Chapitre 9
Ecrit par Linda Bongo
Briana rentra seule de Port-Gentil après avoir prolongé son séjour de plusieurs jours . Borgia était littéralement tombé amoureuse de l’église des Iwenga. Elle avait été éblouie par la modernité et le côté anglophone des cultes . Mieux elle avait retrouvé ses frères qui lui avaient terriblement manqué et qui lui reprochaient sa longue absence.
Ils avaient été maltraités par les femmes de leur père . Ils avaient pris beaucoup de retard dans leur cursus scolaire et fumaient déjà le chanvre .
Borgia avait pleuré dans les bras de Briana toute une partie de la nuit . Elle voulait récupérer ses frères en avoir la garde juridique réparer les traumatismes subis .
Borgia : oh Bri Je m’en veux tellement si tu pouvais savoir . J’avais promis à maman sur son lit de mort que je m’occuperais d’eux !! J’avais promis oh mon Dieu j’ai failli !! J’aurais du venir chaque été m’enquérir d’eux !
Briana en lui caressant les cheveux : non ma puce tu ne pouvais pas savoir que leur pères qui les avaient réclamé à cor et à cri allaient être aussi négligents . Comment aurais tu pu savoir que l’argent que tu virais sur leurs comptes , ils s’enrichissaient au détriment de leur propre sang .
Tu ne pouvais pas le deviner
Borgia: nonnn ma mère doit vraiment m’en vouloir je dois réparer le mal causé je dois remettre mes frères sur le droit chemin .
Elle pleurait abondamment dans les bras de sa grande sœur elle avait le cœur brisé .
Briana : oulalala c’est un très gris chagrin ça !! Bon tu veux un chocolat chaud ? Borgia secoua la tête , que je te mette des louanges? Borgia leva les yeux au ciel , attends tu veux qu’on appelle Bélize ! Les yeux de Borgia s’humidifierent instantanément et elle acquiesça comme un bébé ; oui elle voulait sa maman Bélize celle qui était venue la chercher et aurait affronté des dragons pour elle .
Elle aimait beaucoup Briana mais Bélize c’était très puissant . Briana comprenait parfaitement ce lien et n’en éprouvait aucune jalousie. Bélize était le noyau du trio car Briana avait aussi une relation profonde et particulière avec Bélize.
Elle prit son téléphone et composa le numéro de Bélize qui décrocha d’une voix endormie après quatre sonneries
Belize : Allo ?
Briana : je te passe Borgia elle a un gros chagrin
Dès que Bélize entendit sa petite sœur sangloter elle s’était assise pour mieux la réconforter . Elle lui avait dit qu’elle aussi elle avait éprouvé le même sentiment de culpabilité quand elle avait appris son existence. Qu’il n’était jamais trop tard pour mieux faire .
À force de paroles et de cajoleries Borgia finit par se calmer et pria avec Briana et Bélize au téléphone. Les deux sœurs étaient un peu déphasées Borgia les exhorta à prier et à demeurer en permanence dans la présence de Dieu .
C’est vers 6heures que les sœurs s’étaient endormies.
Brenda de son miroir maléfique avait observé la scène son cœur était envieux en même temps ses sœurs lui manquaient en même temps elle était remplie de regrets .
Quand Rebecca reine de la cote perçue sa faiblesse elle attaqua .
Rebecca : regarde elles ne parlent même pas de toi elles ne se demandent même pas ce que tu es devenue si tu es en vie ou pas ? Tu te rends compte ? Elles ne t’ont jamais aimé tu as raison de les punir .
Quand elles seront dans la merde elles saurons qu’elles n’auraient jamais dû te mépriser .
Brenda : oui oui Reine mère tu as raison nous avons les outils pour atteindre Briana . J’ai ses sous vêtements et ceux de son mari
Rebecca avec un sourire sadique : alors allons travailler .
Briana rentra à Libreville après avoir installé Borgia dans un appartement qui avait été très Dur à dénicher . Ses sœurs la soutenait dans sa quête de récupérer ses frères . Elles s’étaient promis de venir la voir régulièrement et Borgia descendrait régulièrement à Libreville.
La reine Arondo sourit les sœurs étaient séparées une bonne chose de faite .
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Quand Briana rentra dans sa chambre elle se sentit une colère bizarre l’envahir à l’encontre de Willy . Tout était en désordre on sentait que la femme de ménage avait négligé son travail sachant Briana absente . Ce qui agaçait Briana c’est que son mari avait envoyé un de ses chauffeurs la récupérer . Alors qu’il mettait toujours un point d’honneur à venir la récupérer lui même .
Gedeon était encore à l’école . Briana fut poussée par une jalousie qui jusqu’à lors ne l’avait jamais effleurée . Que faisait donc will au point d’être indisponible pour venir la chercher ? Lui en voulait il parceque elle avait prolongée son séjour à port-gentil ?
La même manière elle avait accepté que will en tant qu’aîné avait des responsabilités avec les siens ce dernier devait accepter les siennes .
Elle ne pouvait tout de même pas abandonné Borgia dans une ville inconnue sans s’être assuré de son confort et des gens qu’elle allait côtoyer.
Elle prit une douche rapide elle avait envie de son mari quand elle l’appela son téléphone était fermé . Elle décida de se rendre à son bureau sans plus tarder .
Elle démarra sa voiture décapotable après s’être soigneusement huilée et maquillée . Elle avait un désir dans les reins elle voulait sentir son époux maintenant en elle .
Arrivée sur son lieu de travail elle vit avec satisfaction que son véhicule était garé dans le parking de la société. Elle remarqua une Mercedes coupe sport grise identique à la sienne garée près de celle de son mari . Elle tiqua un peu et relégua cette information au fond de son cerveau.
Elle regarda dans le miroir une dernière fois se remit du gloss et se parfuma elle aimait séduire son mari le subjuguer par ses formes et son odeur .
Les employés parurent gênés de la voir ils étaient surpris Briana ignora encore ce signal et monta directement au bureau de son cher et tendre .
Elle le trouva assis sur le rebord de son bureau avec une coupe de champagne en train de parler avec une splendide jeune fille qui était quasiment collée à lui .
Briana bloqua à la porte du bureau en mode :?Hein !!!!!! Qu’est ce que je suis en train de voir la ??? Dis moi que je rêve ? Que j’ai une hallucination?
Je suis arrivée après deux semaines d’absence tu ne viens même pas me chercher ? Je t’appelle ton téléphone est fermé ! Pour moi tu es dans des transactions financières importantes!!! Donc toi tu es la en train de chiller au calme avec une petite champagne en main ???????
Elle voulut éclater en sanglot mais son armure de glace qu’elle avait conçu après le viol que son père lui avait fait subir ; apparut instantanément et pris le relais en mode pilotage automatique.
Briana : bonjour je vois que vous êtes occupés je vais donc vous laisser poursuivre votre intermède . Je suppose que vous devez fêter la signature d’un contrat?
Willy lâcha son verre et la rattrapa avant qu’elle ne parte : Adelia s’en allait c’est la fille du Président avec qui je travaille lors des visites de délégations étrangères.
Briana agréable de visage : enchantée Mlle ou Mme
Adelia provocante : Mlle enchantée aussi Madame votre mari est vraiment un atout majeur pour le pays . Sachez qu’il a toute l’attention et le respect du gouvernement pour son excellent travail .
Tout ce qu’elle disait semblait avoir subtilement un double sens.
Briana : je suis tellement fière de lui j’aime beaucoup qu’il satisfasse les désirs du Gouvernement vu la médiocrité des services auxquels ils sont habitués je comprend l’intensité de leur attention. Il ne fait que son devoir de bon citoyen . Alors imaginez quand il est si efficace par obligation combien doit il l’être quand il l’est par son cœur ? Je suis bénie de l’avoir .
Elle embrassa son mari devant une Adelia verte de rage qui avait bien perçu le double sens des paroles de Briana .
Adelia : je vais donc vous laisser madame
Briana : non c’est moi qui pars j’étais juste venue saluer mon mari je vous laisse .
Will la suivit quand elle quitta le bureau elle l’ignorait royalement pendant que lui disais chérie attends ce n’est pas ce que tu crois je vais t’expliquer.
Quand il vit qu’elle ne comptait pas lui adresser la parole et voulait monter dans sa voiture et partir . Il décida de rentrer lui aussi dans la voiture côté passagers. Il ne pouvait pas la laisser partir comme ça .
Pendant le trajet Willy se mit à genoux dans la voiture et posa les mains sur les cuisses de Briana pendant qu’elle conduisait nerveusement.
Willy : Cherie c’est une très grosse cliente a moi j’admets , j’avoue que j’ai flirté avec elle en paroles mais jamais jamais je n’ai couché avec elle je t’assure . Je la laisse me chauffer mais je n’ai jamais trempé mon biscuit là bas chérie je te jure !!!
Briana: tu l’as déjà embrassé avoue que tu étais en train de l’embrasser quand je suis arrivée !!
Willy : non non Cheri je .,, je ne l’ai jamais embrassé non plus
Briana d’une main lui jeta son sac au visage pendant qu’elle tenait le volant de l’autre .
Willy malgré la douleur du gros sac sur son nez : chérie attention la route nous avons un enfant ohhhh il est encore jeune !!!
Briana: je t’interdis de parler de Gedeon rends moi mon sac
Willy ramassa le sac et le lui tendit elle le prit d’une main en regardant la route . Elle empoigna encore bien le sac d’une main et le jeta plus violemment au visage de will qui l’esquiva de justesse . Le sac alla frapper contre la vitre Willy sentit que la !!!! La panthère de sa femme était montée autant elle pouvait être froide glaciale elle avait des colères rares mais phénoménales .
Willy décida de ne plus dire un mot ou bouger pendant le trajet de peur que sa femme ne les jette contre un arbre .
Quand ils arrivèrent à la maison il suivit Briana qui monta directement dans leur chambre sans s’arrêter au salon selon leurs habitudes .
Dans leur chambre ce fut l’explosion Briana se jeta sur lui en le traitant de menteur d’infidèle et de fornicateur ,
Briana : voilà pourquoi la prolongations de mon séjour ne t’avait pas déranger parceque monsieur roucoulait avec sa petite et tu as eu le toupet de faire genre tu boudes car j’ai duré ???
Ne me touche pas tu entends !!!
Willy ne voulait qu’une chose faire l’amour a sa femme ; elle était furieusement belle . Ça lui plaisait qu’elle soit aussi jalouse elle était tellement maîtresse d’elle même que la voir ainsi lui mit le feu aux reins . Donc pendant que sa femme criait et voulait régler les comptes . Il essayait de la déshabiller de lui retirer son foulard son haut . Qu’il finit par déchirer sous les coups de protestation de Briana .
Briana : tu es fou !!! Tu crois que je vais te laisser me toucher après que je t’ai surpris en train de me tromper mais tu es maladee!!!!!!
Will: oui oui je suis Fou de toi bb aucune femme au monde ne m’excite comme toi j’ai envie de toi chérie stp
Briana furieuse : noooon lâche moi !!
Mais will sourd continuait à tirer sur ses vêtements et à l’entraîner vers le lit de leur chambre . Briana de débattait et lui mettait des coups mais will tira sur son jeans elle eut beau bloquée les jambes se démener il était plus fort et déterminé.
Elle commençait à être épuisée physiquement et émotionnellement elle relâcha un peu will la déshabilla entièrement du bas . Quand elle le vit se mettre au dessus d’elle !! Elle le gifla de toutes ses forces il s’enfonça alors de tout son long profondément en elle .
Elle ne put retenir un gémissement de plaisir er de surprise. Sans la quitter des yeux il se retira pour mieux s’enfoncer encore .
Briana : espèce de salaud je te déteste
Willy sans s’arrêter de sortir et de rentrer avec une lenteur étourdissante: moi je t’aime chérie
Briana : sale porc !!! Lache moi je ne veux pas
Willy : jamais Cherie c’est trop bon regarde comment tu mouilles
Briana furieuse contre son corps l’étrangla pour le tenir éloigné de sa bouche et de son cou qui était une de ses zones érogènes puissante . Si son époux mettait ses lèvres dans son cou elle était perdue déjà qu’elle était agonisante de plaisir elle ne donnait plus cher de sa fierté.
Will voyant que sa femme voulait le maintenir sous contrôle accéléra les coups de reins allant à gauche à droite au milieu profondément pendant près de 5min .
Briana ne retenait plus ses gémissements de plaisir et s’agrippait à lui maintenant , l’accompagnant de ses reins pour finir . Il prit alors des Lèvres passionnément avant de lui lécher le cou Briana fut traversée par un puissant orgasme pendant que son mari continuait à se mouvoir en elle .
Ce fut si fort qu’elle perdit le sens de la réalité tout son corps tremblait sous l’effet de l’orgasme foudroyant qui venait de les terrasser car son mari n’avait pas tardé à la rejoindre.
Lui en elle affalé de tout son long sur elle Briana : pardon faut me laisser respirer ce n’est pas parceque tu m’as viole que l’affaire est terminée tu as compris sors!!! On doit parler !!!!