Chapitre 7: Les intrigues

Ecrit par Asaph

Chapitre 7 : Les intrigues

*****Deus Tabi****

Natacha : Satisfait ? me demande-t-elle.

Moi : Presque, Natacha.

Natacha : Oh bébé, dis-moi, pourquoi tu as l’air d’être ailleurs pendant que tu es avec moi ?

Moi : Juste que ma femme perd sa confiance envers moi, ça me dérange.

Natacha : Je t’ai toujours interdit de me parler de ce nase, dit-elle d’un ton dédaignable.

Moi : C’est ma femme ! Dis-je d’un ton forcené.

Elle me quitte pour rejoindre son bureau. Je me sens si ailleurs que je n’ai même pas pu dégager ma semence. En fait, Natacha, ma secrétaire, vient de me donner mon thé (comme elle aime bien l’appeler). Chaque  jour à l’heure de pause, elle vient me tailler une pipe. Mais aujourd’hui étrangement je n’ai rien ressenti.

Ma vie de couple aura bientôt des quiproquos comme je l’impression.

(…)

***Quelques heures plus tard***

Je sors de mon bureau. Je n’ai pas d’autres destinations à la tête si ce n’est que de rentrer dans mon logis. 

Natacha (me faisant sortir de mes pensées) : tu comptes déjà rentrer sans pour autant m’attendre ?

Moi : je pensais que tu étais déjà partie.

Natacha (étonnée) : partie? Depuis quand je pars sans toi ? On sort depuis 2 ans. On rentre toujours ensemble.

Moi : mais aujourd’hui je dois rentrer seul Natacha.

Natacha (irritée) : tu as un sérieux problème dans ta cervelle mon pote. D’accord vas-y !

Moi : passe une bonne soirée Natacha.

Natacha (me murmurant à l’oreille en me dépassant) : je n’ai pas vu mes règles ce mois. J’ai fait un test et je suis enceinte.

Moi (perdu) : Eh bien ? Quoi ?

Elle me dépasse sans soucis comme si je n’existais pas à ces yeux. Enceinte ? Bordel de merdre ! J’ai le vertige, je sens la terre tournée autour de moi. Je me jette dans mon carrosse et conduis à une vitesse de malade.

(…)

J’arrive enfin à mon logis. La sentinelle me salue et je ne prête même pas attention. Je le dépasse pour enter au salon. J’aperçois ma femme en décolleté, j’ai une bombe dans ma maison… 

Elle se précipite pour m’accueillir.

Naomi : Oh mon amour, bienvenu chez toi, dit-elle en m’embrassant tendrement.

Elle me fait oublier mes soucis du moment. 

Moi : Je t’aime chérie, dis-je. Tu es formidable.

Naomi : Je t’aime aussi mon roi, dit-elle en me serrant fort aux hanches.

Nous nous dirigeons à la chambre. Elle prend bien soin de moi en me déshabillant soigneusement.  Je me laisse faire. Cette affection fait naitre à moi une sensation pimentée. Elle m’embrasse une fois de plus avant de me dire d’aller prendre bain. J’exécute faiblement son ordre. 

Naomi : Chéri, tu as un souci ? me demande-t-elle remarquant mon attitude.

Moi : Non, non mon bonheur. Juste que j’ai envie de toi et tu viens de me couper l’appétit.

Naomi : Vas te laver d’abord, dit-elle en s’éclatant de rire.

(…)

Je sors d de la salle de bain et la trouve assise sur le lit avec une robe transparente qui montre tout son corps chaud. Elle me fait tout oublier en créant en moi un sentiment de paix et d’amour. 

Elle s’approche de moi en faisant tomber sa robe qui m’empêchait la vue jusque-là. 

(...)

Nous faisons la chose calmement. 

(…)

Moi : Merci mon amour. Dis-je avec joie.

Naomi : C’est mon devoir, mon roi. Dit-elle à se levant pour prendre bain.

Deus : Je n’ai pas vu notre fille, elle est où ?

Naomi : Elle est sortie il y a de cela 1heure. Elle est partie chez son amie.

Deus : Ah bon ? Elle doit déjà bouger ses fesses car il est 17h.

Naomi : N’exagère pas trop chéri, dit-elle. Elle est déjà une grande dame.

Deus : Humm oui, mais elle reste toujours une petite gamine pour moi. Elle ne connait pas encore comment le monde fonctionne. Elle ignore tant des choses da la vie. Dis-je avec rigidité.

Naomi : Oui, oui ! Elle va bientôt refluer j’espère.

Ouf ! La vie de couple. Elle est rocambolesque. Je voudrais bien de ne plus planquer ma femme. Je me sens si injuste envers elle. Ma femme est une vraie femme qui mérite plus. Maintenant que Natacha a un polichinelle dans le tiroir, ça va étaler toute mon infidélité. Ouf ! Sauf que je suis un homme et je dois tout bien gérer. 

***** Ephraïm Aaron Nzila*****

Je suis avec ma coqueluche, Blessing, dans un restaurant chic au centre-ville.  Je l’ai invitée par l’entremetteuse de son amie Irène (ma baigneuse). Je suis l’homme le plus heureux aujourd’hui car Bless à accepter ma proposition. [Rire] !

Tout ça grâce à Irène qui l’a rassurée sur moi.

Tabi : Ephra, tu es avec moi ? Ou tu penses à une autre de tes copines ? me demande-t-elle.

Moi : Quoi ? Même pas mon amour. Je n’ai qu’une seule femme qui fait battre mon cœur à chaque seconde et c’est toi. Dis-je en la regardant dans les yeux pour la rassurer.

Tabi : Hum tu es sûr que ce que tu éprouves pour  moi et de l’amour ou soit juste de l’attirance passagère ? m’interroge-t-elle d’un air curieux.

Moi : Bébé, donne-moi le temps de te le prouver. Je suis fou de toi. Dis-je d’un air coquin.

Tabi : Je t’aime aussi Ephra. Mais j’ai peur. Les hommes, vous êtes infidèles et volages. Tu m’aimes aujourd’hui et demain tu aimeras de la même manière une autre.

Moi : Pas tous les hommes Bless. Moi, je t’aime. Tu ne vois pas comment mes yeux brillent pour toi ?

On se regarde amoureusement pendant un petit moment. Ses yeux clairs qui la rendent encore plus belle, sa bouche vermeille ; son corps délicat  me donne envie de la pécho.

Tabi : Amour, je dois te quitter maintenant car mon père me tuera si j’arrive à la maison tardivement. Dit-elle d’un air patibulaire.

Moi : Oh oui mon amour, je ne peux pas te retenir pour longtemps. Je t’avais dit que  je marcherai à ton allure. 

Tabi : Merci, chéri. Tu es si gentil et charmant !

Elle veut se lever pour partir je la maintiens la main. Elle semble se laisser faire.

Moi : Tu comptes partir sans m’embrasser ? 

Tabi : Ah ce n’est que…

Elle ne finit pas à parler pendant que je la dirige tout près de ma chaise. Elle  soupire un moment avant de me parler.

Tabi : Ce n’est pas encore le bon moment chéri.

Moi : Ah pas de problème bébé. Dis-je mais au moins je peux te faire une bise sur tes belles joues ?

Elle ne dit rien, qui veut dire qu’elle est d’accord. Je la fais une bise tendre sur ses joues avant de me projeter sur son front en la donnant un baiser sur son front.

Elle sourit avant de me dire.

Tabi : Partons. Dit-elle.

Moi : Vos désirs sont des ordres mon amour.

On se tient les mains pour sortir du restaurant. Plus rien n’existe hormis nous deux dans ce monde. [Rire] !

****Blessing Tabi****

(…)

J’arrive chez moi après 30 minutes. Il est 20h dans ma montre. J’ai la peur au ventre. Mais la joie est plus grande [sourire]. J’ai passé  une journée la plus romantique avec mon homme. Il est affectueux, romantique et affable. Je l’aime fort [rire]. La soirée était si euphorique dans un resto class de la ville, il y avait que des hommes en couple. Chacun se montrait en roi ou en reine devant son conjoint ou sa conjointe. 

[…]

Voilà papa et maman assissent sur le divan, une crème au chocolat que maman déguste pour son dessert. Le couple  est en parfaite harmonie ce soir [rire].

Moi : Bonsoir papa et maman ! Dis-je en me dirigeant  tout droit vers ma chambre.

Deus : Bonsoir ma fille, dit papa. En retard pourquoi ?

Moi (d’un ton timoré) : J’étais avec Irène papa…

Deus (ferme) : C’est tout ?

Moi (d’une voix tremblante) : Oui papa !

Naomi (nous interrompant) : Vas te laver pour venir manger, me dit maman (pour couper les interrogatoires de mon père). 

Moi (sauvée) : Merci maman !

Je les quitte tout en ayant peur(…).

Je me jette sur mon lit en repensant à ma soirée amoureuse si tendre avec mon futur fiancé [rire]. Je compte l’inviter bientôt pour le présenter à maman, mais il doit d’abord faire le premier pas en me présentant dans sa famille comme sa payse. 

Cet amour naissant m’enlève l’appétit. Je me sens si douce en parfaite joie. 

**** Natacha Nacimento****

(…)

J’essaie de joindre Deus toute la soirée mais en vain.je le sentais dévasté aujourd’hui au boulot. L’annonce surprise de ma grossesse lui a perturbé. Eh bien tant mieux. Cela fait plus de deux ans qu’on sort ensemble. En dépit qu’il est marié, il ne cesse de me promettre un avenir radieux pour nous deux. De fois il passe nuit ici dans mon logis. 

Naguère, il se protégeait lors de nos rapports, mais je l’ai forcé d’y aller sans redingote. Eh oui je voulais cette grossesse.  Ça va me donner de l’ampleur et de l’influence sur sa vie. S’il proteste à ça ou me convainc d’avorter, je l’accuse chez le patron de la chaine, il sera viré et ruiné ensuite. Comme il aime bien son métier pour offrir une vie délicieuse à sa famille, il ne va pas refuser l’enfant que je porte de lui. [Son futur héritier] !

En fait, je suis la secrétaire de rédaction à ses côtés et il est mon supérieur. Je travaille comme secrétaire depuis 3ans dans la chaine nationale du pays, la Rtnc( la radiotélévision nationale du congo) . J’ai fait mes études universitaires en Europe et à mon  retour au  pays. Je ne pouvais que dénicher un poste comme celui-ci grâce à mon bon sens relationnel.

Deus ne pouvant  pas se contenir face à mon charme,  il est tombé amoureux de moi au moment où on venait de me nommer  secrétaire  de rédaction à ses côtés.

Maintenant que je vais le récupérer pour du bon. Ce raté de sa femme va aller se faire f*** !

***** Irène  Sevolo****

Moi : Waouh ! martinus, chéri ! Tu es un trésor. Dis-je en menant la chainette à mon cou.

Martinus : Oui ma belle lune de miel. Je t’aime brutalement.

Je regarde le miroir qui reflète ma plus belle image. Avec une chainette en or dans le cou. 

Martinus : Bébé, je pense que tu devais t’occuper de moi maintenant. Dit Martinus !

Moi : Je suis à toi trésor !

Je m’agenouille pour m’occuper de son oncle avec ma bouche, pendant qu’il me débarrasse de cette mini-jupe transparente. Sa main descend doucement sous mon entrejambe pendant que je dégage  déjà la cyprine. 

Moi : Fais-moi l’amour, dis-je toute excitée.

Il ne dit  absolument rien. Mais se contente  de me donner du plaisir avec ses doigts. Je gémis très fort en  accélérant  la pipe. Il crie aussi très fort pour après me jeter sur le lit.

Sa langue remplace ses doigts pendant que je m’évade dans les nuages.  Je verse une grosse cyprine en jouissant du plaisir.

Quelques instants après…

Moi : Tu es extenué ? demande-je en mettant ma tête sur sa poitrine.

Martinus: Tu m’as complément épuisé Irène. Après 4 ronds tu veux encore ?

Moi : Pour toi, j’irai même jusqu’à 10 ronds. Dis-je en caressant sa poitrine.

Martinus : Humm, tu as un appétit féroce toi.

(…)

Je lui fais une bise avant de le quitter.

Moi : Je t’aime mon trésor. Dis-je

Martinus : Je t’adore ma lune de miel.

(…)

J’arrive chez moi  toute éreintée par ce gros travail que je viens de faire. Ma soirée n’était pas oisive aujourd’hui. Il s’est allé jusqu’à 4. Ouf !

Je ne sais pas encore comment était la soirée de mon amie. Mais la mienne houleuse. Les gens vont me jalouser dès demain en percevant ma chainette en or.

  
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