Chapitre 54 : Miranda

Ecrit par ngakomal

~~ Miranda Njeck De vivo~~

-          Aie ! dis-je en claudiquant sur un pied jusqu’à mon canapé.

 Plus empoté que moi il y en a pas. Il a fallut que je prenne mon propre appart pour que ma mère cesse de se plaindre de ma personne. En fait une tornade ambulante. Je me masse le pouce du pied un bon moment avant d’allumer dans mon séjour. Ceci m’arrive tout le temps et j’ai beau me sermonner et me discipliner, je n’y arrive pas. Quand je rentre le soir après les cours, je n’ai qu’une hâte, prendre une douche et me coucher. Surtout quand la journée de travail a été dure. Dites-moi à quoi ça sert d’allumer au salon ?

Je me suis doucher et ai pris place sur le lit. Après ma petite prière, où je demandais pour la millième fois à Dieu la raison pour laquelle je n’avais même pas de flirt. Non pas que je veuille me marier mais il faille bien que je vive normalement. C’est quelle genre de fille qu’on ne drague jamais. Je comprends qu’au travail, en tant que fille du patron tous les garçons se tiennent à carreau mais à l’école alors ?  Mieux vaut ne pas y penser. Je serre mon coussin contre moi et vacille doucement vers Morphée lorsque mon téléphone se met soudain à sonner.

-          Allô ! fis-je après avoir tâtonné un moment au chevet du lit.

-           C’est bien ! c’est très bien même Njeck. Comme tu es sorti du c** de ton père. C’est bien. Une semaine sans nouvelle Randa ? une semaine ? je n’aurais jamais du te soutenir avec ton affaire de vouloir prendre ton indépendance. Tu trouve ça bien que je doive prendre de tes nouvelles à ton père ? et ton petit frère.

-          Mamaaaannnn !!! soufflais-je plaintive

-          Quoi maman ? hein quoi ? tu décide que je doive quémander l’affection de ma fille c’est ça ?

-           Non pas du tout mamoune. Je suis juste très occupée entre le bureau et les cours. Le week end passé il me fallait réviser pour le contrôle que j’avais lundi. Raison pour laquelle je ne suis pas venu.

-          Donc c’est m’appeler qui est difficile alors ?

-          Non…. Excuse-moi je promets de faire des efforts.

-          Ne fais pas. téhééngaa bang mèh(ne me tente pas) dit-elle avant de raccrocher.

Elle est fâcher… on va régler son cas après. Il y a plus important à faire… Dormir.   En  fait j’ai eu mon Bac il y a 2 ans à cette époque Béthanie et moi étions les divas du lycée. Je suis dans une université maintenant et cette année je prépare ma licence. Beaucoup ne comprennent pas mon amitié avec elle surtout ma mère qui la trouve toxique. Bon bref. Ce matin elle m’a appelé pour me raconter ce qui s’était passé chez eux. Comment son père avait péter une durite. Mais bon ça devait arriver un jour où l’autre ; vu comment sa mère et elle le prend pour un con.

Quelques minutes après, le téléphone s’est remis à sonner en créant un bruit strident dans mes oreilles me tirant de mon début de sommeil. Seigneur ! J’aurais du mettre sous silencieux.

-          Je suis désolée ma’a je te jure que je viendrais demain… non le weekend mais s’il te plait laisse moi dormir demain c’est chaud sur moi.

-          Je ne savais pas que tu avais une jolie voix lorsqu’elle était ensommeillée. Je suis désolée de t’appeler si tard. Je n’ai pas eu une minute à moi aujourd’hui à l’hôpital.

-          Pardon ? demandais-je en me rendant compte que j’avais décroché les yeux fermer. Un rapide coup d’œil m’informa. Math ? posais-je.

Le sommeil avait fuit en cet instant précis. Pourquoi il m’appelait surtout à cette heure. De plus, depuis notre première rencontre où il avait pris mon numéro, jamais il ne l’avais composé. J’avais juste constaté qu’il sortait avec Béthanie. Le comment du pourquoi m’échappais simplement.

-          Oui c’est bien moi. Bonsoir.

-          Bonsoir… il y a un problème ?

-          Non. Du tout. En fait, j’aimerais que nous parlions au tour d’un plat. Une petite sortie en quelque sorte. Je me rends compte à présent que ce pourquoi j’avais pris ton numéro je ne l’ai jamais fait. Et voudrais me rattraper.

-          Je t’arrête tout de suite. Je te sais marié et si j’avais su que tu l’étais je ne t’aurais jamais donné mon contact.  En plus, savoir que tu as pour maitresse ma copine complique encore les choses.

-          C’est de cet aspect des choses que j’aimerais que nous parlions. Et j’en profiterais pour te présenter mon cousin comme je l’avais prévue. Ne t’inquiète pas il est célibataire et cherche une relation stable.

-          Humm…

-          S’il te plait ne refuse pas. Viens au rendez vous si ca ne te conviens pas tu t’en vas. Mais ne te braque pas sans m’avoir écouté.

-           Ok... Demain à ma pause.

-          Çà tombe bien c’est mon jour de repos. Donne juste le lieu et l’heure.

Nous avons calé l’entrevue à 13h du lendemain. Tout était très… très bizarre.

**

*

-          Tu prends un pot avec nous où on te prend un truck.  Me demanda une collègue passant en vent devant mon bureau entre ouvert.

-          Non, merci. C’est gentil de demander mais ce n’est pas la peine aujourd’hui.

-          Haa !! tu prends la pose avec papa ?

-          Non. Donc si ce n’est pas avec mon père je ne plus aller manger.

-          Vraiment ? dit-elle les yeux écarquillés de curiosité. Avant d’entrer et de fermer la porte après elle. Alors c’est qui le beau goss. Je veux tout savoir… il est comment, comment t’a il  invité. Sa technique. Je veux tout savoir. Posa t-elle en deposant son arrière train sur mon bureau.

-          Qui a dit que c’était un dragueur Perla et enlève ta masse de là. Je sais que ça pèse mais ce n’est pas une raison de me les poser sur le nez à chaque fois. Le siège derrière toi a été conçu pour elle.

-          Miranda la jalousie ne paie pas ! laisse mes fesses tranquilles et réponds-moi.

-          Tu ne parts plus manger ? demandais-je après un long soupir.

-          C’est mon ventre. Pardon parle !

-          Ok… je déjeune juste avec un Tonton.

-          Un Tonton.

-          Oui.

-          Genre ton oncle ?

-          Oui.

-          Vraiment tu n'en vaux pas la peine ! fille a papa jusqu'à la moelle. Sors un peu. Tu gâche ta jeunesse avec trop de sérieux. Mieux je pars.

-          Bye bye. Dis-je en éclatant de rire.

Vous savez, on à tous une perla dans nos vies. Ce peut être une sœur, une amie, une collègue comme dans mon cas. Fouineuse, commère, permissive et d’une aide sans pareil. Ce qui fait que lorsque tu es fâché contre ses « démons » (c’est ainsi quelle nomme ses mauvaises habitudes), il est parfois difficile de lui en tenir rigueur. Vue les bons et loyaux services qu’elle rend. Je range mes affaires et sors des locaux. Vertus d’un tailleur pantalon jaune mauve sur un haut en soit blanc, je sais qu’avec les talons que je porte, le rendu est à tomber. Mais, il n’y aura personne qui s’y attardera. Les femmes avaient certes le regard envieux... Beuuf ! C’était un maigre lot de consolation.je lui avais donné rendez-vous dans un bar restaurant pas loin de notre édifice mais assez éloigné et moins huppé pour ne pas risquer croiser des collègues.

 Je le vois au fond de la salle me fessant de grands signes de la main. Je me dirige vers lui et après deux bises il me tire la chaise pour que je prenne place.

-          Tu es magnifique. Me complimenta t-il

-          Merci. Tu n’es pas en reste.

-          De rien. Même dans ma vieillesse il faut avouer que je réponds encore.

-          Lol… dis-je avec un petit rire de gorge.

-          Bon alors on commande ? j’ai une faim !

J’ai pris de la banane malaxé avec une petite portion de salade. Tandis qu’il me suivait dans mes délices  en commandant deux plats (puisque je lui avais assuré que c’était très bon). Ce n’était pas un met de ma culture d’origine mais j’étais du genre à tout tester. Je me souviens encore du jour où j’avais mangé la sauce de moelle et de graisse de bœuf mélangé à une patte d’arachide fermenté accompagné de couscous de riz. La muete ! Je vous jure.

-          Et si tu m’expliquais l’objet de cette rencontre. Pendant qu’on attend le repas.

-          Tu ne passes pas par quatre chemins toi.

-          Il faut bien battre le fer quand il est chaud.

-          Pas trop chaud quand même ! …. j’ai une préoccupation que toi seule peux m’aider à résoudre.

-          La quelle ?

-          J’aimerais comprendre comment je me suis retrouvé a couché avec ton amie alors que mon intention premier en prenant ton numéro était de te présenté à mon petit cousin. D’ailleurs comment avons-nous été mis en contact. Tu lui as donné mon contact où c’est moi  qui t’ai demandé le sien ?

-          Pardon ?

-          Je veux sa….

-          Non…non… je veux juste m’assurer de ce que tu me demande. Parce que c’est comme demandé au porc ce que la patate avait fait.

-          Humm… c'est-à-dire ?

-      C’est une expression de ma mère pour dire qu’elle n’en sait foutrement rien. Je ne lui ai jamais donné ton numéro et tu ne me la jamais demandé. Je me suis simplement dis que vous vous étiez revu en une autre occasion… j’ai juste appris par elle que vous étiez ensemble et lui ai même conseillé de rompre avec toi quand elle a accepté le mariage arrangé par ses parents.

-          Parce qu’elle est fiancée ? dit-il surpris

-          Oui. Depuis peu quand même.

-          Ton ami est malade !  elle est givrée aussi. Oui… il lui faut une psy !

-          Il faut une psy à qui ? nous interrompîmes une voix profonde et suave. Bonjour a vous.

Lorsque j’ai levé la tête, mon regard a croisé le sien et mon cœur s’est mis à battre ma chamade.

-          Eric ? c’était plus une exclamation qu’une question.

-       Miranda ! si l’on m’avait di que je prendrais un repas avec toi si tôt….. et dire que mon frère a eu du mal à me décider. Vraiment la vie ! tu permets ? dit-il en me fessant la bise des deux coté de la joue.

Il a fait une accolade à son frère avant de prendre place. A cet instant, nous plats sont arrivés encore fumants.

-          Je vois que je n’ai pas besoin de faire les présentations. Repris maths lorsque le serveur se retira.

-          Oui … nous avons fais connaissance il y a deux jour à ma descente du boulot. Répondis Eric.

-          Ok. Miranda lui c’est mon petit cousin du coté de ma famille maternelle. En fait je suis pour lui comme un oncle si on considère aussi l’âge. Mais vue comment nos familles sont proches, il a la même place que mon petit frère.  Et elle est une amie. Compléta t-il à l’endroit de d’Eric.

-          Qui a eu la merveilleuse idée de commander ce plat. C’est vraiment une tuerie ! demanda Eric la fourchette a mis chemin entre le plat et ses lèvres.

-          Chiche ! dis-je en lui frappant l’épaule.

-          Quoi ? demanda-t-il

-          Attend au moins les autres ! manière tu te goinfres j’espère que attendra  la fin de la prière pour faire honneur a ton plat.

-          J’ai le choix.

-          S’il te plait joint les mains qu’on en finisse j’ai fin. Dit Math. Joignant les mots aux gestes.

J’ai entonné la prière et nous avons mangé  un silence interrompu de temps à autre par les commentaires de Maths et d’Eric.  Nous avons passé un bon aprèm. Ma pose touchant à sa fin, je les ai laissé continuer sans moi. Peut-être que cette fois ci serait différent. Mais je n’espère pas trop.

~~ Mehoum Reine ~~

-          Le repas est prêt ?  heé la sœur de quelqu’un ! manière j’ai faim je pourrais dévorer la maison.

-          La maison hein… après c’est pour me laisser les restes dans ton plat.

-          Jamais.  Ta nourriture est trop bonne.

-          Je sais. C’est meilleur que celle de Natalie ou c’est Emilie hooo

-          Voila que tu viens avec les problèmes. Vraiment Reine tu n’aimes pas ma paix je te hure.

-          Je t’aime tout court Mich.

-          Oui tu m’aimes et c’est pour cette raison tu me donne le nom du chien …  dit-il en ressortant de la cuisine.

Je me suis laissé aller dans un fou rire. J’aimais tellement le taquiner et ça marchait à chaque fois. Je nous fessais du Mbongo (une sorte de sauce noire aux épices. Noir comme du charbon et très savoureux). Tonton pascal aimait bien mais sans piment.  Depuis les derniers événements, j’avais réussit à le convaincre de ne pas partir chez les Raoul. D’un, sa famille n’était pas assez proche de la notre pour que nous leur révélions les dessous de notre famille et de deux, il y avait le mariage de Béthanie il ne fallait pas que sa futur belle famille soupçonne quoi que ce soit. Mais la véritable raison était tout autre. Les choses revenaient en leur place du fait de ma présence.  Depuis mon réveil, j’avais une vue d’ensemble qui me terrifiait. Je pouvais d’une intention voir les causes et les conséquences, proches et lointaines et les ramifications qui allaient avec. Je voyais ces  êtres qui me recherchaient de jours comme de nuit. N’eu été la barrière de maman sabine et le fait que j’avais restreint mon aura de ne pas s’étendre, ils m’auraient déjà retrouvé. Dans ce cas je ne savais absolument pas quoi faire.  L’état dans lequel j’avais mis Ad n’était pas enviable et tant qu’il ne sérait pas rétablit, il ne me serait d’aucune utilité. Nzeu qui refusait toujours de se montrer afin de me diriger. La maisonnée  qui s’était transformé en une sorte de guerre froide bolskovic.

J’avais fini le repas et dresser la table pour l’après midi. Ma’a sabine est descendu sans un mot, et a pris place à la table. Je la trouvais bizarre, genre visqueuse. On airait dit qu’elle se déplaçait en ondulant et en fessant des bons au même moment. C’était peut-être moi la personne bizarre car Michel ne m’en avait pas fait part malgré toutes les paroles suggestives. J’ai appelé Michel pour qu’il se joigne à sa mère et suis rester dans sa chambre pour me restaurer. C’était ma nouvelle chambre. J’avais enlevé mes choses d’en bas. Je dormais au sol sur un matelas d’une place neuf acquis par tonton. J’avais à peine fini de manger que Michel est venu m’informé de l’arrivé de Raoul. Il était hors du portail et voulais me voir. Je suis descendu. Maman sabine avait repris ses quartiers et Michel avait débarrassé. Un très bon garçon !

-          Bonjour Raoul. dis-je lorsque je l’ai rejoint. Viens entre. Comment tu vas ?

-          Comment tu veux que ça aille ? je suis perdu ! qui est tu réellement et qu’est ce qui se passe. La dernière fois tu m’as fait une peur … et ton docteur en a remis une couche. Tu sais au moins que lui-même est…

-          Chuttt !!! lui imposais-je. Hamadou n’est pas sourd il juste un peu de difficulté avec l’articulation du français. Allons à la cours arrière.

Je l’ai presque trainé avec moi en le tirant par la main. Son regard était hasard on aurait dit fou. Je comprenais qu’une partie de la vérité l’aurait perturbé mais pas à ce point. Nous nous sommes assied mais il n’a pas tenu deux secondes. Il s’est levé et a commencé à marcher de long en large.

-          Alors explique-moi ! cette chose presque irréelle que j’ai vécue dans ta chambre. Depuis j’ai tourné et retourné dans ma tête Reine et rien de logique ne me viens…. Ou est ce que tu es une de ces êtres sorties de l’eau dont je ne veux prononcer le nom ?.... ou encore un être des montagnes, des cavernes et des grottes qui peuplaient les contes que maman nous racontait quand on était petit…

-          Je veux bien te répondre. Mais calme-toi d’abord. Viens t’assoir. Ce qu’il fit lorsqu’il croisa mon regard. Maintenant  respire. Ferme les yeux et concentre-toi sur ma voix. Inspire... expire. Ecoute le chant de ton environnement direct. Cette mélodie que font simultanément l’homme les animaux et la nature.

(Silence)….

-          Tu es calme maintenant ? repris-je. Il  me répondit juste par un signe de tête. Pose-moi tes questions maintenant.

-          Explique moi… fut tout ce qu’il articula.

-          Je ne suis ni un succube, ni une « mami wata », encore moins un Génie. Je suis un être comme toi. Dont l’univers a doté d’une plus grande sensibilité qu’un autre.

-          Ne me raconte pas d’histoire s’il te plait. Un humain est capable de faire ce que tu as fait l’autre jour ? Merde  Reine !  tu m’as fait voler.

-          Non lévité.

-          C’est du pareil au même pour moi.

-          En fait Raoul tout être humain possède des capacités surtout si elle s’allie à la nature. L’univers nous a conçus pour interagir avec elle. Non pour interagir avec nos propres créations tiré d’elle. Rien ne se perd tout se transforme. Je pense qu’au cours de l’évolution de l’humanité nous avons tourné le dos à la connaissance. Nous avons fait le choix d’être aveugles et sourds. C’est la raison principale pour laquelle dans ton état actuel, tu ne ressens que la matière. Tout ce qui est immatériel t’échappe complètement et n’en parlons pas de ce qui est spirituel.

-          Est-ce à dire que nous tous pouvons faire des trucks comme toi ?

-          Oui à un certains niveau. Tu as des prédispositions c’est la raison pour laquelle cette fille couchait avec toi a la moindre occasion. Tu la chargeais de ton énergie.

-          Qu’elle fille ? non ce n’est pas le sujet. Dis moi alors comment ?

-          De la même manière que font les illuminés, les francs maçon etc… par l’initiation. On nous a convaincu qu’acquérir la connaissance était de la magie noire. Or la connaissance ne devient néfaste que dans son utilisation. C’est là qu’interviens le spirituel qui n’est autre que la capacité de détecter et de manier  toute sorte D’énergie.

-          Mais Reine … se faire initié n’est jamais une bonne chose tout le monde le sait.

-          Oui et c’est cela notre perte. Comment apprendre à communiquer avec la nature est mauvais. Si je te montre l’oiseau annonciateur et t’apprend ses différents chants allant de l’annonce d’une visite à l’annonce d’une mort ou d’une réincarnation lors d’une naissance. Est-ce mauvais ? ou alors si je t’apprends comment communiquer avec … tient une poule. Est-ce mauvais. Je comprends qu’on ait peur de l’inconnu. Je saisis aussi  qu’avec les siècles l’utilisation des cercles initiatiques à perdu de ses vertus. Mais ce n’est pas une raison pour refuser la connaissance. Ecoute, observe et apprend de tout et de rien. Si ton énergie est positive, elle rejettera naturellement les négativités.

-          Je t’assure que tu ne m’aide pas là

-           Je sais.  dis-je avec un petit sourire. je ne peux faire plus. Tu dois briser la glace de toi même

Par les Eléments