Confidences!

Ecrit par Mabanabook

VENGEANCE VS AMOUR : page 7


*Confidences 


JULIE SILOE 


Lui : mets quelque chose de sensuel s’il te plait, pour ce soir 


Moi : (le regardant) sensuel ? Pour une interview (souriant) 


Lui : (me caressant la main) non sensuel parce qu’il se pourrait bien qu’après tu sois à moi 


Moi : dans tous les sens du terme ? (souriant) 


Lui : (me rassurant)  oui tous les sens du terme 


Moi : ok (rassurée) 


Il signa mon chèque et me le donna. Je souriais et descendit de sa voiture. Oui je me tape le mari de la grosse Jamila, et oui, elle m’a fait une offense en me retirant l’interview et son  mari m’a fait un honneur en me demandant d’interviewer son candidat. Je l’avais lui-même déjà interviewer et je peux dire que c’est un bel homme, bien qu’âgé mais il maintient sa forme. J’avais tant voulu qu’il me fasse l’amour et fasse sortir cette grosse de sa vie, mais bon il ne l’a pas fait.  Après l’interview nous avons juste flirté un peu, normal lui il était ivre, mais moi, non. Je faisais semblant d’être ivre pour pouvoir aller plus loin mais on fut interrompu par un appel assez urgent m’avait-il dit. 


Je me demandais toujours comment un homme pouvait-il dormir à côté d’une femme si et si grosse ? Bof, elle n’avait rien d’une belle femme, je vous assure. Pauvre de lui. 


Son mari je dois l’avouer ne me dit plus rien, mais si je couche avec lui aujourd’hui c’est juste pour prendre ma revanche sur cette trainée mais aussi parce que celui-là même pour qui mon cœur bat ne me regarde pas. Andy ne réagit même pas lorsque je lui envoie des nudes. Il est le seul à me repousser et franchement je crois que c’est ce qui m’excite plus chez lui. Je l’aime et ne rêve que de lui en train de me prendre dans chaque position de son choix et me faire hurler de plaisir et moi aussi j’en ferai de même.  Mais bof il reste là à m’ignorer et franchement j’en ai marre. 


Bon je vais me garer devant cette boutique, ils ont le genre de robes capables de faire tomber tous les mecs à terre. 


****


Je suis dans une belle suite avec M. Bely et il me regarde tout doucement me déshabiller. J’enlève d’abord mon belle robe qui n’a laissé personne indifférent pendant cette soirée et ensuite mon soutien et enfin j’arrive sur mon string. Je lui demande : 


Moi : tu veux le retirer toi-même ? 


Lui : non vas-y ma charmante, je te regarde. (Me souriant) 


Moi : ok 


Laissez-moi vous parlez  de cette nuit, je suis arrivé au siège de campagne du candidat à interviewer et j’ai fini mon interview. C’est après avoir reçu les félicitations de tous et un beau chèque que M.Bely demanda à son chauffeur de déposer ma voiture à la maison et que lui-même allait me conduire ce soir. C’est ainsi qu’il m’emmena à Radison Blue un hôtel très 5toiles,  on monta dans une suite vraiment très splendide et il commanda le champagne le plus cher et aussi des amuses bouches. Ensuite il me demanda de me mettre à l’aise il enleva juste sa cravate et se déboutonna un peu et moi je commençais à me mettre à l’aise. 


J’enlevai donc mon string et il souriait à la vue de mon sexe, normal elle est belle ma chatte. Je me suis donc avancer vers lui et on commença à s’embrasser, se caresser, bref des préliminaires normal quoi. Même si je dois avouer qu’il a des doigts vraiment très habiles, woh, je vous le jure.  Il s’enfonça donc d’un coup rapide en moi et je ne put qu’apprécier l’instant : 


Moi : dis le moi ? 


Lui : quoi ma charmante ? 


Moi : que je suis bonne que Jmaila 


Il accéléra plus vite la cadence 


Moi : allez je veux l’entendre 


Lui :……


Moi : je t’en prie 


Lui:……


Moi : (recevant ces coups de butoirs trop fort en moi) s’il te plait 


Lui : tu es bonne qu’elle 


Puis il jouit. 


Moi  je suis Julie Siloé belle jeune femme élégante et sexy avec  de beaux tatouages placés ou ils devraient. Animatrice et journaliste pleines de talents, car oui je suis sortie avec des mecs bien placés mais bon sachez une chose dans cette vie même avec des compétences au lit hors normes il faut aussi avoir de l’intelligence et bon cela moi j’en ai assez aussi. Bientôt je pourrai être Madame Bely ou Assi sait-on jamais ? Donc retenez bien mon nom qui est Julie Siloé. Merci.


JAMILA 


Moi : non reste t’occuper de ton homme 


Elle : mais il va beaucoup mieux 


Moi : non il est sorti de l’hôpital il y’a seulement un jour. Allez je peux y aller seule


Elle : non, je viens 


Moi : non Marysa, occupe-toi bien de mon beau. T’en fais pas, si j’ai un souci je t’appel 


Elle : promit ? 


Moi : oui, bisous. Dis-lui bien de choses surtout. 


Je raccrochais et m’apprêtait pour aller dans la boutique qu’Andy m’avait recommandé afin de me sentir bien et belle pour l’interview. Je devais aller avec Marysa mais je préfère qu’elle reste avec son copain, le pauvre jeune est souffrant et il a besoin d’elle. 


Je sors de ma maison et me rends vers la boutique mais je ne la retrouve pas, je cherche longtemps et je me décide à appeler Andy 


Lui : comment vas-tu ? 


Moi : bien, désolé de te déranger mais je ne retrouve pas la boutique 


Lui : (ton moqueur) j’espère que vous ne vous êtes pas perdues ? 


Moi : (souriant) moi aussi, vu que je suis seule 


Lui : (inquiet) tu n’es plus allé avec Marysa ? 


Moi : non Kevin est souffrant donc j’ai voulu qu’elle reste avec lui 


Lui : ok j’arrive gare toi ou tu es et  je viens 


Je voulus l’en dissuader, mais il était décidé. Donc je me garai vers un restaurant puis je lui communiquais le nom du restaurant et je l’attendais. Quelques secondes plus tard Je vis une belle femme sortir de ce restaurant avec une de ces class, chose bizarre son visage me semblait familier. Lorsqu’elle se tourna et me sourit je la reconnus Neslie . 


Elle : (souriant)  Mme Bely ca va ? 


Moi :  (la regardant à peine) oui merci 


Elle : belle journée, vous êtes venue manger ? 


Moi : non mais faire du shopping, j’attends juste mon guide 


Elle : oh du shopping ? 


Moi : oui (la regardant, je dois avouer qu’elle était toujours aussi raffinée comme aime le dire Bely) 


Elle : hum je vois 


Et à ce moment il arriva. 


Lui : je suis là, bonjour Mme 


Elle : bonjour M.  (Lui souriant) 


Moi : ok nous pouvons partir maintenant 


Elle : (gardant toujours son sourire) ce fut un plaisir, passez le bonjour à votre mari même s’il sait que je suis de retour 


Je partis avec Andy en me demandant comment elle faisait pour être si à l’aise avec moi alors qu’elle a couchée avec mon homme. Ou bien pense-t-elle que je ne sais pas ? Bon à la voir même si elle sait je ne crois pas que ça lui dira quelque chose. 

On arrive à la boutique et avec Andy je réussi à prendre des tenues, je dois avouer que ces tenues sont belles et plaisantes à porter. On finit tout ça vers 17h j’eus faim  donc l’on s’arrêta dans un fast food pour manger.  Nous faisons dos à une autre table et les filles qui y étaient nous faisaient aussi dos. Tout allait bien lorsque j’entendis des trucs venant des filles assises de dos


Une : sérieux ma belle ? 


L’autre : mais oui, je te dis que le gars et moi avons passé une belle nuit. Il a de l’énergie je ne vois pas pourquoi il se gaspille avec cette grosse. 


Elle : wahoo, elle fait pitié cette grosse. 


L’autre : vraiment, et en plus il m’a avoué à plusieurs reprises et droit dans les yeux que j’étais bonne qu’elle et en plus que son corps était si gros et laid que ça  le repoussait et enfin que ces positions étaient si nonchalantes qu’elles le faisaient fuir. 


Elle : (riant) ah ça, tu l’as fait revivre 


L’autre : mais oui, vous me connaissez, il a même failli dormir avec moi, mais bon je voulais rentrer, on dormira ensemble une prochaine fois 


Une : on parle du même M.Bely là ? 


Je me crispais. 


L’autre : et de qui croit tu que je parle ? 


Elle : (riant) pauvre Jamila, elle a eu tort de se mesurer à toi 


Moi et Andy nous nous regardions. Puis le groupe de filles se leva et de la moi je reconnus Julie, à cause de son tatouage et sa manière de marcher. Andy lui ne faisait que me regarder, il avait compris je pense qu’il s’agissait de  moi. Mais je ne pense pas qu’il est reconnu Julie. 


Lui : Jamila tu sais tu n’ai pas obliger de croire tout ce que raconte ces filles sans pudeur (voulant me rassurer) 


Moi : oh crois-moi je ne le ferai pas si et seulement si je ne connaissais pas mon mari 


Je ne pouvais plus cacher sa réputation longtemps je me suis dit. 


Lui : je suis vraiment désolé, on peut aller ailleurs si tu veux (gentiment) 


Moi : mais nous avons  déjà commandé 


Lui : ce n’est pas un souci, on peut payer et aller dans un autre endroit 


Moi : on peut aller chez toi ? 


Merde j’ai vraiment dit ça ? 


Je ne compris pas moi-même ma question, mais je ne voulais aller chez moi. 


Lui : ok il n’y’a pas de soucis 


Moi : non désolé je ne veux pas t’embrouiller, je vais renter c’est mieux 


Lui : tu ne m’embrouille pas et je ne vais pas te laisser aller chez toi dans cet état. On va chez moi, on va emporter la nourriture (un peu autoritaire sa voix à ce moment) 


Je le suivais sans broncher, j’avais juste envie d’être ailleurs dans un endroit calme. Comment vous détruire la maison d’Andy ? eh bien une belle maison de célibataire, cette maison était vraiment très belle et simple. C’était certes élégant mais ça manquait de touche féminine selon moi, normal c’est un mec. Je m’assis en face de la fenêtre qui permettait aux gens du dehors de voir un peu l’intérieur de la maison. 


Lui : ça va mieux ? (m’apportant de l’eau) 


Moi : hum un peu, merci 


Lui : je ne suis pas encore marié mais je pense que tu devrais en parler avec lui plus calmement


Moi : (doucement) je vais me taire pour éviter qu’il me frustre avec ces propos blessants 


Lui : non se taire n’est pas bon, essai plutôt de lui parler 


Moi : tu sais cette histoire de me sentir mal dans ma peau, ça commencer lorsqu’il a commencé à me le répéter comme une chanson et cela m’est resté, (souriant avec une certaine tristesse, il adore m’appeler la grosse Jamila. Il me trompe sous mon nez dans notre lit conjugal en me disant que c’est juste parce que je suis grosse ou insignifiante ou alors il me rappelle un passé que j’essaie d’oublier. 


Lui : (dépassée)  je suis navré. Vraiment navré mais sache que si celui que tu as choisi pour homme ne peut pas t’aider à te sentir mieux, toi-même tu peux le faire sans l’attendre lui. 


Moi : oui j’essaye en me répétant toujours cette phrase ‘’parce que je peux’’, mais avec un homme comme Maxime c’est dur. 


Lui : j’imagine mais pourquoi restez dans un foyer ou tu ne te sens pas en paix ? 


Moi : (le fixant) j’ai fait une folie un  jour, j’ai commis la bêtise d’aimer un homme marié, il semblait m’aimer aussi, et on se mit ensemble sans penser aux conséquences. Puis l’amour devient fort et il partit, je sombrai dans une dépression si dure à supporter que j’avais des envies de suicide. Je l’ai réellement aimé cet homme marié là. Puis c’est là qu’apparu mon mari, il m’aida à surmonter ma dépression et me demanda en mariage, j’ignorais que la vie de couple allait être si rude. Et ça l’est devenu encore plus lorsque je donnais naissance à une fille. 


Lui : une fille ? 


Moi : oui, malheureusement elle n’est pas  restée. Mais bon c’est moi que cela à  affecter. Mon mari lui, voyait cette fille comme un échec car il voulait un garçon comme premier né.  


Lui : (dépassé) non, pourquoi réfléchis t’il comme un analphabète ? Désolé mais ça m’énerve quand des intellectuels réagissent ainsi. 


Moi : ne t’en fais pas. Mon mari est vraiment une personne bizarre ou particulière (petite voix) 


Lui : tu sais c’est une sorte de violence cela, il a réussi à te faire avoir honte de toi  et te faire te sentir mal. C’est un traumatisme qu’il est en train de créer en toi sans savoir. Tu peux encore partir tu sais ? 


Moi : partir ? Qui me voudra avec ce poids-là ? En plus je ne suis plus toute jeune, je refuse d’être un poids pour ma sœur qui a toute sa vie devant elle 


Lui : (sérieux) tu ne dois plus te dire cela, ne pense pas qu’une femme peut trouver la paix et la joie seulement en un homme, non celles qui pensent ainsi finissent mal, soit par dépression ou par chagrin. Une femme indépendante peut vivre seule et bien. Et en plus qui t’a dit que tu ne trouveras pas mieux ailleurs, tu es une belle femme et malheureusement tu laisses cet homme te montrer ce qu’il veut. Sois plus sure de toi, affirme tes formes, car d’autres courent les rues pour les avoir. Et si tu fais une chose ne la fait pas pour les autres mais pour toi d’abord, car c’est ton corps et c’est à toi de l’aimer d’abord. Si tu veux faire du sport pour perdre du poids ou autre chose sur toi fais le d’abord pour toi, car si tu tombes amoureuse de toi-même le reste ne sera que zéro. 


Moi : merci beaucoup, je ne sais pas trop mais  parler avec toi me réconforte. Tu peux être coach tu sais ? 


Lui : je t’en prie. Je fais y penser pour le coaching, allez viens on mange ? 


Moi : tu sais que cette vitre-là donne accès à une partie de la maison ? 


Lui : oui c’est fait exprès au cas où on m’agresserait (riant) 


Moi : bonne idée (souriant) 


Lui : (riant) je blague c’est juste que j’aime bien me sentir proche du dehors même sans pouvoir y avoir accès 


Moi : ah ok 


Lui : bon à table maintenant 


On mangea dans une bonne ambiance, et on joua aux cartes. Apres quoi je demandais la route, je trouvais Maxime dans ces affaires de téléphone, je le dépassais et allait me doucher pour dormir car demain je serais sous les projecteurs. 


****


Je descendis les escaliers sur le regard surpris de Maxime. Et comment je portais un beau Jeans taille haute avec un chemisier assez beau et simple, un léger maquillage et je me parfumais. Je me sentais un peu mieux dans cette tenue et plus relax, normal je suis habitué à me doubler même en période de chaleur.  J’arrivais au Q.G  de campagne et fis la rencontre avec le candidat qui était très simple je dois dire et sa femme qui se voyait déjà première dame avec ces airs un peu trop oser selon moi. Je fis tranquillement mon interview et retourna au bureau, sous le regard surpris de tous. 


Elle : (me prenant dans ces bras) oh que tu es belle ma grande sœur 


Moi : merci Andy est là ? 


Elle : oui 


Moi : ok 


Je la dépassais et partit directement à son bureau ou j’entrais sans frapper, lorsqu’il me vit il ne put que dire wahoo. 


Lui : tu es resplendissante 


Moi : (riant) c’était un de tes choix dans cette boutique, tu l’as déjà vue 


Lui : oui mais pas sur toi et là je dois avouer que tu es vraiment resplendissante là-dedans. 


Moi : (flattée) vraiment merci


Lui : (sourire en coin) je t’en prie 


La semaine se passa dans la plus grande tranquillité, j’ai reçu plusieurs encouragements et félicitations suite à mon interview et j’en suis fière. Quant à M. mon mari il ne cesse de me demander d’abandonner mon candidat pour lui mais je refuse. Moi et Andy par contre nous nous sommes rapprochés, il est un très bon ami et il me conseille assez. J’aime sa compagnie et n’arrive plus à me passer de lui, (rires) il est si cool. Je ne lui est pas parler de Julie, j’essaie juste d’éviter les sujets qui frustrent et d’apprendre à m’aimer moi-même d’abord. 


ANDY 


Elle : c’est super beau ici (émerveillé) 


Moi : merci beaucoup 


Elle : tu aimes beaucoup la plage apparemment ? 


Moi : oui beaucoup, ici nous sommes seuls, nous pouvons réfléchir à notre passé et à notre futur 


Elle : pourquoi pas au présent ? 


Moi : mais nous le vivons déjà 


Elle : tu sais je me suis confiée à toi l’autre fois mais je ne sais rien de toi


Moi : que veux-tu savoir ? 


Elle : pourquoi tu es toujours célibataire et n’a pas d’enfants ? 


Moi : eh bien c’est une longue histoire (je lui expliquais l’histoire) 


Elle : wahoo pour une vengeance elle s’en est bien prise. Je suis si navrée pour toi, et c’est arrivé net au moment où tu voulais te caser. J’espère qu’elle n’a pas fait disparaitre cela en toi ? 


Moi : non, mais j’attends la bonne  (la fixant) 


Elle : tu sais si tu attends trop tu tomberas sur la mauvaise et la solitude te feras penser que c’est la bonne. Tu deviendras comme moi (mine triste) 


Moi : comme toi ? 


Elle : oui à vivre avec quelqu’un dont tu ignores les vrais sentiments à ton égard et  être dans une maison comme une déco et rien d’autres et toujours à redire sur tout venant de toi 


Je me levai et la jeta dans l’eau en face de nous. 


Elle : mais pourquoi tu fais ça ? (ahurie) 


Moi : fais de même pour-moi si tu arrives à me rattraper (riant) 


Et là je courus elle essaya tant bien que mal de me rattraper mais bon elle n’y arrivait pas alors elle me versa du sable dessus et en essayant de me débarrasser du sable elle réussit à me jeter dans l’eau. 


Elle : (se moquant) bien fait pour toi, tu m’as carrément trempée 


Moi : oui mais au moins ça réussi à te faire rire, je t’ai emmené ici pour te féliciter et tu ne dois pas être triste même pour ton mari et tu sais pourquoi ? 


Elle : (souriant) encore ? 


Moi : (riant) j’attends la réponse 


Elle : parce que je peux (baissant la tête) 


Moi : c’est parfait (l’applaudissant) 


Elle : je suis toute trempée là 


Moi : pas grave c’est pour la bonne cause 


Elle : tu es trop drôle sinon tu seras au  diner gala organisé par la fondation Cris de cœurs ? 


Moi : oui et toi ? Je crois qu’ils ont invités toute l’équipe au travail


Elle : je veux bien partir mais bon 


Moi : ne me dis pas que tu penses encore à ce que tu vas mettre ? 


Elle : bof ca m’angoisse un peu 


Moi : écoute demain après midi nous ferons le tour des boutiques et tu choisiras une belle tenue de soirée 


Elle : tu vas m’accompagner ? 


Moi : oui et en plus je l’ai déjà fait une fois donc je peux le refaire encore 


Elle : merci Andy tu es si bon avec moi 


Moi : parce que tu mérites que je le sois ma belle 


Elle : merci  (baissant la tête) 


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VENGEANCE VS AMOUR