chapitre29: la clé
Ecrit par ngakomal
~~~ Estelle Pokam~~~~
La vie nous réserve parfois des surprises mais les miennes comme je le pense, le seigneur en fait des tonnes. Si il y as quelques mois quand je venais travailler dans cette banque que je serais la copine du boss,…. J’aurais ri au nez de ce voyant. Je suis descendu de la voiture de Biboum il y quelques minutes et ne penses pas avoir encore percuté. Nous avons franchie le cap…. En fin pour moi. Et si c’est tout ce qui l’intéressait... se fourrer entre mes jambes. J’y réfléchis depuis cette aprèm. J’espère juste ne pas me faire renvoyer. Il est vrai que j’ai pris mon pied comme jamais. Aucun de mes amants ne m’avait jamais donné le privilège de me manger la foufroune … je ne savais pas que ceci était pure délice. Surtout quand je sentais sa langue aller de mon orifice vaginal à mon clitoris avant de s’y introduire avec une douceur féérique. Rien de pareil… à cette seule pensée, je sens ma mouille inonder mon slip. J’espère que mon imprudence ne me portera pas préjudice. Il faut dire que dans ses bras, j’oublie tout jusqu’à mon existence. Mes pas me conduisent vers la pharmacie du quartier et je me dirige vers l’accueil.
- Bonjour madame
- Bonjour. Me répondit-elle. Que puis-je pour vous.
- En fait je voudrais la pilule du lendemain le plus efficace que vous ayez.
- Tous le sont madame, leur efficacité dépend de votre ovulation. Ainsi, pour vous conseillé, j’ai besoin de la dernière date de vos menstrues
- Ok….. dis-je en ouvrant mon téléphone pour confirmer la date sur mon appli. Voilà. Dis-je en le lui tendant.
- Votre ovulation est dans une semaine. Mais il semblerait que vous ne voulez courir aucun risque.
- En effet…
Elle revient un peux plus tard après un tour à l’arrière boutique. Me tend un produit que je ne connais pas. A ma question, elle répond que c’est un nouveau produit sur le marché et est apprécié de la clientèle. Je m’empresse de vérifier la date de péremption, passe à la caisse et prend le chemin de la maison. Je m’arrête chez le boutiquier du coin et achète quoi nous faire un bon repas ce soir.
Je trouve petit pa à la maison et nulle trace de dany. Après un rapide bonsoir et puis de nos bises habituels, mon petit frère se met hors de la chambre pour me laissé de l’intimité. Je mets un top et me sein un pagne autour des reins et commence la cuisine au bout de quelques minutes, petit pa sort de la chambre et vient prendre place près de moi à même de sol.
- Est….? Commence-t-il
- Oui petit pa.
- Pourquoi on ne change pas de maison ?
- Parce que je n’ai pas encore fais assez d’économie pour qu’on le puisse.
Il se tait un instant avant de reprendre.
- Est… c’est parce que c’est trop un genre quand la copine de Dany viens ici. Est-ce que on ne peut pas prendre une autre maison ? même si je dors avec toi et Dany dort au salon ou nous deux on dort au salon.
- Hein…. Dis-je comme si j’avais mal compris. Dany à une copine ?
- Oui Est. Tu ne savais pas ?
- Hummm oui oui je pense qu’il me l’as dis et j’ai oublié. Elle vient souvent ici ? demandais-je comme si de rien n’était.
- Oui. Même aujourd’hui elle était là. C’est elle que Dany est allé accompagner comme ça.
- Elle vient depuis quand comme ça ?
- Depuis depuis hien. Ce qui m’énerve même c’est que quand elle vient, Dany me met dehors et dis que je ne vienne pas cogner pour déranger. Ça là ne me énerve pas hein Est.. c’est que ils durent encore jusqu’à je parts moi chez la Patou rester. Quand je lui dis, il me gronde.
- Laisse mon grand on va arranger ça avec ton frère. Tu as fait tes devoirs ?
- Non pas encore.
- Alors vas y. ainsi tu vas juste manger pour dormir. Si tu ne peux t’en sortir seul tu m’appelle. Tu as compris ?
- Oui Est j’ai compris.
Il s’en alla prendre ses cahiers et s’assied sur la table de fortune près de l’unique lit. De l’extérieur je pouvais le voir. De plus en plus je n’arrivais pas a comprendre le comportement de Dany. N’arrivais t-il pas à comprendre la gravité de notre situation ? Oui avec mon nouveau travail, d’ici quelques mois nous pourrions joindre les deux bouts : mais présentement, nous n’en étions pas encore là … je fulmine de colère et manque de renverser ma sauce d’arachide. Est-ce que cette colère ne s’adresserait pas à nous deux. Il est clair que moi non plus je ne prêche pas par le bon exemple. Je décide de me consacré à ce qui me préoccupe pour l’instant c à dire le repas. Et avec Dany, nous en reparlerons dès son retour.
Une heure après que Petit pa est fini son repas, voilà Dany qui se pointe avec deux jeunes du quartier avec qui je lui avais prié de ne pas trainé. On ne sait jamais. L’effet d’entrainement ne prévient pas. Il est plus de 21 heures.
- Bonsoir tantine Estelle dirent-ils en chœur.
- Bonsoir à vous ... comment vous allez ?
- On gère. Non ? tantine... le Camer est ce qu’il est on fait avec.
- Salut Est. Murmure Dany en se faufilant à l’intérieur.
Je ne prends même pas la peine de répondre et sur mes deux intrus un regard à la fois inquisiteur et interrogateur. J’attendais juste un signe, une phrase de travers pour déverser sur eux toute ma frustration et la colère que j’avais envers mon frère. L’un des deux avait sur la tête une sorte de tige roulée sur elle-même avec des cheveux et rasée sur un côté. Son frère qu’en à lui avait fait des mots illisibles sur sa tête taillée au raz.. ils portaient tous deux des pantalons déchirés à mis cuisse et des chemises qui diraient merci si l’on leur fessaient faire un tour dans une lessive. Ils empestaient jusqu’ici.
- How la big ? comment tu nos fimlbat mal comme ça ?
- Pardon ? dis-je comment je fais quoi mal ?
- Mola .. elle ne hya rien . laisse on go… le mouna va nous gui après… repliqua t-il à son frère. Se tournant vers moi. La grande on raccompagnait ton frère et on voulait te dire merci.
- ….
- Ok on va take la route. Merci encore.
- Je vous en prie. Répliquais-je perdus.
Ils tournèrent les talons et partirent. Vraiment l’enfant ci me ferra avoir les cheveux blancs avant l’âge ! Je rentre dans la maison et le trouve préparant son matelas pour se coucher au sol.
- Je dis hein Dany ? tu rentres maintenant à quelle heure comme ça ? tu étais où ?
- ……
- Je te parle tu étais où ?
- Ben… écoute j’étais où j’étais Est. Arrête de faire comme si je dois demander ta permission pour tout. Tu es ma sœur et non ma mère.
- Pardon ? dis-je en me curant les oreilles du doigt. je pense avoir mal compris. Répète je t’en pris.
- …….
- Petit-pa va attendre dehors.
- Est… il fait nuit hein…
- J’ai dit vas dehors. Pas vas en route. Assied toi tu la chaise dans la cours. Repliquais-je presque en crier. Le pauvre se précipita vers la sortie sans léser son reste.
- Crevons l’abcès Daniel. Je te rappelle que jusqu’à preuve du contraire je suis le responsable dans cette maison. Je te soigne et te nourrit. je te paie l’école et tout ce que je demande c’est que tu me témoigne juste un peux de respect.
- C’est ton travail en tant que grande sœur.
- Alors je te demande… de toutes les grandes sœurs que tu connais combien s’occupent-elles de ses petits frères financièrement.
- ….
- Combien d’entre elles s’occupent de leur petit frère dont les parents sont décédés. Combien ont arrêté leur étude en faveur leur petit frère.
- Arrête un peu Est. Arrête un peu. On dirait que nous t’avons demandé de mettre ta vie entre parenthèse pour nous. En t’entendant on croirait que tu t’es mise sur la croix à golgotha !
- Ha bon … alors que penses-tu que j’ai faite ? dis-moi appart de vous porter comme ma croix ? dis-moi. Tu penses que le fait de la famille de papa nous ai rejeter devait me pousser à faire pareil ? où tu trouve mieux de trainer avec ces bandits de bas étages pour apprendre le métier ?
- …..
- Où est-ce parce que tu te fourre déjà entre les cuisses d’une femme que tu penses que c’est la signification d’être adulte.
- Ce que je fais de ma vie privée ne te regarde pas !
Je me surprends à lui mettre une claque si forte que j’en ai mal à la main. Mais comment peut-on avoir une compréhension aussi limité ? je le vois séré les points mais ne prend pas peur. S’il pouvait savoir combien j’aimerais qu’il m’engage pour que je me défoule sur lui. Pour que je puisse extérioriser combien le poids de mes responsabilités me pèse.
- Daniel écoute… je veux parler doucement mais ne me pousse pas à bout. tu me connais suffisamment pour savoir que bien que tu sois un homme, cela ne me dérangerais pas de t’engager.
- …
- Parlons-en de ta vie privée comme tu dis si bien. Quand tu couche ta soit disant copine dans mon lit est ce que tu lui demande le laver mes drap après ?
- …
- Répond Daniel… ne me pousse pas à bout.
- Non. Répondit-il du bout des lèvres
- M’as-tu prévenu pour que je change moi-même mes draps pour m’éviter de chopper quelque chose ?
- Non …
- Bien sur que tu ne l’as pas fait. Tu n’as pas pensé une seconde que les sécrétions de vos mucus sexuels à ta copine et à toi pouvaient nous expos