CHAPITRE 2

Ecrit par Smumu

Chapitre 2 :

** Isabella Moshchnyy **

je n’aurais jamais cru qu’un jour viendrai ou mon sommeil serait si paisible et que ma vie n’appartiendrait qu’a moi.

Je n’avais jamais eu cette illusion quand bien même je le pouvais du fait qu’elle était régit seconde par seconde par d’autres que moi.

On dit que rêver est merveilleux et gratuit et pourtant pour moi, dans le passé cela n’a jamais été le cas ; rêver était un luxe que je ne pouvais me permettre car je le savais la chute aurait été atrocement douloureuse de ce fait, j’ai fait un seul et unique choix celui de croire en une lumière invisible au bout du tunnel.

 

Mes yeux s’ouvrent avec une douce lenteur à la lumière du jour ; j’adore cette étincelante et brillante chose blanche elle me rappelle que je suis en vie, que mon passé n’a pas eu raisons de moi.

Elle me rappelle également la lumière invisible au fond du tunnel que j’ai atteint et pour cela, je suis heureuse.
Tous les matins, lorsque j’ouvre les yeux mon regard se pose automatiquement sur l’homme allongé à mes côtés et je souris car je sais que peu importe ce que la journée fera à mon humeur tout au fond de moi je serai heureuse et souriante.


Cet homme qui me procure tant de bien être, tant d’assurance c’est mon amour et pas n’importe lequel mon grand amour celui avec le grand A celui qui est unique à vos yeux.
Je l’aime comme il est interdit d’aimer et impossible à comprendre tant qu’on n’a pas vécu un amour pareil.
Mon amour pour lui n’a d’égal aucun autre sentiment dans cet univers car il est pur, passionné et sauvage.


Je vis pour lui, respire pour lui, ris pour lui, mange pour lui et mourrai pour lui et cela sans concession.
Il est celui que mon cœur a aimé avant même de le voir en vrai.
Il y’a onze ans, nous nous sommes rencontrés de manière peu orthodoxe mais sublimement romantique.


À l’époque, j’étais âgée de quinze ans comment vous le dire sans paraître complètement folle ?
C’était dans un rêve que pour la première fois je l’ai vu sans le voir car son visage ne m’apparaissait cependant, nous nous parlions de tout, rions de nos trente-deux dents et c’était divin car chaque matin j’avais hâte de voir la nuit tomber afin de le retrouver.
Il a fallu deux mois pour que son visage se dévoile à moi et que son regard croise le mien.
À la découverte de ce visage que j’avais tant de fois imaginé je suis de nouveau tombé amoureuse de lui
Notre lien était sans pareil si bien que notre première fois fut dans mes rêves et les fois d’après.
Pour moi, il était réel.
Anaïs me pensais folle elle disait que ce n’était que des rêves et des inventions que faisait mon inconscient jusqu’à nos fameux seize ans que jamais je n’oublierai
La veille de notre anniversaire papa nous a amené à paris afin que nous visitions la plus belle ville du monde celle où le luxe respire de part toutes ces rues mieux celle où l’amour devient éternel et que les unions sont scellés par de long baisé langoureux devant une grille ou par la promesse d’un amour éternelle des clés de cadenas sont jetés à l’eau.
C’était l’après-midi du lendemain de nos seize ans Anaïs et moi étions allés au cinéma lorsqu’en récupérant ma boîte de popcorn, je me suis heurté à lui.
Vous n’imaginerez jamais ma surprise quand j’ai vu ce visage c’était indéniable que je manquerai d’air et que je m’évanouirai après un simple toi ? Rire.
Il est resté à mes côté jusqu’à ce que je reprenne connaissance et c’est d’un baisé que nous nous sommes salués avant de commencer à nous parler tel de vielle connaissance que nous étions par le biais de nos rêves.
Raconté comme je fais, cela parait farfelu mais pour moi, c’était le destin ; la preuve le lendemain de mes dix-huit ans, il m’a demandé en mariage et trois mois plus tard, nous nous marrions.

Oliver (me regardant) : bonjour mon amour

Moi (souriante): ...

Oliver (m’embrassant) : tu es de plus en plus magnifique à chacun de tes réveils

Moi (le regardant avec amour):...

Oliver (caressant mon visage) : j’adore que tu sois la première personne sur qui j’ouvre les yeux 

Moi : et moi j’adore te regarder dormir

Oliver : je t’aime

Moi : je t’aime aussi

 

Oliver : depuis combien de temps me regardes tu dormir ?

 

Moi : pas suffisamment pour me satisfaire

 

Oliver : Seigneur qu’ai-je fais dans mon ancienne vie pour mériter la meilleure des femmes dans celle-ci ?

 

Moi : certainement as-tu été bon


Oliver (me prenant dans ces bras) : je suis un sacré veinard ! dit mon amour on dînera chez ma mère ce soir

Moi (faisant mine de lui donner un coup sur son torse) : Oliver !

Oliver : s’il te plaît mon amour (m’embrassant dans le cou)

Moi : pourquoi je n’arrive jamais à être ferme avec toi ?

Oliver : parce que tu m’aimes

Moi : ce n’est pas faux allez il est sept heures amour

Je sortais du lit à contre cœur car je devais me rendre au bureau ma sœur et moi sommes à la tête de Moshchnyy Firm c’est une entreprise que papa a créé lorsque nous l’avons informé de notre retour il voulait être certain que nous ne nous ferons pas marcher dessus par nos employeurs.
Sachant que ma sœur et moi étions deux tempêtes d’une même pluie il s’est arrangé afin que l’entreprise comporte deux pôles
Le pôle marketing et communication celui donc ma sœur est chargé et le second le pôle financier qui est le mien comme cela aucune de nous ne marche sur l’autre et je dois avouer que cela fonctionne à merveille

Oliver : dix-neuf heure

Moi : quoi ?

Oliver : on se retrouve chez ma mère à dix-neuf heures

Moi (m’avançant vers lui) : hé ne me refait plus ce coup !

 

Oliver (souriant) : chérie

 

Moi (pointant du doigt sur sa poitrine) : chéri la seule chose que je te demande c’est que nous en parlions avant que tu ne lui dises oui lorsqu’elle nous invite à déjeuner, à diner ou à quoi que ce soit

 

Oliver : c’est ma mère Isa et tu sais très bien comment elle est lorsqu’on lui dit non

 

Moi : tu ne veux jamais heurter ta mère je te comprends et je respecte cela mais sache qu’en prenant de telle décision sans me demander mon avis celle que tu heurte c’est moi

 

Oliver : ce n’est qu’un oui à un diner ma chérie

 

Moi : et la semaine passée c’était un oui pour le changement de mes rideaux dans ma maison et la semaine d’avant c’était le renvoie de notre gardien parce qu’il lui avait dit non tu veux que je continue ?

 

Oliver :…

 

Moi : ici c’est notre maison et la seule maitresse des lieux c’est moi et quant aux décisions communes nous en parlons avant j’adore lorsque tu prends l’initiative mais j’adorerai d’avantage que tu me consulte avant le couple c’est nous deux et non nous deux plus ta mère ou un autre inconnu

 

Oliver (me prenant dans ces bras) : ok chef (m’embrassant) chérie ça te générai si nous dinions ce soir chez ma mère ?

 

Moi (souriante) : j’aime mieux ça

dire que je détestais ma belle-mère était un euphémisme je haïssais devoir aller chez elle et afficher un sourire hypocrite pendant que devant son fils elle faisait mine de m’aimer tandis que dans son dos, elle me faisait voir de toute les couleurs en passant du blanc au noir sans oublié un détour chez le rouge.


J’aime mon mari de tout mon être le quitter ou le perdre par sa faute n’est pas une option de ce fait, je suis condamné à subir cette sorcière mais viendra un jour je l’espère ou je pourrai lui faire du pied à cette arrogante.

Mon père n’a jamais voulu de mon union avec Oliver mais il a accepté il trouve que ce dernier n’est pas fait pour moi que quelque chose cloche chez lui et je dois avouer que je n’y comprend rien car pour moi rien ne cloche chez mon homme bien au contraire il est parfait, parfaitement parfait de ce fait, j’essaye de me consoler en me disant qu’un père n’aime jamais celui qui lui vole le cœur de sa fille.

Le jour de notre mariage, je l’ai entendu dire à Oliver sans détour « je ne t’aime pas mais ma fille elle t’aimes ! Elle est iris de mon regard alors si jamais il venait à l’arriver quoi que ce soit par ta faute je te le ferai regretter au prix de ma douleur et je te laisse imaginer la grandeur de cette douleur. Félicitation pour ton mariage beau-fils zdorov'ye (santé) » 

 

J’avais été consterné par cette déclaration ou les menaces n’étais aucunement voilé cependant, j’avais laissé couler car mon cœur comprenais mon père il voulait me protéger car il m’aimait et cela je ne pouvais le lui reprocher car il m’avait tout donné et tout appris.

****


Moi (entrant dans le bureau de ma sœur) : tu as l’air bien concentré

Anaïs (levant la tête) : c’est qu’il y’en a qui travaille pendant que certaines affiches des sourires niais !

Moi : elle est où Tatiana elle devrait t’apprendre les bonnes manières petite sœur parce que moi, je jette l’éponge

Anaïs (souriante) : tu as vraiment la mémoire sélective ma chère ty malen'kaya sestra (c’est toi la petite sœur)

Moi : Yesli vam priyatno verit' v eto (si ça te fait plaisir de croire cela)

Anaïs : humm (m’observant)

Moi : cesse d’ainsi me regarder

Anaïs : qu’est-ce qui cloche ?

Moi (surprise) : quoi ?

Anaïs : quelque chose te tracasse et je veux savoir de quoi il s’agit

Moi : oh rien d’important

Anaïs : tout ce qui te regarde est important pour moi alors ?

Moi : c’est juste que ce soir je dois dîner chez Sylvie et oui Oliver a encore dit oui à son invitation sans me prévenir du coup je n’ai que quelques heures pour me préparer psychologiquement et pourtant c’est de semaines donc j’ai besoin !

Anaïs : ah je vois (souriante) bonne chance avec ta vampire de belle-mère

Moi (éclatant de rire) : merci j’en aurai besoin. Au fait ta filleule demande après toi ça fait deux jours qu’elle ne t’a pas vue elle pense que tu l’as oublié

Anaïs : je passerai la journée du samedi avec qu’elle 

Moi : ok

Tatiana (entrant dans le bureau) : khoroshiye vecherniye devushki (bonsoir les filles)

Moi : le bonsoir à toi aussi belle sirène je me demandais également où tu étais

Tatiana (m’embrassant) : je suis là à présent avais tu besoin de quelque chose ?

Moi : que tu apprennes les bonnes manières ce qui me sert de sœur

Tatiana : ne t’inquiète pas je le ferai avec des coups s’il le faut

Moi : je suis là vous savez ? Celles qui doivent apprendre les bonnes manières ici c’est vous ! Vous entrez dans mon bureau comme si c’était un marché aux puces, vous me pompez l’air et c’est à moi d’apprendre les bonnes manières ?

Tatiana : respire capriciosa


Anaïs (regardant tendrement Tatiana) : je respire Bella ... (montrant du menton le document dans les mains de Tatiana) c’est pour moi ?

Tatiana : cela peut attendre

Anaïs (tendant la main) : mais non Bella c’est quoi ?

Tatiana : ce que tu as demandé (donnant la pochette à Anaïs)

Moi : pourquoi j’ai l’impression que tu trafiques quelque chose

Anaïs : oh pas d’inquiétude Isa c’est juste des informations sur Paul Bilal

Moi : Anaïs ! (regardant Tatiana) tu l’encourage ?

Tatiana : à défaut de ne pas pouvoir la dissuader oui. Je préfère savoir ce qu’elle fait quand elle le fait comme elle fait avec qui elle le fait et où elle le fait au lieu de me lever au milieu d’une nuit et de m’apercevoir qu’elle n’est pas rentré parce qu’elle est dans une merde que j’aurais pu éviter.

Moi (regardant ma sœur avec supplication) : s’il te plaît sestra

Anaïs (parlant avec une douce lenteur) : cela fait un an que nous sommes revenus, un an que j’attends impatiemment ce jour ! Aujourd’hui, c’est le début de la fin de tous ces traîtres ils vont adorer leur chute.

 

Moi : comment quelqu’un pourrait ’il adoré sa propre chute ?

 

Anaïs : lorsque des rats tombent il n’hésite aucune solidarité bien au contraire certains sont heureux de le voir débarrasser le planché tandis que d’autre rêve déjà de s’accaparer de ses possessions alors même que son cadavre est encore chaud ou sa chute récente !

 

Moi : mon Dieu ta vision du monde est si déplorable

 

Anaïs : et justifié

Ma sœur a une détermination à toute épreuve lorsqu’elle prend une décision, il n’existe aucun moyen de la dissuader et moi Isabella Moshchnyy Meredes j’ai peur pour tous ceux qui figurent sur cette liste parce que ma sœur est à leur trousses et qu’elle les mettra hors-jeux avant même qu’ils ne comprennent ce qui les arrivent.
Ils ne méritent pas ma pitié et pourtant, j’ai pitié d’eux.

Tous ces noms sur la liste lui permettront d’arriver à la passeuse car l’identité de cette dernière est celle qu’elle veut. Elle a déjà préparé la balle qu’elle mettra elle-même à la passeuse et moi, je ne peux l’arrêter d’ailleurs personne sur cette terre n’à le pouvoir de le faire.

 

Moi : promet moi que le sang de ces merdes ne se retrouvera jamais sur tes mains

Anaïs (soutenant mon regard) : on ne va pas en guerre en espérant ne pas avoir la moindre égratignure je ne suis pas crédule et ne le sois pas non plus sestra

 

Moi :…

 

Anaïs : leur sang coulera quand je l’aurais décidé et comme je l’aurai décidé parce qu’à moi Anaïs Moshchnyy ils me le doivent tous autant qu’ils sont !

Moi : dans ce cas, assure toi de ne pas y laisser des plumes

Anaïs : c’est le risque à courir sestra et de toute manière je ne suis plus une oie blanche bien au contraire je n’ai plus aucune plume à laisser ou que ce soit !

Moi : dans ce cas assure toi que des innocents ne participent pas à cette guerre et ne payent pour les vrais coupables

Anaïs : quand nous avons été mêlé à cette guerre nous étions innocentes sestra mais si cela peut te rassurer je mettrai tout en œuvre pour ne pas y mêler des innocents cependant je ne pourrais te faire aucune garantis !

Moi (me levant) : bien !

Anaïs (dans mon dos) : bonne chance avec Sylvie 

Je sortais de son bureau en claquant des talons sur ces carreaux afin de lui signifier ma manière de penser.

Une part de moi était heureuse qu’elle s’en prenne à ces gens et une autre était triste de ne pas pouvoir le faire avec qu’elle pourtant, je me devais de la soutenir à distance sans jamais osciller au sein de ses manigances afin que mon homme n’est jamais quoi que ce soit à me reprocher.

Ma sœur se sentait trahit du fait qu’elle estimait que j’avais choisi mon homme au dépend de notre combat je le savais et cela malgré le fait qu’elle disait me préférer hors de cette histoire car cela lui octroyait une plus grande liberté de mouvement.

J’essayais de ne pas trop songé à ma trahison vis-à-vis de ce combat qui était notre devoir à tous les deux car alors émergeait mon côté obscur celui que mon amour pour Oliver avait canalisé.

Je ne pouvais laisser cette pulsion remonter à la surface non je ne le pouvais j’avais une fille et une famille auquel je le devais.

 

***

 

J’ignore combien de temps cela faisait lorsque la sonnerie du poste sur mon bureau me fit sursauter

Marie: Isabella votre belle-sœur vient d’arriver, je la fais entrer ?

Moi: oui merci Marie

Ma belle-sœur ici ? Laquelle déjà parce que j’en ai deux en procédant par élimination, j’eus une idée de laquelle arrivait alors je ne fus surprise quand elle entra dans mon bureau je me levais pour aller à sa rencontre

Kimberley (me faisant la bise) : salut Isa

Moi : hey ça va ?

J’eu à peine le temps de finir ma phrase qu’elle se mit à pleurer tel une madeleine on aurait dit que ma question avait appuyé sur le bouton Play

Moi (la prenant dans mes bras) : hey qu’es qui ce passe ?

Kimberley : pardon (essuyant ses yeux)

Moi (inquiète): Kim qu’est-ce qui ne vas pas ?

Kimberley : je suis enceinte

Moi: félicitations ma chérie Arnold sera fou de joie ce sont les hormones qui te rendent si sensible ?

Kimberley (pleurant à chaude larme): ....

Moi (perplexe) : c’est une bonne nouvelle Kim pourquoi cela te met-il dans cet état tu voulais pourtant de cet enfant


Kim: je dois sûrement me faire des idées

Moi: des idées à propos de quoi?

Kim : hier, Ornella est venue passer la nuit à la maison après le dîner, nous avons regardé un film ensuite, je suis allé me coucher les laissant regarder un film car j’étais trop épuisé


Moi (perdu) : et ?

Kim : je n’arrivais pas à dormir du coup j’ai pris un demi somnifère (se mouchant) au milieu de la nuit, je me suis réveillé dans les vapes et j’ai remarqué que Arnold n’était pas couché à mes côtés

Moi : il était sûrement allé prendre un verre d’eau ou allé au toilette

Kim : j’ai entendu un bruit dans la pièce d’à côté cela donnait l’impression d’être des … gémissements

Moi:...

Kim: j’ai essayé de me lever pour aller voir ce qui se passait mais je me suis effondré je crois je ne suis pas sûr

Moi: c’était sûrement un rêve

Kim: non je n’en suis pas si sûr (soulevant ses manches pour me montrer son avant-bras) regarde Isa je n’avais pas ce bleu avant de me coucher et je me suis lever avec

Moi: ce n’est rien tu as du te cogner au lit en te retournant

Kim:.....

Moi: eh calme toi

Kim: ma sœur Isa,

Elle se leva, mis la main sur le front et se mis à tourner en rond dans la pièce comme si l’une des réponses dont elle était en proie se trouvait sur l’un des quatre murs de mon bureau

Kim: tu t’imagines Isa ? Ma sœur (mettant ses mains sur son ventre) et moi maintenant je porte cet enfant que j’aime déjà comment vais-je faire bon sang Isa

Moi : du calme Kim, Ornella est ce qu’elle est mais c’est ta sœur et Arnold t’aime il n’oserait jamais pas dans votre maison pas dans ta maison et surtout pas sachant que tu dors à coté

Kim (pleurant à chaude larme): trois ans de mariage, tu t’imagines ? Qu’es que j’ignore d’autre sur cet homme qui est mon époux et qui ce matin m’a dit qu’il m’aimait

Moi (la prenant dans mes bras): du calme ma chérie as-tu pensé un instant que tu avais eu des hallucinations dû à la prise des somnifères?

Kim:...

Moi: ces trucs peuvent avoir des effets secondaires. L’as-tu confronté ce matin ?

Kim: non je ne vais pas lui donner l’occasion de m’en bobiner.

Moi:...

Kim: si jamais il s’avère que ce n’était pas une hallucination je te jure Isa que je les tue tous les deux rien à foutre !

 

Moi : du calme Kim tu ne peux pas accuser ta petite sœur que tu as quasiment élevé et l’homme que tu aimes de te trahir ce sont les dernière personnes qui le ferai car elles t’aiment

 

Kim : parfois les gens ne sont pas ce qu’ils paraissent et crois moi je suis la mieux placée pour te le dire

 

Moi : Kim tout ce que je dis c’est que tu ne devrais pas tirer de conclusion hâtive

 

Kim : l’avenir nous le dira oui l’avenir nous le dira.

 

En espérant vous avoir passionné…

 

Au plaisir de vous retrouver….

 

FINE LIMITE