Quatrième feuillet
Ecrit par Amaral Dongo
Les heures qui ont suivi étaient tendu,
un régiment des forces spéciales de la Présidence a cerné la zone empêchant l’accès
et en quadrillant la voiture Présidentielle malgré le regard curieux des
passants et de la Presse. Tout ce qu’on pouvait remarqué c’est que la voiture
Présidentielle était criblée de balles. Un couvre-feu a été annoncé dans les
heures qui ont suivi. Le peuple a été laissé 48h dans la psychose et dans le
suspense ne sachant si le Président était mort ou vivant. Ce n’est que le
troisième jour que le Président a fait une déclaration officielle à la télé
annonçant la mort de son aide de camps qui s’est sacrifié pour qu’il ait la vie
sauve.
Maintenant laisser-moi vous expliquer
tout ce qui s’est passé en détail, avant le départ en tourné une vague de
nomination a été faite. Ce n’est rien d’autres que quelques soldats resté fidèle
au régime défunt. C’est justement l’un d’eux qui a été promu aide de camp du
Chef de l’Etat. Le reste a été commis à une mission commando sans savoir de
quoi il s’agissait effectivement. Dans l’attaque certains ont été tué et le
reste traqué par le régiment des forces spéciales puis exécuté. Le Président a
été évacué discrètement par un hélicoptère dans un hôtel de la capital ce qui
veut dire qu’il n’était pas dans le convoi. Beaucoup de gouvernement paires et
organisations internationales ont vivement condamné cette attaque.
Les jours qui ont suivi étaient
vraiment décisif, Monsieur TOURE ne s’est pas fait prier deux fois avant de laisser
passer le budget d’achat de la nouvelle flotte Présidentielle. Sur les 50
milliards seulement la moitié a été utilisé le reste viré sur mon compte.
Mon père a fêté ce succès qu’il ne
devait fêter celui de la naissance de son deuxième enfant.la grossesse de
Sophie arrivait déjà presque à terme. Il a été retenu qu’elle devait rentrer
sur la France et j’ai promis l’accompagné. Pour la circonstance ma belle-mère a
proposé assuré mon intérim vue qu’elle voulait reprendre une activité. Je ne
voulais pas mais je n’avais pas vraiment le choix. Je suis parti pratiquement
pour un mois…
1 semaine déjà qu’on est arrivé sur
Paris, On est donc le 3 Mars. Ca y est, c’est aujourd’hui, c’est le
jour J. On a attendu ça pendant si longtemps. Comment ne pas en vouloir un
d’une si jolie femme ? Si souriante, si attachante, cultivée, marrante,
toutes les qualités du dictionnaire ne suffiront pas…
Quoiqu’il en soit, depuis que j’ai
croisé son regard, que j’ai échangé ce premier sourire, ma vie a basculé. Et de
ce point de départ jusqu’à ce matin, on en a fait des kilomètres.
Et tout ce chemin parcouru, pour la
concrétisation de notre amour, un petit amour va apparaître bouleverser et
améliorer encore plus un quotidien déjà morose. Nous y sommes,
dans la fameuse salle pour savoir si c’est le bon moment. On la prépare, on lui
met une jolie tunique fendue à l’arrière, où on aperçoit une jolie paire de
fesses. On me donne une blouse jaune, une charlotte. Tout devient concret. Et
on nous emmène dans la salle d’accouchement. C’est étrange, je m’imaginais pas
vraiment ça, enfin je m’imaginais pas grand-chose non plus. Bon, tant pis,
c’est le prix à payer pour être beau le jour de la naissance de son fils. Et
oui j’ai eu un fils : il s’appellera Dylan !
Une semaine plus tard ma mère était à
Paris avec mon père pour voir leur petit fils mais aussi pour se faire opérer
de la prostate. Cela coïncidait avec les vacances présidentielles. Mon père en
avait pratiquement pour un mois. Il fallait que je retourne en urgence au pays
pour veiller aux intérêts familiaux ; je suis donc reparti une semaine
plus tard.
A mon arrivée il y avait des tas de
dossiers en instance et ma belle-mère n’arrivait pas à tout gérer ! Il
faut reconnaitre qu’elle s’est très bien débrouillée. Il fallait donc se
remettre au boulot.
Bientôt deux semaines que je suis
rentré et ma Sophie me manquait vraiment. La maison était vide et je me sentais
vraiment seul. Pour combler le manque je faisais des heures supplémentaires.
Par moment je rendais visite à ma belle-mère et jouer un peu avec ma jeune
frangine et jeune tante.
Ma jeune belle-mère ne manquait
aucune occasion pour me dire à quel point elle était heureuse que le courant
passe entre nous. Jeune et bienveillante, j’ai découvert en elle un vrai bourreau
du travail. Elle finit par me proposer carrément de passer les soirs, avant que
je rentre chez moi, manger. J’en ai parlé d’abord à mon père qui n’a pas
trouvé d’inconvénient. Parfois, elle en profite pour me parler de sa vie perso
et je suis vite devenue son confident. Ce qui me fascinait vraiment étais ces
formes et souvent les soirs quand je passais il m’arrivait de loucher sur ces seins.
Mais je me ressaisissais vite fait !
Un vendredi soir, on était justement
en train de terminer le diner après une grosse journée stressant et abattu que
j’étais, j’avais vraiment envie de faire quelque chose d’autre. Sans m’en
rendre compte-t-elle s’est mise à me masser les épaules alors que j’étais au téléphone
avec Sophie. Quand j’ai fini l’appel, je me suis laissé aller à la pression de ses
doigts tout en fermant les yeux.
Elle continua en me massant les bras,
le torse, et descendit ses mains plus bas… j’avais toujours les paupières
closes.je l’a senti effleuré mon entrejambe. Je ne pensais pas que j’oserais en
arriver là si facilement. Je ne dis rien et me laissa faire, en attendant la
suite. J’ai senti le relief d’une belle chatte mouillé sous ma main caressante.
J’en ai conclu que je pouvais y aller, que ça nous aiderait tous les deux
à faire retomber le stress de la semaine.
Elle me branla doucement et
soigneusement à travers mon pantalon, sentant mon membre frémir à chaque
passage de ses doigts. J’ai continué à lui masser la chatte, puis l’attirée à moi
pour la faire asseoir sur mes genoux. Là, elle se mit à massé la bosse formée
par ma trique avec son cul. Elle cambra
et agitait les hanches pour bien sentir la forme de ma queue, épaisse et
dressée, contre sa raie. L’excitation lui faisait redoubler les frottements. Je
déposai des baisers sur sa nuque tout en remontant sa jupe sur mes cuisses.
Je...