Chapitre 22
Ecrit par Maya my'a
Sophie...
Honteuse, je sors de son bureau; je fais un tour au vestiaire évacuer la colère. Paula me paiera ses coups; elle le regrettera amèrement.
Je prends mon véhicule, abandonnant tous mes documents, et je me rends à prison. Je n'entre pas dans ces endroits infâmes. Alors:
-Sort, rejoint moi hors de ce trou à rat !
- Oui madame !
Je m'impatiente, stationné dans une petite ruelle à cent mettre de la grande porte de la prison.
-Occupe toi et qu'on en reparle plus.
-Ma récompense, avant ! Me réclame-t-il.
-Monte !
Pas besoin de le présenter ! Lui, je le gère depuis plus de deux ans. Je nous conduis à l'hôtel Hibiscus; une chambre VIP est réservée. Je me gare ; il ne comprend toujours pas.
-Suis-moi !
-Oui! Répond-il, perplexe.
Tout est réglé. Je marche vite, évitant les regards indiscrets. En affaires, pas de bruit.
Une fois en chambré, je me débarrasse de mes vêtements. Je fais autant pour lui. Je monte sur son sexe. Je le baise fougueusement. Ainsi, il en profite pour nettoyer mes entrées : de l'avant comme par l'arrière. Il gémit si fort, à croire qu'il n'a pas baiser depuis belle lurette.En même c'est si bon que j'ignore mes multiples appels. Je me lâche. Nos corps s'unissent tel l'arbre et l'écosse. Nos bruits attirent l'attention, qu'une femme de chambre assez mature, signale les sons que nous émettons .
-Oui ! Tu veux aussi baiser ? Dis-je en grondant, j'ai payé pour baiser ici ! Cet endroit est construit pour ça, non ?
-Excusez-moi, madame !
-Allez, dégage d'ici, vieille mégère ! Dis-je.
Je claque la porte derrière moi. Je perds l'appétit sexuel, alors j'ordonne à Serge de s'en aller.
-Tu es payé.
-Euh, madame ?
- Quoi, euh madame ? Il faut payer très cher pour toucher ce jolie potentiel rebondi et bien ferme. Tu as de la chance ; estime-toi heureux pour avoir savourer ce que plusieurs hommes convoitent avec ferveur. Beaucoup en pleure pour renifler mon cul. Pauvre petit vaguemestre !
Il ramasse ses vêtements, visiblement mécontent.
-Oh, oh ! Reviens ! Reviens ici, je lui hurle dessus en le méprisant.
Il revient docilement.
- Appelle moi, uniquement pour une bonne nouvelle.
-C'est déjà fait, Madame !
-Très bien! maintenant, dégage.
Je prends le temps de bien me nettoyer. Et, je vais dans un institut de beauté me faire un Mack-up, puis je rejoins mon époux et mes enfants.
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Kathy...
J'ai été prudente, mais malgré tout, ce fameux Patrick trouve toujours le moyen de me faire de mal.
Depuis le Cap-Vert, allongé dans mon salon, j'apprends que Patrick est l'auteur de la grossesse de ma fille. Ce criminel n'a pas choisi de germer dans un autre utérus que celui de la pute, à qui j'ai donné naissance.
J'ai cru qu'il a traversé dans l'autre monde, mais, non. Cet imbécile savoure paisiblement la vie, lorsque ma fille et moi souffrons. Je suis hors de moi car aussi loin, je ne peux agir. Les employés sur le terrain s'arrangent à mal exécuter les ordres. Leur qualité de travail m'irrite vivement, autant que mon mari, qui m'empêche de me déplacer.
Dos Pereira est très capricieux depuis mon dernier séjour sur Libreville. Il a saisi mes deux passes-port. Actuellement, je ne peux être sur place au Gabon.
Je suis malade chaque jour passant. Et comme si cela ne me fait pas assez mal, ma fille m'humilie, elle aussi. Comment a-t-elle pu ?
-Allô...
-Passe lui le téléphone !
J'attends entendre sa voix pour :
-Tu penses t'en sortir aussi facilement ? Menaçante, le timbres de ma voix s'endurcir.
-Qui êtes-vous ?
-Fils de pute ! Tes anges ne seront toujours pas à tes côtés.
-Bonne séjourné, Madame !
clic...
Il raccroche. Je jette mon téléphone, hurlant âprement. Il est courageux. Il n'a vraiment pas peur ce Patrick. Cet indigène me donne des migraines : je me prive de nourriture toute la journée. Je contacte à nouveau mon béni-oui-oui.
Allô...
- Finis-en !
-Bien reçu, madame.
Clic.
Je n'ai plus de temps aux recherches interminables sur lui. Je n'ai qu'un objectif ; en finir avec cet arrogant.
(Aucun droit sur image)
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