Chapitre 2 : Qu'il m'embrasse des baisers les plus fous,car son amour est plus fort que le vin...
Ecrit par Tunde William
** Narrateur externe**
Claude Marcel s'extipa de la voiture en compagnie de son fils. Sa main gauche gardait fermement une petite boîte noire de chez Cartier dans sa poche. Pour être tendu,il l'était. Wilfred se moqua gentiment de son père tant il était anxieux , de terribles appréhensions mettait le doute dans sa tête dégarni de toute chevelure. Il venait de se coiffer et voulait faire une surprise à la femme qui partageait de nouveau depuis bientôt trois mois sa vie. Il avait hâte , d'aller prendre une douche et de s'habiller correctement pour aller là rejoindre dans un restaurant où elle l'attendait sans doute. Il voulait faire bonne impression et le fait qu'il allait bientôt lui redeclarer sa flamme ne l'aidait pas du tout. Il ne voulait surtout pas venir en retard et s'il avait des ailes il s'envolerait pour aller rejoindre sa dulcinée,sa tendre Marie qui bientôt allait devenir sa femme si elle consentait [....].
Le temps devient notre ennemi lorsque l'on est amoureux. Car soit on le trouve trop court quand on est près de la personne aimée ou trop lent quand on se tient loin d'elle. Si on le pouvait ,on irait jusqu'a le supprimer afin de vivre pleinement son amour. On élabore des plans, on visualise des mouvements ,on voit l'autre se mouvoir comme on le souhaite, comme on le veut. Ce n'est pas l'autre mais juste une projection futur de nos angoisses, de nos vœux et de nos désirs . Il sera ce que nous voulons qu'il soit. C'est le rêve,le fantasme . On s'imagine des choses ,et c'est en partie ça l'amour. C'est être le plus souvent sans l'autre ,mais être tout le temps en communion avec lui. Être par l'esprit tout le temps avec lui. Aimé et être aimé en retour est simplement vivre dans la peau de l'autre,vivre en harmonie avec lui. L'amour ,le vrai pour le d'écrire les mots sont impuissants [...]. Marie Jeanne quant à elle était vraiment inquiète et excitée à la fois. Que demander de plus d'être aimé et choyé par la personne aimée. Depuis bientôt trois mois que Claude Marcel s'évertue à briser la glace qui lui interdit sa couche. Ils se désiraient mutuellement et Claude Marcel lui offrait des bagues les une plus grosse que les autres. Les solitaires sertie de diamants et d'Émeraude étaient passés devant son visage à mainte reprise mais elle les refusaient. Ce n'était pas que Marcel voulais juste avoir une intimité avec elle mais il voulait juste la tenir dans ses bras à chaque fois qu'il en aurait l'occasion. Il voulait juste se réveiller à ses côtés dans le lit et obtenir la chance de l'observer chaque jour un peu plus quand elle dormirait. Marie ne l'entendait pas de cette oreille. Depuis qu'elle était revenue, même un simple baiser venant de la part de Marcel n'avait effleurer ses lèvres. Elle l'aimait , toujours mais avait encore beaucoup d'appréhension. Elle ne voulait plus aller vite et se rendre compte qu'elle avait encore fait une erreur. Autrement elle refusait de partager la couche de Marcel parcequ'elle n'avait pas encore oublié leur dernière union. Elle avait pardonné ,certes,mais elle n'avait pas oublié. Aujourd'hui elle avait rendez-vous avec lui dans un simple restaurant et elle ne voulait pas être en retard. Elle se dirigea toute nue vers la salle de bain et s'engouffra dans l'immense jacuzzi . L'eau était à bonne température et elle se prit du plaisir à se savonner. Marcel ,la serviette nouée autour de la taille cherchait sa nouvelle paire de chaussures que lui avait offert Marie. Il ne l'avait pas pris avec lui et Marie l'avait rangé par inadvertance dans sa chambre. Il pénétra dans la chambre et ce fut la voix mélodieuse de Marie qui chantonnait depuis la salle de bain qui se fit entendre. Automatiquement il se dirigea vers la porte entrouverte et se mit à l'épier. En ce moment,il la trouvait esthétiquement belle. Il l'analysait comme on observe une belle toile. Il eut subitement chaud surtout quand Marie en voulait se rincer fit sortir son bras de la mousse blanche laissai entrevoir la naissance de ses seins. Sa gorge se serra quand elle le vit à travers le miroir. Elle sursauta et lui demanda d'une voix tremblante ce qu'il faisait là.
Lui , enhardi par ce qu'il venait de voir et ce qu'il imaginait déjà répondit pour toute réponse :
- Et si nous économisions l'eau ???
Elle sortit gracieusement du baignoire et l'entraîna à sa suite dans la douche. Elle ouvra l'eau sur leur tête et entreprit de le laver avec le gant de toilette. Pour Marcel ,ce n'était pas un bain . Chaque geste de Marie était perçu comme une caresse sur son corps. Son orgueil de mâle et son instinct sexuel vint prendre possession de son corps qui frémissait déjà. Quand Marie passa le gant sur les tablettes de chocolat de son partenaire ,elle déglutit avec peine. Sans plus attendre Marcel se pencha vers sa tête. Jamais il ne s'était imaginé pouvoir embrasser son cou,de caresser ses seins ,de palper la rondeur et la fermeté de ses fesses et encore moins de faire coulisser les doigts entre les la vulve et les lèvres de sa grotte. La douche avait pris une autre allure peu commune et sous l'eau ils s'amusaient avec leurs corps respectifs. L'eau glissait toujours sur leurs corps enfiévrés par la magie et l'alchimie qui régnait entre eux. Ils avaient faim l'un de l'autre. L'appétit sexuel démesuré qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre,qui au fil des longues années devrait s'amenuiser était décuplé au contraire. Leurs bouches se cherchaient sans cesse,leurs lèvres ne voulaient plus se perdre et leurs mains n'étaient pas en reste non plus. Elles s'activaient sur le corps de l'autre.
La température de la salle de bain était au Hugh level , grâce à la chaleur qui avait pris possession de leur corps. Marcel la doigtait hardieusement , quand elle, elle le labourait le dos de ses ongles. Elle finit par chuchoter:
- Marcel,je n'en peux plus. Prend moi.
Il lui répondit.
- Oui mais pas maintenant. Il l'attira lentement vers lui près de ses lèvres gonflées par le désir. Quelques centimètres les séparaient ,leurs langues s'electrisèrent , leurs lèvres se mangerent. Plus rien n'avait d'importance que cette communion parfaite sous l'eau. Elle lui dit d'une voix qu'elle ne se connaissait pas :
- Oublie cette promesse. Je veux tout de toi. Emmene moi loin avec toi. Je veux que tu t'enfonces lentement en moi comme pour notre première fois .
Il le souleva de terre et elle passa instinctivement ses jambes autour de sa taille. Le dos contre le mur ,la verge de Marcel très dure sous ses fesses,elle failli pleurer de joie. Cela faisait tellement longtemps qu'elle n'avait plus ressentir cette sensation. Quelques larmes tetues s'échappa tellement elle était émue. Il ne s'en rendit pas compte car il était plutôt occupé à lui sucer les seins.
- Ne t'inquiètes pas. Je prendrai mon temps afin de te faire plaisir. Je ferai tout pour que tu hurles de plaisir, pour que tu devienne folle. Et que ton plaisir soit de la plus dure des violences acheva t'il en la regardant droit dans les yeux tandis qu'il la pénétrait centimètres par centimètre.
- Putain tu es étroite et chaude. Merci je ne te décevrai plus et c'est une promesse personnelle.
Pour toute réponse elle le serra davantage quand son Goliath se frayait un chemin dans son intimité. Il se sentit apaiser, libre et sans contrainte pouvant l'interdir de l'aimer . Il se sentait comme à la maison. Tout doucement , le plaisir vint les emporter sur les rives de l'abandon totale. Ils sortirent de la douche après le premier round et se jetèrent sur le lit . L'un dans l'autre ,ils se perdaient ,se cherchaient ,se retrouvaient et recommençaient le cycle qui mène vers l'extase.
- Et le dîner ??? Demande t'elle quand ils se repurent l'un de l'autre.
- Tu es mon dîner répondit elle en l'enjambant de nouveau.
- Tu es insatiable dit elle en pouffant de rire.
- Et toi tu es tellement imprévisible que je préfère faire des réserves et rattraper tout le temps perdu retoqua t'elle en prenant possession de son corps [...]. Et quand elle se réveilla le petit matin ,elle fut surprise de constater un simple solitaire sur son annulaire gauche avec un simple mot accompagné d'une rose rouge.
""Tu n'as pas à t'inquiéter maintenant,nous sommes à présent fiancés et tu n'as plus le droit de contester.
Signé Ton prince Charmant M.D""
Cet solitaire le plus beaucoup. Elle était fine et de petite pierre de taille fine y était incrusté tout autour. La bague était simple mais distinguée . Elle resta assise sur le lit l'air rêveur quand son fils et sa petite fille vinrent le rejoindre.
- Elle te plaît demanda le fils???
- Oui répondit elle.
- Ah Dieu merci. Je ne donne pas cher de ma peau si c'était le contraire. Papa n'allait pas me rater .
Elle le prit dans ses bras en souriant tandis que la petite Leïa Kambelle gazouillait tranquillement sur le lit. Ah comme la vie est belle quand on se tient au côté de ceux que nous aimons et qui nous aiment en retour pensa t'elle.....
**Carmelliah Sagbohan**
Ils sont entrés . Ils étaient deux. Zidane qui est mon époux maintenant et un autre homme qui n'était nul doute que son frère. Ils avaient la laideur qui coulaient dans leurs veines.
- Viens par ici ordonna t'il.
Apeurée,je me suis collée au mur derrière en moi dans l'espoir qu'apparaisse une porte magique pour que je puisse m'échapper de cet endroit.
- Dit donc elle est têtue ton épouse. Frère fait vite je t'attends pour les rituels.
- (Moi) Rituels ??? Ne me faites pas de mal je vous prie.
-( Zidane) [D'une voix sèche] Je ne t'ai pas payé chez tes parents pour que tu nous refuses le lit.
-( Le deuxième) [ Consultant sa montre] Frère , fait toi obéir. Il s'en va être l'heure.
Il sortit une sorte de bonsaï de nulle part quand moi j'étais transie de peur. Quand Zidane voulut me toucher je poussai un effroyable cri d'angoisse. Je m'apprêtais à lancer un autre quand une main des plus rocailleuses et dures s'abbatit sur ma joue.
-( Zidane) [ Énervé] Je suis ton maître à présent et je t'ordonne de te déshabiller. Ton honneur et ta pureté longtemps que tu as longtemps gardé tu le feras don à mon frère ici présent. Je suis ton mari mais c'est à lui que tu donneras ta virginité . Compris ???.
-( Moi) [ D'une toute petite voix] Oui.
-( Zidane)[ Menaçant] Gare à toi ,si tu es impure car je te jure que je te ferai vivre l'enfer sur terre. Compris ???
-( Moi) [ Hochant la tête comme pour dire oui] ...
-( Zidane ) Et bien que la partie commence ma très chère Carmelliah.
Le type s'est devêtu de long tunique masculin,qui est propre aux musulmans et qu'on appelle communément Djellaba et que ne vis je???? Seigneur,non pitié par çà.....