chapitre 28

Ecrit par D.H

CHAPITRE 28 : Plaisirs charnels

RAMATA SALL

Je suis sure d’être la femme la plus heureuse du monde ce matin. Je n’avais plus d’espoir au soir  mais je me réveille le poumon remplis d’airs et surtout d’espoir. Il  ne m’a pas dit qu’il m’aime mais j’ai plus que foi et espoir en notre amour et je suis plus que  décidée à me battre contre vent et marée pour le triomphe de cet amour naissante.

Je retourne ma tête et je le vois concentrer sur la route avec ses lunettes de soleils, un polo bleu et une mini culote avec ses basquets. Il est tellement beau et frais que je me demande parfois où j’avais la tête pour ne pas l’avoir remarqué.

-          Arrête de me mater

-          Tu es très beau ; ce n’est pas de ma faute

-          Je sais bien que je suis beau

-          D’accord Monsieur l’humble

Il m’a souris et s’est concentrer sur la route. Je me suis endormi en chemin bercé par le son de la douce musique  car les longs voyages ce n’est pas pour moi.Des heures plus tard j’ouvre les yeux pour voir mon mari, oui mon mari encore au volant.

-          Toujours pas arrivé ?

-          Tu es pire qu’une enfant toi

-          Attends il fait quel heure déjà ?

-          Tu n’a que dormi 45 min

-          Ah ?tchipp

-          On ne tchipp pas avec moi jeune fille

-          Tchipp

-          Ok tu le payeras cher

-          Lol

Quelques minutes plus tard nous sommes arrivés dans les chutes de la Gorée. C’est peu de  dire que c’est un endroit paradisiaque car c’est Juste magique et irréel. Je suis subjugué par la beauté du paysage. Je regarde les enfants jouant au bord du fleuve à moitié nus et des pécheurs ça et là dans des pirogues revenant ou allant à la pêche, des femmes avec des bassines et plateaux sur la tête, des mousses de savons par des grandes lessives. Des regards indiscrets se font ressortir et les enfants dans leurs naïveté nous lancent des signes de la main pour nous dire bonjour et d’autres plus rands font la couse en essayant de rattraper la voiture ? L’odeur de la mer et de la végétation remplis les lieux. Pas d’industries, pas de matériels lourds mais des statuts et des symboles préhistoriques  qui donnent un charme assez fou à cette ville. Des bateaux accostés ça et là, d’autres fonctionnels et d’autres non mais l’ensemble de tout cela donne une décoration assez épuré de la ville. La  vie apparaît tellement belle et tellement simple.

-          Tu aimes ?

-          J’adore

-          C’était l’idée

Nous avons dépassé les ruelles pour aller plus loin dans la campagne où il y’a un sorte de chalet . Il y'a une petite cabane qui a l’air vieillotte mais assez moderne.

-          Tu ne m’avais pas dis que tu avais pour ambition d’être coupé de la réalité, il y’a même pas le réseau ici.

-          C’est l’endroit idéal pour être à deux et mieux nous connaitre, loin de la civilisation.

-          Ne me dis pas qu’il y’a pas de télé aussi

-          Il y’a quand même a manger, c’est l’essentiel.

-          Il faut faire des kilomètres pour

-          Je ne vois pas la mal en tout cas.

Je le laisse décharger  la voiture et je vais visiter les environs. Il y’a des cailloux de toutes les couleurs qui ornent les allées et de loin je peux apercevoir le grand fleuve et les bruits des vagues. A l’intérieur, il y’a un grand salon avec des meubles et une décoration assez bohème, une grande chambre avec un immense lit et une cuisine. Pas la moindre trace d’un appareil, ni télé mais à la place une bibliothèque bien fournit en livre et une cheminée au centre du salon.

-          Qu’en penses-tu ?

-          C’est bizarre pour une jeune fille mais j’aime bien

-          Les douches sont au moins modernes ?

-          Non si tu veux prendre un bain, tu vas te baigner à la mer

-          Je ne sais pas nager

-          Je t’apprendrais t’inquiète

Nous avons mangés un en cas, pris un bain  et paresseuse comme je suis tombe de fatigue. Le climat est doux est favorable pour une sieste.

Mohamed Diallo

 Assis en face de la mer, je regarde défiler la danse des vagues tout lentement. A ce moment précis je suis calme et serein. Je sais bien que beaucoup ne me comprennent pas ni l’objet de mes choix mais j’assume ce que je fais. Vous avez cru un moment que je suis un homme parfait ? Un gentleman ou comme un prince charmant ? Non je suis un être humain fait de chair et de sang. Je ne me prends pas de la meilleure des manières mais je vais devoir accepter mon destin.

Une main derrière moi me fait retourner et je vois le visage de Ramah.

-          Je t’ai cherché un moment mais je ne t’ai pas vu

-          Tu as cru que je suis parti de laissant seule ?

-          Je crois en toi, et je sais rien que tu ne feras pas cela  

Elle s’est assise sur la sable à mes cotés avec son châle sur les épaules.

-          Tu veux être seul ?

-          Non plus maintenant

-          Tu pensais a quoi dis moi ? si tu le veux bien sur

-          Tu n’es pas prête de le savoir et en plus je ne veux pas gâcher notre séjour

-          C’est toujours mieux de savoir

-          Je te promets de te le dire, quand j’en aurai le courage

-          Ne met pas long stp

-          Promis

-          Tu es déjà monté à cheval ?

-          Non pas depuis mon enfance

-          Allons aux écuries donc

-          Non mais j’ai peur, je ne sais pas enfin.

-          Je suis là.

Nous avons fait un tour chacun sur son cheval en causant tel de vrais amoureux. Elle m’a parlé de son enfance, ses craintes, ses espoirs et ses attentes. Je peux bien voir  que le courant passe très bien être nous et peut être l’amour aussi avec le temps de mon coté.

Le soir venu après les prières, nous avons mangé les mets cuisinés par la bonne dame qui est responsable de cet endroit depuis bien des années déjà.  Ma femme est allée prendre son bain et moi devant la cheminée, je sirotais une tasse de thé au gingembre.

Elle est revenue s’asseoir en face de moi les pieds liés.

-          Et si on jouait à action vérité ?

-          On peut aussi jouer à cache-cache tant qu’on y est

-          Oh ça sera amusant, et en plus on n’a pas de télé pour nous divertir

-          Ok si tu y tiens

-          On commence par toi. Action ou vérité ?

-          Vérité

-          Combien de femmes as tu  déjà embrasser ?

-          Euhhhh 4 tout a plus

-          Uhum uhumm

-          Action ou vérité ?

-          Vérité

-          As-tu déjà fait l’amour ?

-          Ah euh je donne ma langue au chat

-          Uhum. C’est un jeu sincère ou bien on peut zapper les questions

-          On dit la vérité

-          Ok

-          Action ou vérité ?

-          Action

-          Embrasse-moi

Je voulais laisser  cette histoire de vérité mais je suis bien enfourné maintenant. Tout doucement elle s’est levée de sa place et nos lèvres se sont entremêlées. Nous avons approfondies le baiser et les choses allaient plus loin. J’ai passé ma main sur sa taille et elle à passer mes mains sous mes épaules. Sans savoir le déroulement des choses je me retrouve sans mon sweat. Je la fais coucher sur le tapis et je suis passé en dessus d’elle. Cela fait tellement longtemps que je n'ai pas touché une femme que mes sens se réveillent petit à petit et je ne me contrôle plus.J’ai de plus en plus envie de la posséder et de faire de son corps ce que je veux.

 

RAMATA SALL

Je tremble comme une feuille aux caresses intenses de mon bourreau de mari. Sa langue experte parcours chaque parcelle de mon corps et c’est divinement bon. Il lèche mes oreilles et mon cou comme s’il dégustait une glace et moi je ne suis plus que soupire et transpiration. D’un geste d’expert il soulève ma petite nuisette pour y déposer des baisers en enfonçant sa langue dans ce dernier.Je n’étais que frissons quand je sentis des caresses sur mon bouton rose. C’est une sensation là que je n’avais jamais connu auparavant. Il soulève mon pied et en bas de mes cuisses tout doucement il me caresse entre mes jambes et cela a le don de décalquer le plaisir.

Mes seins durcissent et la couleur de ses yeux voilés de plaisir transpose la luxure et put l’envie. Je veux ressentir cet homme en moi et je suis enfin prête à le recueillir dans ma grotte.Il a fini par enlever mon slip et intuitivement je ferme mes cuises. Il remonte sur mes seins et la torture infligé aux bouts de ceux-ci est au summum. Néanmoins ça fait plus bon que mal.J’ai repris le contrôle de la chose en me basculant sur lui afin de bien appuyer mes fesses nu sur la bosse de son pantalon. Je fais un treck comme un évier, je sens la monté de mon membre qui est dur comme fer.

J’ai parcouru son visage et son corps mais je sens bien qu’il souhaites aller loin. J’ondulai mes reins et il me tien bien fort la main le poussant à le regarder. Il baissa son pantalon et en fait sortir l’animal de sa tanière. Ce n’était pas quelque choses de petit alors j’ai pris tout de même peur.

Il frotta sa verge a l’entrée de ma grotte comme pour me demander la permission d’entre en quand j’enroule fort bien mes pieds autour de ses hanches il alla bien loin.Il pousse sa verge tout naturellement mais sauf que le passage n’était pas comme il l’imaginait car j’étais a cet effet vierge. Il s’arrête net comme un enfant qu’on a stoppé dans sa course. Il me regarde dans les yeux un moment sans rien dire.

-          Ne gâche pas ce moment et notre plaisir stp. Je suis prête prends moi

-          Excuse-moi

Mon approbation changea tout. Ce soir pour la première fois mon mari me défleuri et me fit l’amour. J’ai ressentis une douleur à la rupture de l’hymen tout naturellement mais après c’était un plaisir. Des coups de reins très puissants et le grognement de mon mari me procurait encore plus de joie, il était satisfait de moi et pour l’heure c’est tout ce qui m’importe.

 

………..A SUIVRE

PS : Certains se plaignent de ne pas comprendre l’histoire, oui cela est tout à fait normal mais cependant, je ne souhaite pas écrire une histoire dont vous imaginer la suite. Pour celles qui comprennent quelque chose j’espère que cela vous plait. Bonne lecture

                   

 

Jusqu'au bout du mon...