Chapitre 29 : Jamal HAMZA.

Ecrit par Dele

Ma famille, ma perte.

Chapitre 29 : Jamal HAMZA

Je contemple cette merveille qui me fait face depuis le début de la soirée en sirotant mon apéritif. J’ai organisé ce dîner exprès pour la torturer. Oui je parle de votre copine Miracle.

Depuis cinq jours elle me torture en s’habillant de façon très sexy mais professionnelle. Elle joue sur son physique et son intelligence pour m'atteindre et j'avoue qu’elle a réussi haut la main. Si je n’étais pas du genre à me contrôler et ai la capacité de porter de masque pour cacher mes émotions, j'allais déjà flancher.

La première fois qu’elle m’est rentré dedans au restaurant son visage m’est resté gravé dans la mémoire contre mon gré. La deuxième fois c’était dans le prêt à porter d'un ami. Le jour là je n'ai pas pu m'empêcher de briser mes règles et d'aller vers elle. Malgré qu'elle n'a pas été courtoise, je me suis promis de s'occuper de son cas plus tard. Si le destin nous a déjà réuni deux fois, alors c’est qu'on allait encore se revoir. Me suis-je dis ce jour là. Je ne suis pas de ceux qui croient que le hasard existe.

C’est la première fois qu’une femme attire mon attention ainsi sans m’avoir fait du rentre dedans. Je n’ai pratiquement jamais fait la cours à une femme. Elles me tombent toutes dans les bras comme des petits pains. Je ne suis pas un saint mais pas le diable non plus. Oui je suis un homme à femme. Tout ce que la femme vœux c’est l'argent. L'amour n'existe pas, du moins n'existe plus si cela avait été le cas.

Je me suis promis de ne jamais me marié avant mes 50 ans. Si Dieu me prête vie bien-sûr. Quand j’aurai 50 ans je ferai un enfant à qui veut bien porter ma progéniture et qui pourra me faire à manger point. Je ne veux qu'un seul enfant. Même si je meurt après il ne manquera de rien.

Pour l'instant je profite de la vie. Je croque la vie à pleine dent. Aucune relation sérieuse juste des plans culs. Je respecte beaucoup la femme mais je ne m’engage jamais pleinement dans aucune relation depuis que j'ai connu le plaisir charnel.

Quand j’ai su que votre copine est mon employé, tous mes espoirs de la mettre dans mon lit s’est envolé. Je suis un homme à femme mais je n'entretiens jamais de relation intime avec mes employés ni mes partenaires femme en affaire. Je ne mélange jamais le travail à mes histoires de fesses.

À part sa beauté, Miracle est travailleuse et très intelligente. J’adore les femmes qui anticipes. À part ma mère, elle est la deuxième femme de mon entourage à anticiper sur mes choix, mes pensées et mes goûts.

Les trois semaines que j’ai  passé à travailler avec elle m’ont permis de la connaître davantage. Elle est attentionnée et apprend vite. C’était prévu que je la garde sous mon ail pendant deux mois au moins mais à la troisième semaine j'ai dû la libéré parce que je risquais de la sauter sans préavis.

Je ne savais même pas ce qui m'avait pris d'aller la voir dans son bureau avant mon départ. J'ai faillit commis l’irréparable. Dieu merci je me suis repris aussitôt.

Si je suis parti pendant cinq mois, c’est dans le but de pouvoir l’oublier. J'ai compris qu'elle m'obsédait donc il fallait m'en éloigné. C'est la première fois qu'une femme me fait autant d’effets. Je croyais l'avoir oublier en revenant mettre de l’ordre dans leur filiale quand elle a débarquée dans mon bureau et là bam ! je suis revenu au point de départ. Je ne peux pas dire que je suis amoureux d’elle mais elle me plaît énormément. Son visage, sa forme au complet et surtout son c***l me hante à chaque fois.

Depuis cinq jours je suis resté à l’étroit dans mon pantalon. Tous les jours je vous dis. C'est la seule mission que j'ai effectué de toute ma vie en changeant des femmes comme des sous vêtements. Oui, chaque soir depuis qu'on est là j'appelle l’une de mes conquête pour venir calmé mon mini moi que Miracle prend le plaisir de torturer toute la journée.

Je sais que je lui fait de l'effet et je sais aussi que ce serait un jeu de la mettre dans mon lit. Ce dîner est une manière pour moi de lui rendre la monnaie de sa pièce. La voir rougir de jalousie comme ça me fait sourire. Ça se voit clairement qu'elle fait un effort surhumain pour se contenir. Sa prouve ce que je disais. Elle est amoureuse de moi.

Je constate qu'elle ne participe pas à notre conversation.

Moi : (la fixant) ça va ?

Miracle : (forçant un sourire) oui Monsieur. Dit-elle avec toute la peine du monde.

Moi (intérieurement) : ce n'est que le début de ta punition mademoiselle BOLADJI. Accroche-toi.

Je me concentre sur le désert en faisant semblant de jouer à l'amoureux avec ma conquête de la soirée.Sûrement incapable de supporter davantage l'ambiance de la soirée, elle s’excuse pour aller se mettre à l’aise. Dès qu'elle se lève, j'ai le souffle coupé. Seigneur Jésus Mari Joseph ! La jupe rouge lui va comme une seconde peau et son derrière, ce déhanchement. Merde les gars je signe forfait. Miracle tu passeras la nuit dans mon lit ce soir que tu le veuilles ou pas. Je fais signe à l'un de mes gardes du corps pour changer le programme de la soirée. Dès que mon obsession revient, je mets fin a la soirée en les remerciant pour le moment passé ensemble et les devance m'assoir dans la limousine de Miracle.

Comme je vous le disais ce n’est pas de mes habitudes de sortir avec mes employés mais cette fois-ci je fais l’exception avec votre copine. Après l’avoir déguster je suis sûr qu’elle va cesser de me hanter. Je ne veux aucune attache. Je sais que je lui plaît aussi donc ce dossier est déjà clos. la soirée sera longue, très très longue même. Elle va éteindre le feu qu’elle a allumé en moi consciemment.

Dès qu'elle rentre dans la limousine et me voit, elle sursaute.

Moi : désolé de vous avoir fait peur.

Elle : (voulant sortir de la limousine) désolé Monsieur je me suis trompé de voiture.

Je la retiens par le poignet et je la sens frissonner.

Moi : vous ne vous êtes pas trompé de voiture mademoiselle.

Elle : (rouge comme une tomate) d'accord. Elle ferme la portière et met une distance raisonnable entre nous. Je souris juste et me concentre sur mon téléphone.

La voiture se gare devant l'une de mes propriétés.

Elle : (surprise de constater que nous ne sommes pas à l’hôtel) qu'est-ce qu'on fait ici ? Ce n'est pas l’hôtel ici.

Moi : (lui tendant la main) je le sais. Venez avec moi.

Elle : (béguellant) désolé mais je veux rentrer à l’hôtel. je suis fatiguée, j’ai les maux de tête, j’ai la fièvre..

Moi : (l'interrompant) détendez-vous je ne vous veux aucun mal. Suivez-moi s’il vous plaît.

Elle hésite et je lui prend la main en l’entrainant vers l’entrée.

Je vais l'installer sur la terrasse au bord de la piscine. Endroit où j’ai donné l'ordre de rendre somptueux avant notre arrivée. À voir comment elle regarde autour d’elle, elle est déjà conquise par le cadre.

Je la sens tendue et pour détendre l’atmosphère je lui fais la causette.

Selon mes recherches elle est célibataire ce qui m’arrange par ce que je ne partage pas ce qui est mien.

Moi : et la fatigue de ces cinq derniers jours ?

Elle : épuisant mais ça peut aller Monsieur. (dit-elle en fuyant presque mon regard).

Moi : appelle-moi Jamal. On peut se tutoyer. Cela va faciliter la conversation. Dis-je en fixant ces lèvres pulpeuses que j’ai envi de croquer là tout de suite.

Elle : Pourquoi m'avez-vous amener ici ?

Moi : pour prendre un verre. J'aime boir du vin en bonne compagnie les soirs quand je suis de bonne humeur et c’est le cas ce soir.

Elle : je ne prends pas de l'alcool désolé.

Moi : pas grave accompagne moi alors.

Elle : pourquoi m'avoir choisi et pas ma collègue.

Moi : parce que tu me plais mademoiselle BOLADJI.

Elle fait semblant de ne pas entendre ce que je lui ai dit et boit une gorgé du vin tout en fuyant mon regard. Elle doit être une débutante celle là.

Moi : (lui faisant mon plus beau sourire) Pourquoi tu fuies mon regard à chaque fois ? selon mes expériences, c’est quand une femme est amoureuse qu'elle a du mal à supporter le regard de celui qu’elle aime. Est-ce le cas ?

Elle : (essayant de dissimuler son gêne) quoi ? Non pas du tout je….

En un mouvement je capture ses lèvres en étouffant le reste de sa phrase. Sous l’effet de la surprise elle reste immobile. Je force ses lèvres à s’ouvrir en les pinçant. Elle gémis de douleur et relâche ses lèvres. Je lui tape une de ces perles qui peut faire renoncer au voeux de chasteté à une nonne. Quand je détache mes lèvres des tiennes, elle a toujours les yeux fermés. Pour la faire revenir à la réalité je lui caresse la joue en la taquinant.

Moi : eh oh ! Ici la terre. Dis-je en souriant.

Elle revient à elle toute rouge comme une tomate.

Elle : (balbutiant) pourquoi faites-vous ça ?

Moi : par ce que j’en avais envie.

Elle : vous êtes mon patron et je ne peux pas sortir avec vous. Je ne mélange pas vie professionnelle et celle privé. Ne refaite plus jamais cela s’il vous plaît.

Moi : regarde moi droit dans les yeux et dit moi que tu n’as pas aimer.

Elle : on a un long voyage à faire demain et j’ai besoin de me reposer.

Moi : tu as la journée de demain qui est samedi et le dimanche pour te reposer donc on a tout le temps. Écoute, tu me plais énormément et je voudrais qu’on ai une petite histoire. Ce n'est pas de mes habitudes de sortir avec mes employés mais je vais faire une exception avec toi. Je compte sur ta discrétion. Si c’est de l'argent tu veux t’inquiète donne moi ton prix.

Elle : (l’air choqué) Monsieur Jamal vous me…

Moi : (l'interrompant) pas de Monsieur ce soir. Tutoie moi. Appelle-moi par mon prénom.

Elle : j'avoue que vous me plaisez aussi mais être ce que vous insinuez non. Je suis désolée. Il ne peut rien y avoir entre nous. Il faut que je rentre. (Dit-elle en se levant).

Je constate que je l'ai vexé en lui parlant de l'argent. Elle veut sûrement jouer à la dure. Elles sont toutes comme ça les femmes.

Moi : (allant me mettre debout à sa hauteur avec tout mon sérieux) je suis désolé si ma proposition t'a offensée. Je m’excuse.

Elle : d'accord. Merci pour la soirée et à demain.

Moi : si tu as vraiment accepté mes excuses danse avec moi. Fait quelques pas de dense avec moi. Je ne veux pas que tu rentres fâché après moi.

Elle hésite un peu et me fixe sûrement pour voir si j’étais sérieux. Elle accepte et je l’invite à danser sous hall of me de John Legend.
Je pose une main dans le bas de son dos et plonge mon visage dans son coup. J’adore l’odeur de son parfum et sa peau douce. Je m’arrange pour incruster mon doigt entre l’infirme espace qui sépare son crop-top de sa jupe. Je la sent frissonner.

Moi : (à son oreille en essoufflant dans son coup) ça va ?

Elle : (la gorge nouée) oui.

Je fais des vas et viens avec mon doigt sur sa peau douce tel un velour en soie. Je la sens frissonner de nouveau et elle s’agrippe à ma chemise.

Moi : (toujours le visage enfouie dans son coup) tu as froid ?

Elle : (d’une petite voix) non.

Je relève la tête et plonge mon regard dans le sien.

Moi : pourtant je te sens frissonner.

Elle : (bégayant) arrête de faire ça stp.

Pour toute réponse je capture ses lèvres pour un long et doux baisé passionnant.

Elle : (entre deux baisers) je je t’en supplie Jamal arrête.

Putain j’adore la manière dont elle prononce mon prénom. Cette fille va me rendre dingue. Je la serre dans mes bras avant de me détacher d’elle. Je ne veux pas qu’elle s’évanouisse. Tellement elle est troublée. Je l’entraine vers le bord de la piscine et l’enlace par derrière en enfouissant mon visage dans son coup en lui faisant de petits bisous. J'adore l'odeur de son parfum.

Moi : je veux que tu nous donnes une chance Miracle. Tu me plais énormément et j’ai envi d’avoir une relation avec toi. Notre relation ne va pas impacter sur notre travail. Nous sommes tous deux adultes, nous saurons comment faire la part des choses. Laisse-moi t’aimer stp.

Elle : (se détachant de moi pour me faire face) je ne crois pas que cela soit une bonne idée. Tu me plaît énormément mais je n’ai pas envie de me lancer dans ce genre de relation. Je serai la seule à en souffrir après.

Moi : je sais que tu es amoureuse de moi et je ferai tout pour ne pas te blesser. Je ne te promets pas le mariage ni la fidélité absolue mais sache que je vais toujours te respecter et te reconnaître ta place.

Elle : et quelle sera ma place Jamal ?

J’avoue que sa question m’a prise de cour du coup je suis resté silencieux en la fixant.

Elle : (sourire jaune) Je veux rentrer. Dit-elle en voulant partir.

J’attrape son poignet en la retenant.

Elle : je ne veux pas être ton plan cul Jamal.

Moi : je n’ai pas dit ça.

Elle : bien sûr que tu l’as dit. Si ce n'est pas le cas pourquoi me parlais tu tout à l’heure de me payer ? Je ne suis pas une pute ou le genre de fille qui couche pour les biens matériels. Je veux une relation sérieuse ce que tu n’es pas en mesure de me donner donc ça ne peut pas marcher entre nous.

Moi : ne nous empêche pas d’être heureux stp.

Elle reste silencieuse en fixant un point à l’horizon. À voir le sérieux qui était dans sa voix quand elle a parlée tout à l’heure j'ai su que je l'ai blessé. Quel genre de fille est-elle ? Quelle fille ne voudrait pas coucher avec Jamal HAMZA ? Elle est la première femme à qui je fais la cour parce qu'elle ne se décidait pas de faire le premier pas et dès que je le fais, elle me sort ça ? Je refuse de la laisser partir comme ça. J'essaie de l'embrasser à nouveau mais elle détourne poliment la tête.

Moi : regarde-moi. Dis-je en attrapant son mentons en la forçant à me fixer.

Elle : je ne changerai pas d'avis Jamal. Je ne….

Sa phrase meurt dans ma bouche parce que je viens de capturer ses lèvres à nouveau. Je l’embrasse à en perdre l'haleine.

Mira : (perdant pied) je t'en supplie arrête, please.

J’ignore ses supplication en m'abaissant pour la porter dans mes bras et l’emmener à l’étage quand elle se détache vivement de moi en respirant comme quelqu’un qui vient de faire un marathon.

Mira : je veux rentrer je t’en supplie. Dit-elle les larmes dans la voix et toute tremblante.

Je la fixe pendant un moment et décide de la laisser partir contre mon gré. Je suis tout sauf un violeur.

Je lui prends la main et nous nous dirigeons vers la sortie. Je lui ouvre la portière avant de contourner la voiture pour m’installer à mon tour à ses côtés.

Le trajet du retour se fait en silence. Elle avait le regard tourner vers l’extérieur. J’ai compris qu’elle ne voulait pas parler donc je l’ai laissé dans ses pensées. Une fois arrivé à l’hôtel je l’accompagne jusqu’à sa chambre.

Elle : merci pour la soirée. Dit-elle en me tournant le dos pour rentrer dans sa chambre.

Moi : (la retenant par la taille) attend stp. (Elle se retourne et me fixe) tu es sûr de ta décision ?

Elle : (après quelques secondes de silence) oui.

Moi : regarde-moi droit dans les yeux et répond.

Elle : (me fixant en battant les cils comme une poupée) oui.

Moi : la prochaine fois soit plus convaincante quand tu veux mentir à quelqu’un. Je ne vais pas te forcer à changer d’avis mais permet-moi de t’embrasser une dernière fois.

Elle fait un pas en arrière en plaçant ses deux mains devant elle comme pour me dire stop t’approche pas de moi. Ce qui m’a fait sourire.

Moi : ce n’était pas une requête chérie. C’est un ordre. Dis-je avant de la tirer contre moi et de capturer ses lèvres en passant ma main droite derrière sa nuque.

Je la serre contre moi pour qu’elle sente ma bosse, qu’elle voit l’effet qu’elle me fait. Voulant profiter de son moment de faiblesse pour arriver à mes fins, j’ouvre la porte en nous poussant à l’intérieur. Aucune femme n’a jamais résister à mon baisé, mes doigts ni à mon charme et elle ne fera pas l’exception. En voulant fermé la porte derrière nous elle se dégage de moi comme si quelqu’un ou quelque chose venait de la piquer la ramenant à la réalité. Mais qu’est-ce qu'elle a ? Pourquoi ne se laisse t-elle pas faire ?

Elle : (béguellant) ne fait plus un pas en avant. Vas t’en s’il te plaît. Jamal sort s'il te plaît.

Je la fixe en mettant les mains dans les poches. Elle soutient mon regard un instant avant de détourner le tien et de me tourner le dos. Putain sait-elle que c’est ce qui me rend dingue chez elle qu’elle vient d'exposer devant moi ?

Je veux m’avancer vers elle pour la convaincre de se laisser faire mais me ravise. Elle viendra vers moi d’elle-même. Je suis le célibataire le plus convoité de l’Afrique et du monde entier et toutes les filles rêvent de se retrouver dans mon lit et elle est déjà fall in love de moi donc le reste ce n’est qu’un jeu. Je suis sûr que c’est par ce que je lui ai avoué qu’elle me plaît qu’elle veut faire la dure. Elle veut jouer ? OK jouons.

Je suis touché dans mon égos d'homme comme Jamais je ne l'ai été. Du haut de mes 30 ans elle est la seule femme qui vient de me repousser en refusant mes avances. Je ne parle même pas d'argent avant qu’elles ne se déshabillent d'elles-même. Miracle BOLADJI qui es-tu pour me résister ?

Moi : merci pour la soirée. J’ai passé un bon moment en ta compagnie. Si tu changes d’avis en ce qui nous concerne, tu connais mon numéro et tu sais où me trouver. Dis-je en sortant de sa chambre.

Je ne laisserai pas passer ce affront crois-moi Miracle BOLADJI. Oui je considère son refus comme un affront et je me promets d’user de tous les moyens pour la mettre dans mon lit et de la jeter juste après pour lui apprendre que ce n'est pas à tous les hommes qu'on tient tête. Promesse de  JAMAL HAMZA.

#nikê #chro

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