!! Avoir + de 18 ans!!

Chapitre 39: Plus en profondeur.

‘’Amsetou Hassan’’

Est-ce l’ombre d’un sourire que j’aperçois? On dirait mais il ne bouge toujours pas. Je me place devant lui prend sa main droite et la pose sur mon ventre, l’huile corporel d’Elemis m’as été d’un grand secours, et aussi le fait que je n’ai quasiment pas pris du poids durant ma grossesse mais porté deux enfants m’a quand même laissé des traces surtout à ce niveau. Je n’ai pas à chercher son regard très longtemps car à l’instant sa paume touche ma peau, le sien ne quitte plus le mien et ce que j’y vois me pousse à saisir sa main gauche pour la poser sur mon sein droit.

« ‘A’… » murmure t-il

« Je que ce n’est pas pareil que pour toi, mais je ne sais pas si tu vas voir la différence? »

« … » Sa main se referme sur mon sein et son autre main descend jusqu’a mon entre jambe. Son regard passe d’éteint à espiègle en une fraction de seconde.

« Tu triches encore… » je n’ai pas la possibilité d’en dire plus car il me pince le teton et introduis un doigt en moi ce qui a le don de me couper le souffle.

« Premièrement ‘A’ je ne triche pas. » murmure t-il le regard voilé de désir. 

Je prends appui sur son torse pour ne pas tombe « si tu étais habillé à Londres, pas moi. »

Il remue son doigt en moi doucement et sa main quitte mon sein pour se poser sur mes reins et m’apporte plus de support « je n’appelle pas ça triché, mais plutôt tire profit d’une situation. »

J’hoquette , pose ma tête sur lui « ah bon? »

« Oui. » Il semble tellement sûr de son fait.

« Jafar. » Je murmure.

« Deuxièmement tu as complètement raison. » Il sort ses doigts de moi et le vide m’envahit.

« Jafar… » je ne suis que frustration.

Il me soulève pour me posé délicatement sur le lit, me recouvre de son corps « j’ai envie de prendre mon temps cette fois » il pose un baiser délicat sur ma bouche « et c’est exactement ce que je vais faire ‘A’. »

Ses lèvres quittent les miennes beaucoup trop tôt mais je n’ai pas la possibilité de le retenir que sa bouche se referme  déjà sur mon teton droit. Il suce, tire, malaxe en passant d’un sein à un autre sans aucun effort. C’est tellement grisant que tout ce qui se trouve au sud de mon anatomie se crispe. Ses mains délaissent ensuite ma poitrine pour descendre le long de mes hanches, aucune parcelle de mon corps n’est négligé ni par ses mains, ni par sa bouche. 

Quand il arrive sur mon ventre, je le sens embrasse chacune de mes vergetures avec amour « toi tu as produit deux miracles ‘A’. »

Mais de quoi est-ce qu’il parle « … » Oh des changements de mon corps.

Il continue de m’embrasse, descend plus bas jusqu’a mes cuisses. Une jambe après l’autre il embrasse caresse, mordille sans aucune pitié pendant que je me tors de désir et gémir. 

« Jafar, stp stp stp… »

« STP quoi Amsetou… » demande t-il en écartant bien grand mes jambes.

Merde. Il ne mentait pas quand il a dit vouloir prendre son temps, s’il m’appelle Amsetou ça ne veut vouloir dire qu’une chose: il n’en a pas fini avec. Il me sort de mes pensées quand sa bouche se pose sur mon sexe l’engloutissant presque, je manque tellement d’air que tout mon corps se tend mon souffle se bloque mais Jafar continue comme si de rien n’était à joué avec moi. Il lape, lèche suce et juste au moment où je me dit que ça ne peut pas être plus bon que ça il introduit un doigt en moi, pince mon clitoris avec ses lèvres et je vole en éclats. 

Mais il ne s’arrête pas de remué, ce qui a pour effet de faire durer mon plaisir encore et encore et encore et encore. Quand je retombe sur le lit je suis à cours d’énergie, de force et même de logique tellement mon taux d’endorphine est élevé.

« Maintenant second round… » dit-il en se mettent sur moi.

« Non. Maintenant c’est mon tour. » je réponds en le renversant si brusquement que je le prends par surprise et me retrouve assise en califourchon sur lui.

« ‘A’ ne te sens pas obli… »

Je ne laisse pas finir et m’emparer de sa bouche. Il a encore mon goût sur lui ce que je trouve on ne peux plus érotique. Je veux le voir, parcourir comme il l’as avec moi chaque centimètre de son corps. C’est d’ailleurs ce que je fait d’abord avec mes mains ensuite  avec ma bouche.

j’embrasse chaque cicatrice, chaque rougeur. Son corps pour moi ressemble à une oeuvre d’art, un peu comme un tableau géant avec des chemins aléatoires, des marques longues, fourchus, parfois profondes parfois non ne servant qu’un seul but. Démontré la force, le courage mais surtout la beauté de la personne qu’il les porte. 

Mon mari, Jafar Hassan, est l’homme le plus sexy qu’il m’ai été donné de voir et mon coeur a beau se serre de toute la douleur par laquelle il est passé, je me sens honoré, fière d’être sa femme. Je me sens privilégié de devoir le voir comme ça: vulnérable, parce que ce mot en particulier, veut dire qu’avec moi il est lui, tout simplement et ça pour moi est le plus puissant des aphrodisiaque.

Il gémit, supplie que je le prenne en moi mais je ne l’écouté  pas ou du moins je le fais mais bien sur avec ma propre interprétation. Il se relève presque qu’a moitié quand je le gobe sur toute sa longueur, c’est fou que ça m’avait manqué. Son odeur musqué, son goût légèrement salé mais par dessus tout l’impression de pourvoir que j’ai quand je l’ai en bouche.

Je pose une main sur ses abdos pour le repousse sur le lit, le pompe d’abord doucement en essayant de trouve mon rythme ensuite fébrilement. Le voir complètement abandonné à mon bon vouloir absorbant juste le plaisir que je lui donné me donne envie de faire plus. Quand je sens qu’il ne vas plus tenir très longtemps j’envoie mes mains caresse ses testicules  et le bois entièrement pendant qu’il se vide en moi.

‘’Jafar Hassan’’

Waouh! C’est tout ce que je sais dire après cette partie de … appelons un chat un chat de sexe oral complètement démentiel. Je me sens épuisé, heureux et en paix. ‘A’ et moi on a réussi à se trainer jusqu’a la salle de bain pour une douche rapide avant de se remettre au lit, je pourrais ne pas en parlé. Faire un peu l’Autriche mais j’ai promis pas seulement à ma femme de faire un effort mais a moi même d’être le meilleur mari possible.

« Je ne sais pas qui sont mes parents. » Je sais que j’ai toute son attention quand elle pose une main sur mon torse et niche sa tête de manière assez confortable pour me regarde dans les yeux pendant que je lui raconte.

Note de l’auteur: On se retrouve mardi pour la suite les gens. Excellent weekend à vous.