CHAPITRE 34: WEE-KEND SUCRÉ 1

Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA

CHAPITRE 34 : WEEK-END SUCRÉ 1

(Excusez les fautes et mots manquants, le sommeil veut ma mort)


**ARSÈNE MFOULA**

Leslie : Archy ?

Moi : Oui ma Douce.

Leslie : Fais moi l’amour.

Moi : Tu as dit que tu as mal au corps.

Leslie : tu as seulement tapé sur mes cuisses, j’ai mal aux cuisses, je n’ai pas mal au vagin.


J’ai souri en entendant ça.


Leslie : Et puis tu as dit que tu vas me masser, tu vas le faire en même temps.

Moi : (Remontant mes mains sur ses seins pour les appuyer sous l’eau en lui mordillant l’oreille ) D’accord. On va sous la douche pour se rincer ?

Leslie : Oui.


Je l’ai soulevé pour sortir de la baignoire et l’emmener sous la douche pour se rincer. J’ai tiré les serviettes et on s’est essuyé avant de retourner dans la chambre. Je suis allé fouiller dans un tiroir et j’ai pris la pommade avant de revenir vers elle.


Moi : Retire la serviette et assieds-toi sur le rebord du lit.


Elle s’est exécutée et j’ai ouvert la pommade qui avait la texture d’un gel blanc inodore que j’ai mis sur ses cuisses par petites touches avant de la masser pour l’étendre sur une plus grande surface. J’ai dû m’agenouiller devant elle pour être à son niveau, mes caresses étaient beaucoup plus sensuelles que thérapeutique et je sentais sa respiration devenir de plus en plus lourde, ses tétons se sont dressés et elle a commencé à se mordre la lèvre inférieure.


Moi : (Me levant) Laisse-moi me laver les mains et je vais m’occuper de toi.

Leslie : Ne dure pas stp.

Moi : Je ne le ferai pas. 


Je suis rapidement allé me laver les mains avant de revenir la trouver. Je me suis arrêté au milieu de la pièce en la regardant quand je me suis rendu compte que je n’avais pas de préservatifs sur moi. C’est demain que j’avais normalement prévu de venir avec elle après la discussion que nous aurions eu elle et moi ce soir. J'allais bien me préparer en conséquence, ma venue ici aujourd’hui n’était pas prévue, je ne suis pas repassé par la maison et donc je n’ai rien pris. J’ai des affaires à moi ici mais il n'y a pas de préservatifs vu que je n’ai jamais emmené une femme ici.


Moi : (Me passant une main sur la tête) Merde !

Leslie : Qu’est-ce qui se passe ?

Moi : Je n’ai pas de préservatifs sur moi Leslie.

Leslie : (Dépitée) Mfoula tu couches les femmes sans préservatif ?

Moi : Non. Tu es la seule femme avec laquelle je l’ai fait après ma première petite amie. Je ne monte pas sur une femme sans préservatif.

Leslie : À quand remonte ton dernier rapport ?

Moi : Deux mois et j’avais un préservatif. 

Leslie : Comment ça se fait donc qu’à chaque fois tu me dise que tu n’as pas de préservatif ?

Moi : La première fois j'en avais mais

Leslie : (Me coupant) Ce n’était pas suffisant. Et aujourd’hui tu n’as rien.

Moi : Oui. Mais attends moi là et je vais aller chercher dans les environs pour voir si je peux m’en procurer.

Leslie : Tu es clean ?

Moi : Hein ?

Leslie : Ton état de santé, je te demande si tu es clean.

Moi : Oui.

Leslie : Alors fais moi l’amour, tu me prendras des pilules et des préservatifs demain matin en pharmacie. On n’a pas besoin d’alerter tout le monde parce qu’on veut faire l’amour et ce n’est pas sur moi Oyame que tu vas monter avec un préservatif de 100f pris chez le boutiquier, je mérite mieux que ça. 

Moi : D’accord .

Leslie : Maintenant viens.


Je me suis rapproché d’elle  et je me suis à nouveau agenouillé avant de l’embrasser sur la poitrine, elle s’est mise à me caresser la tête en gémissant légèrement. J’ai pris en bouche chacun de ses seins tout en faisant glisser ma main vers son sexe. J’ai titillé son clitoris un moment avant d’insérer mon doigt à l’intérieur.


Leslie : (Écartant les jambes en se cambrant) Ô !


J’ai bougé à l’intérieur avant de mettre un deuxième. J’ai quitté ses seins pour faire des baisers aspirés sur son ventre jusqu’à son vagin. La première fois je l’avais fait parce qu’il fallait la maintenir, aujourd’hui je le fais parce que c’est ma femme, on n’est pas marié mais je la considère comme mienne, donc c’est ma femme.  Avec ma main libre, j’exerce une petite pression sur sa poitrine pour l’obliger à s’allonger avant de remonter ses jambes sur le rebord du lit, j’obtiens une meilleure ouverture. Je passe deux coups de langue sur son clitoris avec la pointe de ma langue avant de poser mes lèvres dessus et aspirer tout en pinçant légèrement le minuscule orifice qui y est entré ma langue et mes dents.


Leslie : (Vibrant dans mes mains) Mmmffffooouulaaaaa.


J’ai continué à m’activer sur et dans son sexe avec ma bouche et mes doigts jusqu’à ce qu’elle croise ses jambes autour de mon cou et se mettent à crier « Archy » comme un animal blessé avant de trembler comme une jeune initiée en transe. J’ai attendu quelques minutes puis j’ai desserré ses jambes et je suis monté sur le lit pour la regarder, elle tremblait encore légèrement et pleurait en silence. 


Moi : (Caressant son visage) Ma Douce, tu pleures encore ?

Leslie : (voix frêle) C’est toi qui me fait pleurer.

Moi : Tu n’aimes pas ?

Leslie : Si, c’est pour ça que je pleure.

Moi : Donc tu pleures de plaisir ?

Leslie : Oui. 

Moi : Je vois, on laisse ton corps se calmer et on continue ?

Leslie : Oui, embrasse-moi stp.


Je me suis redressé et l’ai soulevé pour la poser entre les oreillers avant de l’embrasser, son corps avait énormément grimpé en température, on aurait dit qu’elle faisait de la fièvre.


Moi : (Détachant ma bouche de la sienne) Tu vas bien Leslie ?

Leslie : Oui, continue.


C’est elle qui m’a embrassé cette fois-ci avec une telle énergie qui m’a donné envie de me retrouver en elle. J’ai envoyé ma main sur son sexe et c’était bien humide. J’ai écarté ses jambes et me suis mis au milieu en plaçant mon boss à l’entrée de sa cave chaude, rien qu’à ce niveau, je pouvais déjà ressentir la chaleur. J’ai essayé de m’enfoncer en elle mais il y a eu une résistance, c’était comme si elle était encore vierge mais je savais que c’était impossible vu que nous avions déjà couché ensemble et avions deux enfants ensemble.


Moi : À quand remonte ton dernier rapport sexuel ?

Leslie : À toi.

Moi : (Arquant un sourcil) Je ne comprends pas.

Leslie : Tu es le dernier homme à m’avoir touché Mfoula, mon dernier rapport sexuel remonte à toi, il y a bientôt 7 ans.


Je l’ai regardée et je n’ai pas su quoi dire. Je l’ai simplement embrassée avant de mettre un peu plus de pression pour passer et je l’ai fait. Elle a séparé sa bouche de la mienne et est allée me mordre à la base du coup en me griffant dans le dos. Moi-même j’ai eu un coup de frissons qui m’a fait grincer des dents. J’ai attendu un petit moment avant de me mettre à bouger en elle lentement mais en profondeur. Elle me serrait toujours dans ses bras et gémissait à mes oreilles. 


Leslie : (les Pleurs dans la voix, à mon oreille) Je t’aime Mfoula et stp, ne me quitte pas toi aussi.

Moi : (La regardant dans les yeux) Je ne te quitterai jamais, tu as ma parole. (Essuyant les larmes qui coulaient de ses yeux) Je t’aime aussi ma Douce, je t’aime.


Je l’ai embrassée pendant un moment avant que nous ne tournions afin qu’elle se retrouve au dessus et moi en bas. Elle s’est légèrement redressée et s’est mise à tourner les reins au moment rythme que le mien en me fixant dans les yeux avec des larmes coulant le long de ses joues. J’ai fait glisser mes mains jusqu’à ses fesses que j’ai commencé à pétrir au rythme de son déhanché avant de mettre une claque dessus qui l’a fait sourire en se mordant la lèvre inférieure. 


Moi : Tu es une déesse.

Leslie : (Se penchant pour m’embrasser sur la bouche) Je ne suis pas une déesse, mais la tienne, je suis ta déesse et tu es mon dieu. 


Elle m’a à nouveau embrassé avant que nous ne changions de position et qu’elle se couche sur le ventre en écartant légèrement les jambes pour m’accueillir avant de les resserrer une fois à l’intérieur. Je me suis couché sur elle en lui faisant des baisers sur le dos, le cou, les oreilles en caressant le reste de ses courbes et ses bras. 


Moi : (Bisous sur l’épaule ) Je t’ai tellement cherché mon amour, mais elles n’ont pas pu me faire vivre ce que je ressens maintenant entre tes jambes, tu es unique, tu es spéciale, tu es mon trophée, mon trésor. 


Elle s’est légèrement tournée pour m’embrasser. J’ai décalé pour me mettre sur le côté et nous nous sommes retrouvés en cuillère. C’est dans cette position que nous avons joui tous les deux avec moi la serrant fortement dans mes bras pour limiter les tremblements de son corps. Une fois la jouissance passée, elle s’est retournée pour m’embrasser sur la bouche en nouant les doigts de nos mains.


Leslie : Merci.

Moi : Pourquoi ?

Leslie : Pour m’avoir permise de vivre de tels moments dans tes bras, je n’avais jamais été traitée de la sorte par quelqu’un et je ne savais pas qu’on pouvait ressentir autant de plaisir dans la douceur. Je ne m’étais jamais sentie autant aimée et désirée par un homme alors je te remercie de m’avoir montré et fait vivre ça. (Coulant des larmes) Je t’aime.

Moi : (Prenant son visage entre mes mains pour la regarder dans les yeux) Je t’aime aussi ma Douce et j’ai adoré te faire l’amour et que tu me montres ta sensibilité dans notre intimité, même si j’ai toujours su voir en toi. J’avais vu cette aspects de ta personnalité depuis la première fois alors que nous étions au snack. J’avais vu que sous cette énorme carapace que tu traînes, se cachait cette petite Douce et aimante qui cherchait à se faire choyée et rassurée. Je suis là et je prendrai soin de toi.

Leslie : (tenant une de mes mains au niveau du poignet) D’accord.


Je lui ai fait un bisou sur le front avant de la coucher sur ma poitrine. Nous sommes restés dans cette position pendant un bon moment avant que je ne prenne la parole.


Moi : Je trouve que tu as plusieurs traits de ressemblance avec la petite.

Leslie : Qui ? Lucrèce ?

Moi : Oui. Je trouve que vous vous ressemblez énormément et c’est sans doute pourquoi tu as voulu la prendre avec toi. 

Leslie : (Silence)

Moi : Tu sais que toutes les personnes à qui on a dit que c’était ta fille n’ont jamais douté de ce fait parce que vous vous ressemblez énormément ?

Leslie : Je l’ignorais .

Moi : Cette petite te regarde avec les yeux brillants, elle t’admire beaucoup. Tu as intérêt à lui montrer le bon exemple. 

Leslie : D’accord.

Moi : (Après un moment) pourquoi tu n’as plus eu de rapports sexuels après moi ?

Leslie : parce que je ne pouvais pas le faire.

Moi : C’est-à-dire ?

Leslie : Cette grossesse avait tué ma libido et après j’avais eu un dégoût pour les hommes. Je n’acceptais plus qu’ils me touchent jusqu’à ce que je te revois. C’est seulement toi que mon corps accepte et c’est par toi qu’il veut être touché 


J’ai écouté ses propos et je n’ai pas su quoi répondre. Comment est-ce possible ? C’est normal ce genre de choses ? Je ne peux pas comprendre ni expliquer cela, au point de rester silencieux pendant un moment qui a été rompu par elle.


Leslie : Achy ?

Moi : Hun ?

Leslie : Il est quelle heure ?

Moi : (Regardant sur l’écran du téléphone posé sur la tablette) 21h.

Leslie : J’ai faim. 

Moi : (Souriant) C’est compréhensible, notre dernier repas remonte au déjeuner. On va se rincer et voir ce qu’on peut trouver dans la cuisine ?

Leslie : Oui.


Nous nous sommes levés et je l’ai soulevée pour nous rendre à la douche où on s’est débarbouillé rapidement avant de nous essuyer et ressortir. J’ai enfilé une culotte et je lui ai passé un de mes t-shirt avant que nous allions tous les deux d’abord au salon puis à la cuisine. Nous avons trouvé une marmite de sanglier dans son jus avec les tubercules de manioc dans les marmites posées sur le fou. Certainement celle qui a nettoyé la maison a aussi préparé ça. Leslie a réchauffé avant de nous servir et faire un petit dressage sur la table pour que nous mangions. Je ne sais pas pourquoi mais chaque fois que je suis tout seul avec elle, j’ai envie qu’elle me nourrisse. Quand nous sommes au milieu des gens, je pique des choses dans son assiette, je trouve que le goût est meilleur quand je prends ce qu’elle mange.


Moi : (Souriant) Tu n’as pas envie de me nourrir ?

Leslie : (Souriante) Le bébé est de retour ?

Moi : Oui et il veut être nourri par sa mère. 

Leslie : (Souriante) D’accord, recule un peu ta chaise. 


Je l’ai fait et elle est venue s’asseoir à califourchon pour nous nourrir tous les deux. Nous avons vidé les deux assiettes et bu de l’eau avant que je ne pose mes mains sur ses fesses à l’intérieur de mon t-shirt et qu’elle noue ses bras autour de mon cou. 


Leslie : (Souriante) Tu es bien rassasié bébé ?

Moi : (Souriant) Oui, j’ai faim d’autre chose maintenant.

Leslie : (Souriante) Y a-t-il un moyen de satisfaire cette faim ?

Moi : (Souriant) Ma déesse a le secret.

Leslie : (Large sourire) Laisse-la donc te contenter sur ce plan.

Moi : Je n’attends que ça.


Ps : Joyeux anniversaire Précieuse Mankandjou ola, ce bonus est pour toi. 


SECONDE CHANCE