Cinquième Feuillet
Ecrit par Amaral Dongo
(Des cris de bébé se font entendre subitement suivis
des pas !)
C’était la domestique qui portait la petite à
Nadia (puisque c’est comme cela que ma belle-mère s’appelait), elle lui intima
de ramener la petite dans sa chambre. Elle viendrait s’en occuper. Elle se
rhabilla rapidement et monta dans la chambre. De mon côté l’envie était en son summum ;
c’était un très bon coup pour laisser passer. Je l’avais désormais dans la
peau.5min plus tard j’ai escaladé les marches de la résidence pour la rejoindre.
Elle n’était pas dans la chambre de la petite mais plutôt dans sa chambre pour
se changer. Je ne me suis pas fait prier deux fois pour bondir sur elle malgré
ces refus au début. Je glissai ma main
sur son entrejambe. Je tapotais sa fente avec mes doigts
pour faire renaitre son désir. Elle mouillait instantanément. J’avais très
envie d’elle.
« Nadia, tu me fais trop bander, tu es trop
bonne avec moi », lui murmurai je à l’oreille.
Elle m’offrit encore son cou à mes baisers
humides de désir.
« Je veux te baiser ».
Je l’ai
relevée fermement et puis la posa sur le lit, tout en lui maintenant les jambes
bien écartées.
Sa robe était totalement remontée et je pouvais reluquer son cul
et son string noir. J’écarté un peu le tissu pour lui fouiller la chatte et me
branler avec des petits gestes circulaires. Elle me rendait dingue. C’est alors
qu’il m’a retournée pour me faire asseoir sur le bureau. Je descendis complément
sa robe pour découvrir ses seins ronds et pleins, qui emplissaient son
soutien-gorge noir à balconnets. Je les malaxai, tout en descendant pour à nouveau
écarté son string pour dégager sa petite chatte lisse et accueillante, toute
ouverte. Je me suis penché et me mis à la lécher avec délectation. Je
me surprenais à faire ça quelque chose que je refusais même à Sophie ! Je finis
par la pénétré !on en a eu pour toute la nuit. J’ai carrément passé le
Week end chez elle. Je ne suis rentré que le Lundi matin pour me préparer pour
le boulot.
Arrivée au boulot elle m’appela pour me souhaiter bon début de semaine !
Comment ne pourrais-je pas bien débuter la semaine. Tout comme mon week-end ma
semaine aussi a été chaude entre les pauses quand Nadia m’apportait à déjeuner.
Tout le mois où mon père était absent on s’envoyait en l’air
jusqu’au jour où mon père m’intima de le rejoindre à Paris. Ce que je fis !
Je ne sais pas pourquoi mais mon cœur battait la chamade je n’avais pas le
courage de regarder mon père en face.
Je suis arrivé à Paris dans la soirée, je me demandais bien ce qu’il
y avait de si urgent. Toutes les idées me passaient par la tête. Je me
demandais si l’un des gardes-du corps avait fait un rapport de mes escapades
avec sa femme. Si tel est le cas mon père risquait de me marquer à vis. Cette
idée me hantait au point où je ne sais à quel moment nous sommes arrivées à l’hôtel
particulier où il était logé.
A ma grande surprise, c’était plutôt autre chose. Le chef de l’opposition
qui était son ancien allié venait de lui rendre visite. Il était au courant du
coup pour l’acquisition des 50 milliards car il y avait un rescapé parmi les militaires
qui n’est rien d’autre que le beau-frère de monsieur CHAVENDA chef de l’opposition.
Il fallait faire quelque chose. Mon père me demanda de lui remettre la mallette
qu’on m’avait remise pour lui ; il l’ouvrit et en sorti un béret plein de sang.
J’ai tiqué net et un sentiment de frayeur me traversa tout le corps. Je lui
demandai ce qui en était mais il me somma que ce n’était pas mon affaire. Et de
me rappeler que tout ce qu’il fait c’est pour moi. Il me demanda ensuite de
rejoindre ma famille car dans 24h on devait partir pour Bruxelles.
Sophie et maman était vraiment content de me voir, elles ne
savaient pas que j’étais là. Dylan avait vraiment poussé. Un vrai champion ;
je profitais de ma famille. Sophie me faisait comprendre qu’elle aimerait bien
rentré maintenant. Je lui faisais comprendre de me donner le temps de gérer certains
détails. Mercredi 6h45 aéroport Paris-le Bourget départ pour Bruxelles. Au
cours du vol il était question des dossiers en cours mais je n’avais pas la tête
à cela. Nous en étions là quand j’ai reçu un mail de Nadia. Nous avions très
peu échangée promis de passer la voir dès mon retour. Nous sommes arrivés à
Bruxelles dans l’après-midi. Je ne sais pas pourquoi mais la première des
choses que j’ai fait c’est appelé ma mère qui me rassura sur le coup. A
Bruxelles un autre coup a été formenté. Nous avions séjourné seulement 72h à
Bruxelles avant de nous envoler pour Genève. Nous avions passé juste une
matinée à Genève. Mon père essayait de convaincre Monsieur CHAVENDA de laisser
tomber cette affaire et en échange il aurait ce qu’il voulait mais c’était trop
beau pour lui. Monsieur CHAVENDA devait embarquer pour les Etats-Unis après cette
rencontre. La réunion s’est soldée par un refus de Monsieur CHAVENDA.
Nous étions en route pour Ouaga quand nous apprîmes que Monsieur
CHAVENDA a été appréhendé à l’aéroport international John F. Kennedy. Il y
avait dans ces affaires un sachet de cocaïne minutieusement emballée et
transformée comme de la farine de maïs. J’ai reconnu une manigance de mon père,
plus je découvrais l’homme plus il m’effrayait.
Au total 10h de vol, nous sommes arrivés tard
dans la nuit à Ouaga, je ne demandais qu’une chose pouvoir dormir ! Ce que
je fis jusqu’au moment où mes gardes du corps me réveillèrent en fracas, en même
temps je lisais la gêne sur leur visage mais je comprenais qu’il n’avait pas
tellement le choix !
J’étais convoqué à la Présidence en urgence !