CHAPITRE 3

Ecrit par Smumu

Chapitre 3

Anaïs Moshchnyy

Sur cette autoroute déserte, j’observe attentivement au travers de la vitre de ma voiture la voiture qui a explosé il y’a de cela six minutes. Ce n’est pas le spectacle d’une voiture en feu qui captive autant mon regard non c’est autre chose de plus captivant.

Il s’agit du spectacle du propriétaire qui gît tel un animal non loin en dessous d’un des décombres d’un matériau de sa propre voiture. Qui l’eu crut ? Tué par sa propre propriété quel dommage qu’un si joli engin soit également une telle arme mortelle ! On ne le répète pas assez soyez prudent au volant et surtout sur une autoroute déserte car une voiture a vite fait de sortir de nul part pour vous surprendre et mettre fin à votre vie.

Quelqu’un aurait dû le dire à mon vieil ami qui ne tardera pas à tourner l’œil rire.


C’est d’un pas léger que je descends de ma voiture le sourire aux lèvres pour m’approcher de ce qui vient d’exploser.

Ben (me regardant) : attention madame

Moi (souriante) : aucune inquiétude Ben

M’arrêtant au niveau de l’homme, je prends le plus malin des plaisirs à l’observer gémir de douleur car aujourd’hui, il est au sol et celle debout face à son corps agonisant c’est moi !
Lui, c’est Michel Tchamabé le premier nom de ma liste celui qui au sein de l’organisation de la passeuse ne signifie rien mais en même temps signifie tout.
Lorsqu’il remarque mon pied il essaye de m’atteindre avec peine tandis que je recule histoire qu’il rampe et implore mon aide comme autre fois je l’ai fait à son encontre malheureusement pour lui, il ne peu allé très loin car le décombre sur lui est bien trop lourd

Michel (supplication sourde) : aidez-moi s’il vous plaît

Moi : quel plaisir de te revoir mon vieil ami !

Michel (crachant du sang) : Aidez-moi

 

Moi : je commençais à croire que tu cherchais à faire faux bon à ton jugement terrestre ! Mais bon, mais bon apparemment je me suis faite des idées vu que tu es là à gémir comme si le ciel t’étais tombé sur la tête

 

Michel : s’il vous plait…

Moi : c’est sans rancune petite je fais juste mon Travail ! Te rappelles-tu de cette phrase ?

Michel (surpris):...

J’adore l’expression sur son visage il vient de comprendre la signification même de cette expression il avait dû la répéter des centaines et des centaines de fois à toute celles qu’il envoyait à l’abattoir et aujourd’hui, c’était probablement la première fois que lui, à son tour, il entendait.

Ben (dépliant une chaise dans mon dos) : asseyez-vous madame

D’une infime lenteur je me courbe afin de m’assoir en m’assurant de toujours avoir le sourire aux lèvres car c’était jouissif et intense de voir cet erreur de la nature à mes pieds

Michel : au secours...

Moi (parlant avec lenteur) : crie plus fort personne ne t’entendra quand ta mort viendra les oiseaux festonnerons sur ton corps et seul de fine parties de toi seront retrouvés si jamais tu as de la chance

Michel (insistant) : qui êtes-vous ?

Moi (inspirant et expirant) : enfin cette question je commençais à me demander quand posera t’il la fameuse question

Michel : qui êtes-vous ?

Moi (me courbant afin d’être plus proche de lui) : Lucie et Bérénice Éboué te souviens-tu ?

Michel : qui ?

 

Ah j’oubliais qu’il avait pour métier d’arracher de pauvres enfants innocents à leur familles pour ensuite s’en servir pour toute choses dont il n’avait à se soucier du moment qu’il percevait ses revenus et maintenait son rythme de vie.

Moi : deux sœurs jumelle se ressemblant comme une seule et même personne Lucie et Bérénice Éboué

Michel (ouvrant la bouche avant de la refermer):...

Oh oui il voyait à présent de qui je parlais et il savait il le savait je doutais fort que durant sa longue carrière de kidnappeur il ait eu à rencontrer des jumelles similaires à ma sœur et moi car oui nous n’étions pas similaire aux autres nous étions des copies conformes de la tête au pied autrement dit de vrai jumelle

Michel : quoi ? Tu n’es… pas …. Morte ?

Moi : si tu crois aux fantômes je le suis et je viens te chercher !

 

Michelle : salope … J… vais… Te… Tuer

 

Moi (éclatant de rire) : oh non Michel. Je suis le dernier visage que tu verras avant ton dernier souffle n’ai crainte mon chère tes enfants et ta femme ne sauront tarder à te suivre !


À cette phrase, je sais avoir touché le point sensible il a peur et il me craint à présent car il sait que si je suis comme lui ma menace n’est pas juste de vague parole jeté en l’air ; vingt ans plus tôt, les rôles étaient inversés et cette erreur de la nature prenait un malin plaisir à me torturer et à nous traiter ma sœur et moi comme des morceaux de viande.

Comment ais je fais pour avoir celui qui est tout et rien pour l’organisation de la passeuse ? Simple ils sont tous con devant un verre de cognac et une belle paire de seins surtout lorsque la détentrice de cette généreuse poitrine n’est rien d’autre qu’une ravissante femme qui les a susurrés à l’oreille telle une charmeuse de serpent.
Laurence Ouchi est la quatrième pierre de notre rectangle l’une des nombreuses autres victimes de ses rats elle est notre grande sœur à tous les trois de dix ans mon aîné elle est le pire cauchemar que l’organisation de la passeuse ai jamais connu car elle est le virus au sein de l’ennemie.

Michel (suppliant) : pitié

Moi (de marbre) : nous te l’avons réclamé (touchant son pouls) tu n’en a plus pour longtemps alors pour que tu saches laquelle je suis, je suis Lucie Éboué la main par laquelle tu meurs et par laquelle les tiens mourront !

Michel : pitié je... vous ... donnerais... tout... mon... argent

Moi (éclatant d’un rire glacial) : l’argent mon cher j’en ai plus que ce tu n’auras jamais ! Je veux le nom de la passeuse !

Michel : non !

Moi : alors ta famille mourra dans d’atroces souffrances si tu vois ce que je veux dire !

Michel : je... ne. Sais... pas ... qui...

Oh je savais qu’il ignorait qui elle était je le savais 

Moi : chut tu es entrain de t’étouffer avec ton propre sang

Michel (mourant):...

Laurence : un rat de moins !

Moi : le plus facile et le plus stupide

Laurence : mais une pièce clé dans l’organisation. Ils sont tous stupides quand on sait comment les avoir !

Tatiana : le tout est de savoir sur quel bouton appuyer

Moi : maintenant nous passons au suivant et c’est toi Laurence qui prendra les devants

Laurence : mon avion est prêt. ils ne comprendront pas ce qui les arrive avant d’avoir tous payé

Moi : oh ils comprendront et ils sauront ne sous-estimons pas nos adversaires car eux autrefois nous ont sous-estimé et aujourd’hui ils en payent le prix

Laurence : avec supplément

Moi : comme à la Bratva nous toucherons les pions sensible afin de nous assurer que la passeuse comprenne que nous sommes à ces trousses et que sa tour est en passe de s’effondré

Laurence : elle le comprendra et se dissimulera d’avantage

Moi : la traque ne sera que plus excitante


Tatiana : maintenant on y va nous sommes resté trop longtemps à découvert !

C’est sur des plaisanteries que Laurence entra dans sa voiture se mettant en route pour l’aéroport tandis que moi, je m’installais à l’arrière de la mienne avec Tatiana.
Le calme de l’habitacle me fit savourer ce qui venais de se produire retirant mes gants je le mis dans un sac avant de penser à ce qui se produirait bientôt ce soir promettait d’être un vrai cirque et comme un enfant j’étais excité car le père noël passait plus tôt cet année rire.

***

Moi : comment me trouves tu ?

Tatiana (s’illuminant) : magnifique capriciosa

Moi (souriante) : et toi tu es rayonnante j’ai bien de la chance d’être à ton bras ce soir

Tatiana : alors la chance ferai mieux de continuer à nous accompagner la soirée durant.

C’est d’un sourire éclatant que je descends de la voiture lorsque la porte s’ouvre sur Ben qui me donne la main afin que je m’extirpe de l’habitacle. J’inspire avec humour l’air frais sur mon visage avant de me retourner pour donner le bras à Tatiana.

 

C’est d’une très jolie robe trainante à décolleté V de couleur rouge sang accompagné d’un rouge à lèvre de la même couleur et d’un maquillage effet naturel que j’avais choisis de me rendre au lancement officiel de la campagne présidentielle de mon hôte de ce soir. Comme une sirène, je me dirigeais dans l’entrée de la demeure tel la maitresse des lieux ; des regards interrogateurs, curieux, gourmands et jaloux observaient notre progression dans la pièce ils devaient tous se demander qui nous étions et pour ceux qui le savaient au bras de qui rentrerons-nous ce soir ou mieux me concernant qui serait assez intelligent pour me pousser à de futur noces.

 

Dans cette demeure, le luxe était roi les petits plats avaient été mis dans les grands oh ces richards me dis-je en prenant une coupe qui m’étais proposé


Tatiana (regardant autour d’elle) : magnifique demeure

Moi : ce qui est magnifique recèle toujours le pire

Tatiana : ce n’ai pas moi qui viendrait te contredire compte tenue que tu es la preuve vivante

Moi (souriante) : aïe venant de toi Bella c’est un compliment même si ça fait mal

Tatiana (me regardant en souriant) : je sais


Moi : alors que le spectacle commence capriciosa.

Tatiana : c’est un whisky que tu aurais dû  prendre cela aurait multiplié les chuchotements de ses bon gens !

Moi (souriante) : à ce que je vois tu as décidé d’exceller dans la provocation ce soir

Tatiana : c’est un art que peu savent manier

Moi : c’est exact

Tatiana : regarde-moi ce gigantesque écran c’est assez cynique non ? un de plus qui périra de sa propre arme !

Moi : je te le concède regarde qui vient à nous ? Notre futur ex candidat en personne

Tatiana : as-t-il au moins une belle dentition ?

Moi : jaunâtre et puante à mille kilomètres !

 

Tatiana (souriante) : je m’éclipse

A l’ instant où Franck Bilal arriva à ma hauteur mon air séducteur avait repris sa place et c’est d’un regard de cygne que je pris la main qu’il me donna et le laissa me faire un baise main au cours duquel sur ma peau il répandit une horde de microbes qu’une boite de désinfectant à elle seule ne saurait tué !

Franck (souriant) : divin ange votre beauté est à la hauteur du mythe qui vous entoure, vous êtes encore plus belle en vrai

Moi (sourire éclatant) : oh n’exagérons rien mon cher je ne suis qu’une simple humaine

Franck : vous êtes semblable à une sirène ; les plus belles d’entre elles auraient de quoi pâlir en votre présence

Moi : trop de compliments mon cher vous me ferez rougir

 

Franck : je ne dis que ce qui est vrai !

 

Moi : seigneur dites-moi que vous êtes célibataire et qu’à la fin de cette soirée vous me demanderez ma main

 

Franck : si seulement je vous avais rencontré plus tôt et si seulement j’étais plus jeune dommage pour moi que je sois un homme marié et heureux en ménage

 

Le mensonge est un masque que beaucoup savent porter tels une seconde peau observons donc ce menteur à l’œuvre

 

Moi (mouillant mes lèvres) : par tous les cieux je vous admire peu d’homme ont la capacité d’avouer cela

 

Franck : ma femme est l’unique à mes yeux

 

Moi : je suis jalouse !

 

Franck : ne le soyez pas je suis certaine qu’un autre saura saisir la chance que je ne puis saisir c’est à dire vous épouser afin que toute les autres créatures féminine de ce monde ne se retrouve plus complexé par vous.

 

Moi : prenez gare à ce que vous dites mon cher votre femme pourrait vous écouter

 

Franck : vous avez raison. Je pensais ne pas vous voir ce soir !

 

Moi : et pourquoi cela ? Je suis l’un de vos soutient si je ne me trompe

 

Franck : oui, oui vous êtes l’une de mes donatrices les plus importantes et pourtant nous ne nous sommes jamais rencontrés et votre silence suite à notre invitation …

Moi (le coupant) : oh je pensais l’avoir fait faut dire que j’ai un planning assez chargé en ce moment et quand à notre rencontre voilà un tort qui vient d’être rectifié

 

Franck (souriant): exactement ! Laissez-moi vous présenter ma magnifique épouse jeannette

Moi (me retournant vers celle qui venait d’arriver) : enchanté Jeannette cette robe vous scié à ravir

Jeannette : merci et la vôtre en fait des jalouses en commençant par moi !

 

Moi : ne dites pas cela ma chère c’est moi qui suis jalouse de l’homme à votre bras ce soir

 

Jeannette (me fixant) : dois-je craindre une quelconque rivalité entre nous ma chère

 

Moi (la regardant) : pas que sache

 

Jeannette (souriante) : je me suis toujours demandé qui se cachait derrière la généreuse donatrice de mon époux, j’avoue avoir vu vos photos sur internet mais cela ne vaut clairement pas une rencontre.

Moi : je ne vous le fais pas dire


Jeannette (me regardant) : excusez-moi de la question mais vous êtes bien russes ?

Moi : c’est exact 

Franck : quel question ma chérie écoute son charmant accent et puis je t’ai parlé de son père

Jeannette : ah oui le fameux Nicolas Moshchnyy 

Moi : lui-même 

Nous nous mîmes à parler du vent de la campagne et de tous ces choses que les gens de la haute discute pour ne pas se sentir idiots nous étions un bon groupe lorsque ma capriciosa vint à nous tous les regards se tournèrent vers elle tels ceux des pêcheurs regardant l’arrivé du messie 

Jeannette (murmurant) : qui est cette femme ?

C’est à ce moment précis que ma Tatiana arriva à ma hauteur le sourire aux lèvres sans un mot, elle m’embrassa et ce fut un choc pour tous si je puis vous dire j’avais juste envie d’éclater de rire devant ces têtes ahuries et ces bouches ouvertes

 

Moi : excusez-moi mon impolitesse je vous présente mon épouse Tatiana Kovack

 

À l’ instant où j’eu à prononcer cette phrase je vis le choc sur chacun des visages en face de nous

 

Jeannette : vous êtes mariée ?

 

Moi (lui montrant ma bague en souriant) : et oui

 

Cet annonce avait fait l’effet escompté le choc et les ragots je vois déjà les ragots d’ici deux femmes mariée et blablabli et blablabla

Franck : mesdames excusez-moi un moment s’il vous plait

 

Sur ceux, il fit la bise à son épouse avant de s’éclipser peut être étais-ce trop pour lui de me savoir mariée à une femme rire.

Après son départ, nous avons continué à échanger entre invité, au moins je n’avais plus à supporter sa tronche de cake et surtout à faire face à sa dentition qui nécessitait de sérieux soins intensif.

 

***

 

La soirée avait magnifiquement avancé Tatiana et moi discutions avec un couple lorsque sans crier gare une jeune femme arriva dans la pièce en criant comme si le diable était à ses trousses ses vêtements étaient déchiré et son maquillage avait coulé elle paraissait désorienté et apeuré.

Son état et ses cris avait créé un calme digne d’un enfer dans la pièce

 

La jeune femme : appelez la police Franck Bilal m’a violé (pleurant à chaude larme) Franck Bilal vient de me violéééééé !

 

Le concerné était lui-même en état de choc car il se rendait surement compte qu’il avait suivi et que cela poussait à s’interroger

Un journaliste s’avança vers la jeune femme qui apeuré fit machine arrière comme pour dire au jeune journaliste de ne pas s’approcher d’elle

 

La jeune femme (pleurant) : il m’a violé

 

Franck : menteuse

 

La jeune femme : il a fait une vidéo

 

Le journaliste : calmez-vous la police est en route

 

Juste à ce moment une autre jeune femme qui était parmi les invités dits « tu as recommencé et cette fois j’espère que tu finiras en prison et que ton argent ne te protégera plus ! »

 

Un autre journaliste : qui êtes-vous ?

 

La seconde jeune femme : une autre victime de ce sale porc il a abusé de moi lorsque je travaillais chez lui et lorsque j’ai voulu parlé il à envoyer ses sbires menacé ma famille

 

Suite à cette déclaration on aurait pu jurer que le choc des foules était  passé et que les langues étaient désormais déliées. Ils chahutèrent tels des enfants émerveillés par la vision d’un château de conte de fée

 

Jeannette: fermez la petite saute!

La seconde jeune fille: non je ne vais plus la fermer bien au contraire je vais l’ouvrir et vous ne pourrez pas m’arrêter! (Hurlant de rage) ces deux-là donne l’illusion d’un couple parfait et solide ils sont aux yeux du monde les défenseurs de la famille, de la religion, l’incarnation de l’espoir et de la morale et pourtant les portes clos ils ne sont que l’alliance de deux assoiffés de pouvoir qui n’ont pas hésité à noyer un nouveau née!

Le journaliste: quoi?

Franck: je vous attaquerai en justice pour diffamation....

Avant même qu’il ne finisse sa phrase l’image aux centre de la pièce montrant les photos du couple devint noir puis une vidéo de Franck abusant de la première jeune fille s’afficha à l’écran et les paroles ne sont pas pour choquer

Franck : écarte les pieds salope je sais que tu aimes ça

La fille (hurlant) : lâchez moi ! Nonnnnn

Franck : ferme là tu sais qui je suis ? Personne ne me dit non tu m’entends personne !

Sur ces mots il gifle la jeune femme avant de se mettre à la besogner en l’insultant de plus en plus vulgairement
Puis l’écran s’arrête et les visages sont horrifiés par ce qui vient de défiler sur l’écran lorsque le bouquet final s’affiche “ en mémoire de Lucie Éboué la fillette de cinq ans que tu as violé sous les yeux de ta femme”.

Tatiana (chuchotant à mon oreille) : c’est ce que j’appelle un suicide politique Bella

Moi (sourire en coin) : et s’ils pensent que le pire leur ai arrivé ce soir qu’ils attendent de voir demain

C’était un de moins sur ma liste je venais d’éliminer un nom le premier à m’avoir volé mon innocence je vous l’avais dit chacun payera sa dette je suis l’autorité et la détentrice du pouvoir de vie et de mort.

***

Je m’apprêtais à me glisser dans mon véhicule au côté de Tatiana lorsque qu’une voix me stoppa

Inconnu (voix rauque) : Anaïs Moshchnyy ?

Je me retournais avec précaution afin de faire face à la voix qui venait de prononcer mon nom et pendant l’espace d’une seconde quelque chose se passa, il eut un blanc total car je perdis mes mots pour la première fois de toute mon existence. L’être en face de moi, cet inconnu n’était pas le plus bel homme que j’ai jamais vu mais son charme égalait amplement se manque et je ne puis l’expliquer mais une lumière autour de lui m’attira telle une pièce d’argent vis-à-vis d’un aimant.

Inconnu : c’est bien vous je ne me suis pas trompé

Ben : m’approchez pas !

Inconnu : je veux juste parler à votre patronne.

Ben (voix ferme) : prenez rendez-vous avec son assistante !

Inconnu (me regardant droit dans les yeux) : deux minutes.

Moi : ya upravlyayu Ben (je gère Ben) (à l’inconnu) ce doit être votre jour de chance (regardant ma montre) à présent vous avez une minute cinquante !

Inconnu (me tendant la main) : je suis Leonel Fomiza et je souhaite vous interviewer

Regardant la main qu’il me tendait je ne fis pas un geste pour la saisir non pas par condescendance mais parce qu’une part de moi voulait la saisir tandis qu’une autre, elle craignait de se brûler

Moi : je ne donne pas d’interview !

Leonel : une seule

Moi (regardant de nouveau ma montre) : votre temps vient de s’écouler bonne soirée à vous monsieur Fomiza

Leonel : nous nous rêverons mademoiselle Moshchnyy, nous nous reverrons…

 

En espérant vous avoir passionné…

 

Au plaisir de vous revoir…

FINE LIMITE