Chapitre 6: le Monde de Borgia
Ecrit par Linda Bongo
Willy n’en revenait pas Madame Briana s’était douchée chez lui dans son studio . Il déglutit et caressa son crâne il avait envie de sauter mais le chauffeur de Mme Belize allait le regarder comme un fou .
Quand il avait pris le volant pour la conduire hors du village elle lui avait dit Libreville avant de continuer à boire . Il avait eu trop
Peur de l’interroger quand il l’entendit ronfler gentiment derrière elle s’était enfin endormie . Quand son téléphone se mit a vibré avec insistance c’était marcella la Sexy bonne etait charge du linge .
Willy très bas :Allô je suis avec Mme tu veux quoi ? Il l’avait prise toute lA nuit sur une machine à laver et pensait qu’elle l’appelait pour ca
Marcella: nonnn tu vS devoir la réveiller Monsieur est mort et Mlle Brenda est hystérique et Mlle Belize a disparu .
Horrifie il s’était garé et il avait réveillé Mme Briana en lui touchant les pieds . Elle Avait vomi toutes ses tripes et avait dessoûlée des qu’elle avait entendu la voix de sa petite sœur.
Elle avait Alors Appeler Jonas qui lui avait donné le numéro du chauffeur de Belize .
Briana : willy ou habitez vous ? Je ne peux
Pas aller chez moi ou dans un hôtel tout le monde sAurait que quelque chose est arrivée à Mon père . J’ai besoin de 24’heures de plus pour retrouver mes sœurs et rédiger un communiqué de Presse . Rappelez la maison et dites à tous les employés de ne Rien dire sous peine de renvoi .
Willy se demandait où était passé la femme en miettes pleine de cognac 5 min auparavant elle semblait au bord du suicide et là elle etait en train de régler la situation comme une simple opération .
Briana : vous êtes demeuré ou quoi ? J’Aime les gens réactifs vous êtes encore devant moi ?
Willy serra la mâchoire vexé par le « demeure» elle voulait de la réactivité ? Elle allait en avoir pas étonnant qu’elle soit célibataire. Elle devait être autoritaire et méchante avec les hommes à cause de son argent . Il était certain qu’elle n’avait jamais été matée dans un lit .
Sans rien dire il se mit au volant et conduisit à vive allure vers chez lui . Oui il allait emmener cette bourgeoise chez lui en espérant qu’elle se rompra le cou.
Pendant qu’il conduisait il avait appelé marcella pour qu’elle prévienne les autres sur le silence a observer .
Il habitait à Rio c’est avec plaisir qu’il avait vu Briana marquer un temps de stupeur qu’elle avait vite dissimulé. Elle n’avait rien dit non plus quand il avait pris le chemin le plus long qui passait même dans les cours des maisons . C’est uniquement à sa respiration qui s’accélérait qu’il compris qu’elle n’en pouvait plus . MAis elle était trop fière pour montrer le moindre signe de faiblesse . Ils arrivèrent chez il avait lui même construit cette maison sur le terrain de sa mère . Un salon une chambre une cuisine et une douche avec une petite terrasse et des fenêtres blanches . Il était très fier de cette maison qu’il avait construite a La sueur de son front . Il banda ses muscles prêt à encaisser un commentaire désobligeant de sa patronne sur sa maison .
Il n’avait pas encore mis de peinture les murs étaient juste crépis .
À sa grande surprise elle ne dit aucun mot et demanda une serviette propre et la direction de la douche .
Imaginer sa patronne si bourgeoise nue en train de remplir le seau et prendre le gobelet pour se laver dans sa douche lui paraissait surréaliste.
Quand il l’entendit jurer de toutes ses forces après un bruit d’eau ah oui l’eau était froide.