CHAPITRE 19: WEEK-END DANS LA BELLE FAMILLE 3

Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA

***CHAPITRE 19: WEEKEND DANS LA BELLE FAMILLE 3***


**LINDA NDOMBI**


J'étais en train de discuter au téléphone avec Jennifer qui me demandait comment se passait la fête quand j'ai écouté derrière moi la voix de Benjamin me demander.


Benjamin : Tout va bien ?


Moi: (Me retournant pour le regarder toujours au téléphone) Oui oui. C'est Jennifer.


Benjamin: Ah d'accord. Je vais donc te laisser. 


Moi: Non, attends.


Je voulais lui poser des questions sur notre retour sur Libreville et ça tombait bien comme nous étions tous les deux dehors, à l'abri de ses parents.


<<Moi: (À Jennifer) Je dois te laisser trésor, on se rappelle dans quelques heures. Bonne nuit. Je t'aime.>>


<<Jennifer : D'accord chérie. Amuse toi bien. Je t'aime.>>

Clic!


Moi: (Après avoir enlevé le téléphone à l'oreille) À quelle heure allons nous rentrer? La route est très longue et l'heure déjà très avancée.


Benjamin : Euh. En fait, nous ne rentrons pas cette nuit.


Moi: (Fronçant les sourcils) Comment ça ?


Benjamin : La vérité est que nous sommes là pour tout le weekend.


Moi: C'est une blague n'est ce pas ?


Benjamin : Non.


Moi: Ah non, ce n'était pas dans notre accord. Il n'a jamais été question que je


Alors que j'étais en train d'essayer d'exprimer mon mécontentement et le fait que je n'étais pas d'accord avec l'idée de passer mon week-end ici, il a posé sa main autour de ma taille et m'a attiré à lui avant de m'embrasser. J'étais tellement surprise que je n'ai pas réagi et j'étais figée dans ses bras. Il s'est mis à me caresser le dos et cela m'a quelque peu détendu. Je n'avais aucune idée de comment faire, c'était la première fois que j'embrassais un homme de façon consciente et je ne savais pas comment m'y prendre. Il a saisi mon visage avec sa main libre et a mis un petit coup de pression avec sa langue, cela m'a obligé à entrouvrir les lèvres pour faire passer sa langue. J'ai fermé mes yeux et éteint mon cerveau afin de me laisser simplement porter par les mouvements de nos langues et nos lèvres qui se tournaient autour et se collaient sans cesse dans nos bouches. Jennifer m'avait dit par le passé qu'embrasser un homme et faire l'amour étaient des choses qui étaient imprimées dans le corps depuis notre naissance, le corps les reconnaissait tout seul et réagissait en conséquence, il suffisait de se laisser aller. C'est ce que j'ai fait et j'ai remarqué que je me suis mise à calquer ce qu'il faisait . 


Au bout d'un moment, j'ai senti que quelque chose avait changé, nos respirations se faisaient de plus en plus fortes, sa langue plus souple, ses lèvres plus pressantes et ses caresses plus osées. Sa main malaxait une de mes fes*ses et son corps pressait le mien. Loin de me déranger, j'ai plutôt ressenti des sensations agréables dans mon corps. Mes se*ins ont commencé à se dresser sous mon soutien et mon bas ventre à balancer. J'ai senti un petit liquide sortir de mon va*gin et humidifier mon slip. Je savais que ça ne pouvait pas être mes règles puisque je les avais eu il y a une semaine. Donc ça ne pouvait être que ma cyprine qui était sortie en grande quantité sans que je ne sache pourquoi, c'était la première fois qu'une telle chose m'arrivait. J'ai ressenti la bosse se former à l'avant de son pantalon et venir me coller juste au niveau de mon pubis, m'excitant davantage tout en me donnant la chair de poule. Nous étions lancés dans ce tourbillon quand nous avons ressenti un flash sur nous suivi des voix qui disaient.


Voix d'hommes (Derrière Benjamin) Il y a des chambres ici pour ça.


Je me suis crispée et me suis décollée de lui. J'avais tellement honte que je ne voulais même pas regarder derrière lui pour voir qui nous avait surpris dans une situation aussi embarrassante.


Benjamin : (Un sourire sur les lèvres sans se retourner) Passez tranquillement votre chemin bande de sal*ops.


Damien : (Riant) Il y a des mineurs ici monsieur le lapin. 


Fresnel : Kelly tu as bien filmé les preuves non?


Kelly : (Riant) Et comment que c'est dans la boîte.


Les deux autres : Très bien.


Benjamin : (Se retournant enfin, un sourire sur les lèvres) Tu as intérêt à m'effacer ça.


Kelly : (Fuyant en riant dans la maison) Jamais.


Benjamin : (Riant) Espèce de petite peste. 

(Aux deux autres) Que voulez-vous ?


Fresnel : Nous sommes venus te chercher pour aller commencer à ranger la maison. Soulever les meubles pour les rendre à leurs places.


Benjamin : Mais il y a encore des gens non?


Damien : Comme tu as vu il n'y avait plus grand monde et tu sais que maman n'acceptera jamais que sa maison dorme dans un tel désordre.


Benjamin : Je sais. Allez-y. Je vous suis 


Eux: Ok. 


Ils sont rentrés dans la maison et il s'est tourné vers moi pour me regarder. 


Benjamin : (Après un moment à me regarder) Je suis désolé de vous avoir ainsi pris au dépourvu par rapport à ce week-end, je sais que ce n'était pas dans le contrat. Si je ne vous ai rien dit dès le départ, c'était pour que vous veniez. Malheureusement mon programme pour le week-end ici était prévu depuis longtemps et je ne pouvais pas le changer. J'étais donc dans l'impossibilité de vous ramener chez vous cette nuit. L'idée que vous preniez la route toute seule pour rentrer n'était simplement pas envisageable pour moi du coup, j'ai décidé de passer le week-end ici avec vous. 


Moi: Je ne peux pas rester ici, je n'ai rien pris comme affaires. Vous avez vous même vu la sacoche que j'ai emmenée.


Benjamin : J'ai emmené des affaires à vous. Des choses qui pourront vous tenir le temps d'un week-end.


Moi: (Écarquillant les yeux) Vous m'avez pris des affaires ?


Benjamin : Oui. Je vous ai pris le nécessaire. 


Je suis restée silencieuse face à cette situation. De toutes les façons, je suis dos au mur. Je n'ai pas de véhicule, il se fait tard et je suis déjà là.


Moi: (Soupirant) Je vous avoue que je n'apprécie pas du tout la tournure que prend les choses mais je suis déjà là. On va donc continuer ce jeu le reste du week-end. Mais à l'avenir, ne le refaites plus. J'ai horreur de me sentir piéger comme vous l'avez fait. 


Benjamin : D'accord. Donc vous allez continuer à jouer ma petite amie ?


Moi: Est-ce que j'ai le choix ? Je suis bien obligée de continuer. 


Benjamin : (Souriant) Encore une fois désolé. Et pour le baiser également, je m'excuse. Je ne sais pas ce qui m'a pris. Je vous promets que cela ne se répétera plus. 


Moi: Ok. 


Je n'avais pas du tout envie de parler de ce baiser. J'en avais encore l'esprit tout retourné à cause de ça.


Benjamin : On rentre?


Moi: D'accord.


Il m'a tendu la main et je l'ai attrapée, nous sommes ensuite tous les deux rentrés dans la maison main dans la main. Les autres nous regardaient en souriant en coin comme si les trois autres leur avaient dit ce que nous étions en train de faire dehors.


Damien : (Souriant) Les amoureux sont de retour. Vous avez fini de vous manger les bouches?


Les autres ont éclaté de rire.


Leur mère : (Souriante) Laissez les tranquilles n'est-ce-pas parce que toi même tu manges la bouche de Wendy ici que vous avez les enfants là ?


Damien : (faisant l'innocent) Qui? Pardon moi je ne fais pas les choses "d'impolies" comme ça, c'est pour les grands.


Nous avons tous éclaté de rire. Damien est un grand comédien. Pendant que les derniers invités étaient en train de partir, nous avons commencé à arranger la maison. Les femmes ont balayé et fait la vaisselle pendant que les hommes ont soulevé les meubles pour les disposer à leur place. À trois heures du matin nous avons fini.


Leur mère : Je crois que nous ferions mieux d'aller tous nous reposer maintenant.


Kelly : Que personne ne me réveille avant 13h hein.


Leur mère : Encore toi-même, une grande paresseuse. (À Karl) mon fils, il faut encore bien réfléchir oh. 


Nous avons tous ri. 


Karl : (Riant) Je suis déjà habitué maman. 


Kelly : Ce n'est même pas vrai.


Leur mère : (Après un moment, à moi) Ma fille, ton mari t'a déjà montré ta chambre non?


Moi: (Le regardant) Pas encore.


Benjamin : C'est celle dans laquelle tu as lavé les enfants.


Moi: Ah d'accord. Dans ce cas, oui. Il l'a déjà fait. 


Leur mère : D'accord. Il faut déjà aller te reposer. Tu as beaucoup travaillé. (À Carine et Wendy) Vous deux aussi. 


Nous : (En chœur) D'accord maman. 


Nous sommes montées toutes les trois à l'étage après avoir souhaité une bonne nuit aux autres. Une fois là-haut, nous nous sommes souhaitées une bonne nuit avant de rentrer chacune dans sa chambre. Quand je suis rentrée dans la mienne, j'ai constaté que les enfants n'y étaient plus, je suppose donc qu'on les a mis ailleurs. J'avais besoin de prendre une douche mais je ne savais pas où Benjamin avait mis mes affaires, j'ai voulu aller les lui demander mais j'ai aperçu un placard. J'ai donc décidé de fouiller pour voir. Quand j'ouvre, je vois un de mes petits sacs sports avec lesquels je me déplace souvent lors de mes séjours. Cela m'étonne, il a un sac identique au mien ? Je le tire et le dépose sur le lit avant de l'ouvrir, je reconnais à vue d'œil des affaires à moi qui dans mon souvenir étaient chez Jennifer.


Moi: (Parlant toute seule) Elle n'a pas osé ? Elle était donc dans le coup?


Là mon cerveau s'est mis à rapidement calculer toute ses attitudes la journée d'hier depuis le déjeuner au restaurant jusqu'à son appel de cette nuit. Elle était au courant depuis le début. 


Moi: La vilaine fille, elle va me sentir à mon retour, ça elle peut se l'assurer. 


J'ai pris ma serviette et ma brosse à dents et je me suis rendue à la douche car mon corps me démangeait énormément et mes sous-vêtements étaient poisseux. J'ai pris une bonne douche qui m'a requinquée avant de m'essuyer et de revenir dans la chambre. Heureusement pour moi, elle m'a mise tous les petits pots de mes crèmes corporelles. Elle m'a également mis un vaporisateur pour mes cheveux, une huile et une crème. C'est à dire qu'elle me connaît très bien. Je me suis donc passée la crème et j'ai cherché des vêtements pour dormir mais la co*nnasse m'a mise deux nuisettes en dentelle très transparentes avec des strings assortis.


Moi: (Regardant ces choses avec les grands yeux) Mais cette fille est complètement timbrée ma parole. Ça c'est quoi? Elle a la chance que je dors seule, mais je vais la tu*er de mes propres mains à mon retour. 


J'ai enfilé l'une des deux avant de tirer mon bonnet pour la tête et mon masque pour les yeux, mes indispensables. J'ai défait mon chignon et me suis fait deux grosses nattes sur la tête avant de porter mon bonnet. J'ai rangé les choses dans le placard avant de secouer à nouveau les draps et me coucher. Quelques minutes après, quelqu'un a frappé à la porte, j'ai soulevé mon masque pour voir et Benjamin est rentré dans la chambre.


Benjamin : (Se dirigeant vers le placard) J'espère que je ne t'ai pas dérangé. Je veux prendre mes affaires.


Moi: (Sous les draps) Ça va. Vas-y. 


J'ai remis mon masque, je l'ai entendu se déplacer dans la pièce avant d'aller s'enfermer dans la douche. Je n'ai pas compris pourquoi et je me suis demandée s'il n'y avait pas de salle de bain dans la chambre qu'il occupait, j'ai rapidement zappé ça et j'ai essayé de m'endormir. J'ai dandiné en ôtant mon masque pour descendre du lit quand je l'ai senti se coucher derrière moi. J'ai tiré la couverture pour me couvrir.


Benjamin : (Uniquement vêtu d'un calcif) Qu'est-ce qui se passe ?


Moi: (Mettant la lumière de mon côté, les yeux grands ouverts) Qu'est-ce que vous faites ?


Benjamin : Je m'allonge pour dormir.


Moi: Pourquoi vous le faites ici?


Benjamin : Vous voulez que je le fasse où ?


Moi: Mais dans votre chambre.


Benjamin : Justement j'y suis.


Moi: Comment ça ?


Benjamin : Cette chambre, c'est la mienne. 


Moi: Vous m'avez dit que ma chambre était celle dans laquelle j'avais lavé les enfants non?


Benjamin : Oui. Mais c'est également la mienne. 


Moi: Donc nous allons dormir dans la même chambre vous et moi?


Benjamin : C'est ce que font tous les couples normaux. 


Moi: Il est hors de question que je dorme sur le même lit que vous.


Benjamin : Libre à vous. Vous pouvez dormir par terre si ça vous chante, mais sachez que je ne dormirai jamais par terre pour vous céder le lit. Et vous savez que vous ne pouvez pas dormir hors de cette chambre. 


Moi: Ce n'était pas prévu comme ça.


Benjamin : De quoi avez-vous peur?


Moi: (Balbutiant) Je, je ne, je n'ai pas peur du tout.


Benjamin : Alors cessez de discuter inutilement et venez vous coucher. Nous avons eu une longue journée.


Moi: Vous êtes obligé de dormir en slip?


Benjamin : (Se couchant) Je vous ai déjà dit que je ne dors pas avec des vêtements. Si vous avez l'intention de rester debout, svp donnez moi la couverture et arrêtez cette lumière. Merci.


Je suis restée debout en train de réfléchir à ce que j'allais faire. Je ne pouvais pas aussi dormir par terre. Cet homme a vraiment un véritable manque de savoir vivre et de galanterie. Dans les rares films que j'ai regardé avec Jennifer, dans ce genre de configuration, l'homme dort par terre et laisse le lit à la femme. Mais il faut croire que celui-ci est un sauvage qui n'a reçu aucune once de galanterie et de savoir-faire. Je comprends maintenant pourquoi on dit que les Fang sont des barb*ares, voilà la preuve devant moi. J'attends les gens qui viendront pour essayer de me contredire ici. Ce sont des vraies barb*ares piang, j'ai fini de parler. 


J'ai fini par aller me coucher mais vraiment à l'extrême gauche du lit, presque sur le rebord. "Moins de pimpin", comme disent les autres, et je suis à terre. Mais je préfère ça, je refuse que cet homme me touche.


Benjamin : (Dans mon dos) Qu'est-ce que vous faites ?


Moi: Que me voyez-vous en train de faire ?


Benjamin : Ne soyez pas ridicule Linda, vous risquez de tomber et vous faire mal si vous dormez sur le rebord du lit. Et si vous parvenez à tenir dans cette position jusqu'à votre réveil, vous aurez mal au corps.


Moi: Je prends le risque.


Benjamin : (Soupirant) C'est votre mère qui avait raison, vous pouvez être très têtue des fois.


Je n'ai pas réagi. J'ai senti son bras me saisir par la taille et me tirer à lui avec une petite pression. J'ai voulu me débattre mais il a rapidement pris le dessus sur moi et s'est retrouvé au-dessus de moi et m'a maintenue les mains avec les siennes de part et d'autre de ma tête.


Benjamin : (Me fixant dans les yeux) Je vous demande de rester tranquille Linda et cessez de faire l'enfant. Ce n'est pas la première fois que je dormirai avec vous et je n'ai nullement l'intention de vous faire l'amour. Si je voulais le faire, croyez moi à l'heure actuelle nous ne serions pas en train de parler vous et moi, vous seriez plutôt en train de gémir sous mes caresses en me suppliant d'aller plus en profondeur dans votre va*gin. Alors calmez vous. 


Je me suis mise à le fixer en silence avec ma poitrine se gonflant au rythme de ma respiration c'est-à -dire très fort. 


Benjamin : (Après un moment) C'est bon ? On peut maintenant dormir ?


Moi: Lâchez-moi.


Benjamin : J'espère que vous n'allez pas recommencer vos bêtises.


Je n'ai pas répondu. Il a libéré mes mains avant de quitter sur moi et de s'allonger juste à côté de moi.


Moi: (Dans ma tête) Je vais te supplier d'aller plus en profondeur dans mon vag*in parce que ton truc là a quoi dedans ? L'or ou le diamant ? (Piaffant à haute voix) Tchuip, n'importe quoi.


Benjamin : (Tirant la couverture sur lui) vous avez énormément de chance Linda, c'est moi qui vous le dis.


Comme j'ai vu qu'il était sous la couverture, j'ai donc décidé de me mettre au dessus.


Benjamin : Soit dit en passant, j'aime énormément votre nuisette, elle vous va très bien.


Je suis quittée dessus et me suis mise sous la couverture sous ses rires.


Benjamin : (Riant) Vous êtes un véritable sac à problèmes, c'est moi qui vous le dis. Bonne nuit Linda et faites de beaux rêves. 


Je ne lui ai pas répondu. J'ai éteint la lumière et j'ai remis mon masque aux yeux avant de m'endormir à mon tour…


Lorsque j'ouvre les yeux ce matin, Benjamin se tient derrière moi, je suis dans ses bras et il a sa main dans mon haut en train de me malaxer les se*ins. Je ressens également la bosse de son pén*is sur mes fesses. Son souffle est régulier, il est donc en train de dormir. Malgré moi, je me mets à sourire car je comprends que c'est véritablement un réflexe comme il me l'avait dit l'autre jour à Franceville. Loin de m'agiter comme la dernière fois, je choisis de ne pas bouger et de le laisser faire. C'est une sensation agréable et je veux voir jusqu'où ça peut aller. Je le regarde donc me caresser les se-ins en insistant sur les pointes avant de redescendre et me caresser le ventre. Il faisait des va-et-vient entre ces deux zones avant de descendre plus bas. Je gesticulais légèrement sous ses caresses, l'excitation grimpant au fur et à mesure. Il a fait rentrer sa main dans mon slip et s'est mis à me caresser mon pu*bis lissé par l'absence de poils pubiens que j'avais enlevé quelques jours en arrière. Il est encore descendu plus bas et a passé sa main sur mon se*xe déjà bien humide par ce qu'il était en train de faire. Il a fait trois caresses dessus avant de se concentrer sur mon clit*oris sur lequel il faisait des mouvements circulaires alternant avec des mouvements de bas vers le haut. Je me suis surprise en train de me mordre les doigts de la main pour m'empêcher de gémir à voix haute tellement c'était bon, j'aimais énormément ce qu'il était en train de me faire au point de me tordre avec beaucoup plus d'ardeur dans ses bras. Je n'arrêtais pas de serrer et d'ouvrir les jambes sur sa main en me caressant les se*ins de ma main libre. Il s'est mis à accélérer les mouvements de ses doigts sur mon clit*oris et je n'ai pas pu empêcher ma voix de se lever en gémissement tant le plaisir était énorme.


Benjamin : (Dans mon dos) Jouis pour moi, Joliane mon amour.


J'ai essayé de comprendre ce qu'il venait de dire mais mon plaisir a atteint un pic qui a obligé mon corps à se contracter sans que je n'arrive à me maîtriser.


Moi: (poussant un son qui ressemblait à un miaulement de chat) Miiiiaaa.


Benjamin : (Se levant en sursaut) Qu'est-ce qui se passe ?


J'étais positionnée en cuillère, les doigts repliés sur ma main droite et couvrant ma bouche, les jambes resserrées, incapable de parler.


Benjamin : (S'adressant à moi) Linda, que vous arrive-t-il? C'est vous qui avez poussé ce cri? 


Moi: (Silence) 


Benjamin : (Me secouant légèrement) Linda?


Moi: Hun?


Benjamin : C'était vous qui avez fait ce bruit ?


Moi: Oui.


Benjamin : Que s'est-il passé ?


Il voulait que je lui réponde quoi? Moi-même j'étais incapable de savoir ce qui venait de se passer avec mon corps. Que suis-je censée lui répondre ???


PS: *moins de pimpin* c'est la gabonitude(Façon de parler typique des gabonais), sinon l'expression exacte c'est "moindre pépin" .

MÈRE MALGRÉ MOI