Chapitre 5: Rien, rien et rien…

Ecrit par Dalyanabil

Chapitre 5: Rien, rien et rien…


Je descend les marches et me dirige à l’accueil en me foutant royalement des nombreux regards ahuries que me lancent les autres clients et employés. « Bonsoir, Mme que puis-je pour vous? » Me demande la petite asiatique qui est à la réception. 


« Une chambre SVP et de quoi écrire.» Je sais qu’elle se retient de part sa formation de me fixé ouvertement. 


« j’ai besoin de votre carte d’identité Mme. » Elle me tend un carnet avec un stylo sur lequel je griffonne une adresse.


Je la lui tend. « Envoyé quelqu’un à cet a adresse cherche mes affaires, demande Le majordome et donne lui mon nom. »


« Mme Hassan? » m’interroge t-elle.


« Oui, et SVP je ne suis là pour ABSOLUMENT personne. Est-ce que c’est clair? » Mon ton est froid et coupant.


« Oui madame. Votre clé, chambre 3122. »


Je ne lui laisse pas le temps d’ajouté plus, prend la clé électronique sur le comptoir et me dirige vers les ascenseurs. 


« Madame? » C’est l’un des majordome placé devant les ascenseurs pour diriger les clients vers leurs chambres.


« 3122.»


Une fois dans ma chambre je sors mon téléphone pour envoyé un sms à Fadia pour la rassuré en lui demandant de ne pas m’appelle et que je la verrais au déjeuner. Je suis tenté de faire la même chose avec Maimouna mais je me retiens si je fais ça d’office elle vas appelle Fadia et elle vont panique et me harcèle pour savoir ce qui ne vas pas. Hors je ne suis pas en état d’en discute pour l’instant. Avant de l’éteindre je dois d’abord passé un coup de fil.


« Mme… »


« Renforcez le dispositif de sécurité autour de la propriété et de l’hôtel. Refait un test de confidentialité à tout nos employés et testez nos systèmes informatiques. »


« Maintenant? »


« Pour la sécurité autour de la propriété? Oui. Le reste peut attendre le matin. »


« Si je peut me le permettre Mme, est-on menacé? »


« Non Malick, mais vous connaissez le dicton :’’mieux vaut prévenir que guérir’’. »


« Bien Mme, autre chose? »


« Non, salam. »


Je raccroche et éteint mon téléphone j’ai besoin de pensé.


‘’7h00 du matin dans les bureaux du groupe Hassan à laCity.’’


Je n’ai pas dormis de la nuit, en face de moi j’ai Smith et ce qui viens de m’apprendre qui n’est absolument pas grand chose ne m’aide pas.


« C’est tout? »


« Malheureusement oui. »


« Alors recommence à fouillé je veux savoir ce qui c’est passé après cet accident où il a été, avec qui, s’il était blesse, à quel point. Je veux un rapport détaille à l’heure prés de ces cinq dernières années. »


« C’est vous la boss. » Il me jette un coup d’oeil à sa montre avant de se lève. « Si vous n’avez plus besoin de rien… »


je me lève à mon tour pour lui donné congé avant de répondre. « Non. » 


Il est sur le pas de la porte mais il marque une pause et reviens vers moi tout en gardant ses distances. « Si je peux me permettre. »


Je le regarde l’air de dire de toute façon vous allez me le donné  votre avis alors allez-y. 


« Ne tirez pas de conclusion hâtive Mme. »


Je n’ai même pas le temps de complètement assimilé ce qu’il vient de dire que je vois la porte se refermé derrière lui. Je suis sur le point de le rappeler quand mon téléphone sonne. Je regarde et c’est Fadia j’ignore son appel et sort du bâtiment direction Westminster sud. Finalement on dirait qu’on que je vais petit déjeuner chez les Danforth.


‘’Chez les Danforth’’


Je n’ai même pas franchi le seuil que je suis accueilli par une Fadia détective qui me pose mille et une questions auquel je ne sais pas par où commencé pour répondre. Le majordome apparait pour nous signifie que la table est mise. « Après STP, pour l’instant on vas petit déjeuné et on rentre chez nous. »


Nous sommes accueillies par Mme Danforth et son mari, avec eux les dix même personnes d’hier dont je n’ai absolument pas retenu le nom a part le charmant américain Clay Dalton. « Bonjour tout le monde. »


« Bonjour. » Me répondent t-ils en coeur.


« Salam, désole d’être en retard. »


Fadia et moi nous nous retournons comme un seul homme au son de la voix. Merde. Merde. Merde. On peut entendre une mouche volé.


« ‘’A’’? » Il se tourne vers Fadia. « Et vous? »


« Tu fais express d’être aussi grossier? » J’ai parlé bas mais je suis sûre que tout le monde m’as entendu. Il prend au moins l’air contrit.


« Vous ressemblez comme deux goute d’eau à quelqu’un que je connais. » Si seulement elle savait. « Moi c’est Fadia Al-Naser l’assistante de Mme Hassan. Et vous. »


Je me tourne vers elle admirative de son cran, faut dire Mr intimiderais n’importe qui et je vois que ça ne lui échappe pas non plus.


Il baisse légèrement la tête et place sa main droite devant son visage avant de répondre. « Jafar Hassan. »


Je vois Fadia blêmir et son regard passé de Jafar à moi l’air complètement abasourdi. « Il est vivant? »


Je lui jette un regard manière de dire: oui je sais. 


« Comment? »


Je soupire bruyamment, je sais que c’est malpolie et que si l’un des jumeaux faisait ça ou ce que je m’apprête à faire il ou elle seras puni pour une semaine minimum. Mais d’un autre côté il est absolument hors de question que je m’assois à la même table que lui. « Fadia, stp vas chercher tes affaires on s’en vas. Je t’attends dans le vestibule.»


« Mr Danforth, petit-déjeune avec vous aurait été un plaisir mais je viens de me rappeler que j’ai des choses importantes à faire avant mon vol. Mme Danforth merci pour votre hospitalité, j’espère vraiment avoir le plaisir de vous revoir à nouveau je suis une très fan du travail que vous faites avec votre fondation ‘’ Un espoir pour tous’’. »


« Merci, moi aussi. » me réponds modestement Mme Danforth.


« Merci pour votre aide Amsetou. Et svp appelez moi Elliot. »


« Salam. » Je l’entends prendre aussi congé de nos hôtes pendant que je me dirige vers l’entrée. Je me disais bien qu’il était là pour moi mais il rêve s’il croit que je suis prêt à l’écoute maintenan

A l'infini....