Infiltrations !
Ecrit par Mabanabook
VENGEANCE VS AMOUR : Page 23
*Infiltration !
FRANCK
Cette soirée est finie et nous sommes tous rentrés, moi je venu chez moi ou je n’avais que pour fidèle compagnon mon chien « Denver ». Je l’aimais bien, je lui parlais et il me répondait en aboiements. (Rires)
Mais cette nuit je me sentais bizarre, le fait d’avoir vu cette belle dame, lui parler à changer un truc en moi. Elle est si belle et si directe en même temps. Elle aurait fait une belle journaliste je dois dire.
Moi qui ne passais des soirées qu’avec de bonnes amies d’un soir, me revoilà à penser à cette femme que je n’ai vu qu’aujourd’hui dans ce beau jardin de l’Hôtel Ivoire. Elle doit être la bonne amie de cette milliardaire, vu qu’elles sont rentrées ensemble. En parlant d’elle, qu’est-ce qu’Andy faisait avec elle dans les jardins de cet Hôtel ?
Hum, il m’expliquera tout ceci demain, je vais aller me couché en gardant à l’image la belle dame sans un prénom. Quel con j’ai fait de ne pas avoir son prénom ni même une adresse. Et si je demandais une interview à cette milliardaire, je pourrai la revoir l’autre et avoir des infos sur elle. (Sourire)
JULIE
Moi : (petite voix) chéri t’ai-je fait quelque chose s’il te plait ?
Lui :………
Moi : (allant derrière lui) bébé est-ce que tu m’en veux pour un truc que je t’aurai fait ?
Lui :…….
Moi : (petite voix) Andy ?
Lui :………
Moi : le touchant) tout va bien Andy ?
Lui : oui tu me parlais ? (revenant à lui)
Moi : oui je me disais que je t’avais fait un truc qui t’aurait sans doute déplut d’où ta réticence envers moi tout le reste de cette soirée (le regardant)
Lui : non, non. Je pense à assez de choses (passant une main sur son visage)
Moi : (inquiète) est-ce ta présentation officielle qui te rend ainsi ?
Lui : hum non, excuse-moi Julie je dois sortir un peu (se dirigeant vers la porte)
Moi : ok attends je viens avec toi
Lui : non ça va (me stoppant)
Moi : mais il se fait tard bébé (voulant le convaincre)
Lui : (souriant difficilement) raison de plus pour que tu restes ici, je ne veux que rien d’arrive. (M’embrassant sur la joue) je ne serai pas long
Moi : ok (déçue)
Il sortit rapidement. Certes cette dernière phrase m’a fait plaisir vu que cela prouve qu’il tient à moi, mais d‘où vient ce besoin de sortir si tard en cette nuit ? je le savais cette idée de présentation était un peu tôt pour lui, il se remet peu à peu de la perte de Jamila. Je ne veux le stresser, on va attendre un peu encore. Désolé papa, mais je ne veux brusquer cet homme, car c’est l’homme de ma vie.
JAMILA
Elle : je suis désolé Jamila (mine triste)
Moi : (lui souriant) arrête de t’excuser, tu n’as fait que marcher dans les jardins de cet hôtel. En plus avec Maxime tout s’est bien passé donc t’inquiète
Elle : ok Dieu merci, cet homme était si bizarre à me fixer comme s’il cherchait ces mots. (Riant) mais j’ai voulu lui parler
Moi : c’est Franck Kouakou et c’est mon ancien patron. C’est un bon monsieur, s’il n’a pas changé je pense. (la rassurant)
Elle : ha ok, et ce type là c’était qui ?
Moi : (respirant un grand coup) ce type était une de mes plus grandes erreurs, ce type, est celui avec qui j’ai commis l’adultère et celui qui m’a laisser tomber pour une autre pendant la période de décès de ma sœur et son fiancé. Ce type n’est autre qu’Andy Assi. (la fixant)
Elle : ohh je suis navrée, vraiment ! (Mettant la main sur sa bouche)
Moi : (souriant) ne t’en fais pas. Il appartient désormais au passé.
Elle : c’est mieux (mettant sa main sur la mienne)
Je la laissai et partit embrasser mon fils, il était si beau dans son sommeil. Je lui fis une bise sur le front et je partis rejoindre ma chambre. Seigneur donne-moi assez de force pour continuer ce combat sans me faire prendre, résister aussi à cet homme qui m’a trahie et s’est tourner vers une autre femme. Ce qui s’est passé aujourd’hui ne doit plus se reproduire. Je suis Jokeybed Nelson et non Jamila donc tout doit changer maintenant.
J’ai une seule priorité après ma famille : ma vengeance !
*****
Elle : tu es bien matinale
Moi : oui je dois participer à 9h à une réunion avec Bely et associés de crime (voix bizarre ce qui lui arracha un rire)
Elle : associés de crime ? (riant)
Moi : (m’asseyant) oui car je suis sure que ces amis sont du même rang que lui
Elle : ok fait attention, mais si tu veux gagner une bonne place parmi eux tu dois aussi être un peu mauvaise (sérieuse)
Moi : (soufflant) je le sais, et j’y pense fortement.
Elle ne t’en fait pas.
Lui : salut maman, salut tata
Elle : salut mon chou (souriant)
Moi : (l’embrassant) mon amour de bébé, comment ça va, bien dodo ?
Lui : oui maman et les affaires ?
Moi : ça avance mon trésor, alors ce pays te plait ?
Lui : oui mais je voudrais rencontrer certains coins de la ville si possible
Elle : ok on fera du tourisme alors
Lui : mais et maman elle ne viendra pas ?
Elle : maman est assez prise tu sais ?
Lui : oh d’accord
Moi : je ferai tout pour trouver du temps pour toi et nous irons nous balader tous ensemble comme au Ghana (lui souriant)
Lui : vraiment ? (m’embrassant) merci maman
Moi : je t’en prie, bon je file. Je vous aime (partant)
Eux : nous aussi
J’arrivais à la réunion et Bely me présentais ou dois-je dire, me brandissait tel un trophée. Je faisais tout pour rester courtoise et souriante.
Neslie : Max, elle peut se déplacer toute seule sans toi je pense (sourire malicieux)
Lui : c’est mon invité alors je reste son guide
Neslie : ok on peut commencer (ton un peu dur)
Un homme : ok la situation au Togo, cet homme reste toujours sur sa position
Un second : il est vraiment incorrigible
Un troisième : pourtant nous avons tout essayé comme menace
Neslie : (soufflant) eh bien c’est comme si vous n’avez vraiment rien fait. Attendez le bon moment et frappez bien et fort. Faites pression sur ceux qu’ils aiment
Le second : il a mis sa famille sous une forte protection
Neslie : ils n’aiment jamais leur vraie familles ces hommes-là, rare sont ceux qui les aiment. Je parle de sa belle petite maitresse qui aime tellement. Tellement aimer et libre qu’elle se pavane toute seule comme si le pays était à elle. Vous pouvez la kidnappez et en faire un moyen de pression. Au pire des cas l’éliminez, non éliminez plutôt son enfant adultérin et là elle lui en voudra et il démissionnera (comme si de rien n’était)
1er homme : (applaudissant) le génie, comme tu nous avait manqué
Second homme : je ne crois pas que M. ton mari et les autres accepteront
Neslie : ils veulent qu’il démissionne et nous on les aide à atteindre cela pour le reste ils ne sont pas obliger de savoir. Et en plus pour Valls j’en fais mon affaire. (Sereine)
J’étais sidéré, Neslie n’était pas seulement qu’une maitresse mais aussi une femme vraiment sans cœur, elle me fixa un instant et me sourit, ce même sourire malicieux qu’elle adorait me faire, mais cette fois c’était comme pour me dire qu’elle était le génie de cette organisation et que je devais le savoir.
Maxime essayait de me dire à l’oreille que son mari était aussi un homme puissant et qu’il faisait partie de ce cercle mais il était plus pacifique.
Moi : (sans trop réfléchir) et si on adoptait une méthode plus fairplay à l’extérieur et plus stratégique à l’intérieur.
Troisième homme : comment ?
Neslie : (voulant m’interdire de continuer) elle vient d’arriver ne l’oublie pas, notre histoire est ancienne et elle n’y connait rien. Elle est encore au stade de l’observation
Maxime : laisse-la continuer Neslie (lui faisant signe des mains)
Neslie : quoi ? (ahurie)
Maxime : je t’en prie Neslie, allez-y, nous vous écoutons (m’encourageant)
Moi : au fait j’apprécie vraiment l’idée de Mme Valls, (lui souriant) mais je pense que le nom des dirigeants de l’Occident est déjà mal vu donc pourquoi en rajoutez encore.
Elle : tu veux dire, pourquoi ne pas en profitez encore ? (me fixant)
Moi : (continuant) ce que je veux dire c’est que nous savons tous que l’homme aime le pouvoir, mais l’homme africain encore plus. et pour nous le pouvoir s’est être aduler de tous et être traiter comme un roi partout où nous passons, on peut tout simplement voir avec ces proches collaborateurs et leur promettre monts et merveilles tout en les montant contre lui mais d’une façon vraiment très stratège. Et il verra qu’il aura le pouvoir et plus personne comme amis ou conseillers, pourtant l’africain aime commander, il partira.
Elle : (automatiquement) et s’ils refusent ?
Moi : on s’attaquera au plan B, (sereinement) et peut-être même que c’est là que va intervenir la maitresse, car en tant que femme mariés (la fixant) nous savons toutes les deux, qu’elle (les maitresses) ne tarde pas à voir partout où elles peuvent si le ciel commence à s’assombrir. Alors on peut même, trouver quelqu’un qui la séduira si elle est trop fidèle ou loyale. Car pour la maitresse il faut quelqu’un qui peut être là H24 sur H24 et qui lui démontre toute son attention, mais la couvre aussi de cadeaux. Il faut qu’elle ressente en lui tout ce que l’autre a déjà mais lui aura un avantage, il sera libre. Donc bingo elle pourra être aussi une dame respectée. (Souriant)
Second homme : oui c’est vrai (apparemment impressionné)
Neslie : et si elle résiste ? (mine bizarre)
Moi : (souriant) s’il est compétent, elle ne résistera pas. (Sereine) Elle semble heureuse mais souffre de solitude au fond, qu’il soit beau, paternel, riche et compétent et vous verrez. On pourra soutirez le max d’infos d’elle sur lui, car elle se confiera en celui qu’elle verra comme un ange
Elle : et si elle n’a pas besoin de tout cela ? (automatiquement)
Moi : (confiante) les maitresses qui aiment vraiment et qui sont libres ont besoin de tout ça car arriver un moment la solitude les énervent et les ennuie.
Ils me fixaient tous épatés.
Moi : (continuant) soit elle nous donne un moyen de pression sur lui ou soit il ne supportera plus qu’elle soit avec un autre et que celui-ci prenne même sa place de père. Et Dieu seul sait comment les hommes détestent perdre alors là il délaissera tout pour eux, ceux qu’ils aiment vraiment. (La regardant)
Maxime : (applaudissant) je suis impressionné
1er homme : on valide sa requête (souriant)
Second homme : bien sur
Neslie : hum ok (fermant son ordinateur)
Troisième homme : vu que nous sommes tous d’accord, il ne nous reste plus qu’à trouver l’homme (heureux)
Neslie : (le fixant) je m’en charge
On finit et j’allais prendre un café avec Maxime
Lui : (souriant) moi qui pensais que vous vouliez seulement apprendre la politique, non mais vous êtes bonne à cela
Moi : merci je suis flatté, (le regardant) mais tout ceci est grâce à vous Maxime
Lui : non grâce à votre intelligence (même sourire)
Je fis à ce moment-là tomber mon portable exprès et je m’abaissai pour le prendre en prenant tout mon temps, je ne pouvais sentir Maxime respirer.
Lui : j’aurais pu le faire (me regardant)
Moi : (saisissant sa main) on fait affaire maintenant donc je crois qu’une petite familiarité ne nous fera de mal. On peut se tutoyer (je le sentis frémir)
Lui : (voulant toucher ma main que je retirai aussitôt) j’en suis le plus ravie (toutes ces dents dehors)
Moi : merci encore, j’espère que vos amis m’apprécieront ?
Lui : (confiant) oh mais ils le feront. Eux tous même d’ailleurs.
Moi : je ne pense pas (souriant)
Lui : (mettant la main sur la mienne) croyez moi que si et s’ils refusent je ferai sortir les vilains petits secrets du placard
Oh donc ils ont des secrets.
Moi : non, n’en arriver pas jusque-là (faisant mine d’être choquée)
Lui : alors ils devront vous acceptez sinon mon moyen de pression commencera (riant)
Moi : j’ai peur (souriant faussement)
Moi : (voix rassurante) oh non vous n’ayez peur de rien
Je me demandais si c’était vraiment le même Maxime avec qui j’ai vécu. S’il y avait des secrets, je devais le savoir et m’en servir contre lui. Et je dois savoir comment m’en servir contre lui.
Moi : vous pouvez me conseillez un endroit pour que mon fils se balade un peu.
Lui : oui il y’en a plusieurs
Moi : ok je suis toute ouïe
Lui : (me fixant) vous avez un très beau sourie Mme Nelson
Moi : merci Bely
Il reçu un message et froissa son visage
Moi : un souci, si je peux me permettre de demander ?
Lui : bien sûr que oui, non au fait on m’invite à un diner vraiment important mais on me dit de venir accompagner pourtant je n’ai personne (souriant)
Moi : un diner ?
Lui : oui tout le reste de la bande y sera
Moi : mais demande à ta campagne de t’accompagner
Lui : malheureusement, je n’en ai plus. J’ai perdu celle qui m’aimait vraiment et les autres préfèrent les jeunes (riant)
Moi : mais tu n’es pas vieux (souriant)
Lui : merci beaucoup
Moi : (le fixant) et si je veux venir pour découvrir les autres ça ne te gênera pas si je suis ta cavalière d’un soir
Lui : je n’osais vous le demandez de peur de vous frustrer, évidemment que j’en serai ravi (heureux)
Moi : (me levant) parfait, alors j’attends le programme donc
Sourire, il ne sait pas ce que je prépare
****
Moi : bonjour M le détective
Lui : comment allez-vous madame ?
Moi : bien mais ça irait mieux si vous m’aidiez
Lui : je suis toute ouïe, je l’ai promis à votre mari
Moi : d’accord, alors commençons
*****
Nous voici donc dans l’un des plus grands centres commercial de la ville, je ne connaissais pas vraiment ce centre ils ont dû le faire pendant mon séjour au Ghana. Mon fils était tout heureux et à la fois exciter d’être là avec moi.
Nous étions dans un rayon lorsque je vis un appel important s’afficher sur mon téléphone.
« Oui, d’accord…..mais il à décider de nous l’a laissé à combien ? Dites-lui que son prix reste le nôtre…..Ok donc c’est bon pour l’autre mission ? ……ok merci bien, on se recontacte…..je vous en prie. »
Je me retournais mais je ne voyais plus mon bébé, ou a-t-il bien pu aller ? J’aurais dû plus le surveiller, et me voici à parler affaire. J’espère que la bande à Maxime ne lui a pas fait du mal ? Je me mis à courir à la recherche de celui-ci.
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