Chapitre 26 : le nouveau moi.
Ecrit par Dele
Ma famille, ma perte.
Chapitre 26 : le nouveau moi.
Ça fait exactement une semaine que mon frère est venu demander mon aide pour pouvoir soigner sa femme. Si je dois prendre en compte tout ce que sa femme et lui m’ont fait depuis que ma maladie a commencée j’allais prier pour que sa femme ait une mort horrible et la plus douloureuse.
Malgré que j'ai eu vend de ce qu'il était venu me confirmer la dernière fois, j'ai décidé de mener mes propos enquêtes. J’ai payé un détectif privé pour ce fait. Ce dernier m'a informé tout à l’heure qu'il est entrain de venir me faire le compte rendu.
La Josiane imprudente, naïve et facilement manipulable d'entre temps n’existe plus. Qu'ils essaient de se frotter à moi encore une fois et ils connaîtront mon nouveau moi.
Après qu’ils m’ont tous tourné le dos et mis à la rue après l’enterrement de mon feu mari, paix à son âme. Vous connaissez déjà ce qui a suivi jusqu’à ce que je sois là aujourd’hui. Un an après mon intégration dans cette maison, j’ai appris que ma mère avait rendu l’âme. Le lendemain, de bonne heure, je me suis rendu chez mon grand-frère pour prendre des nouvelles. Arriver dans le quartier j’avais du mal à reconnaître la maison par ce qu’il a tout rénové du fond en comble. Il avait même un gardien. J’ai demandé à ce dernier d’aller l'appeler par ce que je savais que je n’étais plus la bienvenue dans sa maison. Cela nécessite un flash-back
**** flash-back ****
Je suis devant le portail de mon grand frère depuis une trentaine de minutes. Il sort enfin et dès qu'il pose ses yeux sur moi il serre sa mine on dirait anus.
Moi : bonjour papa Enock.
Lui : bonjour. Que fais-tu là ?
Moi : J’ai appris que notre mère est décédée. Je suis venue prendre des nouvelles. C’est quand l’enterrement ? Je voudrais être présente.
Lui : on l'a déjà enterré depuis trois semaines.
Moi : et vous n’aviez pas juger bon de me le dire ? C’était aussi ma mère.
Lui : si on te le disait tu allais pouvoir faire quoi ? Venir mettre la honte sur nous ? D’ailleurs on allait te trouver où ? Qu’on commence par faire le tour des asiles de fou ou bien qu’on aille faire le tour de la ville en espérant te voir à un carrefour ? Ou sur les tars d’ordures ?
Moi : (les larmes aux yeux) Papa Enock c’est moi qui ….
Lui : (m’interrompant) pardon ne me fait pas gaspiller mon temps. Ce n’est pas par ce que aujourd’hui tu es lucide pour quelques heures que tu vas venir me fatiguer un beau matin comme ….
Moi : ta parole est vaincu Prospère. Je serai toujours lucide. Plus jamais ma maladie ne reviendra. (détachant chaque syllabe) PLUS JAMAIS JE TE DIS. Sache que ma maladie je ne l’ai pas acheté au marché et je ne l’ai pas souhaité non plus. Peux-tu me dire ce que j’ai pu faire à tes sœurs et toi pour que vous me détestez autant ? Moi votre propre sœur ? Né du même ventre et du même père ? Après tout ce que moi Josiane je vous ai fait dans cette vie ? Je ne te reconnais plus, vous tous d’ailleurs.
Lui : ta maladie c’est toi seule qui sait où tu l’as ramassée par ce que personne ne l’a dans la famille. Ou bien depuis que tu es née tu as appris qu’un membre de la famille a souffert de ça ? Et bien reste loin de nous. Ceux qui nous liaient ne vivent plus. Nos parents ne sont plus de ce monde donc oublie que tu as de la famille, considère que nous sommes aussi mort. C’est compris ?
Moi : si tu veux que je sorte de vos vies, rend moi mes biens. Remets-moi les papiers de mes terrains et la gestion de mes magasins.
Lui : de quel bien parles-tu ? m’a tu confié tes soit disant biens ? Tchrummmm. Carrément, je n’ai rien en ma possession qui te revient de droit. Maintenant va-temps et ne remet plus jamais les pieds ici. Ma maison n’est pas la cours du roi Pétaud où on peut aller et venir à sa guise. Dit il en tournant le dos pour rentrer dans la maison.
Avant qu'il ne ferme le portail je l'appel .
Moi : Prospère, sache que tout se paie ici bas. Je te laisse avec ta conscience et Dieu. À partir d’aujourd’hui sache que je ne viendrai plus vous importuner. Dis-je en lui tournant le dos.
**** fin du flash-back ****
Depuis ce jour je n’ai plus chercher à les rencontrés.
Voilà cette même personne qui m'avait dit d'oublier qu’il existe vient aujourd'hui me demander 500.000f comme si de rien n’était.
Je ne les en veux plus. Je les ai pardonnés pour ma propre paix intérieure mais une chose est de pardonner et l’autre est d'oublier. Je les ai pardonnés mais oublier tout leurs actes, ce qui est sortie de leurs bouches et tout ce qui va avec ? ça c’est au dessus de mes forces. Je demande à Dieu depuis neuf ans de m’aider à oublier tout le mal qu’ils m’ont fait. J'y arriverai peut être un jour.
Je les ai pardonnés mais on ne redeviendra plus jamais une famille. Tout sauf ça. Qu’ils restent vraiment loin de moi. Si j'ai la possibilité de les aidés je le ferai de loin. Mais voir leurs pieds chez moi ? Il est hors de question. La Josiane d'avant n'existe plus. Tout ce qui compte pour moi aujourd’hui c'est ma personne, mes enfants et ceux qui m'ont secouru quand tout le monde m'a abandonné.
Je suis dans la chambre quand mon benjamin vient m’informer que le détectif est arrivé. Je vais le rejoindre au salon où il est installé.
Moi : (m'asseyant) Bonjour Monsieur Rodrigue. Comment allez-vous ?
M. Rodrigue : bonjour Madame Josiane. Je vais bien et vous ?
Moi : je vais bien aussi. Quelle sont les nouvelles ?
M. Rodrigue : eh bien, votre frère vous a menti sur toute la ligne. Les deux dames qui venaient vous donnez des informations sur ses supposés problèmes sont envoyés par votre frère. C'est vrai qu'il a perdu toute sa fortune et a même vendu sa maison mais sa femme est bien portante. Elle vend de la bouillie actuellement devant leur nouvelle maison qui est à ce adresse (déposant un bout de papier sur lequel est écrit le nouveau adresse de mon frère). Quant à ses enfants, son fils aîné est un délinquant renommé qui fait des aller-retours à la prison, son second fils est le seul qui travail comme cuisiner dans une cafétéria appelé Chez Diallo à Ganhi. Sa fille a eu des jumelles sans père et vie actuellement avec eux. Votre frère quand à lui n'exerce plus aucune activité. Il passe sa journée à jouer avec ses amis alcoolique devant sa maison. Pour preuve, je vous ai apporté ces photos ( sortant les photos d’une enveloppe qu'il étale sur la table) que j'ai prise il y a de cela deux jours avec mon propre appareil photo. Ces photos sont authentiques. Votre frère a simplement l'intention de vous arnaquez en venant demander votre aide financière.
Moi : je ne suis pas surprise par ces révélations. Merci bien Monsieur Rodrigue pour toutes ses informations. Je vais régler le reste à mon niveau. Je vous doit combien ?
M. Rodrigue : permettez-moi de vous avouez quelque chose que j'ai fait sans votre accord. J’ai fouillé dans le passé de votre frère et j'ai découvert ce qu'ils vous a fait. Je suis vraiment honoré de vous rendre ce service. Je peine à croire qu’après tout ce que vous avez pu vivre, vous avez pu vous relevez, vous vous êtes battue pour vous reconstruire. Croyez-moi ce n'est pas donné à n'importe qui. Je ne peux me permettre de prendre quoi que ce soit chez vous Madame. Vous êtes comme un phénix qui régnait de ses cendres. Je vous admire tout simplement. Si vous avez besoin de quoi que ce soit n'hésitez pas à me contacter de nouveau.
Moi : merci pour le compliment mais je me dois de vous payer. C’est de ça que vous vivez.
M. Rodrigue : (se levant) oui mais n'insistez pas s’il vous plaît. Je vais devoir y aller. Appelez-moi au besoin.
Moi : (me levant en lui serrant la main) merci beaucoup pour la considération Monsieur Rodrigue. Cela me va droit au cœur.
M. Rodrigue : je vous en prie.
Il sort et je me rassois en regardant les photos disposées devant moi. Je ne suis pas surprise de ce que je viens d'apprendre. Un chien ne change jamais sa manière de s'asseoir. Ce sont mes filles qui ont raisons en fin de compte. Surtout Annah.
Il croyait sûrement que j’étais encore l’ancienne Josiane avec qui ils faisaient tout ce qu'il voulait. Je sais que malgré que je lui avais interdit de revenir, il va se pointer ici un de ses quatre et je l'attends de pied ferme.
Aujourd’hui c’est samedi et comme toujours ce paresseux d’Alan ne veux pas faire la lessive. Comment peut-on être aussi paresseux ? Il corrompt ma domestique avec je ne sais quoi et c’est cette dernière qui lui fait la lessive.
Moi : Alan si tu ne fais pas cette lessive dans cette maison aujourd’hui tu sauras de quel bois je me chauffe. Ma fille n’est pas ta lavandière tu m’as bien compris ? (m’adressant à Sophie m’a domestique) toi tu disparaîs de là immédiatement. Tu n’as rien à faire ou bien ? Va me laver les marmites déposer dehors là-bas.
Moi (m’adressant à Alan) Je te donne une heure pour finir la lessive et me nettoyer cet endroit.
Dis-je en rentrant dans la maison pour aller chercher la monnaie à un client. Je traite Sophie comme ma propre fille et je refuse que quelqu’un le considère autrement. Quand les gens viennent ils croient qu'elle est ma propre fille et je ne les contredisent pas d'ailleurs. Les viscicitudes de la vie m'ont montrés que rien n'est acquis éternellement et n'est gagné d’avance. Tout peut changer à tout moment. En un claquement de doigt la vie d’une personne peut changer du tout autour et pour toujours. Un misérable peut devenir un riche et vice versa.
Quand j’arrive au salon je vois Mira, Annah et Ivana assisent peinardes entrain de causer. Chez moi il n’y a pas la place à la paresse. On ne reste pas assis à se prélasser alors qu’il y a à faire.
Moi : (m’adressant à elles) mesdames vous n’avez rien à faire ?
Ivana : on vient à peine de manger et on est entrain de digérer.
Moi : bien. Allez digérer en m'aidant à la cuisine.
Annah : (riant) est-ce qu’on digère en travaillant ?
Mira : (faussement fâché) c’est ce qui m’énerve chez ta mère ça, elle te voit tranquille quelque part, elle s’arrange pour te trouver un travail. L’homme ne peut plus respirer dans sa propre maison.
Moi : (depuis ma chambre à coucher) ta bouche on dirait ma propre maison, quand tu iras vivre chez toi tu pourras paresser comme tu veux.
Mira : en parlant de ça, j’ai trouvé un appartement pas trop loin de mon nouveau lieu de travail et je voudrais la louer.
Moi : (sortant de la chambre) il est hors de question que l'une d’entre vous quitte cette maison sans se marier. Le jour où vous allez quitter ici c’est le jour où votre mari ou vos beaux parents viendront demander votre main.
Mira : (riant) tu es tellement prévisible maman. Je savais que tu allais me sortir ça. Tu sais que moi je ne vais pas me marier non ?
Moi : va le dire à celui qui te fait sourire bêtement toute seule depuis deux mois.Dis-je en allant m’occuper de mon gagne pain.
Je n’écoute même plus ce qu'elle me dit pour me convaincre que la flèche de cupidon ne l'a pas atteint en plein cœur. Elle croit me cacher qu'elle est amoureuse de quelqu’un. Depuis le jour où je l'ai surpris trois fois en une journée entrain de sourire toute seule j’ai compris que ma fille est tombée amoureuse. Le soir j'ai ouvert une bouteille de vin pour célébrer ma découverte. Façon elle est têtue je croyais qu'elle n'allait jamais tomber amoureuse d'un homme puisque tout est psychologique. Dieu a écouté ma prière. Je ne sais pas l'homme qui fait tourné la tête à ma fille mais ma prière est qu'il soit digne de son amour et reconnaisse la valeur de la perle rare qu'est ma fille.
Il est midi et le restaurant est plein à craquer. Je m’active à la cuisine pour satisfaire mes clients avec l'aide de mes filles quand l'une de mes serveuses vient m’informer que mon frère est au portail et insiste à me voir. Je demande à la serveuse d’aller l’installer sous la paillote et de le laisser sous la surveillance du gardien. La serveuse revient et m'informe qu'il demande à manger. Je lui demande de ne pas s'occuper de lui et que j'allais partir le servir moi-même.
Annah : donc il n’a pas compris la dernière fois quand tu lui as dit de ne plus remettre les pieds ici ? Il demande même qu’on lui donne à manger. Le sorcier. (S'adressant à la serveuse) Donne lui la pâte sans sauce. La pâte va aller rejoindre les anciennes sauces qui étaient dans son estomac comme sa femme nous le faisait en sa présence sans qu’il ne bronche.
Le seul regard que je lui ai lancé l'a fait quitter la cuisine pour aller servir les clients.
Je fais le plus vite que possible et vais le voir sous la paillote. Je ne veux pas qu'il passe assez de temps dans ma maison. Si je ne l'ai pas laisser au portail c'est à cause de mes clients. Je ne veux pas qu'il les indisposes.
Lui : (souriant jusqu’aux oreilles en me voyant venir) bonsoir ma sœur. Comment vas-tu pour moi ?
Moi : (prenant place en face de lui) je vais bien et toi ?
Lui : j’essaie de survivre au jours le jours ma chère sœur.
Moi : et ta femme ? Elle va mieux ?
Lui : mieux où ? C’est pour ça que je suis encore venu. Depuis deux jours j’ai fuis l’hôpital par ce qu’ils m’ont dit de la ramener à la maison puisque je n’arrivais pas à rassembler les sous. Ma sœur, stp aide-moi. Je vais te rembourser je te le promets.
Moi : (remuant la tête fasse a son air sérieux) tu es vraiment pitoyable Prospère ENAWAGNON. J'ai honte de dire que le même sang coule dans nos veines. Où sont passés les bonnes manières que les parents nous ont apprises ? Nos parents seront entrain de se retourner dans leurs tombes à l’heure actuelle. (Sortant les photos de l'enveloppe que Rodrigue m’avais apportées en les disposants sur la table basse) est-ce ta femme qui est hospitalisée qui vend devant cette maison ? (Montrant la photo de son fils aîné et lui debout dans leur cours) est-ce ton fils qui est en prison dont tu m'as parlé il y a à peine une semaine qui est sur cette photo avec toi ?
Lui : (béguellant) tu m'espionnes ?
Moi : donc tu croyais qu'il fallait venir jouer au malheureux pour que je te reprenne les bras ouverts en te donnant mon argent sens réfléchir ? Non mais pour qui me prends-tu à la fin ?
Lui : c'est un coup monté. Je...
Moi : (haussant le ton) ferme là Prospère. Homme né avant la honte. Tu me fais tellement pitié. Donc comme tu m'as demandé de rester loin de vous et je l'ai respecté c'est encore un crime ? Tu es venu terminé ce que vous aviez commencé n’est-ce pas ?
Lui : je vais tout expliquer.
Moi : ouvre encore la bouche et je te jure que tu ne vas pas me reconnaître. Sache que la Josiane naïve que vous aviez failli tué n'existe plus. Si l'un d'entre vous essaie encore de rentrer en contact avec moi ou essaie de s’approcher de mes enfants d'une quelconque manière, je vous jure sur la tête de nos parents que je vais vous exterminer. ( Il écarquille les yeux face au sérieux de mon ton) si tu crois que c’est faux tente moi.
À peine j’ai fini ma phrase que la police que j'avais pris le soin d'appeler débarque.
Lui : (l'aire apeuré à la vue des hommes en uniforme) Josiane pardonne-moi. Laissons le passé derrière nous. Je regrette vraiment tout ce que je t’ai fait. Pardonne-moi. C’est vrai que je t’ai menti sur la maladie de ma femme mais c'est pour une bonne raison que je suis venu te voir. Écoute moi s'il te plaît.
Le commissaire (un ami à qui j'avais expliquée la situation) : bonsoir Madame BOLADJI. Est-ce le Monsieur qui vous importune ?
Prospère : (reculant) non je suis son frère du même père et de la même mère. Je suis son frère aîné.
Le commissaire : vous ai-je posé une question ?
Moi : c’est bien lui Monsieur le commissaire.
Dès que je le désigne, il prend la tangente. L'un des policiers le rattrape et le ramène sous la paillote avec une gifle bien appliquée.
Lui : (se mettant à genoux) pitié Josiane. Je te jure que si tu me laisses partir je ne reviendrai plus jamais.
Moi : la dernière fois que je t’ai interdit de ne plus mettre pieds chez moi est-ce que tu as pris ça en compte ? Est-ce que tu as respecté mes dires ?
Lui : oui. Je te jure que oui juste que je ne sais pas comment je me suis retrouvé ici cet après midi. (Se tournant vers le commissaire) c’est l’œuvre du diable. Si vous me laissez partir je vous jure que vous n'entendrez plus jamais parler de moi.
Moi : commissaire amenez-le et faites-lui passer le message.
Commissaire : bien Madame. Il me sert la main et quitte la paillote avec Prospère.
Prospère : Josiane c’est le pardon que tu apprends à l’église ça ? Dieu a dit de ne pas rendre le mal pour le mal. Je t'en supplie dit leur de ne pas m'emmener avec eux. Je ne reviendrai plus jamais te voir je te le promets. Si je vais en prison qui va nourrir mes enfants ? Aie pitié d'eux.
Il veut se retourner vers moi. La gifle que l'un des policiers lui a donné lui a fait monté dans leur pickup tout seul.
Moi : (m'adressant à Prospère avant que la voiture ne quitte la cour) faite passer le message aux autres. Le prochain qui essayera de venir se foutre de moi va subir pire que ce que tu t’apprêtes à vivre. Dis-je en lui tournant le dos pour aller m'occuper de ma clientèle.
Je fais la sourde oreille à ses appels incessants jusqu’à ce qu'ils partent.
Il faut que je lui donne une bonne leçon pour qu'il aille rendre compte aux autres. Vouloir venir me voler comme ça sans représailles ? Non. Le commissaire sait ce qu'il a à faire.
Trop c'est trop. Ils ont trop profiter de ma gentillesse et de ma naïveté comme ça. Maintenant il feront face à mon nouveau moi. S'ils croient qu'ils n'ont pas de cœur et qu'ils peuvent jouer au vampire avec moi, je vais leur montrer que moi j’ai vendu mon cœur au diable. À partir d'aujourd’hui c’est sans pitié.
#nikê #chro
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Bon après midi à tous et bonne lecture ????????????????