CHAPITRE 31: RAPPROCHEMENT

Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA

CHAPITRE 31: RAPPROCHEMENT.


**CLARA CLARK**


Je suis actuellement au géant ckdo avec Kenji pour faire les courses de sa maison. Nous sommes à deux semaines depuis la fois où nous avons passé la nuit ensemble. Ce jour, comme je l'avais dit, il ne s'était rien passé. Nous avions simplement dormi et nous nous sommes réveillés le lendemain autour de 9h. Après s'être douchés, j'avais fait le petit déjeuner que nous avons pris ensemble avant qu'il ne me laisse chez Charly. Cette dernière était d'ailleurs très intriguée par le fait que non seulement j'avais dormi chez lui, mais aussi parce que j'avais ses vêtements aux corps, les miens étant sales. Après que celui-ci se soit retiré, elle était tombée sur moi pour m'affubler de questions. 


Charly : Tu m'expliques ce qui se passe ? Comment se fait-il que tu sois partie de la maison avec Luce hier à 14h et que tu reviennes un jour plus tard avec Kenji ? Depuis quand vous êtes amis jusqu'à ce que tu passes la nuit avec lui ? Et ses vêtements ? Vous avez couché ensemble ? Et tu


Moi: (La coupant en souriant) Une question à la fois chérie, sinon on risque de ne pas s'en sortir. Asseyons-nous d'abord. (Ce que nous avons fait) Où sont les enfants ? 


Charly : Je les ai déposés ce matin chez tantine Henriette, elle les a réclamé pour la journée. 


Moi: Et comme ils savent que c'est leur mamie gâteau, ils ont sauté de joie. 


Charly: Bien sûr, mais ne change pas de sujet. Je veux que tu m'expliques le pourquoi du comment. 


Moi: (Souriant) Hum. Avant toute chose, je tiens à dire qu'il ne s'est rien passé entre nous. Nous avons dormi ensemble tous les deux sur le même lit mais nous n'avons pas couché ensemble. 


Charly: Il s'est d'abord passé quoi pour que tu te retrouves chez lui ? 


Moi : J’étais avec Van, Luce et d'autres amis à eux dans un bar lounge du côté de Glass à vrai dire je n'allais plus mettre du temps là, lorsque je l'ai vu rentrer. À sa façon de marcher et à son expression faciale, j'ai su qu'il avait un problème. 


Charly : (Un peu triste) Je sais. Il était ici hier et nous avons eu une discussion. Il a aussi rencontré BJ et j'ai dû lui raconter toute l'histoire. Il est parti d'ici très perturbé. 


Moi: (Acquiesçant) En effet. Il est directement allé s'asseoir au comptoir et a commandé un verre de whisky. 


Charly : Pourtant il n'aime pas ça. 


Moi: (Souriant en y pensant) Oui. Alors comme je l'ai reconnu, j'ai décidé d'aller juste le saluer. Mais devant son air retissant et assez contrarié par ma présence, j'ai décidé de rester à côté de lui pour le faire parler. 


Charly : (Souriante) Encore toi-même. 


Moi: Tu me connais, plus on me résiste et plus je m'accroche. Après avoir longtemps boudé, il a fini par me dire la raison de sa présence là-bas, de comment il venait d'apprendre que son meilleur ami et la femme qu'il aimait s'étaient joués de lui, qu'ils avaient couché ensemble et avaient même eu un enfant et que donc il était anéanti. 


Je voyais déjà que Charly était devenue plus triste après que je lui avais rapporté ce que Kenji m'avait dit, elle s'en voulait vraiment. 


Moi: (Lui touchant la main) Ne t'en fais pas pour lui et ne sois pas triste. Ce n'est pas aussi grave que ce qu'il paraît et je le lui ai fait remarquer. 


Charly: Comment ça? 


Moi: (Souriant) Bah je lui ai simplement mis en face de la réalité des choses. Je l'ai forcé à faire appel à sa raison et à son subconscient, le problème a été très vite résolu. Tu sais quelque part, il le savait, tout au fond de lui, il a toujours su que quelque chose de spéciale te liait à Bradley et que tôt ou tard cela allait se manifester. Dès qu'il a réalisé ça, il allait beaucoup mieux. Nous avons ensuite commencé à discuter lui et moi d'autres sujets, puis il m'a proposé de rentrer et je l'ai suivi. Il m'a conduit chez lui. 


Charly : Tu ne t'ai pas dit qu'il avait quelque chose en tête en t'emmenant chez lui ? 


Moi: Si. 


Charly : (Surprise) Et tu l'as quand même suivie ? 


Moi: (Riant devant son air) Tu sais que moi j'aime le risque non. 


Charly : Maintenant, s'il te violentait là-bas et te forçait à coucher avec lui. 


Moi: (Blaguant) La vérité est que j'allais l'aider à me violenter, tu as vu le spécimen ? 


Charly: (Ouvrant la bouche choquée) 


Moi: (Éclatant de rire) C’est une blague voyons. 


Charly: (Me donnant une tape sur l'épaule) Ce n'est pas drôle. 


Moi: (Riant toujours) Tu aurais dû voir ta tête, je te jure que c'était trop drôle. (plus sérieuse) si j'ai choisi de le suivre c'est parce que j'ai estimé que je n'allais pas être en danger avec lui. Je ne suis pas sûre à 100% mais ce n'est pas le genre de mec qui peut forcer une fille à faire quoi que ce soit sans son accord. 


Charly: (Pensive) C’est vrai que ce n'est pas son genre. 


Moi: Du coup, je l'ai suivi sans hésiter. Je t'avoue que je me sentais très à l'aise en sa présence au point où j'ai rangé sa cuisine, cuisiné et lui ai même fait une liste de courses. 


Charly: (Étonnée) Sans blague ? 


Moi: (Souriant) Je suis même la première surprise. Si tu nous voyais ensemble hier, tu aurais dit que soit on était des amis de longue date, soit un vieux couple. Je ne sais pas pourquoi je suis autant à l'aise en sa présence alors que ce genre de chose m'arrive très rarement avec des inconnus. 


Charly: Ah. 


Moi: Quoi qu'il en soit, j'ai cuisiné et nous avons mangé. Après quoi nous avons continué à boire et à discuter jusqu'à ce que je me rende compte de l'heure et que je lui dise qu'il fallait que je rentre. Il n'a pas voulu que j'emprunte un taxi toute seule à pareille heure et ne pouvait pas non plus venir me déposer vu qu'il avait également consommé. La seule alternative qui me restait était de dormir chez lui. La 2e chambre n'étant pas aménagée, j'ai donc dû dormir avec lui. Voici là, madame, le pourquoi du comment. 


Charly : Hum. Dis je peux te demander quelque chose ? 


Moi: Vas-y. 


Charly : Il te plaît ? 


Moi: Je le trouve très beau et d'agréable compagnie c'est une certitude. Maintenant est-ce qu'il me plaît, je ne sais pas trop. Je n'y ai pas réfléchi. 


Charly: Je vois. En tout cas si jamais il veut tenter quelque chose, ne te retiens pas à cause de moi. Il ne s'est pas passé grand-chose entre lui et moi et notre relation n'a duré que quelques semaines. 


Moi: Je pense que nous allons rester amis. Ce serait trop compliqué d'avoir une relation avec lui. Lui ici et moi au Canada, comment va-t-on faire ? Trop de stress et de tracasseries. Je n'ai aucunement envie de me prendre la tête avec ça. 


Charly : D'accord. 


La discussion s'était arrêtée là. Les jours qui avaient suivis, je parlais énormément avec lui au téléphone et on s'était vu 2 ou 3 fois pour déjeuner ensemble. Il m'avait même déjà une fois entraîné dans son bureau pour voir où il bossait. J'avais passé le reste de mon après-midi là-bas et j'y avais même vu Bradley qui était assez surpris de me voir là mais n'avait fait aucun commentaire. Il m'avait saluée sans plus avant de retourner dans son bureau. J'avais demandé à Kenji s'il avait parlé avec lui de sa découverte et il m'avait dit non, que cela n'en valait pas la peine et que leur amitié était bien plus précieuse, il préférait laisser ça au passé et aller de l'avant. J'avais été contente de l'apprendre et j'en avais profité pour lui parler de Charly qui s'en voulait énormément par rapport à son acte. Le soir même en me déposant, il avait parlé avec elle et lui avait dit qu'il lui avait pardonné et qu'ils pouvaient passer à autre chose et redevenir amis comme avant. Il avait également joué avec les enfants avant de s'en aller. Charly m'avait remerciée pour mon aide. 


Ce matin, étant samedi, j'ai été surprise de recevoir son appel à 8h du matin pour m'annoncer qu'il était garé devant mon portail. Après m'avoir entraînée dans un restaurant pour le petit déjeuner, il m'a présenté la fameuse liste de courses que je lui avais faite. 


Moi: Qu'est ce que c'est ? 


Kenji: C'est ta liste de courses. 


Moi: Je vois bien que c'est ma liste. D'ailleurs rectification, c'est la liste que j'avais faite pour toi et donc c'est ta liste de courses. 


Kenji: Hum. 


Moi: Une fois ceci rétablit, la question qui se pose est pourquoi est-ce que tu me la présentes? 


Kenji: Qu'est ce que je t'avais dit lorsque tu étais en train de l'écrire ? 


Moi: Que si je l'écrivais, j'allais aussi être là pour faire les achats et les ranger. 


Kenji: Et qu'avais-tu répondu ? 


Moi: (Souriant) Que cela ne me faisait pas peur. 


Kenji: Ce à quoi j'avais répliqué ? 


Moi: Les grands diseurs sont rarement des grands faiseurs. 


Kenji: Et tu avais répondu ? 


Moi: (Prise au piège) Je ne m'en souviens plus. 


Kenji: Bien sûr que si, tu t'en souviens et bien même. Mais je vais quand même te rafraîchir la mémoire. Tu m'avais répondu et ce en me fixant dans les yeux que, je cite "malheureusement pour toi je suis une diseuse qui fait TOUJOURS ce qu'elle dit". Je vous prends aux mots madame. 


Moi: Hum. 


Kenji: Allez, finissez votre verre et on s'en va. La journée va être longue. 


C'est ainsi qu'il m'a entraînée avec lui ici pour faire les courses. En plus des choses de son frigo, nous avons aussi pris des choses pour la douche, la cuisine et le salon. On a fini avec deux gros chariots bien plein. On était en train de mettre les courses dans le coffre de sa voiture quand on a écouté derrière nous. 


-Monsieur Ella ? 


On s'est tous les deux retournés pour tomber sur deux jeunes femmes, très belles en plus. Celle qui sans doute l'avait appelé, s'est directement approchée et lui a fait un bisou sur la bouche. Il a été surpris car il ne s'y attendait pas et a légèrement mis une distance entre elle et lui après avoir rapidement jeté un regard vers moi. 


Kenji: (Embarrassé) Sabrina. 


Sabrina : Je savais que c'était toi. Je ne me suis pas trompée. Tu fais quoi ici ? 


Kenji: Je faisais quelques courses pour la maison. 


Sabrina : (Regardant les chariots) Depuis quand toi tu fais les courses ? À chaque fois ton frigo est toujours vide. 


Kenji: Depuis qu'on m'a conseillé de le faire. 


Sabrina : Qui?


Kenji: Clara. 


Sabrina : C'est qui Clara ? 


Kenji: (Me montrant) C'est elle. 


Moi: Bonjour 


Elle s'est mise à me regarder de la tête aux pieds avec un petit air de dégoût avant de reporter son attention sur lui et m'ignorer comme si je n'existais pas. 


Sabrina : (Se collant à lui) On se voit quand ? Ça fait longtemps que (passant sa main sur son entrejambe) on ne s'est pas fait du bien. Ton mini toi me manque. 


Kenji: (Retirant sa main avant de la décoller de lui, gêné) Je ne sais pas, actuellement je suis très pris. 


Sabrina : Tu es pris par quoi ? 


Kenji: Le boulot. 


Sabrina : Mais tu as le temps de venir faire les courses avec la blanche. (Il a levé les yeux vers moi et elle a suivi son regard) Tu la baises aussi n'est-ce pas ? 


Kenji: (Choqué) Pardon ? 


Sabrina : Bah quoi, il faut répondre. Tu n'as pas le temps pour moi mais tu en as pour elle, c'est elle ton vide couille du moment non, jusqu'à tu viens faire les courses avec elle alors que tout le monde sait que tu détestes faire ça ou bien comme c'est une blanche c'est pour ça que tu le fais. 


Je voyais bien qu'il était très embarrassé, choqué mais aussi en colère. Cette jeune femme était très belle mais tellement vulgaire que je me demandais comment il avait fait pour être avec elle s'il était question de sa petite amie. Vu le nombre d'informations qu'elle avait sur lui, ils avaient forcément été proches et ce plus d'une fois. 


Kenji: (Ton dur) C'est le genre de bêtises que je ne tolère pas Sabrina. Si tu es folle, ou si tu as fumé le chanvre, il faut savoir le tempérer quand tu es en face de moi, tu comprends ? Tu te prends pour qui ? Si tu es une vide couille, on t'a dit que c'est le cas de tout le monde ? 


Sabrina : (Choquée) C'est à moi que tu parles comme ça ? C'est moi que traites de vide couille Ella ? 


Kenji: Je ne peux pas te parler de la sorte que tu es qui ? D'abord on te salue , tu ne réponds pas, tu te mets à dévisager les gens et après tu la traites de vide couille, tu es malade ? Tu la connais ? Et c'est monsieur Ella pour toi, on n'a pas élevé les cochons ensemble. Tu veux le respect et tu es incapable de respecter les autres. 


Elle avait déjà les yeux rouges et son amie ou sa sœur la regardait bizarrement et les gens nous regardaient aussi. 


Moi: Ken s'il te plaît. On peut simplement partir d'ici ? 


Il s'est calmé et lui a dit de s'en aller. Ce qu'elle a fait. Nous avons continué à ranger les choses dans la voiture. Une fois à l'intérieur. 


Kenji: Je suis désolé pour ce qui s'est passé tout à l'heure. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle te parle de la sorte. 


Moi: Ce n'est pas grave, ce genre de choses ne m'atteignent pas. 


Kenji: Aussi je suis désolé pour le baisé, je ne l'ai pas vu venir sinon je l'aurais esquivé. 


Moi: (Souriant) C'est ok. Ce n'est pas comme si toi et moi on sortait ensemble pour que je me fâche ou que je te demande des explications. Ne te prends pas la tête. On est cool. 


Kenji: (Me regardant) Ok. 


Moi: (Souriant) En plus si toi et moi on avait été ensemble, elle n' aurait pas eu le temps de poser ses mains sur toi, alors sa bouche même n'aurait pas pu atteindre la tienne. 


Kenji: (Démarrant en souriant) Qu'aurais-tu fait? 


Moi: Tu as sans doute entendu le préjugé selon lequel les blanches sont des folles furieuses très possessives n'est-ce pas ? 


Kenji: En effet. 


Moi: (Souriante) Eh bien, je suis celle qui fait encrer la règle et lui donne force. Quand je suis amoureuse, je suis une vraie psychopathe. Pour moi on n'y touche pas sinon je te casse les doigts. 


Kenji: (Riant) Sans blague. Tu lui aurais cassé les doigts?


Moi : (Souriant) Et pas que. Je me serais aussi arrangée à lui griffonner son joli visage pour qu'elle ne revienne plus jamais te troubler avec (il a éclaté de rire) et oui, j'aurais aussi essayé de couper son énorme poitrine et ses grosses fesses qu'elle s'évertuait à coller sur toi. 


Kenji: (Riant) Pendant que tu y es tu ne voudrais directement pas lui faire une chirurgie plastique ? 


Moi: Exactement. 


Kenji: Tu es bien folle. 


Moi: (Souriant) Je te l'ai dit. 


Nous avons continué à raconter et rire jusqu'à chez lui. Bien sûr que les actions de cette fille m'ont fait quelque chose. La voir l'embrasser et passer ses sales mains sur lui m'a énormément dérangée. J'ai dû prendre sur moi pour ne pas réagir, mais cela ne m'a pas plu. J'ai également été jalouse et envieuse du fait qu'ils avaient couché ensemble et ce plusieurs fois. Je me suis aussi demandé combien d'autres filles avaient pu coucher avec lui et je me suis surprise à constater que l'idée qu'il ait pu le faire également avec d'autres filles ne me plaisait pas , parce qu'il ne fallait pas se voiler la face, Kenji était un bel homme qui attirait énormément le regard des femmes. En plus d'avoir un beau visage et un corps de rêve, il s'habillait avec soin et sentait toujours très bon. Il attirait les filles comme le miel attire les abeilles. C'est là où j'ai vraiment réalisé qu'il valait mieux pour nous d'être simplement amis car autre chose ne pourrait pas fonctionner avec lui ici et toutes ces belles femmes autour de lui et moi à Montréal. C'est sur ça que j'ai décidé de me concentrer et j'ai muselé les sentiments qui étaient déjà en train de se développer pour lui. 


Nous sommes arrivés chez lui, on a déchargé et rangé les courses ensemble. J'ai ensuite fait quelque chose à manger. Pour éviter que mes vêtements ne se salissent, il m'a proposé de me changer et m'a passé une de ses chemises qui faisait office de petite robe sur moi. 


Kenji: (Me voyant apparaître dans sa chemise) Tu es vraiment petite dis donc, c'est fou comme mes vêtements sont trop grands pour toi tu n'as même pas besoin de bas. 


Moi: Dis plutôt que tes hauts n'ont jamais été aussi bien portés et mis en valeur. 


Kenji: (Souriant) N’est-ce pas ? 


Moi: (Jouant avec mes cheveux et mes yeux) Avoue que je suis très sexy dans cette chemise. 


Kenji: (Me regardant dans les yeux) Je n'ai jamais dit le contraire. 


J'ai marché de façon sensuelle jusqu'à lui et me suis lentement rapprochée de son visage. Nos bouches étaient très proches, j'ai détourné la mienne pour la ramener à son oreille et lui susurrer. 


Moi: (À son oreille) Ferme la bouche, tu risques de baver. 


J'ai ensuite pris mon verre qui était derrière lui et me suis éloignée de lui en souriant. 


Kenji: (Portant son verre à la bouche, un sourire sur les lèvres) Continue comme ça et tu finiras par trouver ce que tu cherches. 


Moi: (Portant mon verre à la bouche tout en souriant et faisant l'innocente) Je ne vois de quoi tu parles. 


Kenji: C'est très bien. 


J'aime énormément le provoquer de la sorte en flirtant avec lui de façon physique ou par des allusions sexuelles. Je sais que je suis en train de jouer avec le feu mais je n'arrive pas à me retenir. Je ressens à chaque fois le besoin de le titiller de la sorte. Je vois bien que cela le trouble et qu'il se retient énormément pour ne pas me sauter dessus mais cela ne m'empêche pas de le faire. 


Après cette petite séance de flirt, j'ai repris la cuisine et nous sommes passés à table. Après le repas nous sommes allés nous poser au salon où nous avons passé le reste de la journée à discuter de tout et de rien. Je suis rentrée à la maison autour de 21h et j'ai trouvé Charly recroquevillée sur elle-même dans un coin du salon en train de répéter "pas mes enfants", elle pleurait en même temps et avait l'air absente. 


Moi: (Surprise) Qu'est ce qui se passe ?.... 


LE MARI DE MA MEILLE...