CHAPITRE 21: IVRES

Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA

CHAPITRE 21 : IVRES 

**LUCRÈCE MEFOUMANE**

Moi : (La regardant) Voilà un peu l’histoire. 

Mélodie : Je suis choquée. Tu dis que le frère de Lucia et sa femme ne sont pas tes parents biologiques ?

Moi : Non.

Mélodie : Incroyable. Et puis tout le monde te traite comme ça ? En plus tu as beaucoup de traits avec ta mère, enfin tantine Leslie. Et même tes sœurs que tu mets souvent en statut te ressemblent tellement. Tu dis que vous n’êtes pas parentés ? Enfin que ce ne sont pas eux qui t’ont accouché ?


Je la regarde.


Mélodie : Pouah. Quelqu’un d’autre m’aurait raconté cette histoire que je ne l’aurais pas cru.

Moi : Je sais.

Mélodie : Et donc tu as décidé de sortir avec le petit-frère de ta mère, enfin de la femme qui t’a élevé ?

Moi : Oui. 

Mélodie : Et c’est sérieux entre vous ?

Moi : Oui, ça l’est.

Mélodie : Les autres sont au courant et sont d’accord avec ça ?

Moi : Pour l’instant, il n’y a que Lucia qui le sait et je pense que Bhernie aussi. D’ailleurs ne lui en veut pas de ne t’avoir rien dit. Tu connais Lucia et tu sais qu’elle ne parle pas la vie des gens. Comme tu peux le constater aussi c’est un sujet assez délicat qu’il faut prendre le temps de bien expliquer pour comprendre. 

Mélodie : Je vois. 

Moi : Et en ce qui concerne les autres, non. On ne peut pas le dire aux autres, notamment à mes parents pour le moment à cause de plein de choses qu’il y a en dessous. On a décidé de garder ça pour le moment secret jusqu’à la fin de mes études. 

Mélodie : Je vois. Mais je t’avoue que ça fait quand même bizarre de vous voir tous les deux, ça fait un petit peu ‘’incestueux’’, sans pour autant vouloir t’offenser. 


J’esquisse un faible sourire.


Mélodie : Anyways. Qui suis-je pour te juger ? Tant que vous êtes tous les deux à l’aise avec ça et que vous l’assumez pleinement (Levant ses deux mains) I don’t care darling. Le reste va aux chiottes. Comme on dit, ‘’on ne vit qu’une seule fois ‘’. Et si on est heureux dans nos choix de vie, we don’t care baby. Est-ce que tu es heureuse ?

Moi : (Souriante) Je le suis.

Mélodie : (Levant la carafe de jus) Voilà. We don’t care. Normalement c’est la partie dans les films américains où on ouvre une bouteille d’alcool et on se sert dans des coupes avant de trinquer. 


On éclate de rire toutes les deux puis je me lève et je vais chercher ça en riant. Je ramène et on se sert.


Mélodie : (Levant son verre) Aux retrouvailles et à la joie de vivre.

Moi : (L’imitant) Aux retrouvailles et à la joie de vivre.


On trinque et on avale nos verres.


Mélodie : (Me touchant l’épaule) Mais blague à part le gars là est choco hein.


J’éclate de rire. 


Mélodie : Quand il est sorti de la chambre là j’ai dit dans mon cœur que ‘’huuuuummmm, Adama, on peut faire ça ? Mais qu’est-ce que c’est ?’’


J’ai ris aux larmes.


Mélodie : Pôpôpôpôpô. Mince. Regarde moi le produit. Il brille on dirait un pain fraîchement sorti du four chez le boulanger. Quand tu touches comme ça tu entends que ‘’tchiak, tchiak’’.

Moi : (Pleurant de rire) ‘’Tchiak, tchiak’’ là c’est la bruit de quoi ?

Mélodie : (Riant) Mais du craquant non.


J’éclate une fois de plus de rire. C’est pas possible. On rit un bon moment avant d’essuyer nos larmes et nous calmer.


Moi : (Nettoyant mon visage) Tu es terrible Mel. 

Mélodie : (Faisant de même) Je dis la vérité. Et sinon, tu es là pour combien de temps ? Et tu comptes faire comment avec tes études du coup ?

Moi : Je les suis toujours en Belgique. J’ai juste pris quelques semaines pour venir les passer avec lui car on devait mettre les choses au clair. Normalement il me reste juste une semaine ici avant de rentrer. 

Mélodie : Mince. Si je savais que tu étais là depuis, je serais venue te chercher pour te faire visiter la ville. 

Moi : (Souriant) Dommage.

Mélodie : En tout cas, tu as encore une semaine. Je vais essayer de voir avec mon emploi du temps et te faire signe histoire de se voir avant ton départ. 

Moi : Sans faute. Et toi, raconte. Le Ghana, ça donne quoi de bon ? Tu vas nous ramener un ghanéen dans tes valises ?

Mélodie : (Riant) Rien chérie. Les ghanéens ont dit que j’ai la grande gueule et je suis trop fière.

Moi : (Riant) En gros une bonne gabonaise quoi.

Mélodie : Justement, ils ont dit que les gabonaises aiment les problèmes et ne savent pas se soumettre à leurs hommes. Je leur ai dit, je vous donne le numéro de Bhernie ?

Moi : (Fronçant les sourcils) Pourquoi ?

Mélodie :  Ah. N’est-ce pas qu’il arrivait à soumettre Lucia sous son autorité alors même qu’ils n’étaient pas ensemble ?


J’éclate de rire. La fille là n’est pas normale.


Moi : (Riant) Tu es terrible Mel.

Mélodie : Mais oh. N’est-ce pas il lui avait interdit les bikinis à la piscine ou à la plage ? Est-ce que tu as revu Lucia porter ça ?


Je ris.


Mélodie : N’est-ce pas là de la soumission ?

Moi : (Riant) Si. 

Mélodie : (Riant) Alors. Ils devaient donc demander à Bhernie et il devait leur dire si oui ou non les gabonaises ne sont pas soumises.


Je continue de rire et c’est ainsi que nous passons toute l’après-midi à raconter et rire. Nous avons également mangé ensemble et descendu deux bouteilles de mousseux. N’étant pas de grandes buveuses et ne supportant pas l’alcool, nous étions toutes les deux ivres au point de mettre la musique et danser. Loyd est rentré autour de 21h et nous a trouvées dans notre bruit. 


Loyd : Bonsoir.

Moi : (Allant me jeter dans ses bras) Mon pain craquant.


Il arque un sourcil pendant que Mel et moi éclations de rire. Puis je passe mes mains autour de sa taille et je l’embrasse avec envie. C’est lui qui met un terme au baiser en remarquant mon élan.


Loyd : Je vois que vous vous êtes bien amusées. 

Mélodie : (Buvant son verre en riant) Oui oh le pain craquant de ma copine.

Loyd : Ok. Et vous avez encore pour longtemps ?

Mélodie : (Se levant) Non, je suis déjà en train de ho


Elle est tombée assise sur le canapé, ce qui nous a fait rire toutes les deux. 


Mélodie : (Se levant à nouveau en riant) Ne vous inquiétez pas, je maîtrise la situation. 


À peine elle finit cette phrase qu’elle se retrouve par terre. Je ris en allant la tirer pour la relever mais nous finissons toutes les deux au sol en train de rire. 


Loyd : (Debout, amusé) Tu restes dans quel quartier Mel ?

Mélodie : (Tentant de se relever) Je suis oh (soulevant ses deux mains) équilibre.


On rit. 


Mélodie : (Me tapant sur l’épaule) Reste concentrer Lucrèce, tu aimes trop le désordre. C’est comme ça que Loyd va penser que je suis bourrée.

Moi : (Assise à même le sol) On n’est pas bourrée. On a seulement bu un peu la boisson dans l’alcool.

Mélodie : (Soulevant son index) Tout à fait.


Et on rit.


Loyd : (Bougeant la tête de gauche à droite, à Mel) Tu es dans quel quartier ?

Moi : Chez les étudiants.


Il fronce un sourcil.


Mélodie : La cité universitaire, derrière l’hôtel.

Moi : Tu connais là-bas ?

Loyd : Oui. Je vais la déposer.

Mélodie : Merci mon beau des beaux. Il ne faut pas suivre, ta belle-sœur est pétée mais je connais ma maison. N’est-ce pas Lucrèce ?

Moi : Oui. 


Loyd a éteint la musique et il est venu nous aider à nous lever avant de conduire Mel jusqu’à sa voiture. Je les ai suivis et j’ai décidé d’y aller avec eux. Il a grimpé dans le véhicule et est allé jusqu’à la fameuse cité. J’ai pris les affaires de Mel et lui l’a attrapée. Nous avons marché ainsi dans le bruit jusqu’à devant une porte qu’elle a dit être la sienne. J’ai fouillé son sac pour récupérer ses clés et j’ai ouvert. Nous sommes rentrés et l’avons laissée sur son lit avant de partir. En chemin, j’ai commencé à le titiller dans la voiture en caressant son sexe à travers son pantalon.


Loyd : (Me regardant) Qu’est-ce que tu fais ?

Moi : J’ai envie de te sucer bébé. 

Loyd : Pardon ?

Moi : (Ouvrant sa braguette) Je veux ta queue dans ma bouche.

Loyd : Je suis au volant.

Moi : Gare. 

Loyd : Tu es sérieuse ?


Pour toute réponse, je tire sur sa ceinture pour la débloquer et m’attaque au bouton de son pantalon. 


Loyd : Merde, Lucrèce.


Je ne le calcule pas et je continue, l’obligeant ainsi à se garer à un endroit. Je réussis à sortir son sexe et sans aucune forme de procès, je l’engloutis et me mets à le pomper sérieusement. Je le sens doubler de volume dans ma bouche et quand je constate qu’il est bien tendu, je me redresse et l’enjambe en remontant ma robe à mes hanches. Je mets mon string sur le côté et je m’empale sur sa queue en soupirant d’aise. 


Loyd : (Jurant) Putain. 


Il décale le siège pour me donner un peu plus d’espace avant de saisir mes fesses et mettre une pression dessus. On se regarde dans les yeux et je lui souris malicieusement.


Loyd : (Regard empreint de désir) Tu es complètement folle.

Moi : Je sais. 


Je l’embrasse avant de me mettre à onduler les reins sur lui. Nous n’avons pas fait l’amour toute cette semaine parce que j’avais mes règles qui sont arrivées dimanche soir, ça nous a manqué. Je le chevauche donc ainsi jusqu’à ce que je le vois me serrer dans ses bras signe qu’il ne va plus tarder à se libérer. J’accélère la cadence et il fait descendre ses mains sur mes fesses qu’il gifle avant de me presser fortement contre sa virilité, enfonçant ainsi sa queue un peu plus dans mon intimité, ce qui a le don de toucher mon point g et m’envoyer directement aux portes de l’orgasme. J’enfonce mes ongles dans sa chair et je mors son épaule à travers son haut pendant qu’il enfouie son visage dans mon cou. Nous jouissons tous les deux les secondes qui suivent en émettant des sons étouffés. Nous restons ainsi sans bouger jusqu’à ce que la pression redescende puis on se regarde dans les yeux, sourires aux lèvres et on s’embrasse.


Moi : (Retirant légèrement ma bouche de la sienne) Conduit nous à la maison bébé, je n’ai pas encore terminé avec toi. C’était un petit avant goût.

Loyd : (Esquissant un sourire) D’accord. Je te laisse faire de moi ce que tu veux bébé.

Moi : (Répondant à son sourire) J’aime entendre ça. 


On s’embrasse à nouveau et je quitte sur lui. Je cherche des lingettes dans sa boîte à gants pour nous nettoyer pendant qu’il démarre pour la maison. Dès que nous traversons la porte du salon, je saute sur lui et l’embrasse, il recule jusqu’à buter contre la porte d’entrée. Ni une, ni deux, sa casquette, son t-shirt et son débardeur se retrouvent au sol et je me baisse pour m’attaquer à son pantalon. Très rapidement je le descends, de même que son caleçon. Je me mets en face de son sabre fièrement dressé. Sourire aux lèvres, je lèche ma main droite avant de le saisir puis j’incline ma tête pour aller chercher ses bourses que je mets dans ma bouche. Je l’entends jurer et grogner de plaisir. Je joue avec ses testicules dans ma bouche tout en le branlant avant de ramener ma bouche devant son sexe. Je passe un coup de langue sur son gland bien rosé puis je trace un sillon avec le bout de ma langue de son gland à la base de son sexe en suivant le trait qui se trouve en dessous du pénis parce que c’est cette zone qui procure du plaisir. Il frémit. Le secret d’une bonne fellation étant l’abondance de salive, je la secrète donc en conséquence avant de le prendre en bouche puis je commence un va-et-vient soutenu sur sa queue en veillant à ce que ma langue soit toujours en contact avec cette ligne.


Loyd : (Serrant les poings) Putain de merde Reb.


Je jubile intérieurement en continuant mes choses, il passe sa main derrière ma nuque et m’imprime un rythme. Il joint son corps au reste du mouvement et se met littéralement à me baiser la bouche. Parce que la bouche n’est pas un vagin et n’est pas fait pour ça, je m’extirpe de temps en temps de la pression de sa main sur ma tête pour retirer ma bouche de son sexe et respirer. Je ne suis pas folle et je n’ai pas envie de m’étouffer ou de vomir à force de recevoir des coups de pénis à l’intérieur. On joue à ce jeu jusqu’à ce que je le sente venir. J’arrête tout et je me lève pour m’éloigner de lui. 


Loyd : (Frustré) Reb ?

Moi : (Retirant ma robe plus loin, un sourire sur les lèvres) Viens me chercher si tu me veux. 


En dehors des fauteuils, les autres meubles n’ont pas encore mon empreinte, il me faut rapidement y remédier. Il faut que chaque endroit où il posera son regard lui rappelle ma personne. Oui, je dois marquer mon territoire et il ne me reste plus qu’une semaine pour le faire. 

Je jette rapidement un regard transversal dans la pièce et mon choix se porte sur la table à manger, c’est sur ça que je vais monter après avoir retiré mon string. Je m’allonge sur le dos en caressant mes seins puis je le fixe dans les yeux un sourire sur les lèvres. Il retire ses chaussures et ôte complètement son pantalon ainsi que son caleçon qui étaient à ses chevilles avant de marcher dans ma direction. Je me redresse en m’appuyant sur mes coudes tout en repliant mes jambes. Il me rejoint sur la table et je le bloque en posant la plante de mon pied droit sur sa poitrine. Il remonte mon pied jusqu’à sa bouche puis le mordille avant de me sucer les orteils. Je ne sais pas si je l’ai déjà dit mais Loyd adore ça. Ça l’excite de me sucer les doigts et les orteils ou alors de me voir le faire, il aime ça. Bref, il suce donc mes orteils et sans que je ne m’y attende, il saisit ma jambe et ma hanche pour m’attirer brusquement vers lui. Ma croupe vient buter contre son pubis et m’arrache un petit cris d’excitation. Il calle ma jambe droite sur son épaule et l’autre autour de sa hanche avant de me pénétrer de toute sa longueur. Je relève légèrement le bassin pour qu’il aille en profondeur en poussant un gémissement de satisfaction. Yeux plissés, sourire aux lèvres, je contracte mon vagin sur son sexe pour lui arracher un grognement plus sonore que celui de la pénétration puis je relâche en bougeant lentement sur lui pour lui dire qu’il peut y aller. Il ne perd pas de temps et saisit fermement mes hanches pour me pilonner. Il y va franchement et je crie de plaisir en lui disant que je l’aime, que j’aime sa queue et le bien qu’elle était en train de me procurer. Au bout d’un moment, je l’éjecte de mon sexe avant de pivoter pour me retrouver à quatre pattes. Je fais glisser mes jambes au point de me retrouver en grand écart avec les jambes repliées. Il me donne une claque sur les fesses avant de passer ses mains sous mes cuisses et me tirer à lui. Il s’enfonce en moi en aspirant l’air entre ses dents pendant que je me caresse le visage. Il amorce un va et vient en moi et je me joins à lui en suivant le mouvement.


Loyd : (Claquant sur mes fesses) Tu vas me rendre fou Reb, fou.


Je souris, me cambre et contracte mon vagin.


Loyd : Merde bébé, tu vas me faire jouir. 


Je souris et je ramène mes jambes pour me retrouver à quatre pattes. Je casse le dos avant de danser sur sa queue. Il crie et encercle mes hanches avec ses bras pour me faire ralentir le rythme. Je me redresse et tourne ma tête pour le regarder. Je vois qu’il est tout rouge, signe qu’il prend sur lui pour ne pas jouir. Je comprends qu’il faut vraiment que je  ralentisse.


Moi : Embrasse moi.


Il ne se fait pas prier et viens rencontrer mes lèvres avec les siennes. On se mange les bouches pendant qu’il me caresse les seins et les fesses. C’est lui qui relance les hostilités en me maintenant dans cette position sans quitter mes lèvres. Il me donne des grands coups de butoir et ma bouche emprisonnée dans la sienne m’empêche de gémir correctement. Quand il en a assez de cette position, il se retire et me retourne avant de m’allonger sur le dos. Il me pénètre une fois de plus pendant que je croise mes jambes dans son dos et mes bras autour de son cou. Sourire au lèvres, il m’embrasse. Il tourne des reins en donnant tout et je le reçois avec plaisir jusqu’à ce que je sente mon plaisir monter en puissance dans mon intimité. Je le serre d’avantage contre moi et je ne tarde pas à monter dans les cimes du plaisir. Mon corps se contracte et je le griffe aux épaules en criant mon orgasme entre ses lèvres. Je ressens au même moment des puissants jets chaud à l’intérieur de mes parois, m’informant qu’il vient de jouir. 

Nous reprenons peu à peu nos souffles et constatons par la même occasion que nous sommes en sueur. On se sourit avant de reprendre le jeu de langue. Il finit par se redresser et s’asseoir sur la table avant de me tirer pour que j’en fasse de même en face de lui. Imbriqués l’un dans l’autre, on se mange avidement les bouches, faisant tournoyer nos langues tels des lézards. Il suce ma langue et j’en fais de même, ensuite nos lèvres. On se regarde et se sourit entre deux baisers avant d’en faire un langoureux qui marque la fin de ce moment de plaisir mutuel.


Loyd : (Enfouissant son visage dans mon cou) Je t’aime tellement Reb si tu savais.

Moi : (Caressant sa tête) Moi aussi Loyi, je t’aime.


Nous sommes restés ainsi quelques minutes puis il nous a fait descendre pour nous entraîner dans la douche. On a pris notre bain, on s’est brossé et nous nous sommes allongés sur le lit. 


Moi : (Prenant les devants) Seigneur je t’aime, j’aime Loyd et je sais qu’il m’aime aussi. C’est pourquoi je te prie de nous protéger, protéger notre relation et notre intimité, protéger nos familles et tout ce qui nous appartient au nom de Jésus, Amen !

Loyd : (Après un court instant) Amen !


J’ai grimpé sur lui et me suis bien calée dans ses bras. J’ai entendu le bruit du climatiseur qu’il a mis en marche.


Moi : Bonne nuit Loyi.

Loyd : Bonne nuit Reb. 


J’ai fermé les yeux et j’ai sombré dans un profond sommeil….


L'AMOUR SUFFIT-IL ?1