t'avoir dans ma vie. De tous vous avoir, vous êtes la meilleure famille de tous les temps. Je suis tellement bien entourée. Je t’aime Li… 


Joyce : Je t’aime ma petite… 


Il s’arrête à un feu rouge et pendant ce temps, tous les deux chantent à tue-tête la musique de la radio. Au moment, où le feu passe au vert et que Lionel s’apprête à remettre la voiture en mouvement, un 4×4 arrive à vive allure du côté gauche et entre en collision avec le véhicule de Lionel. La scène se déroule tellement vite que la minute d’après, c’est la catastrophe. 


Joyce ne portait pas sa ceinture de sécurité au moment du choc, donc elle se retrouve la tête encastrée dans le pare-brise lui ouvrant le crâne au passage. Le 4×4 a heurté le véhicule de Lionel du côté gauche alors Lionel a pris le choc de plein fouet. La vitre de ce côté a explosé et de gros morceaux de verre cassé se sont retrouvés enfoncés dans le cou de Lionel. Le sang gicle abondamment de sa gorge, il est immobilisé les yeux mis clos, la respiration à peine perceptible et du sang sort aussi de sa bouche. 


Les personnes qui ont assisté à la scène se sont prestement rapprochées des deux véhicules. Le conducteur du 4×4 est mort sur-le-champ, il était apparemment ivre. Quand ils se sont approchés du véhicule de Lionel, ils ont ouvert la portière de Joyce.


-Celle-ci n'a pas survécu..


-Appelez la police…


-Appelez d’abord une ambulance, l'homme est encore en vie ! !


-Faites vite, il a la gorge ouverte, le sang sort abondamment ! 


-Espérons qu'il arrive à l'hôpital à temps et qu'il puisse être sauvé … 



Notre amour face aux...