Chapitre 2
Ecrit par Verdo
LA SÉDUISANTE GOUVERNANTE (partie 2)
- Eugène ! Mais qu'est-ce que tu me fais? Qu'est-ce que tu fais dans ma chambre ?
- Euh…
-Quoi Euh? Qu'est-ce tu fous ici sur mon lit? Cria-t-elle en se recouvrant avec le drap.
-Euh euh, j'étais venu te dire que ta porte était ouverte mais tu dormais déjà alors je me suis taillé une place auprès de toi en te regardant dormir.
-Quoi? Espèce d'imbécile et de menteur ! J'ai toujours eu l'habitude de laisser ouverte ma porte et tu n'y étais jamais entré. Pourquoi cette nuit? T'étais en train de me tripoter ou bien?
- Non non miss Nadège. Tout sauf ça. J'ai du respect pour votre personnalité. Je vous jure que je ne vous ai pas touché.
Elle me donna une baffe qui me fit perdre les pédales.
- Tu crois que je suis une idiote ? Tu es rentré dans ma chambre pour me tripoter. Regarde ton pénis (le montrant du doigt. Ma machine ne s'était pas encore calmé.) Tu voulais me faire quoi? Abuser de moi?
Maintenant que je sais qu'elle m'a eu, je ne peux plus lui mentir.
-Ecoute Nadège, oui c'est vrai, je suis entré dans ta chambre mais pas pour la porte. Tu me plais énormément et je suis tombé sous ton charme. Je voulais…
-Arrête ces absurdités espèce de pervers ! Tu voulais quoi? Se la taper en douce sans qu'elle ne sache? Quelle bassesse de ta part ! À present, sors de ma chambre! Je ne veux plus que tu m'adresses la parole.
-Je suis…. désolé (…)
- Sors de ma chambre où je crie pour que tout le monde sache quel genre de personne tu es.
Honteux, une lourdeur s'installa dans mes membres inférieurs que j'ai de la peine à les bouger. J'étais devenu bouche bée devant elle. Et pire, comment s'en aller. Dans son regard, je pouvais lire de la haine et de la méfiance. Eehhh merde ! Qu'est-ce que j'ai fait ? Le dira-t-elle à mes parents? Ça, je n'en savais rien.
Quelques semaines plus tard…
Nadège et moi ne se parlons plus. Lorsqu'on se croise dans les escaliers, j'ai du mal à la regarder en face. Elle pousse souvent des jurons en me dépassant. Des fois, je suis obligé de me cacher dans ma propre maison pour ne pas qu'elle m'aperçoit. Je ne dîne plus à table avec les parents par peur qu'ils se rendent compte de la froideur qui s'est installé entre nous.
Hormis le fait que Nadège ne me parle plus, elle ne répond plus également à mes messages. Je lui ai laissé une dizaine dans laquelle je lui présentais des apologizes. Mais son silence est ce qui me mettait le plus mal à l'aise. J'ai agi comme un idiot ; je l'avoue mais je l'ai reconnu. Çela prendra du temps mais peut être qu'un jour, elle me pardonnera et nous redeviendrons comme avant.
L'attente fut longue. Même après un mois, elle ne m'avait pas pardonné. Le scénario était resté le même. Mon grand frère et petite sœur rentrèrent de leur voyage. Alors elle aavait commencé à se titiller à lui c'est à dire mon grand frère ; des causeries par ci et là, des balades et même lorsqu'elle devait aller au shoprite faire des courses, il se proposait de l'accompagner. Cela amenait indirectement des petites disputes entre moi et mon frérot sans que lui ne s'en rende compte et je ne pouvais guère aussi lui narrer la bêtise que j'avais faite. Je décidai alors de prendre à mon tour deux mois de vacances loin de la maison pour essayer d'oublier cette histoire et se déstresser.
La veille de mon départ…
Il était presque vingt deux heures trente. Ma sœurette et moi venions de finir de faire ma valise. Elle regagna sa chambre tout en me souhaitant une excellente nuit. Je m'apprêtais à tourner la serrure de la porte lorsqu'une main la poussa. C'était Nadège. Elle entra sans mon autorisation et me demanda de fermer la porte. Après que ce fut fait, elle prit place dans le divan et nous restâmes tous les deux silencieux quelques minutes avant qu'elle ne brise le silence :
- Pourquoi t'en vas-tu ?
Je restai silencieux.
- Si c'est à cause de moi, reste s'il te plaît.
- Écoute Nadège, je ne veux plus que les choses se compliquent de plus entre nous. J'ai honte depuis cette nuit là et je ne sais pas comment me racheter auprès de toi raison pour laquelle je m'en vais. Au moins le temps pourrait tout arranger.
- Et qui a dit que le temps pourrait tout arranger entre nous? Dit-elle en se levant et en me prenant par les mains.
Un sourire amical apparut sur ses lèvres.
- Je ne veux pas que tu t'en ailles Eugène. J'étais tellement fâchée contre toi que je n'ai pas vu le temps passer. Tu sais, j'étais tombée sous ton charme depuis le premier jour que je suis arrivée ici. La manière dont tu m'avais accueillie et tout. C'est pour ça que je t'appréciais tellement mais je ne pouvais pas digérer le fait que tu ais pu te comporter de cette manière envers moi. Mais ça va maintenant. Tu peux être tranquille. Faisons la paix.
-Tu es sérieuse ?
- Est-ce que j'ai la tête à plaisanter ?
Elle se jeta dans mes bras et me serra très fort. Je sentis ses pointus seins se frotter contre ma poitrine . Elle leva la tête et me regarda droit dans les yeux tout en la rapprochant. Petit à petit, ses yeux se fermèrent. Là, je n'avais plus besoin que heinstein vienne me dire qu'elle avait envie que je l'embrasse. Alors, je me laissai aussi aller. Ses lèvres molles se collèrent aux miennes et vint l'instant où nous échangeâmes nos salives. Je passai mes mains dans ses cheveux et les glissai jusqu'à sa taille dérivant sur ses jolis popotins ainsi que ses cuisses. Elle fit de petits cris et me serra de plus en plus fort contre elle. Elle me déboutonna et jeta ma chemise dans un coin de la chambre et commença à retirer ma ceinture. J'en fis de même avec sa petite robe moulante noir. Je tombais sur la même combinaison de soutien gorge et slip rouge de cette fameuse nuit. Elle souria et me murmura à l'oreille :
- je l'ai remis pour toi. Maintenant vas-y, fais de moi ce que tu veux. Je suis à toi.
Je l'amenai jusqu'à mon lit où nous ôtames le reste de nos vêtements. Elle me fit coucher sur le dos et prit place sur moi ; me faisant des tonnes de caresse qui me faisaient gémir comme un bébé. Puis elle prit place sur ma machine tout en posant ses deux mains sur ma poitrine. Les va et vient me firent perdre les pédales. Que cette femme est hyper douée. Je priai le ciel que ça n'eusse pas de fin. Mais brusquement, ma porte se fit frapper.
- Ouvre Eugène. C'est moi Justin (mon frère). J'ai quelque chose à te dire.
Eh merde……
À suivre…
Verdo Lompiol
Koffi Olivier HONSOU
Copyright janvier 2020.
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