CHAPITRE 43: EXPÉRIMENTER LES PLAISIRS DE LA CHAIR1

Ecrit par L'UNIVERS DE JOLA

***CHAPITRE 43:  EXPÉRIMENTER LES PLAISIRS DE LA CHAIR. (1)***


**BENJAMIN NGUEMA**


Je regarde Linda et malgré sa carnation, je peux voir qu'elle est littéralement en train de "rougir ", elle baisse les yeux de gêne et la chair de poule se dessine sur tout son corps. Je souris en déposant mon verre sur la table.


Maman : Vraiment je ne comprends même pas comment on en est venu à parler de chat alors qu'on était en train de parler des fêtes de fin d'année.


Wendy : C'est Jennifer et Benjamin.


Jennifer : Qu'ai je dit dessus ? Je me contente de rire. C'est Benjamin qui a abordé cette histoire.


Moi: J'ai juste mis en exergue ma préférence pour cet animal que je trouve magnifique et d'une volupté sans précédent.


Fresnel : (Regardant Damien avant de me regarder) Vous êtes sur que le gars là parle toujours de l'animal ?


Jennifer a à nouveau éclaté de rire. Mon père qui a sans doute compris l'allusion s'est mis à bouger la tête de gauche à droite tout en portant son verre à la bouche. 


Papa: Je crois qu'on doit rentrer, il commence à se faire tard.


En effet , il était près de 20h maintenant. Nous avons tous vidés nos consommations avant que les deux vieux là se lèvent et aillent vers le comptoir pour régler la facture. Ils sont revenus quelques minutes plus tard et nous ont dit que c'était bon. Nous nous sommes tous levés et sommes sortis. Linda expliquait aux enfants qu'ils devaient partir avec leurs grands-parents et qu'on allait les récupérer samedi. Elle leur a tellement bien dit ça et promis plusieurs choses à leur retour qu'ils n'ont pas rechigné à partir avec eux ainsi que Dorcas. Elle est ensuite allée dire au revoir à Jennifer et à sa fille.  Pendant ce temps, Fresnel s'est rapproché de moi un sourire sur les lèvres .


Fresnel : Bro dit la vérité, c'est du chat dont tu étais en train de parler ou tu parlais d'autres choses ?


Moi: (Souriant) Je parlais du chat, c'est un très bel animal .


Fresnel : Je ne te crois pas.


Moi: Je ne sais pas pourquoi tu ne veux pas me croire pourtant c'est la vérité. Il n'y avait rien de caché derrière les propos sinon que j'aime énormément les chats.


Fresnel : Pourquoi donc Jennifer n'arrêtait pas de rire et Linda avait l'air embarrassé.


Moi: Parce que toutes les deux aiment également cet animal.


Fresnel : Hum. Je persiste à croire que tu ne parlais pas d'un vrai chat mais bien d'autres choses.


Moi: Si tu le dis


Nous avons continué à parler jusqu'à ce que Carine l'interpelle et qu'ils s'en aillent avec leurs enfants. Ce fut ensuite les parents et la famille de Damien puis le reste est monté en voiture. Linda et moi avons mis le cap pour la maison, elle devant et moi derrière.


J'ai pris mon téléphone et j'ai composé son numéro de téléphone, elle a décroché au milieu de la première tonalité.


<<Linda: (Petite voix) Oui Béni.>>


<<Moi: Je fais une course rapide.>>


<<Linda: Tu veux que je t'accompagne ?>>


<<Moi: Non, vas y. Je te retrouve à la maison.>>


<<Linda: D'accord, à tout à l'heure.>> 


<<Moi: À tout à l'heure mon cœur.>>

Clic.


J'ai rangé mon téléphone et j'ai mis le cap pour la première pharmacie que j'ai vu pour me prendre des préservatifs car je n'en ai pas. La vérité est que de toute ma vie, je n'ai jamais eu à les utiliser. Pour n'avoir connu que ma femme et n'avoir fait des rapports sexuels que dans le cadre du mariage, je n'en avais pas besoin. La chose avait failli se faire une fois lorsqu'elle me fatiguait parce qu'elle voulait un autre enfant en plus des jumeaux. Ayant un paquet à la maison que je n'utilisais pas , j'avais décidé de porter un et de lui faire l'amour avec mais dès l'instant où elle m'avait vu l'enfiler, elle s'était fâchée et avait finalement décidé de s'en dormir sans que nous ne puissions le faire. J'avais donc dû le retirer sans l'utiliser.  Le lendemain, elle s'était débarrassée de la boîte et la suite tout le monde la connait. Ce sera donc ma toute première fois avec cette chose, je ne sais pas si la sensation sera la même que sans, mais on verra bien. Je suis arrivé en pharmacie et j'ai pris une boîte de préservatifs et un lubrifiant. Les regards insistants des vendeuses et caissières sur ma personne étaient terribles. Qu'est-ce qu'elles ont à regarder les gens comme si l'achat que tu effectuais n'était pas normal ? Je me suis retrouvé à la caisse à côté d'un homme de ma tranche d'âge qui achetait un test de grossesse et avait l'air gêné. Pourtant il me regardait mal. Voilà alors quelqu'un, s'il avait eu la présence d'esprit de s'acheter des préservatifs, il ne serait pas là en train de rougir pour prendre un test de grossesse non? J'ai réglé ma facture et je suis sorti avec mes produits. Je ne comprendrais jamais la mentalité des gens, si les préservatifs se retrouvent dans une pharmacie c'est bien pour qu'on les achète non? Pourquoi donc faire comme si c'était un crime de s'en procurer ? Ils font toujours comme s'ils n'avaient pas eux même des rapports sexuels. La mentalité c'est quelque chose.


Je suis retourné dans mon véhicule et je me suis arrêté dans un magasin pour prendre des bougies ordinaires, des bougies parfumées, des chandeliers, des senteurs, des huiles essentielles relaxantes et parfumées ainsi que des pétales de roses sans oublier une tige de rose normale. Bon c'est vrai que ce n'est pas une vraie fleur mais à pareille heure, je ne vais pas me compliquer la vie à chercher une fleur naturelle même si c'est ce qu'elle mérite, on fera avec les moyens de bords. C'est sa toute première fois, je compte lui faire passer un moment idyllique et lui faire oublier cette fois raté d'il y a quelques jours. Je paie le tout et ressors cette fois pour la maison. Lorsque j'arrive à la maison, je la trouve assise sur le canapé avec un verre de vin à la main. Elle a regardé mes sacs avant de me regarder.


Linda: Qu'es-tu allé chercher ?


Moi: (Mystérieux) Quelques bricoles dont j'aurais besoin pour ce soir.


Je l'ai vu difficilement avaler la salive.


Linda: (Essayant de détourner les sujets) Tu as des nouvelles des autres ? Sont-ils bien arrivés?


Moi: Je l'ignore. Mais attends je vais vérifier.


J'ai sorti mon téléphone et j'ai regardé les messages dans notre groupe WhatsApp et ils ont tous écrit qu'ils étaient bien arrivés. J'ai également reçu un message de Dorcas m'avisant qu'ils étaient bien arrivés. J'ai laissé un message dans le groupe WhatsApp et à Dorcas pour leur signifier que c'était aussi le cas pour nous avant de me déconnecter.


Moi: C'est bon. Tout le monde est bien rentré.


Linda: D'accord. C'est également le cas pour Jen et Sasha.


Moi: J'en suis content. (Après un moment) Tu comptes prendre ta douche à quel moment ?


Linda: Quand je vais monter. Tu veux qu'on la prenne ensemble ?


Moi: Non, je la prendrai avant toi.


Linda: D'accord.


Je me suis approché d'elle et lui ai donné un baiser avant de monter avec mes articles. J'ai tout déposé dans un coin avant de me déshabiller pour me rendre à la douche. Une fois là-bas, j'ai enlevé mon bandage, mes doigts étaient un peu engourdis mais ils étaient opérationnels et mon poignet avait été remis en place dès le premier jour juste que je devais le ménager en ne faisant pas trop de gestes brusques. Toutefois, pour ce soir, j'en ai besoin , j'ai besoin d'avoir mes deux mains actives pour se relayer dans ce travail qu'elles auront à effectuer. Je suis ensuite passé sous la douche pour me laver. Puis je me suis essuyé avant de sortir de la chambre. Linda se tenait assise sur le canapé qui est dans la chambre et a levé les yeux dans ma direction pour me regarder.


Linda: Tu as ôté ton bandage ?


Moi: Oui. Ce n'est plus douloureux.


Linda: Ok.


Moi: Tu peux y aller.


Linda : (Se levant) D'accord.


Moi: Bébé ?


Linda: (S'arrêtant pour me regarder) Hun?


Moi: Épile toi un peu plus, je te veux lisse pour ce soir comme à Meyang.


Linda: D'accord.


Moi: Et stp, ne frotte aucune crème corporelle si ce n'est sur ton visage.


Linda: J'ai compris.


Moi: Vas-y.


Elle s'est retournée et est rentrée dans la salle de bain. Je suis venu prendre mon sachet et j'ai disposé les bougies ça et là dans la chambre que j'ai allumées avant de jeter les pétales de roses rouges devant la porte de la salle de bain jusqu'à sur le lit, j'en ai aussi balancé sur le canapé et le banc qui est au pied du lit, au sol également. J'ai pris les senteurs de chambre, j'ai pompé ça partout avant de prendre la boîte de préservatifs et d'en sortir 4 que j'ai déposé à côté du lubrifiant et des huiles essentielles pour ses massages. J'ai pris mon téléphone et je l'ai connecté à la chaîne hi-fi qui est dans la chambre pour y diffuser une musique douce, mon choix s'est porté en entrée sur la chanson de Slimane et Vitaa "avant toi". Je suis sorti pour nous prendre deux coupes et une bouteille de champagne que j'ai servie. J'ai récupéré ma tige de rose rouge sur laquelle j'ai rajouté un peu d'huile parfumée avant d'éteindre les lumières et allé me placer devant la porte de la douche pour attendre sa sortie. Lorsqu'elle a ouvert la porte et jeté un coup d'œil sur la pièce , elle a écarquillé les yeux de surprise avant de me regarder avec des yeux brillants…


**LINDA NDOMBI**


Je termine de prendre ma douche et je m'essuie. J'ai retiré tous les poils qui étaient sur mon pubis de même que sous mes aisselles. Ce n'était pas beaucoup mais ces endroits n'étaient plus si lisses que ça, maintenant c'est fait. Je voulais me passer ma crème mais je me suis souvenue qu'il m'a dit de ne pas le faire sauf au visage, c'est seulement à cet endroit que j'ai frotté en laissant le reste du corps. Je ne sais pas pourquoi je me sens autant nerveuse. Ça doit être dû au fait que je sache que c'est ce soir que ça se fera, il n'a pas arrêté avec ses sous-entendus qui m'ont vraiment embarrassés au restaurant et les commentaires des autres bien que ne sachant pas du tout de quoi il parlait, n'ont pas été pour rendre cette affaire facile. Je n'arrive pas à croire qu'il ait pu parler ouvertement et ce devant les gens de ma façon de gémir jusqu'à dire que le chat était mon animal de prédilection et que je faisais corps avec lui, j'avais trop honte. Je ne fais pas exprès de miauler, je ne sais même pas d'où ça vient ni comment ça se fait mais c'est ainsi, quand je suis au bord de l'orgasme, je miaule et je n'y peux rien. Jennifer n'a pas cessé de me charrier lorsque je l'ai accompagnée jusqu'à sa voiture.


Jennifer: (Riant) Catwoman sera de service ce soir, n'oublie surtout pas ton masque et ton fouet.


Moi: Jennifer.


Jennifer : (Éclatant de rire) Ce n'est pas moi, c'est NGUEMA. C'est lui qui a dit des choses sur les chats et leurs miaulements fatidiques.


Je l'ai regardée de travers pendant qu'elle n'arrêtait pas de rire. Au bout d'un moment, elle s'est reprise.


Jennifer : (Se raclant la gorge) Hum-hum Hum-hum-hum. Dans tous les cas, si vous passez à l'action ce soir, ne cherche pas à réfléchir et laisse toi simplement aller. Comme il sait que tu es encore vierge, je sais qu'il sera délicat avec toi et te guidera pas à pas dans ce voyage. Ne te retiens surtout pas et laisse ton corps expérimenter tous les plaisirs et les sensations de la chair. De toutes les façons, vu ce qu'il a déjà eu à te faire vivre par le passé, je ne doute même pas du fait qu'il te fasse vibrer ce soir. (Regard à la fois ému et fier) Oh mon bébé va définitivement traverser le cape et faire le grand saut. J'ai tellement attendu ce jour que j'ai même envie de pleurer. Je suis trop contente. NGUEMA a intérêt à te faire planer cette nuit et t'emmener jusqu'au firmament (Faisant des petites crises comme quelqu'un qui était en transe) hhhiiii. J'ai déjà le frisson rien qu'en m'imaginant ça. 


Moi: (La regardant) Hum.


Jennifer : (Me prenant dans ses bras) Tout va bien se passer, ne t'inquiètes pas bichette.


Moi: D'accord.


Nous nous sommes ensuite séparées. Maintenant que je sais qu'il m'attend derrière cette porte, je suis vraiment nerveuse contrairement aux autres fois. Je porte ma serviette autour de ma poitrine et je décide de sortir. J'ai la surprise de voir que le cadre de la chambre a changé. Il a éteint les lumières et allumé des bougies qu'il a disposées ça et là dans la pièce. J'ai également remarqué les pétales de roses rouges qui tracent un chemin de la porte de la douche au lit et d'autres éparpillées au sol et sur les fauteuils, des parfums agréables viennent me titiller les narines me signalant par la même occasion qu'il a parfumé l'endroit. Je lève les yeux sur lui et il se tient devant moi, un sourire sur les lèvres et une rose à la main qu'il me tend.


Benjamin : Une fleur pour la plus belle des fleurs que la terre ait pu produire.


Je la prends en ayant un large sourire sur les lèvres et mon cœur qui bat comme jamais il ne l'a fait auparavant pour quelqu'un.


Moi: Merci. Elle sent très bon.


Benjamin : Pas aussi bon que toi. (Me tendant la main) Me permets-tu de te guider ce soir ?


Moi: (Déposant ma main dans la sienne) Je te le permets. 


Il m'a conduit à côté du canapé où il m'a donné l'une des coupes à champagne qui était là posée avant de prendre la sienne puis il a trinqué.


Benjamin : (Me fixant dans les yeux) À la première des nuits inoubliables que nous passerons toi et moi.


Moi: (Soutenant tant bien que mal son regard) À la première des nuits inoubliables que nous passerons toi et moi.


Nous avons porté nos verres à la bouche et les avons bu de plus de la moitié. Il m'a ensuite pris le verre des mains et l'a déposé où il était avec le sien. Il a passé sa main sur ma hanche avant de passer derrière moi tout en augmentant le volume de la musique à laquelle je n'avais pas vraiment prêté attention jusqu'à présent. J'ai reconnu la chanson de Slimane et Vitaa "Avant toi". Il m'a fait bouger au rythme de la musique en susurrant les paroles de la chanson à mon oreille.


Benjamin : Y’avait pas d’image, y’avait pas d’couleur

Y’avait pas d’histoire, mon âme sœur

Y’avait pas les fêtes, y’avait pas l’coeur

Aucun sourire, mon âme sœur


Refrain: Tu sais le monde ne tournait pas rond

J’avais les mots mais pas la chanson

Tu sais l’amour, tu sais la passion

Oui c’est écrit, c’était dit

Oui c’est la vie


Avant toi, je n’avais rien

Avant toi, on ne m’a pas montré le chemin

Je sais le Ciel ne m’en veut pas

D’avoir posé les yeux sur toi

Avant toi, on ne m’a pas montré le chemin

ooh ooh ooh ooh


2e couplet.

Y’avait pas d’maison, y’avait pas l’bonheur

J’avais pas d’raison, mon âme sœur

Y’avait pas de rire, mais y’avait pas d’pleurs

J’étais seule ici, mon âme sœur


Refrain :

Tu sais le monde ne tournait pas rond

J’avais les mots mais pas la chanson

Tu sais l’amour de toutes les façons

Oui c’est écrit, c’était dit

Oui c’est la vie


Avant toi, je n’avais rien

Avant toi, on ne m’a pas montré le chemin

Je sais le Ciel ne m’en veut pas

D’avoir posé les yeux sur toi

Avant toi, on ne m’a pas montré le chemin

ooh ooh ooh ooh


Avant toi, je n’avais rien

Avant toi, on ne m’a pas montré le chemin

Avant toi, je n’avais rien

Avant toi, on ne m’a pas montré le chemin

Je sais le Ciel ne m’en veut pas

D’avoir posé les yeux sur toi

Avant toi, on ne m’a pas montré le chemin

ooh ooh ooh ooh.


Benjamin : (Me faisant un bisou sur l'épaule et un autre sur le cou) Le ciel ne peut pas m'en vouloir d'avoir posé mes yeux sur toi "Lin". (Me retournant pour que je lui fasse face, Me fixant dans les yeux) Laisse-moi t'aimer Lin. (À prononcer "Line" de façon sensuelle en enroulant ça amoureusement sur la langue svp, soyez dans l'esprit de mon frère)


Moi: (Le cœur battant, la voix fiévreuse) Aime-moi Béni.


Il a délicatement posé sa main sur ma joue et s'est davantage rapproché de moi avant de m'embrasser avec une douceur telle qu'on avait l'impression qu'il ne voulait aucun cas me brusquer. J'ai ressenti des fourmillements partir du bas de mes pieds au sommet de ma tête et mon cœur cogner dans ma poitrine comme s'il allait sortir d'un moment à l'autre au point de m'étourdir. Seigneur ! On vient de commencer et c'est déjà fort comme ça ? Est-ce que je vais m'en sortir cette nuit ? J'ai fermé mes yeux et me suis laissée aller à la douceur de son baiser pendant un moment jusqu'à ce qu'il décide d'y mettre un terme. Il a ensuite tiré sur ma serviette pour dévoiler ma nudité et celle-ci est tombée à mes pieds, il a reculé de deux pas pour me regarder de la tête aux pieds et inversement, un large sourire sur les lèvres. Son regard se faisait tellement insistant que j'avais l'impression qu'il me caressait avec ses yeux. Il s'est à nouveau rapproché de moi et a noué ses doigts avec les miens des deux côtés.


Benjamin : Tu es magnifique Linda et c'est tout un honneur pour moi que d'avoir le privilège de te faire l'amour et de t'aimer ce soir. Tu es sans aucun doute, la plus belle femme qu'il m'a été donné de posséder (À mon oreille) une reine.


Toutes mes craintes et autres appréhensions étaient en train de tomber une à une au fur et à mesure qu'il me parlait. Il m'avait tellement mis en confiance que j'étais prête, aussi bien mentalement que physiquement, je voulais lui appartenir plus que toutes les autres fois qu'il m'avait tenu dans ses bras. Je voulais qu'il me fasse sienne, cette nuit, ici et maintenant.

Il a retiré sa serviette avant de m'embrasser en pressant son corps contre le mien tout en me caressant le dos et descendant jusqu'à mes fesses qu'il empoigne fermement. Je me suis mise à gémir contre ses lèvres. Il a remonté ses mains derrière mon dos et m'a serré un peu plus fort contre lui comme s'il voulait fusionner nos corps l'un dans l'autre, ma poitrine s'écrasant contre son torse, mes lèvres toujours emprisonnées dans les siennes. Je sentais son pénis durci frotter contre mon pubis déclenchant en moi une chaleur dans les creux de mes reins et une excitation dans tout mon corps. Il m'a ensuite soulevé par les fesses avant de marcher avec moi sur le lit sur lequel il m'a déposé au milieu des pétales de roses. Il s'est redressé et a tendu la main pour prendre un flacon.


Benjamin : (Voix rauque, empreinte de désirs et le regard sombre) C'est une huile relaxante avec laquelle je vais te masser et oindre ton corps de déesse.


Sans plus rien ajouter, il ouvre la bouteille et met de l'huile sur sa main gauche qu'il frotte contre sa main droite après avoir posé la bouteille non loin de lui. Il se rapproche un peu plus de moi et pose ses mains sur mon cou en descendant lentement jusqu'à mes épaules qu'il masse en faisant des mouvements circulaires pour que l'huile pénètre mon corps. Une fois cette partie ointe, il s'attaque à mes bras puis mon ventre tout en ignorant mes seins. Il part de mon ventre pour mes pieds, depuis les orteils jusqu'à la jointure des cuisses et des hanches. Il le faisait en me donnant des baisers sur les jambes, me faisant frissonner à chaque fois. 


Benjamin : Retourne toi.


Je me suis exécutée et il s'est attaqué à mon dos et à mes fesses qu'il a mordillé à plusieurs reprises avant de me coucher à nouveau sur le dos . Il a repris de l'huile qu'il a versé sur sa main juste au dessus de ma poitrine en veillant à ce que les gouttes tombent sur mes seins en se frottant les mains puis il s'est mis à me malaxer les seins avec chacune de ses mains allant de la base vers les tétons qu'il pinçait et de redescendre sur la base.  Ma respiration se faisait de plus en plus lourde et forte et des petits couinements s'échappaient de mes lèvres. Il a abandonné mes seins pour mes jambes qu'il a repliées avant de me les écarter. Il a repris son huile et a versé quelques gouttes sur mon pubis aux délimitations de mon triangle. C'est sur ses zones qu'il a commencé son massage avant de lentement remonter sur mon pubis qu'il s'est mis à malaxer avant de faire une caresse sur mon sexe déjà bien deligounant de mouille dû au massage que je venais de subir. Mes muscles étaient complètement détendus, mon corps excité et ma peau ointe. Il a rendu son huile sur la tablette et à repris à m'embrasser tout en faisant glisser ses mains sur mon corps brillant.


Benjamin : (À mon oreille en titillant mon clitoris) Tu vas me rendre fou d'excitation "Lin".


Moi: (Me tordant de plaisir en gémissant) Béni.


Benjamin : Oui mon ciel (M'embrassant avec fougue) Dis moi, dis moi ce que tu veux.


Moi: (Haletante) Je, je veux jouir (Froissant les draps) ahn.


Benjamin : Tes désirs sont des ordres trésor, parle et ton serviteur exécute.


Il est descendu à mes jambes et m'a écarté le va-gin avant de souffler dessus, me faisant frissonner au passage. Il a ensuite légèrement léché mon cli-toris avec le bout de sa langue.


Moi: (Me tordant de plaisir) Oh. Bé, Béni.


Il a accéléré le lapage sur mon bouton de rose avant de l'aspirer.


Moi: (faisant des bruits bizarres) tsitsitsitsi, (claquant énergiquement les doigts entre eux) hehehe, Béni Béni, Béni, Béni.  (respirant par la bouche au bord de l'explosion) Béni Mi, Mimimimimiaaaouu. (Voix plus fine) Miaou !


Mon corps a été secoué par des soubresauts avant de se contracter et de s'immobiliser sur le lit…

MÈRE MALGRÉ MOI