Chapitre 9

Ecrit par Syab




Fabrice.





Ce connard de Damian n'a pas fait ce pour quoi je le paye,mais bon ce n'est pas grave.Elle est coucher,telle une innocente.Hummm ce soir je vais bien me marer. C'est sans faire de bruit que je prends l'une des cordes et que je lui attache une main.Elle bouge dans son sommeil, soudain elle ouvre les yeux et veut se détacher....





Slap.





La gifle que je viens  de lui mettre est encore plus forte que celle d'hier. Le temps qu'elle se ressaisisse je lui ai de nouveau attaché l'autre main.





Elle: non stp ,je t'en supplie non....






Moi: shuuuutttt ce soir je serai doux,ne t'inquiète pas.






Je lui prends un de ses pied et je l'attache aussi, le second pareil. Elle me supplie je ne l'a calcule même pas.Je lui arrache sa robe,elle est toute nue. Je me déshabille aussi pour bien m'exciter.Elle est vraiment bien foutue pour une gamine.je veux l'embrasser mais elle se dérobe, je lui maintient son menton avec ma main et l'embrasse à souhait.Ses lèvres sont trop douce,je lui malaxe les seins.






Elle: non svp arrêter,je vous en supplie non.......





Je monte sur elle,comme elle a déjà les jambes écartés je la pénètre sans autre forme de procès. Elle est vraiment bien serrer.Je commence à lui donner des coups de rein vraiment puissant.A chacune de mes vas et viens  elle ne fait que répéter je ne sais quoi....






Elle: l'Éternel est mon ....snifff mon berger,je ne manquerai..... Sniffff.....de rien.....il me fait.......





J'en si assez de l'entendre alors je lui mets la main sur la bouche.Elle me déconcentre.Je n'y vais pas de main morte.Je suis à fond,elle est tellement serrer que j'éjacule en moins de deux. Cette nuit sera ma nuit,notre nuit.




Le lendemain




Damian.





Il est 8 heures, Fabrice et son père sont sortis,Bella quand à elle a été enfermé dans sa chambre comme quoi elle a été désobéissante.Je me suis cacher pour pouvoir apporter à manger à Nora. Dès que j' entre dans la chambre,une colère sourde me prend.Nora est coucher sur le lit,son visage est tuméfié signe qu'elle a été battu, ses deux mains sont attachés, ses pieds sont écartés. Elle a des trace de larmes et de morves sur le visage.Des gouttes de spermes séchés sont sur son corps, elle en a même sur le visage.Ma vue se brouille, la scène est vraiment horrible, j'ai juste envie de vomir.





Sans rien dire je pose le plateau, m'approche d'elle et lui délit ses liens.





Elle: il m'a encore violé, toute la nuit.Il me tue à petit feu.Mon âme sombre petit à petit, je ne sais pas si je pourrais le supporter ....snifffffff,il me fait mal tout le temps........





J'enlève juste ma chemise,la prends dans mes bras et l'emmène dans la salle de bain.Elle est grave amoché, quel être humain peut faire ça ? Je boue de l'intérieur. Je la lave a l'eau chaude,je lui mets de l'alcool sur ses lèvres fendues. Je n'imagine même pas si ceci arrive à l'une de mes soeurs, que vais je faire? Que serai je capable de faire ?





Après l'avoir laver,je la porte jusqu'au lit.Elle tremble,je prends un pull et un bas de jogging qu'elle porte difficilement, son corps est endolori.Elle boit le jus de fruit que j'ai réussi à lui apporter.Elle le boit d'un trait.Elle prend du yaourt et de l'eau, elle est incapable de mâcher quoi que ce soit.Elle tremble tellement que je la prends dans mes bras.





Elle: mon ange gardien est avec moi,je ne crains plus rien. C'est Dieu qui t'envoie. Ton nom c'est quoi mon ange ?





Moi( sourire) : Damian.





Elle: jolie prénom et tu est ........vraiment........ Hummmm beau,Damian.... Mon ange gardien.....






C'est sa respiration qui m'a fait savoir qu'elle s'est endormie. Décidément on doit faire vite,si on veut que Nora reste en vie.Sinon à ce rythme elle va mourir pour rien.






Ibrahim.





Je suis dans mon bureau quand mon chef me fait appeler.Quand je fais mon entré dans son bureau, c'est comme si la terre s'ouvre sous mes pieds. Je vois la cousine de ma femme Aline,Odette notre bonne et Michelle. Avec elle un métis, je le connais bien pour l'avoir vu plusieurs fois dans les dîners officiels avec notre chef de l'État et ses ministres. A côté d'eux, trois policiers de la police des polices. Hummm l'heure si est grave.





Patron: monsieur Ibrahim, bienvenu ses personnes vous cherchent.






Le combat d'une mère...