Chapitre 4
Ecrit par Bernardin10
Après être entré dans la banque et tirer en l'air afin de faire taire tout le monde, nous prenions chacun sa positon et le chef Kasika s'occupe du directeur, le tirant vers le coffre.
Quelques minutes depuis que le chef Kasika est parti avec le directeur, les sirènes des voitures de police se font attendre.
Pris de panique, l'adjoint Katoyi tente de nous faire revenir à la raison le temps que le chef termine de récupérer l'argent.
— Je crois que la police est venu plus tôt que prévu annonce le chef Kasika avec deux énormes sacs dans la main. Le plus important c'est d'avoir ce que nous sommes venus chercher et partir d'ici en vie.
Dans la précipitation et la peur d'être pris en flanglance délit, l'équipe se dirigeait vers la voiture en échangeant des tirs avec les agents de la police.
Par malchance un bandit fut touché à l'épaule, le choc et la douleur l'immobilisa à terre.
Cédrick remarqua avec regret que le blessé n'est nul autre que son ami Jean et malgré le danger qu'il courait, son amour pour son ami l'obligeait d'aller lui porter secours, chose que son chef trouva très idiot et dangereux.
— Je ne veux pas perdre deux hommes le même jour hurlait le chef, parfois il faut savoir sacrifier un joueur afin de gagner. Jean n'est pas mort, nous fairons tout pour le récupérer.
C'est dans la douleur, les lamentations et les pleurs que Jean fût laissé à terre pa ses confrères et la police profita de ce moment pour le récupérer, le soigner afin qu'il joue le rôle de témoin dans le but de retrouver ses compagnons
— C'est nous qui t'avons récupéré et soigner commençait un policier, ta bande t'a laissé pour mort et nous avons fait l'essentiel pour te garder en vie.
— Je vous remercie répondit Jean avec une voix faible, mais je ne sais pas en quoi puis-je vous être utile.
— Nous t'avons sauvé la vie, il est temps que tu nous aide à progresser dans notre enquête.
— La loyauté à aussi un prix, je ne peut pas me réveiller le matin et commencer à étaler les noms des personnes avec qui je travaille sans contre partie.
— Nous savons que tu es jeune avec pleins d'ambition, des rêves disait un autre policier. Ta vie en prison sera une barrière pour tout cela. Grace à nous et à nos arguments, le juge peut diminuer ta peine et t'alléger le fardeau de la prison.
Au moment où il voulait ouvrir la bouche pour répondre, un homme habillé en blanc vient pour les interrompre.
— Le malade est encore faible dit le médecin, s'il ne se repose pas, il risque de faire une rechute.
— Nous y reviendrons Mr Jean disait les policiers en se levant, repose-toi bien car l'enquête continue à ton réveil.
La peur de perdre son ami, c'est le seul sentiment qui occupait le coeur et l'esprit de Cédrick. Perdre son seul ami, celui qui lui donnait des conseils dans leur métier, son confident , ... toutes une multitude des qualités qu'occupait Jean dans la vie de Cédrick.
Après plusieurs heures sans nouvelles sur l'etat de santé de son ami, il se tourna vers son chef car il le croyait détenir des informations.
— Pour le moment on est sans nouvelle tentant de rassurer Cédrick, mais notre médecin qui s'occupe de lui est d'une compétence sans égale, sa vie n'est pas en danger.
Les quelques mots finis, Cédrick pas très rassuré se rendit à son domicile, se reposé après une longue journée très chargé.
Le soir après le repas de famille, il guettait son téléphone dans l'attente de l'appel de son chef, chose qui arriva après une long moment d'attente.
— Je sais que la nouvelle ne seras pas très bonne comme tu l'espérais commençait le chef Kasika, mais la vie est faite des hauts et des bas. Jean était ton meilleur ami mais aussi l'un de nos meilleurs éléments.
— Allez droit au but répondit Cédrick impatient, vous ne faisiez que tourné autour du pont.
— Dieu donne et récupère le moment qu'il veut. Nous avons tout fait pour le ramener à la vie mais le destin ne l'a pas voulu. Jean n'est plus de ce monde.