Chapitre 14
Ecrit par St Daniel
Les chroniques de Saint Daniel
Titre : L’amour des temps.
Auteur : Saint Daniel
Chapitre 14
Je ne savais pas trop quoi la dire comme réponse, alors j’ai soulevé le regard vers le plafond et j’ai respiré de bons airs. Puis je l’ai prise dans mes bras.
Ulrich : Je t’aime !
Ai-je le droit ? D’empêcher quelqu’un à me révéler ses sentiments ? Je ne sais pas qui je suis, mais je l’avais prise les lèvres afin qu’elle ne me réponde pas par un ‘’je t’aime aussi !’’On est resté là et elle a joué le rôle de maman pendant que moi je fais la cuisine. C’est après qu’on s’est rendu au lit et on s’est couché avec princesse dans son berceau juste à côté de nous.
Le lendemain à notre réveil…
Sylvia : Chérie ? Ça te dirait qu’on aille passée le weekend dans les montagnes ?
Ulrich : Oui ! Oui ! Bonne idée. Je fais vite au boulot et je serai là déjà à quinze heures.
Sylvia : Ok ! C’est d’accord. Je vais aussi faire et nous apprêter.
C’est ainsi qu’arriver au boulot je me suis si bien concentrer sur mes choses à faire et je me suis retrouver libre déjà à quinze heures. Avant de rentrer les prendre, Sylvia et ma fille, je suis passée par le supermarché m’approprier quelques trucs nécessaires pour le voyage et surtout du chocolat.
Sur la route, Sylvia porte ma fille, notre fille, à moi et elle et Audrey, elle l’avait dans ses bras et on chantait la playlist des chansons d’amour que j’avais personnellement sélectionné. On chantait et on riait. Si l’esprit est triste, le cœur est triste ; toutefois le cœur peut être triste sans que l’esprit ne soit ni triste ni en joie, ça en vaut pour le cœur. C’est la loi du bonheur je pense. J’étais là ! J’étais moi ! Je n’étais pas triste, j’étais en joie. Mais je n’avais pas le bonheur comme je l’aurai aimé.
Plus tard à notre arrivée, je suis sur le balcon de l’immeuble pendant que ma fille dort. Sylvia venait de sortir de la douche et elle me retrouve habillée d’un simple tricot sans short sur le string en bas.
Sylvia : Qu’est-ce que tu as !? Chérie !
Ulrich : Oh rien ! C’est juste moi. J’avais un peu la tête ailleurs.
Sylvia : Tu pensais à quoi ?Ulrich : Rien d’important. C’est quoi le plan pour ce soir ?
Sylvia : Tu es sûr ? Suis là tu sais ? Tu peux tout me dire.
Ulrich : Ok ! Dit pourquoi tu es revenu ?
Sylvia : Pourquoi ? Parce que c’est toi que j’aime…
Ulrich : Vraiment ?
Sylvia : Oui ! Bref je dis ça mais en réalité ses six mois sans toi, je dirais que je l’ai passée loin du monde, près de mon cœur. Et que l’amour est un sentiment qui diffère. Quand tu le rencontres tu as rencontré le monde. C’est ma conclusion à moi.
Ulrich : Ta conclusion ? Tu peux m’expliquer ? S’il te plait.
Sylvia : Je ne sais pas comment le dire, mais crois-moi le sentiment doit être réciproque si on veut parler d’amour. Mais il faut aussi que l’absence de l’autre soit ressentie et que son intention et attention soit un médicament contre la solitude et le stress. J’ai embrassé des mecs beau et musclé, j’ai baisé avec quelqu’un, j’ai eu des belles journées avec des hommes. J’ai été avec de vrais hommes, mais je ne peux les égaler avec toi. Toi ! Tu es si capricieux. Etre avec toi me confère un sentiment que je n’ai pu ressentir avec eux. C’est ça j’appelle notre histoire, notre amour !
Ulrich : T’as fait quoi ?
Sylvia : Je ne te le dis pas pour que tu me pardonne, je n’implore pas le pardon. Déjà c’est une peine que mon cœur portera jusqu’à ma mort, j’aimerais vivre ses jours restant avec l’homme auprès de qui j’ai la conviction que les contes de fées contiennent une part de réalité.
Ulrich : Je ne t’en veux pas ! Ce que tu as fait m’importe peu. Le truc c’est que est ce que tu as la paix du cœur ? Je suis un cœur pur aux mauvais caractères, donc je ne me permettrais pas de te juger. De plus que j’ai ma faute là-dedans.
J’ignore quel sort l’être qu’est la femme peut jeter à un homme, mais je l’ai embrassé comme on peut croquer une pomme. Mes mains qui naviguent sur ce beau corps pressent ses gros fessiers. Et elle soulève ses pieds sous le fruit de l’excitation. Ensuite elle saute et m’entoure de ses pieds. Je la portais contre mon corps, ses fessiers dans la pomme de mes mains. Je l’amène sur le bureau et laisse mes mains caresser ses cheveux avec sapide. Saviez-vous qu’avoir un bébé aussi est un problème ? Ma fille a bien choisi ce moment pour se réveiller et se mettre à pleurer en même temps. Sylvia m’a fixé dans les yeux et on a commencé par sourire. Elle m’a prise dans les bras et on s’est embrassé. Puis elle est descendue du bureau et a reporté le tricot avant d’aller la nourrir. En ce temps suis partie prendre ma douche aussi. A mon retour j’ai vite mis la table et on y est passé juste après qu’elle a fini d’allaiter Ahlimba.
Après le repas, j’ai pris ma guitare et je me suis mis à leurs chanté de belle morceau. Je chantais quand Sylvia m’arrête et me supplie de tenir le bébé. Ce que j’ai fait.
Sylvia : Tu crois que c’est toi seul qui a des trucs stocké dans le carton ?
Ulrich : Tu vas danser ou quoi ?
Sylvia : Non ! Je vais twerké (remuer les fesses) (rire). Attend de voir ! Attend seulement.
Je ne sais pas ce qu’elle va faire mais à la voir revenir habiller que du bikini blanc et tenant une corbeille à fruit contenait de divers fruits en main j’ai immédiatement posé Ahlimba de côté et j’ai grandement bien ouvert mes yeux. Elle s’est approchée du piano et a posé la corbeille de fruit déçu puis elle a commencé à jouer du piano tout en chantant une chanson des années mille neuf cent. Ça donnait la chair de poule, des papillons qui révoltent dans tout mon être, sentir le frisson sous mes pieds et mes cils qui battaient je n’ai pu m’empêcher de me lever de là où je suis. Je me approché et j’ai pris une fraise que j’ai posé gentiment sur mes lèvres. Ensuite j’approche mon regard de la sienne à laisser venir avec ses lèvres chercher la récompense.
A suivre…
Pensez-vous qu’Ulrich devrait quitter Sylvia à cause de ses aveux ?
Chapitre 15
Auteur : Saint Daniel
Titre : L’amour des temps.
Les chroniques de Saint Daniel
Hirondelle et le Saint