On enterra Jean sous les pleurs et les visages tristes de ses amis, frères et surtout de Cédrick qui regrettait amèrement d'avoir perdu son meilleur ami dans une situation où il avait la chance de le sauver

— Dieu donne et récupère le moment qu'il veut, conclu le pasteur, la seule chose qui nous reste c'est de continuer notre vie en sachant que nous sommes des voyageurs sur cette terre.

A son retour à la maison, toute son entourage lui répétait la même chose :  d'oublier son ami. Chose difficile pour un humain bien constitué.

— Le pasteur a dit vrai mon fils, enchaîne la mère de Cédrick, mais le plus important c'est de penser à l'avenir et faire tout pour rendre fière la mémoire de ton ami. 

— J'ai perdu mon frère et le devoir me revient de faire mon deuil.

— Selon les informations ton soi-disant frère est mort dans un braquage de la banque. Je me demande si toi aussi, tu n'es pas dans ce fameux groupe.

— Je comprends votre inquiétude répond Cédrick en tremblant, mais sois sans crainte , je ne suis pas un brigand.

Après avoir rassuré sa mère, il sort de sa maison, direction la maison de passe où travail Malka, la fille qui l'a dépucelé     

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Surprise de voir son pensionnaire, elle couru à sa rencontre le sourire aux lèvres

— Sois le bienvenue articule-t-elle avec une voix sensuelle, je suis heureux de te revoir.

Et après qu'ils sont entré dans la chambre et discuté du prix, Cédrick se posa sur le lit et intimant l'ordre à Malka de ne rien, juste quelques attouchements pour l'aider à se sentir aimer et oublier chagrin.

— Je sais pas ce que tu as commençant Malka mais j'aurais besoin de partager ta douleur.

Sentant un poids lourd à dégager sur ces épaules, il se mit à relater toute l'histoire concernant son ami mort mais en omettant de dire de la façon dont il perdu la vie.

— Je suis désolé pour ton ami mais la vie ne se limite pas à regarder en arrière. Il est mort, on pleure mais notre vie continue.

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Quelques mois se sont écoulés et le malheur ne fesait que suivre notre héros. Après la mort de son frère, c'était le tour de sa mère d'être rattrapé par sa maladie.

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Un jour, elle fait une crise et elle fut conduit directement dans les urgences à l'hôpital.

— Bonjour monsieur Cédrick disait le docteur qui s'occupait de ma mère, nous avons tout fait pour stabiliser son état mais pour l'instant elle a besoin des médicaments. Prière aller les achetés le plus tôt possible.

— Je vous remercie monsieur le docteur et je ferais tout pour que ma mère retrouve sa santé.

Pris de panique et la peur de perdre sa mère, Cédrick pris la route pour la maison de son patron, le seul homme qui était disposé à lui prêter de l'argent.