Première Partie !

Ecrit par Mabanabook

VENGEANCE VS AMOUR : Page 24


*Première Partie ! 


ANDY 


Moi : (le regardant avec sourire)  d’accord donc tu veux ce pot de lait ? 


Lui : oui s’il vous plait M. (très poliment) 


Moi : (le prenant pour lui) tiens mon grand 


Lui : wahoo merci, vous n’avez même pas eu besoin de vous mettre sur la pointe des pieds (heureux) 


Moi : (riant)  merci, lorsque tu seras plus grand tu feras pareil 


Lui : (avec émotion) je l’espère bien, et je veux être comme mon papa 


Moi : (souriant)  c’est le rêve de tout enfant 


Elle : (se jetant sur lui) oh mon Dieu, Ethan tu m’as fait une de ces peurs (l’embrassant) que fais-tu ici ? 


Lui : je voulais du lait, je te l’ai dit et tu m’as dit ok


Elle : (joignant les deux mains)  je t’en supplie ne m’écoute pas quand je suis en ligne, j’ai eu une peur bleu (respirant vite) 


Lui : je vais bien maman (lui faisant une bise) j’ai même eu un ami 


Puis elle me regarda. Ah cette femme ! 


Elle : qui ça ? 


Lui : ce gentil M. il a même pris la boite de lait pour moi. Dis-lui merci maman  (me montrant avec sourire) 


Elle : oh ok, bonjour M. et merci bien  (me regardant étrangement) 


Moi : je vous en prie madame


Julie : (derrière moi)  chéri, je t’attends depuis 


Ah oui nous étions venus moi et Julie dans ce centre afin de regarder un film au cinéma. Et j’ai voulu venir nous prendre un rafraichissement, et elle nous prendre des maillots vu que la projection n’a pas encore débuté. 


Moi : ah oui, j’aidais un ami (me retournant pour la voir) 


Julie : ah bon ? Ou est-il ? 


Moi : Ici avec sa mère  (les montrant) 


Julie : enchantée madame, et toi aussi (parlant au petit avec sourire) 


Elle : (très sereinement)  bonjour Mme


L’enfant lui répondit aussi toujours de façon très poli. 


Julie : (me montrant les maillots)  chéri j’ai trouvé les maillots pour la plage de dimanche 


Moi : c’est super (souriant) 


La milliardaire froissa son visage. 


Julie : oui je suis si excitée (heureuse) 


Lui : vous allez à la plage ? 


Moi : oui 


Elle : (prenant sa main) allez on y va mon grand 


Moi : bye fiston, heureux de vous avoir revu madame (souriant) 


Elle ne répondit pas et le petit me répondit avec sourire. Elle partit d’un  pas pressé avec lui. Elle avait l’air si troublée, ce doit être une bonne mère, une milliardaire qui fait ces courses sans garde trop rapprochée doit être une personne humble. Moi je ne sais pourquoi mais elle me captivait et j’avais envie de plus savoir sur elle c’était comme si je la connaissais même déjà un peu. 


Julie   prit ma main et nous nous dirigeons vers la salle de cinéma mais je ne pus m’empêcher de me retourner pour regarder cette belle femme-là. 

 Et je la surpris aussi à nous regarder depuis la caisse mais dès qu’elle croisa mon regard elle baissa la tête. N’eut été la présence de Julie je serai partie vers elle, mais pourquoi le ferais-je même ? 

Elle ne se rappelle même plus de moi, pourtant-moi si. Elle était l’autre fois dans les jardins de l’hôtel Ivoire avec moi. 


*****


J’avais envie de penser à une seule personne : Jamila ! Envie d’oublier tout le reste. Car oui je sais que j’ai fait une erreur en la comparant à une autre, donc ce samedi matin j’ai décidé de me rendre à la plage, oui celle où elle et moi avons fait l’amour pour la première fois. Celle où elle m’a laissé la prendre avec amour et honneur la première fois, je devais m’y rendre. 


Depuis que j’avais revu cette femme, cette belle milliardaire, mon esprit était comme perdu j’avais besoin de me ressourcer. Je suis sure que je serai obligé de partir encore voir Jamila pour m’excuser de l’avoir confondu avec une autre mais c’est comme si je connaissais cette femme depuis longtemps. 


Lui : (me stoppant)  M. s’il vous plait cette page à accès interdit maintenant


Moi : bonjour M., y’a-t-il un évènement aujourd’hui ? (demandant) 


Lui : non, mais elle a été acheté par quelqu’un 


Moi : acheter une plage ? (confus) 


Lui : vous voyez cette maison qui est là-bas derrière ? (me la montrant avec son doigt) 


Moi : (regardant dans la direction qu’il montrait) oui 


Lui : eh bien quelqu’un l’a acheté et exige une grande partie de la plage vu que celle-ci donne accès aussi à sa maison. C’est quelqu’un d’important apparemment  (heureux) 


Moi : (ne comprenant pas)  comment ? Écoutez je peux aussi vous payez mais vous ne pouvez m’interdire cette plage ni son accès (comme une supplication) 


Lui : (air désolé) croyez-moi, je ne pense pas que l’on trouvera meilleur offre, vraiment navré 


Moi : mais cette plage compte pour moi (voulant lui faire comprendre) 


Lui : comme pour assez de personnes mais vous y ferez (voulant me rassurer) 


J’essayais encore de le convaincre lorsque je vis la milliardaire sortir de la maison et se diriger vers sa voiture avec ces gardes. 


Moi : (la montrant du doigt) c’est elle qui l’a acheté ? 


Lui : (souriant à sa vue)  oui c’est cette splendide femme qui….


Je le laissais là en train de parler et courus pour partir vers elle, une fois vers elle ces gardes me bloquait, elle me vit et fit signe aux gardes de me laisser


Moi : bonjour Mme 


Elle : bonjour M.  (Me fixant étrangement avec un air assez bizarre) 


Elle ne me reconnaissait pas encore 


Moi : (lui rappelant) excuser moi mais nous nous sommes vus au centre commercial la fois dernière avec votre fils 


Elle : ah ok  (sereine) 


Un autre signe et les gardes s’éloignaient encore un peu 


Elle : il va bien mon fils (me rassurant) c’est pour cela que vous avez voulu me voir ? (me fixant) 


Moi : non, au fait oui, je suis heureux qu’il aille bien (voulant trouver la bonne approche) 


Elle : ok ? (attendant la suite) 


Moi : cette plage que vous avez acheté, pouvez s’il vous plait annulez cet achat ? 


Elle : je vous demande pardon ? 


Moi : (reprenant avec des mots pour la convaincre) cette plage j’y suis lié, de façon particulière, et elle fait plaisir à une personne donc je veux que vous annuliez l’achat (la regardant en espérant qu’elle me comprenne) 


Elle : (mine dure) désolé mais c’est déjà fait et je ne peux pas 


Moi : mais prenez juste la maison et laissez la plage (voulant la faire changer d’avis) 


Elle : (soufflant comme si je l’exaspérais)  je vais y vivre et je ne trouve pas cela juste que moi et ma famille soyons exposés ainsi  (me fixant avec une mine sévère) 


 

Moi : (m’emportant) mais c’est une plage bon sang 


Elle : (automatiquement)  qui m’appartient maintenant 


Moi : (énervée par ces airs de grande dame borné)  vous êtes comme tous ces riches qui s’en foutent des autres, vous venez dans un pays et vous y approprier de façon j’en suis sure illégale ces biens.  (La fixant) Mais le gouvernement est lui-même illégale, donc il ne peut que vous soutenir (ces gardes approchèrent) 


Elle : (leur faisant signe de rester à leur place) vous ne me connaisse pas et donc je vous demanderai par simple bonne éducation (ton un peu autoritaire)  de ne pas me juger ni me crier dessus, M… ? (Gardant toujours ces airs) 


Moi : (la regardant) mon nom n’a aucune importance, c’est de cette plage qu’il s’agit ne m’obligez pas à rentrer en guerre contre vous. Vous n’êtes pas ivoirienne et moi je suis journaliste. (La menaçant, oui je suis prêt à tout pour garder un souvenir de ma Jaja) 


Elle : (avec autorité) oh eh bien M. le journaliste, la Ghanéenne que vous pensez connaitre ne parle pas assez à des inconnus (faisant signe) et cette plage oubliez là, car je n’annulerai jamais son achat. (Montant dans sa voiture) 


Je la regardais partir vraiment remonté, acheter la plage ou moi et Jaja avons débuté toute une histoire c’est scandaleux ! Et dire que je l’ai prise pour ma Jamila. Non elles n’ont vraiment rien en commun. Pour cette plage et pour la mémoire de Jaja, je n’en resterai pas là, elle a beau être milliardaire, je suis aussi journaliste compétent. On verra ce que sa donnera quand la société civile s’en mêlera. 


MAXIME 


J’étais à ce diner avec Jamila et j’en étais fière assez d’hommes me regardaient et m’enviaient. En même temps comment ne pas m’envier. Cette femme fait vraiment rêver plus d’un. Elle est si magnifique. Je peux même sentir le regard haineux de Mme la première dame et Neslie qui affiche une mine sereine mais je suis sure qu’elle n’est pas contente. Je la connais. 


Elle : je reviens Bely (j’aimais quand elle m’appelait ainsi, c’était si particulier) 


Moi : (souriant) ok Jokeybed, veux-tu que je t’accompagne ? 


Elle : (me rendant mon sourire)  non merci ça ira 


Je vis le sourire de Neslie bon je ne savais si elle souriait ou si elle avait une idée en tête mais c’était vraiment bizarre, ensuite j’eus droit à un regard noir de la part de la premier dame, cette femme fontaine. Mais moi toute mon idée était centré sur le retour de Jokeybed, ah cette femme ! 


Le président commença son discours et je bus d’un trait la boisson que venais de m’envoyer un homme, il a dit que c’était de la part d’une femme. Surement Neslie vu comment elle me dévisageait depuis, je lui souris et bu la boisson. 


Je voulais me concentrer sur le discours du président mais ma tête tournait. Et je me levais pour aller uriner quand je vis, un des gars de la bande entrain d’insister pour parler à Jokeybed, ça se sentait qu’elle voulait partir mais il l’a bloquait. Avec son vilain petit sourire pervers. 


Ce m’énervait et sans me contrôler j’avançais vers lui et lui mis une baffe ! 


Elle : ohhh Bely (s’exclama t’elle) 


Tous s’écriaient et nous regardaient. 


Lui : comment as-tu osé ?  (Se relevant) 


Je lui mis une deuxième baffe en criant 


Moi : (criant)  depuis que tu as osé violenter cette femme (la pointant du doigt) 


Lui : la violenter ? (me fixant avec sa stupide mine comme si il ne savait pas) 


Moi : oui  (énerver) 


Lui : (essuyant le sang sur sa bouche) je voulais juste lui offrir un verre. Elle est libre à ce que je sache. Donc je peux lui offrir un verre. 


Moi : et aussi ce qu’il y avait dans ton pantalon non ? (hautain)  sale pervers (lancais-je sans me soucier des autres) 


Le président : (autoritaire) calmez-vous vous deux !


Lui : (me giflant) pas avant de lui rendre son coup 


Et là on commençait à se battre comme des enfants, je m’en foutais il n’aurait pas dû la toucher, c’est tout. J’entendais sa belle voix me demander d’arrêter mais le simple fait de savoir que cet homme avait des vues sur elle, m’empêchait de m’arrêter. 


Le président : ARRETEZ MOI CECI TOUT DE SUITE  (hurlant) 


Moi : oh toi la ferme !  (Automatiquement) 


Tous s’exclamaient 


La première dame : (ahurie)  oh M. bely 


Moi : pareil pour toi femme…..


Le président : (me coupant et ordonnant)  faites les sortir immédiatement et arrêtez tout ceci les journalistes. 


Il nous fit sortir et je me rappelais seulement la mine ahurie de ma belle milliardaire avant de tomber dans les pommes ! 


JAMILA 


Moi : (au téléphone) « ok d’accord, merci bien….passez une excellente nuit » (rentrant) 


Elle : alors ce diner ? (inquiète) 


Moi : (m’asseyant)  Lizzie si tu savais, j’avais prévu de faire boire un liquide assez fort que le détective m’avait remis  à Maxime, pour qu’il soit ivre et par chance raconte n’importe quoi à tous et que les journalistes mais aussi des infiltrés que l’on avait payé moi et le détective fasse des photos et enregistrements au cas où le président réussirait à empêcher la diffusion de l’humiliation de Maxime. 


Elle : je vois et alors ?  (souriant) 


Moi : et Dieu étant de mon côté ça été meilleur, Bely à piquer une crise de jalousie en voyant un  membre de leur camp me proposer à boire avec insistance. (Je lui marrais tout) 


Elle : (applaudissant) ohhhh wahoooo, j’imagine les titres de demain. 


Moi : et moi donc ? (heureuse) il est resté avec certains de ces membres de clan qui m’ont demandé de rentrer surtout cette Neslie. (Souriant) comme si je leur ai dit que j’avais envie de rester près de lui. C’était juste pour le jeu, mais ils m’ont facilité la tâche. 


Elle : ceci est donc ta vengeance (riant) 


Moi : (la fixant)  oh non ce n’est que la première étape, cet homme doit tout perdre, prestige, pouvoir….tout (sereine) 


Elle : alors là ! Mais on doit faire attention (me regardant) 


Moi : (la rassurant)  je veille à toujours faire attention, demain j’irai le voir et lui proposer mes amitiés mais aussi mon aide au cas où ces amis ne le voudront plus. 


Elle : c’est parfait 


Moi : (me levant)  bon je vais me débarbouiller et embrasser Ethan 


Elle : d’accord, au fait on a une nouvelle maison sur la plage ? 


Moi : oh oui désolé je devais t’en parler  (désolé) 


Elle : (souriant)  non t’en fais pas c’est ton argent et tu fais ce que tu veux avec. Mais ça fait aussi partie de la vengeance ? (demandant) 


Moi : (cherchant mes mots)….En quelque sorte, mais pas contre Bely 


Elle : hum ton ancien amant ? (automatiquement) 


Moi : (avouant) oui, (la suppliant du regard) mais je voudrais ne pas en parler cette nuit si possible. 


Elle : prend ton temps ma belle (m’embrassant) 


Moi : merci. 


Je l’adore cette fille et ne la remercierait jamais assez pour tout. Je ne dois rien lui cacher certes mais je ne sais moi-même pas pourquoi j’ai tant voulu payer cette maison sur la plage qui m’a couter un paquet de sous. Mais je l’ai fait et maintenant Andy et sa fiancé, ni personne de son entourage n’y auront accès. Bon j’ai cette maison donc les oublier est mieux je dois continuer à penser à la seconde étape de ma Vengeance ! 


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